• ENTRETIEN avec M. Jean Philippe MARCOVICI - Membre du Grand Orient de France (GODF) - Chargé de la Laïcité et de la solidarité - Entretien exclusif mené par Jean-luc Pujo pour Politique-actu.com - Jeudi 2 décembre 2010.


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    « Il n'y aura pas d'avenir philosophique de l'EUROPE si la laïcité ne redevient le foyer d'une recherche d'avant-garde qui s'inscrira dans la postérité du siècle des Lumières ! »

     

    Le Philosophe Manuel de DIEGUEZ - Septembre 2008.


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    « Le conseil d'Etat nous a montré la voie, il faut interdire la burka en France » par Fabrice Letailleur

     

    Pour la première fois une haute juridiction, en l'occurrence, le Conseil d'Etat vient de prendre une décision importante, qui fera date dans les annales judiciaires. En effet, dans un arrêt rendu le 27 juin 2008, le Conseil d'Etat a refusé la demande de naturalisation à une marocaine, mariée à un Français et mère de trois enfants, pour son appartenance à la mouvance rigoriste la plus extrême de l'islamisme radical, le salafisme.

    Pour lui refuser sa naturalisation le Conseil d'Etat a invoqué que celle-ci avait adopté au nom d'une pratique radicale de sa religion, un comportement en société totalement incompatible avec les valeurs essentielles de la communauté française et notamment le principe d'égalité des sexes.

    Cette femme, entièrement soumise à son époux, portait la burqua dans la sphère privée et publique. (...)

    Il est grand temps, que <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName ProductID="la France" w:st="on">la France</st1:PersonName> légifère sur l'interdiction du port de <st1:PersonName ProductID="la Burqa" w:st="on">la Burqa</st1:PersonName>, comme vient de le suggérer le député Jacques Myard. Il est grand temps que nous réaffirmions la défense de nos valeurs républicaines laïques et pour l'égalité des sexes.

    Nous ne devons pas transiger sur nos valeurs, encore moins négocier comme ont tenté de le faire certains de nos politiques, avec des courants qui souhaitent notre destruction.

     

    http://www.ripostelaique.com/Le-conseil-d-Etat-nous-a-montre-la.html


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    CITE DU VATICAN, 10 juil 2008 (AFP) - Le Vatican attend moins de rigidité dans la laïcité française (cardinal)

    Le Vatican attend un infléchissement dans la "rigidité" de la laïcité à la française, a déclaré jeudi le cardinal Tarcisio Bertone, secrétaire d'Etat du Vatican et bras-droit du pape, à deux mois du voyage de Benoît XVI en France.

    Le prélat, dans un discours sur la laïcité italienne publié dans l'Osservatore Romano, a évoqué la situation française où "certains éléments font espérer une évolution de cette laïcité rigide qui fit de <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName w:st="on" ProductID="la France">la France</st1:PersonName> de la 3e République un modèle de comportements antireligieux".

    Le cardinal Bertone avait relevé auparavant que les discours prononcés par le président français Nicolas Sarkozy sur la laïcité à Rome le 20 décembre 2007 et à Riyad le 14 janvier "ont suscité stupeur et indignation en France".

    Le secrétaire d'Etat du Vatican participait à une table-ronde à Rome sur le 60e anniversaire de <st1:PersonName w:st="on" ProductID="la Constitution">la Constitution</st1:PersonName> italienne et sur le concordat qui régit les relations entre l'Italie et le Saint-Siège.

    Il a qualifié la situation italienne de "vraie laïcité" formant le cadre d'une "collaboration fructueuse" entre l'Eglise et à l'Etat avec "un objectif commun: la promotion du bien authentique de l'Italie".

    http://www.la-croix.com/afp.static/pages/080710162216.n2v1y4i3.htm


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    Rapport Bouchard-Taylor - Quand la « laïcité ouverte » conduit à Duplessis

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    « La motion sur le crucifix du Salon bleu est un gâchis aux conséquences néfastes » Daniel Baril

     

    Au Québec, nous aimons croire que nous faisons les choses différemment d'ailleurs. Nous ne pratiquons pas le multiculturalisme, mais l'interculturalisme ; nous sommes pour la laïcité, mais pas n'importe laquelle : nous avons choisi, paraît-il, la « laïcité ouverte ». Le rapport Bouchard-Taylor est construit autour de ces deux notions fumeuses qui s'avèrent être dans la pratique autant de négations du véritable contrat social auquel s'attendaient les Québécois.

    Prenons le cas de la « laïcité ouverte ». Il s'agit d'un concept antirépublicain créé par des idéologues de diverses disciplines tous préoccupés de limiter au maximum les contraintes qu'un État démocratique est en droit d'imposer aux religions. Ce concept permet de dire que la laïcité est le bon choix à faire tout en autorisant toutes les atteintes possibles au concept vidé de son sens. Ce qui en résulte est si édulcoré que les intégristes religieux de toutes obédiences se disent tout à coup d'accord avec la laïcité. La « laïcité ouverte », c'est la laïcité du maire de Saguenay.

     

    http://www.mlq.qc.ca/

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    Les organisations et personnalités signataires rappellent solennellement que, selon l'article 1er de <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName ProductID="la Constitution" w:st="on">la Constitution</st1:PersonName>, <st1:PersonName ProductID="la France" w:st="on">la France</st1:PersonName> est une République indivisible, laïque, démocratique et sociale. Ces quatre termes indissociables définissent des principes qui s'imposent à tous, au premier rang desquels le Président de <st1:PersonName ProductID="la République. Or" w:st="on">la République. Or</st1:PersonName>, les déclarations récentes de Monsieur Sarkozy, mêlant ses convictions personnelles et sa fonction présidentielle, portent atteinte à la laïcité de <st1:PersonName ProductID="la République." w:st="on">la République.</st1:PersonName>

    <st1:PersonName ProductID="la République." w:st="on"></st1:PersonName> 

    <st1:PersonName ProductID="la République." w:st="on"></st1:PersonName>http://www.appel-laique.org/index.php?option=com_frontpage&Itemid=1 

     

    [Merci à Hélène]


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    S'il y a un sujet de conflit politique dont il faut se méfier, en France, c'est bien la laïcité. Certes, dans le flot des reproches adressés aujourd'hui à Nicolas Sarkozy, ceux qui concernent ses déclarations sur les religions - à Rome le 20 décembre 2007 et à Riyad il y a trois semaines - ne sont pas les plus sonores. On peut être tenté de voir, dans l'obstination du président de <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName ProductID="la République" w:st="on">la République</st1:PersonName> à parler de la foi, une espèce de marotte personnelle dont il n'y aurait pas à se préoccuper, sauf à entrer dans son jeu, ce que personne ne souhaite. En ce moment moins que jamais. Et surtout pas sur une question de ce genre.

    Car quelle peut être la traduction pratique de ses propos ? Réviser la loi de 1905 sur la séparation de l'Eglise et de l'Etat ? Dans son discours, au palais du Latran, à Rome, Nicolas Sarkozy a assuré vouloir en respecter "les grands équilibres". Quand on promet de ne pas modifier les grands équilibres, on a souvent en tête de s'attaquer aux petits. En l'occurrence, il s'agirait de permettre aux collectivités locales de financer la construction de lieux de culte.

     

    http://www.lemonde.fr/opinions/article/2008/02/08/la-laicite-une-querelle-qui-ne-dort-que-d-un-oeil-par-patrick-jarreau_1009012_3232.html


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    « Sauvegardons la laïcité de la République »

     

    Les organisations et personnalités signataires rappellent solennellement que, selon l'article 1er de la Constitution, la France est une République indivisible, laïque, démocratique et sociale. Ces quatre termes indissociables définissent des principes qui s'imposent à tous, au premier rang desquels le Président de la République. Or, les déclarations récentes de Monsieur Sarkozy, mêlant ses convictions personnelles et sa fonction présidentielle, portent atteinte à la laïcité de la République.

    La mise en cause de ce principe constitutionnel indispensable à la paix civile est inacceptable. Depuis 1905, grâce à la loi de Séparation des Eglises et de l'Etat, la République assure à chaque citoyen la liberté de conscience, garantit sa liberté de croire ou de ne pas croire et de pratiquer le culte de son choix, de n'en pratiquer aucun ou de pouvoir en changer. Elle permet ainsi de vivre ensemble, dans le respect de chacun, quelles que soient ses origines, ses choix philosophiques  ou ses convictions religieuses.

    Dans notre République et notre société multiculturelle, la diversité doit être richesse et non source de conflit. Pour cela, la laïcité, assurant l'égalité en droit des citoyens dans le respect des lois de la République, permet à la fois l'expression du pluralisme des convictions et la recherche de valeurs communes pour construire une communauté de destin.

     

    http://www.appel-laique.org/


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    Face aux sectes, le ministère de l'intérieur adopte une politique "libérale mais ferme"

     

    Le gouvernement souhaite donner une inflexion nouvelle à la lutte contre les dérives sectaires. Rompant avec la démarche symbolisée par les travaux des commissions parlementaires sur les sectes de 1995, 1999 et 2006 ou les rapports annuels de <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName ProductID="la Mission" w:st="on">la Mission</st1:PersonName> interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires (Miviludes) qui ont dressé des listes de mouvements et ont dénoncé des comportements potentiellement dangereux, le ministère de l'intérieur souhaite mettre l'accent sur la répression.

    Cette approche a été explicitée par la ministre, Michèle Alliot-Marie, lundi 4 février, aux responsables de la police, de la gendarmerie et de <st1:PersonName ProductID="la Préfecture" w:st="on">la Préfecture</st1:PersonName> de police.

    A première vue, la feuille de route livrée par la ministre relance la mobilisation contre les dérives sectaires. Elle prône aussi une meilleure coopération avec les services sociaux, éducatifs, fiscaux ou judiciaires. Mme Alliot-Marie a souligné "l'importance des risques, et les nouvelles formes d'action aujourd'hui plus diffuses, dans des domaines tels que la formation, l'accompagnement personnel, les activités paramédicales". La ministre a insisté pour que ces sujets fassent l'objet "d'une attention particulière des services de police judiciaire, sous le contrôle du juge pénal".

     

    http://www.lemonde.fr/societe/article/2008/02/05/face-aux-sectes-le-ministere-de-l-interieur-adopte-une-politique-liberale-mais-ferme_1007600_3224.html


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    La laïcité à la française vit-elle ses dernières heures ? "La société a changé", nous dit Michèle Alliot-Marie. La loi de 1905 est censée suivre. Elle nous annonce une modification, non pas de sa lettre, mais de son esprit, par circulaire ou par décret. Encouragé par de tels propos, le recteur de la mosquée de Paris, Dalil Boubakeur, demande carrément un "moratoire".

    Personne ne peut prétendre être surpris. Nicolas Sarkozy l'avait promis, et même écrit en 2004 dans <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName w:st="on" ProductID="La République">La République</st1:PersonName>, les religions et l'espérance : un livre de combat contre une conception stricte et ambitieuse de la laïcité à la française, qualifiée de "sectaire". Il envisageait même de modifier l'article 2 - selon lequel "l'Etat ne reconnaît, ne salarie ni ne subventionne aucun culte" - pour financer des lieux de culte sur fonds publics. Sentant que cela ne passerait pas, il s'est vite rabattu sur une solution plus discrète : décloisonner les associations de type 1905 et de type 1901 pour pouvoir financer le religieux via le culturel. Une suggestion du président de <st1:PersonName w:st="on" ProductID="la Fédération">la Fédération</st1:PersonName> protestante, retenue par la commission Machelon mise en place par Nicolas Sarkozy, et que Michèle Alliot-Marie promet d'appliquer en pleine remontée des intégrismes.

    Officiellement, il s'agit d'aider l'islam à rattraper son retard. L'argument séduit même à gauche. Les mêmes n'accepteraient jamais que l'on touche à la laïcité pour financer le culte chrétien ou juif, mais si c'est pour l'islam... Mais de quel retard nous parle-t-on ? Si les fidèles sont nombreux et manquent d'un lieu de culte, ne peuvent-ils pas se cotiser ? Bien sûr que si, et c'est ce qu'ils font. D'après les chiffres du bureau des cultes du ministère de l'intérieur, le retard est pratiquement rattrapé. L'islam des caves n'est plus qu'un fantasme. Sur les 30 caves recensées par les services de renseignements, la plupart ont été remplacées par des salles de prières officielles, passées de 1 555 à 2 000 entre 2001 et 2006. Soit presque autant que le nombre de lieux de culte évangéliques, en pleine explosion avec 1 800 lieux recensés. Alors que 3 % des Français sont musulmans et 2 % protestants, il s'ouvre chaque année en moyenne 34 lieux évangéliques et 16 mosquées.

     

    http://www.lemonde.fr/archives/article/2008/01/31/une-laicite-de-chanoine-par-caroline-fourest_1005856_0.html


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    Dans son article "Laïcité" du Dictionnaire de pédagogie et d'instruction primaire (1880-1887), Ferdinand Buisson écrivait que l'essence de l'Etat laïque consistait en ce qu'il était "neutre entre tous les cultes, indépendant de tous les clergés, dégagé de toute conception théologique". De là procédait l'exigence de neutralité de l'enseignant laïque, lequel, dans l'exercice de ses fonctions, ne devait prendre parti, ajoutait Buisson, "ni pour ni contre aucun culte, aucune Eglise, aucune doctrine religieuse". Cette exigence ne s'imposait pas seulement à l'enseignant, mais à tous les représentants de l'Etat (et a fortiori au premier d'entre eux) dans la sphère publique.

    Le discours de Latran et le concept de "laïcité positive" avancé par Nicolas Sarkozy ne s'opposent-ils pas directement à cette exigence fondamentale de neutralité ? "Dégagé de toute conception théologique" ? Nicolas Sarkozy y célèbre la vertu théologale d'espérance en son acception religieuse, à laquelle il confère une plus grande valeur qu'aux espérances séculières, de même que la comparaison entre l'instituteur et le prêtre tourne à la faveur du second. "Neutre entre tous les cultes" ? En manifestant ostensiblement sa foi catholique dans un discours public, tout en saluant la récente loi (dite "loi sur le voile") interdisant les signes ostensibles à l'école publique, dont l'approbation aurait montré "l'attachement des Français à la laïcité", soit le président souffre d'un sérieux problème de logique, soit il suggère qu'une manifestation ostensible d'appartenance religieuse dans le cadre de fonctions publiques n'est pas incompatible avec la laïcité lorsqu'il s'agit du catholicisme (du président, du moins), tandis qu'elle est inacceptable pour l'islam (des lycéennes). On sait que Nicolas Sarkozy n'était guère favorable à cette loi.

     

    http://www.lemonde.fr/opinions/article/2008/01/28/l-abandon-de-la-neutralite-laique-par-jean-claude-monod_1004552_3232.html


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