• <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p> 

    En 10 jours :


    —    elle recadre le premier secrétaire du PS sur la fiscalité,


    —    elle suspend son porte parole,


    —    ... et remet tout le monde au travail !!


    C'est clair ! Ségolène est un chef !


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  • <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p> 

    La couleur du Gaullisme, le goût de <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName w:st="on" ProductID="la France">la France ...</st1:PersonName> Mais ce n'est que <st1:PersonName w:st="on" ProductID="la Droite">la Droite</st1:PersonName> du CAC 40 et du Dow Jones réunies !

    <o:p> </o:p>

    ATTENTION au réveil, Braves gens !


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  • « Sans vouloir vous offusquer, Nicolas Sarkozy » par Pierre-Louis Basse

    <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p>

    Cher Nicolas Sarkozy, c'est un joli message que vous avez tenu à nous envoyer depuis la porte de Versailles. Je dis "nous" pour désigner ma famille, voyez-vous, une famille qui se situe plutôt à gauche, depuis plusieurs décennies. Il faut dire que la politique ne déteste pas ce genre de tournants. Je comprends cela. On s'échauffe un peu, on s'emballe, l'air du temps vous pousse à prendre quelques risques verbaux - aidés en cela par des intellectuels touchés eux aussi par votre charisme - et hop ! le temps d'un meeting, c'est toute l'histoire de notre pays que vous parvenez à ramasser dans votre manche. Bien joué président. Très fort.

    <o:p> </o:p>

    http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0,36-856902,0.html


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  •  

    Le candidat de l'UMP à la présidentielle Nicolas Sarkozy a "un impératif", "faire oublier qu'il est au pouvoir depuis cinq ans", a affirmé mercredi Henri Emmanuelli, député socialiste des Landes.
    Il a qualifié de "plaisanterie" l'attitude de Nicolas Sarkozy. "On a un ministre d'Etat, numéro 2 du gouvernement, président du parti majoritaire sans lequel le gouvernement ne peut pas exister, qui explique +je ne suis pas au gouvernement, je suis en rupture+", a dénoncé M. Emmanuelli.
    Selon le député socialiste, "Nicolas Sarkozy est le premier Français qui aura réussi à faire mentir Descartes, lequel expliquait qu'on ne peut pas être à la fenêtre et se regarder marcher dans la rue. M. Sarkozy, il y arrive".

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  • <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p> 

    Le Monde : Comment justifiez-vous votre ralliement à Ségolène Royal, partisane de <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName ProductID="la Constitution" w:st="on">la Constitution</st1:PersonName> européenne, alors que vous en étiez un de ses plus farouches détracteurs ?
    Jean-Pierre Chevènement : Vous oubliez un événement très important : le peuple français a rejeté le projet de Constitution européenne, le 29 mai 2005 et Ségolène Royal entend respecter le verdict populaire en dépassant, en dynamique, le clivage du oui et du non. L'accord politique passé entre le MRC et le PS est à cet égard pleinement satisfaisant. Il affirme la priorité d'un redressement économique et social de la construction européenne et il écarte l'idée d'une nouvelle Constitution. Ségolène Royal a dit clairement que <st1:PersonName ProductID="la Constitution" w:st="on">la Constitution</st1:PersonName> était caduque et qu'il fallait « faire l'Europe par la preuve ». Elle a souligné à Porto, devant les socialistes européens, la nécessité de réformer les statuts de <st1:PersonName ProductID="la BCE" w:st="on">la BCE</st1:PersonName> pour y inscrire le soutien à la croissance et à l'emploi.

    <o:p> </o:p>

    http://www.chevenement.fr/L-entretien-avec-Jean-Pierre-Chevenement-tel-que-vous-auriez-du-le-lire-dans-Le-Monde_a177.html?PHPSESSID=6ef953a56289839f5e4ff05798742653


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  • <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p> 

    Jean-Pierre Chevènement, président d'honneur du Mouvement républicain et citoyen (MRC), a estimé mardi à Lyon que l'image de <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName w:st="on" ProductID="la France">la France</st1:PersonName> serait "considérablement bonifiée" par une victoire de Ségolène Royal à l'élection présidentielle. Chevènement, qui avait retiré sa candidature à la présidentielle début décembre en sa faveur, a assuré lui "faire confiance pour porter une idée généreuse de <st1:PersonName w:st="on" ProductID="la France">la France</st1:PersonName> (...) et des valeurs qui peuvent être partagées par les Français".


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  • <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p> 

    L'art de l'image ne lui est pas étranger. Ségolène Royal y excelle même. Tout naturellement, l'histoire de sa victoire sur le PS pourrait donc commencer par une photo. Elle date du lendemain des élections régionales, en mars 2004. Tous les présidents de gauche qui viennent d'être élus (20 Régions métropolitaines sur 22 sont tombées dans l'escarcelle de la gauche) posent ensemble. Les socialistes sont fiers et un peu surpris par leur résultat historique. Ségolène Royal se tient parmi une tribu d'hommes en costume sombre. Elle est vêtue de blanc. On ne voit qu'elle. Tout est déjà là.


    Quelques mois auparavant, Ségolène Royal n'était encore qu'un éléphanteau du PS parmi d'autres, populaire certes, mais atypique et peu considérée par les ténors de son propre camp. La presse ne l'avait pas encore transformée en « gazelle ». Tête de liste pour les élections régionales en Poitou-Charentes, le pari peut paraître osé a priori, mais elle aime « les coups » : cette région symbolique est le fief du premier ministre en exercice, Jean-Pierre Raffarin. En réalité, le rapport de force droite-gauche dans la région rend l'objectif à sa portée.


    http://www.lefigaro.fr/election-presidentielle-2007/20070116.WWW000000455_segolene_royal_des_regionales_a_la_victoire_sur_le_ps.html


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    « La parole est une promesse insensée... »



    Lire le discours d'anthologie : « Le tout dans le rien et vice-versa »



    http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-823448,36-855369@51-823374,0.html


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  • <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p> 

    Je me souviens d'une période où Léon Blum, revenu de déportation, disait que le socialisme, c'est-à-dire l'éradication des inégalités sociales, pouvait se réaliser pour l'essentiel par deux voies : l'Ecole et la réforme de l'héritage. Il est frappant de voir que M. Sarkozy, dans son programme, ne dit à peu près rien de l'Ecole et qu'il prévoit l'exonération des droits de succession.

    M. Sarkozy peut bien citer Léon Blum. « Le ventre et l'esprit, disait Barrès, se nourrissent à des sources différentes ».


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  • <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p> 

    Le candidat gaulliste à l'élection présidentielle Nicolas Dupont-Aignan, qui se présente en dehors de l'UMP, annonce son départ du parti présidé par Nicolas Sarkozy.


    Nicolas Dupont-Aignan avait indiqué vendredi que le ministre de l'Intérieur lui avait refusé le droit de s'exprimer lors du congrès de l'UMP dimanche qui doit désigner son candidat à la présidentielle


    "J'avais envie de leur dire que j'allais mettre cette candidature en cohérence avec mon appartenance politique et que j'allais quitter l'UMP, a déclaré le député sur TF1.


    "A partir du moment où je suis en désaccord avec le fond, à partir du moment où on ne peut plus s'exprimer, il faut avoir l'honnêteté vis à vis des Français d'être cohérent, de dire les choses jusqu'au bout et d'offrir un vrai choix à nos compatriotes," a-t-il ajouté.


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  • <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p> 

    « Humour et politique » par Macha Séry

    <o:p> </o:p>

    Le Nouvel Observateur affichait en "une", début octobre 2006, le comédien et humoriste Jamel Debbouze souriant sur un fond tricolore bleu-blanc-rouge. Une couverture barrée du slogan quasi présidentiel "Pourquoi j'aime <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName ProductID="la France" w:st="on">la France</st1:PersonName>", concomitante avec la sortie en salles du film Indigènes, à travers lequel l'acteur et ses partenaires (Prix collectif d'interprétation masculine au Festival de Cannes 2006) ont mené bataille pour la revalorisation des pensions des soldats des anciennes colonies françaises ayant combattu pendant la seconde guerre mondiale. Connu pour ses positions hostiles à Nicolas Sarkozy et sa dénonciation de la culture médiatique de la peur, Jamel Debbouze affiche un soutien discret à Ségolène Royal. A l'inverse, Jean-Marie Bigard ne cache pas sa concordance de vues avec celui qui va être investi candidat de l'UMP à l'élection présidentielle.


    Dans ses sketchs, l'imitateur Laurent Gerra se moque allégrement et sans nuances des fonctionnaires, des profs, du droit de grève et des régimes spéciaux de retraite. Après s'être présenté, aux élections municipales de 1989, contre la liste du Front national à Dreux, l'humoriste Dieudonné n'exclut pas de voter pour Jean-Marie Le Pen, qui fut, comme lui, condamné pour "incitation à la haine raciale". Et l'homme ne fait décidément plus du tout rire.

    <o:p> </o:p>

    http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0,36-855044,0.html


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