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    Un film exceptionnel ou comment en quelques minutes et avec de l'humour préciser les fondements de notre société, organisée autour des valeurs du Marchés et ordonnancée par des Hommes absolument réfractaires à l'idée d'Humanité, de générosité, de dons ... valeurs qu'ils se targuent de servir voire d'incarner.

    Le triomphe du Marché dans toute son abjection.

    Et dire que nous nous laissons quotidiennement abuser...A quand la réaction ?

     

    Bande d'annonce : http://www.allocine.fr/video/player_gen_cmedia=18741604&cfilm=60627&hd=1.html

     

    Le site du film :  http://www.99francs-lefilm.com/


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    [Merci à Jean-Pierre]


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    Comment Sarkozy trahit De Gaulle - l'Interview choc de Dominique de Villepin ; Science : tous fliqués par l'ADN ? ; Crédits, dépôts, placements... peut-on toujours faire confiance à sa banque ?

     

    http://www.marianne2.fr/LE-MAGAZINE_r136.html?PHPSESSID=0f6af6a759f43d6b330267b1e7fdb205


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    Dirigeant de la délégation palestinienne à <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName ProductID="la Conférence" w:st="on">la Conférence</st1:PersonName> de Madrid sur le Proche-Orient, en 1991, Haidar Abdel Shafi est mort le 25 septembre à Gaza des suites d'une longue maladie. Il était âgé de 88 ans.

    L'histoire lui avait enseigné la résistance, et la manière d'en faire bon usage. Il avait connu tour à tour à Gaza la fin de l'Empire ottoman, le mandat britannique, la tutelle égyptienne, l'occupation israélienne, la création de l'Autorité palestinienne et enfin le fiasco d'un processus de paix qui s'acheva dans les flammes de la deuxième Intifada. Cette traversée mouvementée avait forgé en lui un pessimisme raisonné. S'il n'a jamais désespéré de la création d'un Etat palestinien, il a toujours été convaincu que les chemins suivis jusqu'à présent ne menaient nulle part.

    Haidar Abdel Shafi naît en 1919 dans une famille respectée. Son père, Mouheddin Abdel Shafi, dirige le conseil chargé de la gestion des lieux saints musulmans. Il étudie à Gaza puis à Jérusalem, avant de se tourner vers la médecine, à l'Université américaine de Beyrouth, haut lieu du nationalisme arabe, d'où il sort diplômé en 1943.

     

    http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0,36-961102,0.html


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    Cotonou, en mai 2006, Nicolas Sarkozy a déclaré que "<?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName ProductID="la France" w:st="on">la France</st1:PersonName> n'avait économiquement plus besoin de l'Afrique". Elu président, il déclare à Dakar que "l'homme africain n'est pas entré dans l'histoire". Comment avez-vous apprécié ces discours ?

    A Cotonou, M. Sarkozy a affirmé que les relations de <st1:PersonName ProductID="la France" w:st="on">la France</st1:PersonName> avec l'Afrique devaient évoluer sur un mode moins passionnel, moins compassionnel. Il a dit que ce n'est pas parce que <st1:PersonName ProductID="la France" w:st="on">la France</st1:PersonName> a besoin d'exploiter l'Afrique qu'elle va faire des choses avec le continent. Beaucoup de gens ont compris que "<st1:PersonName ProductID="la France" w:st="on">la France</st1:PersonName> n'avait plus besoin de l'Afrique". M. Sarkozy n'a pas pu vouloir dire cela. Quand on voit la stratégie de Total, l'importance du Niger pour Areva ou le fait que l'Afrique est le principal centre de profit d'Air France, on pourrait même soutenir que <st1:PersonName ProductID="la France" w:st="on">la France</st1:PersonName> a un petit peu plus besoin de l'Afrique qu'avant. A Dakar, après un très beau discours sur la colonisation, le président a poursuivi en affirmant que l'homme africain n'était pas entré dans l'histoire. Autant l'ancien avocat d'affaires était à l'aise sur le terrain du droit, autant on a deviné qu'il n'était pas anthropologue ! En un siècle, on a imposé à "l'homme africain" des cultures d'exportation - le coton par exemple - qui ont été expédiées dans les Vosges et maintenant en Chine ! Aujourd'hui, les cotonculteurs burkinabés consultent sur ordinateur les cours du marché de Chicago et viennent d'autoriser les OGM. Si ce n'est pas une entrée dans l'histoire ! Le président actuel ne rend pas justice à l'hyperactivité des Africains.

     

    http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0,36-961078,0.html

     


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    « L'intégrisme, produit de la modernité » ( 53 mn - Vidéo)

    <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p>

    REGIS DEBRAY - Ecrivain, Philosophe.

    <o:p> </o:p>

    Université de Tel-Aviv - ISRAËL, Mai 2007.

     

    http://a7fr.net/AK/41364.htm


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    L'élaboration du livre blanc sur la sécurité et la défense qui vient d'être engagée sera l'occasion de redéfinir la position de <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName w:st="on" ProductID="la France">la France</st1:PersonName> vis-à-vis de l'Otan. C'est le général de Gaulle qui, en <st1:metricconverter w:st="on" ProductID="1967, a">1967, a</st1:metricconverter> décidé de retirer les forces françaises du commandement intégré de l'Otan afin d'éviter que notre pays ne soit entraîné, dans des conditions qu'il n'aurait pas choisies, dans un conflit ouvert avec l'Union soviétique. Cette position fut maintenue par ses successeurs jusqu'en 1991, c'est-à-dire tant que dura la guerre froide. La désagrégation du bloc de l'Est a fait alors disparaître le risque d'agression majeure tandis qu'éclataient de nombreuses crises, souvent très violentes, menaçant la stabilité internationale.

    Le conflit en ex-Yougoslavie démontra alors l'incapacité de l'ONU à gérer des crises de cette ampleur, tandis que l'UE, à peine formée, ne disposait ni des moyens, ni, surtout, de la volonté politique de s'engager. Dès lors, le recours à l'Otan s'imposa progressivement et conduisit <st1:PersonName w:st="on" ProductID="la France">la France</st1:PersonName> à modifier sa position.

     

    http://www.lefigaro.fr/debats/20070928.FIG000000090_l_otan_et_l_ue_sont_complementaires_dans_la_gestion_des_crises.html


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    Le Pentagone demande une rallonge qui porterait à 190 milliards le financement des opérations en Irak et en Afghanistan pour l'année fiscale... hors budget de la défense.

     

    ALORS QUE la majorité démocrate au Congrès ne s'est pas encore remise de son échec sur un calendrier pour le retrait des troupes américaines en Irak, il lui faut maintenant avaler la facture grandissante des opérations dans ce pays et en Afghanistan. Que <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName w:st="on" ProductID="la Maison-Blanche">la Maison-Blanche</st1:PersonName> et le Pentagone les englobent dans « la guerre antiterroriste » ne rend pas la pilule moins amère, à en juger par l'accueil réservé à la demande d'une rallonge de 42 milliards de dollars soumise mercredi à la commission des finances du Sénat par le secrétaire à <st1:PersonName w:st="on" ProductID="la Défense">la Défense</st1:PersonName>, Robert Gates.

    Il ne faut pas s'attendre à un simple « coup de tampon » du législateur, a juré le sénateur Robert Byrd, président de la commission. « Le financement de la guerre en Irak va dépasser 600 milliards de dollars ! », a martelé à trois reprises le parlementaire de plus en plus virulent sur ses vieux jours (il a 89 ans). Chacune de ses diatribes était acclamée par des sympathisants ne criant « pas de sang pour du pétrole » - avant que la tribune réservée au public ne soit évacuée.

     

    http://www.lefigaro.fr/international/20070928.FIG000000234_un_budget_record_pour_les_guerres_americaines.html

     


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  • <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName w:st="on" ProductID="La Conférence"> </st1:PersonName>

    <st1:PersonName w:st="on" ProductID="La Conférence">La Conférence</st1:PersonName> des bâtonniers, qui réunit l'ensemble des barreaux de France, réfléchit depuis longtemps à l'avenir et aux perspectives d'évolution des juridictions de notre pays. L'organisation judiciaire conditionne l'exercice de la justice et son accessibilité pour nos concitoyens. Ce débat n'est donc pas un débat de spécialistes, mais un véritable débat de société. Il s'agit, en effet, de préserver le droit pour nos concitoyens d'accéder librement au juge et au service public de la justice et d'améliorer le fonctionnement de celle-ci pour une justice de qualité.

    Il existe aujourd'hui 1 200 juridictions en France, regroupées sur 800 sites, mais il n'y a que 181 tribunaux de grande instance (TGI), qui sont le coeur de l'activité judiciaire. Leur implantation résulte de l'histoire, des données économiques et géographiques, et assure un maillage du territoire qui paraît adapté pour 63 millions de justiciables potentiels. Autour de ces tribunaux, dont la fonction est essentielle, les avocats se sont groupés en barreaux et assurent le conseil et la défense. Supprimer ces juridictions mettrait en péril leur présence et risquerait à terme de conduire à l'existence de déserts juridiques et judiciaires.

     

    http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-3232,36-960736,0.html


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  • C'était l'une des contreparties de l'allongement de la durée de cotisation de 37,5 années à 40 ans pour tous les salariés du public et du privé. Parmi les critères de départs anticipés, la réforme des retraites de <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:metricconverter w:st="on" ProductID="2003 a">2003 a</st1:metricconverter> reconnu la pénibilité au travail. Quatre ans plus tard, la négociation s'est enlisée. Patronat et syndicats ne sont pas parvenus à s'entendre sur la définition et la nature des risques, le nombre de personnes concernées et le financement.

    "La vérité, c'est qu'il existe des régimes spéciaux de retraite qui ne correspondent pas à des métiers pénibles et des métiers pénibles qui ne correspondent pas à un régime spécial de retraite" : le 11 septembre à Rennes, le président de <st1:PersonName w:st="on" ProductID="la République">la République</st1:PersonName>, Nicolas Sarkozy, a relancé la controverse pour justifier la remise à plat de la quasi-totalité des régimes particuliers de retraite.

    En attendant un allongement du temps d'activité à 41 ans, que le premier ministre a fixé à 2012, <st1:PersonName w:st="on" ProductID="la CFDT">la CFDT</st1:PersonName> estime que 500 000 salariés devraient pouvoir bénéficier de départs anticipés en contrepartie de la reconnaissance de la pénibilité de leur travail. <st1:PersonName w:st="on" ProductID="La CGT">La CGT</st1:PersonName>, pour sa part, estime qu'il faut multiplier ce chiffre par trois, pour tenir compte de l'ensemble des activités des secteurs publics et privés.

     

    http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0,36-960739,0.html

     


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    Au moment où se tournent les dernières pages de ma vie politique et de ma vie médicale, un remords lancinant me taraude : ne pas m'être battu suffisamment pour sauver l'hôpital public. Il s'enfonce inexorablement dans un coma qui le ramène à ce qu'il était au milieu du siècle dernier : l'hôpital des pauvres et de la formation des médecins. Ainsi s'effondre l'immense espoir soulevé par les ordonnances de 1958 et l'élan inégalé qu'elles ont donné pendant une vingtaine d'années à la médecine française dont l'image s'affadit aujourd'hui.

    Au-delà de la nostalgie, au-delà des sentiments, le malade - l'essentiel - apparaît de plus en plus négligé, oublié. Sans évoquer l'accueil et les conditions d'hébergement, c'est la qualité des soins qui diminue avec des retombées sur l'ensemble du système de santé, en attendant que les hôpitaux privés qui s'organisent prennent le relais. Sous un autre angle, les coûts s'élèvent sans cesse et représentent près de 50 % des dépenses de l'assurance-maladie, dont le déficit pourrait disparaître en même temps que les gaspillages à l'hôpital, dont il existe des myriades d'exemples.

     

    http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-3232,36-960216,0.html


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    « Le PS saisit le CSA sur le temps de parole »

     

    Après l'appel "au sursaut" des syndicats de journalistes pour défendre l'indépendance de la presse, le Parti socialiste entre dans la bataille contre l'omniprésence de Nicolas Sarkozy dans les médias.

    Dans une lettre adressée, lundi 24 septembre, à Michel Boyon, président du Conseil supérieur de l'audiovisuel (CSA), François Hollande, premier secrétaire du Parti socialiste, et Didier Mathus, député (PS) de Saône-et-Loire et spécialiste des questions de médias, estiment que "l'expression des grands courants politiques dans les médias est gravement déséquilibrée par les interventions répétées du président Sarkozy".

     

    http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0,36-960203,0.html


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