• RANG N° 1  des préoccupations : CHOMAGE ET PLAN SOCIAUX !

    Le chômage et les plans sociaux est de loin le dossier que vont suivre de près les Français en cette rentrée (pour 67% d'entre eux) ; les vacances qui sont passées par là n'en ont pas fait oublier pour autant le contexte de crise économique et la remontée du chômage en juillet.

    Lire toute l'Analyse :

    http://www.tns-sofres.com/points-de-vue/CAA992C130F44387873DC83D0CDC555F.aspx

    [Merci à Nicolas ! Encore lui]


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    C'est bien connu !

    « Par définition, les sondages ne se trompent jamais »

    Laurence Parisot, présidente du MEDEF, directrice IFOP.

     Comme en 2002 ! Comme en 2005 !   Et  comme en 2007 ...


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    Le chômage, encore et toujours la première préoccupation des FrançaisEn tête des inquiétudes des Français (et cela depuis mars 2004), le chômage est cité par 73% des répondants. La polémique autour des chiffres du taux de chômage de l'INSEE ne semble pas avoir été réellement entendue par l'opinion (ou en tout cas avoir suscité beaucoup d'émoi), puisque la préoccupation pour ce thème n'est en hausse que de 2 points par rapport à février.

    L'avenir du système de protection sociale inquiète les FrançaisLe financement des retraites est un sujet de préoccupation pour 48% des Français (soit son niveau record) ; les plus inquiets sur cette thématique sont également les plus immédiatement concernés, à savoir les 50-64 ans (58% de citations) et les plus de 65 ans (61%). Le poids de ces catégories d'âge étant de plus en plus important dans la société (ils représentent plus du tiers de la population française), on comprend mieux pourquoi ce thème est la 2ème préoccupation des Français, malgré sa faible importance chez les plus jeunes, notamment les moins de 35 ans (un peu plus du tiers d'entre eux seulement le citent).

    Lire la suite : http://www.tns-sofres.com/etudes/pol/280307_preocconso_n.htm


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  • <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p> "Tous les indicateurs sont convergents, les Français souhaitent que la société française soit réformée. Ils nous répondent massivement oui : 9 % souhaitent une transformation radicale et 41 % en profondeur, soit un Français sur deux. Un tiers de plus - 34 % - nous disent qu'il faut faire bouger la société sur plusieurs aspects sans toucher à l'essentiel, 1 % seulement ne veulent rien changer et 13 % souhaitent un retour en arrière. Cette attente touche toutes les catégories, gauche et droite, cadres ou ouvriers, les jeunes et plus âgés, au moins jusqu'à 65 ans.Ce désir de changement répond à la perception inquiète ou négative de la situation présente. Les grands sujets de préoccupation sont connus : le chômage encore et toujours ; le financement du système de protection sociale (retraites et santé), qui n'a cessé depuis des années de miner les certitudes des Français. Viennent ensuite l'éducation, le pouvoir d'achat, l'insécurité, les déficits et les inégalités. Sur tous ces sujets, les choses vont d'autant moins bien aux yeux des Français qu'ils sont très sévères à l'égard des hommes politiques jugés (par 63 % des sondés) trop éloignés des vrais sujets de préoccupation des citoyens. Pendant longtemps, on a expliqué que le clivage central entre la gauche et la droite rendait les réformes difficiles. Or le paysage a beaucoup évolué. Sur bien des enjeux, sympathisants de gauche et de droite se rapprochent. Par exemple, le remboursement par les entreprises qui délocalisent des aides publiques dont elles ont bénéficié est approuvé par 87 % des sympathisants de gauche, mais aussi de droite. De même, 86 % à gauche approuvent l'augmentation du smic à 1 500 euros brut par mois d'ici cinq ans, mais 73 % à droite également. La suppression des droits de succession est soutenue à 87 % à droite, mais tout de même à 70 % à gauche. Le clivage droite-gauche n'a pas pour autant disparu. Ainsi, la suppression des allocations chômage pour les chômeurs qui refusent plus de deux emplois est massivement approuvée par les sympathisants de droite (71 %), contre 47 % - tout de même - chez les sympathisants de gauche. De même, la généralisation des 35 heures ou l'assouplissement du code du travail pour faciliter à la fois les licenciements et les embauches, ou encore la régularisation des sans-papiers divisent très fortement les Français en deux blocs. Au total, on constate davantage de consensus et de diagnostic partagé aujourd'hui. Cela devrait favoriser la possibilité de réformes mieux acceptées demain."

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    Des sondages qui sondent quoi ?

    <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p>

    Le sondage réalisé lundi au lendemain du discours prononcé à Villepinte est "nul et non avenu" !
    "Combien de Français ont vu le discours ? Combien ont eu le programme entre les mains ?"

    "En moins de 24 heures, vous voudriez que l'ensemble de <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName w:st="on" ProductID="la France">la France</st1:PersonName> soit au courant des propositions!"
    "Laissez infuser le discours de Ségolène Royal »

    "Quand les Français verront réellement les propositions et feront la comparaison avec le programme de Nicolas Sarkozy, je n'ai aucune crainte".

    <o:p> </o:p>

    Jean-Christophe Cambadélis


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  • DGA de TNS Sofres et codirecteur du département Stratégies d'opinion


    22 déc 2006 - Après le ralliement de Bruno Mégret à Jean-Marie Le Pen, Brice Teinturier fait le point sur les forces et faiblesses de Jean-Marie Le Pen dans l'opinion. A l'aune des résultats du dernier baromètre TNS Sofres sur l'image du FN, il affirme qu'il est fallacieux de prétendre qu'on assiste à une poussée des idées d'extrême droite dans la société française.

    <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p>

    http://2007.tns-sofres.com/interview.php?id=216


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  • L'autre grand enseignement de ce baromètre est le maintien de la cote d'avenir de Jean-Marie Le Pen à un niveau très élevé : 18 % des Français souhaitent aujourd'hui que Jean-Marie Le Pen joue un rôle important dans les mois et les années à venir ; ils n'étaient que 12 % il y a deux mois. La cote d'avenir de Jean-Marie Le Pen est particulièrement élevée parmi les commerçants et les artisans (32 %) mais également chez les ouvriers (26 %) ; de même, on constate qu'une fraction non négligeable de l'électorat UDF-UMP (10 %) souhaite aujourd'hui que Jean-Marie Le Pen joue un rôle important dans les mois et les années à venir.


    http://www.tns-sofres.com/etudes/pol/011206_barofig_n.htm


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    « Un sentiment d'inquiétude global en progression »

    Les préoccupations majeures des Français se renforcent nettement ce mois-ci, mais de manière inégale ; la hiérarchie du groupe de tête s'en trouve ainsi modifiée.
    Le chômage reste toujours la préoccupation principale des Français, et le léger mouvement d'amélioration perçu lors des deux dernières vagues est mis à mal ce mois-ci :


    http://www.tns-sofres.com/etudes/pol/291106_preocconso_r.htm


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  • Ségolène ROYAL perd 7 points au palmarès des personnalités établi pour le Figaro magazine.


     


    Le début de la fin !


     

    SONDAGE TNS-SOFRES d'Octobre.

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  • Les sondages d'intentions de vote peuvent-ils être prédictifs à huit mois d'une élection présidentielle ?


    Remarquons d'abord que c'est le seul type d'enquête dont on peut comparer le résultat avec la réalité. Ce n'est pas le cas de la popularité ou de l'image des candidats. La possibilité de vérifier complique le travail des sondeurs et les expose aux critiques. Cela dit, la réponse est non. A ce stade, il serait déraisonnable d'en faire un outil prédictif. Mais ce travail n'est pas vain pour autant. Il témoigne du climat de l'opinion, il éclaire l'état d'un rapport de forces entre la gauche et la droite. Ce climat est susceptible de varier beaucoup au cours d'un semestre. La décision électorale se construit de plus en plus lentement et nombreux sont les électeurs qui ne se déterminent que le jour du scrutin, éventuellement pour décider... de ne pas voter. L'exercice devient d'autant plus délicat que le comportement électoral est plus volatil, soit sous la forme d'un va-et-vient entre l'abstention et la participation, soit sous la forme du passage de la gauche à la droite et réciproquement, qui concerne environ 10 % des électeurs. Sociologiquement, ce dernier phénomène est marginal, mais il est crucial sur le plan électoral. A huit mois d'un scrutin, on ignore quelle importance auront ces déplacements, alors qu'ils sont de nature à contredire des résultats attendus.

    <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p>


    http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-3224,36-812998@51-810881,0.html

    <o:p> </o:p><o:p> </o:p>

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  • Dites à des responsables d'instituts de sondages que vous exhumez toutes les enquêtes d'intentions de vote réalisées à huit mois de l'élection présidentielle depuis 1981, la réaction ne tarde pas : " Ça ne va pas être triste !", s'exclame Brice Teinturier, directeur général adjoint de TNS-Sofres. Pierre Giacometti, directeur général d'Ipsos-France, saisit l'occasion pour vilipender l'utilisation des sondages faite par certains, à gauche, pour contrer la candidature de Ségolène Royal.<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p>

    http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0,36-812997,0.html


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  • Inquiétant et pas franchement séduisant, libéral et capable de restaurer l'autorité dans le pays : voilà l'image qu'ont les Français de Nicolas Sarkozy, selon un sondage TNS Sofres (*) pour Le Figaro Magazine. 55% des personnes interrogées ne sont pas rassurées par le ministre de l'Intérieur, contre 36% qui se disent rassurées. Le candidat à l'Elysée inquiète 72% des 18 - 24 ans.

    Enquête réalisée les 14 et 15 juin auprès d'un échantillon de 1.000 personnes, représentatif de la population âgée de 18 ans et plus, selon la méthode des quotas.

    http://tf1.lci.fr/infos/france/0,,3311341,00.html


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