• [Photo : Colline de la Pnyx, Athènes, vendredi 11 novembre 2011]

    [Cet "APPEL du Peuple de Paris" a été lancé à ATHENES, par Simone LE BARON**, le Vendredi 11 novembre 2011 sur la colline de la Pnyx (Voir photo), lieu symbolique où se réunissait l'écclésia, assemblée des citoyens. L'"APPEL du Peuple de Paris" sera de nouveau lancé à Athènes lors d'une assemblée d'intellectuels et de militants ce lundi soir 14 novembre - Politique-actu relayera tous les appels émanant de ces mouvements citoyens indépendants foncièrement attachés à nos valeurs "démocratie&indépendance".]

    ***

    En ce jour de 11 novembre 2011, où  vous - peuples d’Athènes – manifestez une fois de plus - nous voulons, nous - Peuples de Paris – vous adresser un immense geste de soutien et de fraternité !

    Oui ! En ce moment, Paris regarde Athènes !

    Paris regarde Athènes depuis des mois comme depuis des années.

    Depuis des années comme depuis des siècles, Paris regarde Athènes !

    Souvenons-nous de la grande révolution française : 1789 !

    Souvenons-nous de l’immense République puisant aux sources d’Athènes l’essence du renouveau et de la grandeur d’une démocratie à naître !

    Merci peuple d’Athènes !

    Merci de nous avoir instruits pour toujours à ce régime immense d’émancipation des hommes comme des peuples : la démocratie !

    LIRE LA SUITE :

    http://www.politique-actu.com/osons/appel-peuple-paris-peuple-athenes-jean-pujo/321577/


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  • Dans toute l'Union Européenne, quel est le taux de participation aux élections européennes ?

    En 1979, le taux de participation aux élections européennes était de 61,99 %.
    En 1984, le taux de participation aux élections européennes était de 58,98 %.
    En 1989, le taux de participation aux élections européennes était de 58,41 %.
    En 1994, le taux de participation aux élections européennes était de 56,67 %.
    En 1999, le taux de participation aux élections européennes était de 49,51 %.
    En 2004, le taux de participation aux élections européennes était de 45,47 %.
    En 2009, le taux de participation aux élections européennes était de 42,94 %.

    http://www.elections2009-results.eu/fr/turnout_fr.html

    Quand on regarde le graphique ci-dessus, on constate que plus on fait l'Union Européenne, plus les électeurs s'abstiennent.

    Le divorce entre l'Union Européenne et les électeurs est consommé.

    Cette Europe là est morte !

    Rebâtissons l'Europe des Nations !

     


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  • Election Européenne, le débat avec Msr Schivardi
    Vidéo envoyée par JRTVteleweb

    JRTV présente son émission A VOUS DE VOIR consacrée aux Européennes avec entre autre Msr SCHIVARDI, Henri TEMPLE, Jean Luc PUJO, Guilhem JOHANIN et Laurent VASSALLO.


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  • REFERENDUM 29 MAI 2005 : Jamais nous n'oublierons !

    Voir le blog du Groupe Europe MRC et toutes les archives !

    http://www.blogg.org/blog-14787.html

     


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  • Les Européennes sur JRTV.com en Languedoc

    Gérard SCHIVARDI candidat aux élections présidentielles de 2007, maire de MAILHAC

    Henri TEMPLE candidat aux élections Européennes pour le parti Debout la République

    Jean Luc PUJO, auteur républicain, membre du MRC de Jean Pierre Chevènement.

    Guilhem JOHANIN pour le Modem

    Laurent VASSALLO pour le parti Socialiste

    Diffusion du débat télévisé : Mercredi 27 mai 2009 -18H; Jeudi 28 mai 2009 - 20h00 et Vendredi 29 mai 2009 - 22h00

    Liens TV du WEB :

    http://www.vupourvous.info/

     


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  • Elections européennes : le MRC pour un vote blanc ou nul

    Communiqué de presse de Jean-Pierre Chevènement, président du Mouvement Républicain et Citoyen, jeudi 14 mai 2009. 

    Le Mouvement Républicain et Citoyen ne prend pas part à la campagne des élections européennes. Il préconise, le 7 juin prochain, un vote blanc ou nul à ces élections européennes.

    Pourquoi ?


    Cette élection à un Parlement-fantôme est un trompe l'œil. Dans cette enceinte où 770 soi-disant députés inconnus de leurs électeurs peuvent s'exprimer trois minutes chacun, en usant de l'une des vingt-deux langues officielles reconnues, aucune volonté générale ne peut bien évidemment s'exprimer.

    M. Sarkozy, à Nîmes, a parlé de politique de change volontariste, de protection communautaire et de politique industrielle commune, mais il sait très bien que le texte du traité de Lisbonne qu'il a fait adopter, l'en empêchera.

    La même schizophrénie - pour ne pas dire hypocrisie - frappe le Parti socialiste qui a approuvé lui aussi le traité de Lisbonne.

    D'ores et déjà MM. Brown et Zapatero ont fait savoir que les députés travaillistes anglais et ceux du PSOE espagnol soutiendraient le candidat libéral à la présidence de la Commission européenne, M. José Manuel Barroso.

    Cette élection est vide de contenu.

    http://www.chevenement.fr/Elections-europeennes-le-MRC-pour-un-vote-blanc-ou-nul_a798.html


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  • BILAN de la Présidence française de l’Union Européenne 2008

    Article publié dans LE SARKOPHAGE de Janvier 2009.

    Crise financière, baril de Brent à plus de 140 $, crise Géorgienne, alternance à la Maison Blanche… La présidence française de l’UE a traversé - il faut le reconnaître - un contexte international particulièrement agité, un de ces moments historiques particuliers qui révèle la véritable texture d’un dirigeant à ses gouvernés, autant son génie que sa médiocrité. Constat sans appel : Il n’y eut point de génie français.

    Illusions et impuissances ont ainsi caractérisé une présidence qui aura réussi - n’est-ce pas son seul mérite ? - à incarner la forme paroxystique de ce que sont devenus aujourd’hui et notre continent, et notre pays.

    Annoncée avec tambours et trompettes, la présidence française promettait grandeur et magnificence. Des objectifs déterminés comme essentiels, un gouvernement entier sur le pont et en ordre de bataille, des annonces internationales à grands renforts de déclarations tonitruantes…tout était ainsi réuni pour assister à du grand spectacle. Ce ne fut que reculades, esbroufes et, au final, déconsidération totale d’un pays, de sa diplomatie, de son art politique. La France réduite à n’être plus que l’ombre d’elle-même. Episode baroque s’il en est. Versailles livré à une fausse aristocratie, inculte, dépravée. Le Sarkozysme dans toute sa splendeur au monde révélé.

     

    http://www.penser-la-france.asso.fr/illusions_francaises2djlpujo.pdf


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    Crise financière, baril de Brent à plus de 140 $, crise Géorgienne, alternance à la Maison Blanche... La présidence française de l'UE a traversé - il faut le reconnaître - un contexte international particulièrement agité, un de ces moments historiques particuliers qui révèle la véritable texture d'un dirigeant à ses gouvernés, autant son génie que sa médiocrité. Constat sans appel : Il n'y eut point de génie français.

    Illusions et impuissances ont ainsi caractérisé une présidence qui aura réussi - n'est-ce pas son seul mérite ? - à incarner la forme paroxystique de ce que sont devenus aujourd'hui et notre continent, et notre pays.

    Annoncée avec tambours et trompettes, la présidence française promettait grandeur et magnificence. Des objectifs déterminés comme essentiels, un gouvernement entier sur le pont et en ordre de bataille, des annonces internationales à grands renforts de déclarations tonitruantes...tout était ainsi réuni pour assister à du grand spectacle. Ce ne fut que reculades, esbroufes et, au final, déconsidération totale d'un pays, de sa diplomatie, de son art politique. La France réduite à n'être plus que l'ombre d'elle-même. Episode baroque s'il en est. Versailles livré à une fausse aristocratie, inculte, dépravée. Le Sarkozysme dans toute sa splendeur au monde révélé.

     

    LIRE la suite : Dans le numéro en Kiosque !

     


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    « L'Italie en accusation après la publication des photos de deux fillettes roms mortes sur une plage de Naples »

     

    Les photos sont choquantes. Sur la plage, la vie continue comme si de rien n'était alors que deux corps gisent sur le sable. Ils ont été recouverts d'une serviette de bain. Près de Naples, samedi 19 juillet, deux fillettes roms viennent de se noyer. Elles s'appellent Violetta et Cristina, respectivement âgées de douze et onze ans. Elles étaient venues du campement voisin vendre leur pacotille sur la plage, comme chaque jour. L'indifférence saute aux yeux.

    Sur une des photos, derrière les corps, on voit, sur le fond, un couple assis au soleil. Un homme téléphone. Deux autres images montrent les cercueils transportés devant une rangée de transats avec des gens allongés face à la mer. Quelqu'un rentre, tranquille, de sa baignade.

    C'est cette indifférence que dénonce l'archevêque de Naples, Crescenzio Sepe, dans <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName ProductID="La Repubblica" w:st="on">La Repubblica</st1:PersonName>, qui a publié ces photos terribles, lundi 21 juillet. "Ces images, dit le prélat, font encore plus mal à Naples que celles de ces derniers mois de la crise des déchets."

    <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p>

    http://www.lemonde.fr/europe/article/2008/07/23/l-italie-en-accusation-apres-la-publication-des-photos-de-deux-fillettes-roms-mortes-sur-une-plage-de-naples_1076321_3214.html?xtor=RSS-3210

     

    <o:p><o:p></o:p>Une des photos publiées, lundi 21 juillet, par le quotidien italien "<st1:PersonName ProductID="La Repubblica" w:st="on">La Repubblica</st1:PersonName>" montrant l'indifférence des Italiens devant les corps sans vie, sur une plage de Naples, de deux fillettes roms mortes noyées.

    </o:p>

     

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    « La Pologne refuse de ratifier le traité de Lisbonne »

     

    Le président Lech Kaczynski estime que le non irlandais a rendu le traité «sans objet». Un sévère coup au premier jour de la présidence française de l'Union Européenne.

    Le président polonais Lech Kaczynski ne veut pas ratifier le traité européen de Lisbonne. Pour lui cette question est pour le moment « sans objet ». Et d'ajouter, dans une interview au quotidien Dziennik que « l'affirmation selon laquelle il n'y a pas d'Union s'il n'y a pas de traité n'est pas sérieuse ».

    Cette défection est un sérieux coup porté au premier jour de la présidence française de l'Union, alors que Nicolas Sarkozy a souligné que sa priorité était de « circonscrire le problème aux Irlandais » et de faire en sorte que les autres pays européens « continuent de ratifier ». Un objectif qui s'éloigne avec le refus polonais, qui s'ajoute au problème tchèque, où la ratification est loin d'être acquise, en raison de l'euroscepticisme d'une partie de la droite libérale au pouvoir à Prague, à commencer par le président Vaclav Klaus. Le président polonais a d'ailleurs mis en garde ses homologues européens contre une tentation d'isoler l'Irlande. «Si on brise la règle de l'unanimité une fois, elle n'existera plus jamais. Nous sommes trop faibles pour accepter ce genre de solution», a-t-il dit.

    Le parlement polonais a pourtant, dès avril, approuvé la ratification du traité destiné à réformer le fonctionnement des institutions européennes. Mais, selon <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName w:st="on" ProductID="la Constitution">la Constitution</st1:PersonName> polonaise, c'est le président qui ratifie en dernier ressort les traités. Aucune disposition ne l'oblige, même si le Parlement le lui a demandé.

    <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p>

    http://www.lefigaro.fr/international/2008/07/01/01003-20080701ARTFIG00223-la-pologne-refuse-de-ratifier-le-traite-de-lisbonne.php


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    Juridiquement, le traité de Lisbonne est mort avec le non irlandais : un traité n'a de valeur que s'il est adopté, dans les mêmes termes, par tous les pays qui l'ont signé. En France et aux Pays-Bas, les gouvernements avaient déjà contourné la volonté populaire en procédant, par un véritable déni de démocratie, à une ratification par voie parlementaire.

    Patatras ! Là où le vote par référendum était constitutionnellement nécessaire, en Irlande, le rejet populaire est net. On cherche à minorer le vote irlandais : ce ne serait que 4 millions d'habitants, M. Sarkozy a eu un mot malheureux en parlant «d'incident irlandais». Mais qui peut douter, qu'en France, comme aux Pays-Bas, le résultat aurait été le même si le peuple avait été consulté ? Et qui peut croire que, s'il l'était au Royaume-Uni, en République tchèque, voire en Allemagne, le résultat serait pareillement négatif ?

     

    http://www.chevenement.fr/Il-faut-construire-l-Europe-en-respectant-les-peuples_a625.html?preaction=nl&id=3345999&idnl=36118&

    <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p>

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    Jean-Pierre Chevènement, président du Mouvement républicain et citoyen (MRC), a estimé vendredi que le probable rejet du Traité de Lisbonne par les Irlandais, selon des projections de la télévision publique, était "un service rendu à l'Europe tout entière".

    "Le vote du peuple irlandais revêt une signification profonde : les peuples refusent de se laisser dissoudre dans une Europe à la fois technocratique et antisociale", a affirmé M. Chevènement dans une déclaration à l'AFP.

    Adversaire du traité, il a jugé que "le rejet de <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName ProductID="la Constitution" w:st="on">la Constitution</st1:PersonName> européenne bis est un service rendu à l'Europe tout entière". "C'est aussi un service rendu à <st1:PersonName ProductID="la France" w:st="on">la France</st1:PersonName>, dont le poids relatif était affaibli par le Traité de Lisbonne, en rupture avec la parité fondatrice avec l'Allemagne qui avait jusqu'ici permis le progrès équilibré de la construction européenne", a-t-il ajouté.

    Selon M. Chevènement, "c'est à partir de la volonté démocratiquement exprimée des nations qu'on doit pouvoir avancer vers une Europe à géométrie variable, fondée sur des coopérations renforcées". "Cela est particulièrement vrai pour le gouvernement économique de la zone euro, mais pourrait l'être aussi dans des domaines comme la politique étrangère et la défense", a précisé l'ancien ministre.


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