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    Un troisième tour pour Jacques Chirac ? Pourquoi pas ? "On n'est pas dans l'après. Il y a trop de gens qui croient qu'on est déjà dans l'après." Elle explique que pour elle "la messe n'est pas dite" : "Vous savez, on peut avoir des surprises. La situation du monde est complexe. Et parfois, cela bouscule tout..."  Elle ajoute : "Mon mari est très populaire. En province, je le vois bien." "Vous avez vu comme il est en forme ? Mon mari n'est pas gâteux ! Quand je lis ce que je lis parfois, c'est honteux." Mais il est encore trop tôt pour dire quand il se prononcera : "Il est trop tôt pour le dire. Nous ne sommes qu'en novembre. On verra les choses plus nettement au premier trimestre. Quelle que soit sa décision, elle sera importantissime, mais ce sera la sienne. C'est une chose qu'il ne partage pas avec moi. C'est le choix d'un homme, pas d'un couple.


    Les Femmes ? : « N'avais-je pas raison ? Ça pousse. Regardez. Angela Merkel, Tarja Halonen [présidente de la Finlande], Hillary Clinton, si remarquablement intelligente (...) et Ségolène Royal." Pour la première dame de France, c'est "la première à avoir levé le drapeau". "Elle a un look, elle est très photogénique, il faut le reconnaître. Vous savez, le fait d'être une femme ne suffit pas pour s'imposer mais c'est important, cela joue dans le subconscient de toutes les autres."


    http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-823448,36-834561@51-823374,0.html


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    (...) Ce qui est nouveau, c'est que nous allons vers une rupture du système. Il y a l'exaspération des classes moyennes, et de vrais désarrois, de vraies paniques dans les milieux supérieurs, du fait de l'émergence de la Chine, puis de l'Inde.


    Pourquoi les élites seraient-elles à ce point aveuglées ? Marx parle de la fausse conscience. Des classes dirigeantes qui se refusent à voir parce qu'elles sont placées à un certain endroit privilégié dans la structure économique. (...) La vérité, c'est que l'on comprend beaucoup plus vite quand on souffre. (...) Mais ce qui est intéressant, c'est que le rejet remonte dans la structure sociale. Et que l'on répond aujourd'hui à la colère des classes moyennes par des candidats absurdes.



    Qui est aujourd'hui un candidat absurde ? Pour moi, Ségolène Royal peut faire perdre la gauche. Parce qu'elle a un discours très à droite. (...) Or beaucoup d'électeurs se sont décrochés des idéologies traditionnelles. Les ouvriers sont allés au Front national, dans la foulée de l'effondrement du Parti communiste, de l'encadrement catholique. Les deux grands partis qui semblaient avoir survécu étaient le parti gaulliste - sentiment national, tempérament égalitaire hérité de la Révolution française - et puis la tradition socialiste. Nicolas Sarkozy est décroché de la tradition de droite française. Il n'est pas gaulliste. (...) Si vous prenez Ségolène Royal, c'est la symétrie. Prenez les jurys populaires. Elle se libère du logiciel républicain. Elle n'est plus socialiste, et l'on se demande par moments si elle est de gauche. Cela accentue le flottement d'une partie énorme du corps électoral.

    http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0,36-834319,0.html

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  • Mesdames, Messieurs les candidats à la Présidence de la République,

    Au moment où elle s'apprête à faire un choix politique majeur en désignant un nouveau président de la République, la France a rendez-vous avec son avenir.

    L'humanité est aujourd'hui menacée par une crise écologique et énergétique sans précédent qui amplifie et accélère toutes les tensions entre les hommes sur la planète. Comment l'éviter ? Nous n'avons pas d'autre alternative que d'engager une profonde mutation économique, sociale et culturelle de nos sociétés, qui s'appuie sur une mobilisation collective. Je propose qu'elle s'organise autour d'un « Pacte écologique ». Un nouveau contrat pour une nouvelle donne.

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    Lire la suite et connaître le site : http://www.fondation-nicolas-hulot.org/

    <o:p> </o:p>

    [Merci à antoine]


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    Lundi 13 novembre, le SNES-FSU faisait état de "la colère" suscitée par les propos de Mme Royal chez les enseignants, dont "beaucoup se sentent méprisés et atteints dans leur honneur professionnel et font référence à Claude Allègre", assure le syndicat qui l'"invite" à "renoncer clairement" à sa proposition.<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p> 

    Le monde-15 novembre.


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    Jean-Pierre Chevènement, candidat à l'élection présidentielle, exposait ce matin son programme intitulé « pour faire rebondir la France », au théâtre Dejazet, à Paris, place de...la République. Devant la presse, il a proposé vingt chantiers et trois priorités : réorienter la construction européenne, faire rebondir la France et remettre en marche le modèle républicain. Marianne2007.info l'a interrogé dans sa loge, juste après son discours-programme de plus d'une heure.

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    Voir l'interview de MARIANNE 2007 :


    http://www.marianne2007.info/Jean-Pierre-Chevenement-Les-medias-sont-a-l-unisson-de-la-bien-pensance-dont-le-PS-est-l-une-des-formes-video_a239.html

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    « Lettre de Laurent Fabius aux militantes et aux militants socialistes » 13 novembre 2006

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    Lire la lettre : http://www.laurent-fabius.net/article785.html


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  • Chevènement présente son programme Vidéo envoyée par chevenement2007


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  • Segogo l'Europe et les cantines
    Vidéo envoyée par jules-ferry-2

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    « Si, à la faveur de cette dérive médiatique, elle vient à gagner en novembre, le parti socialiste risque d'entrer dans une phase noire de son histoire, une période glaciaire, telle qu'il en a connu en 1920 et 1940 ! »


    LOUIS MEXANDEAU, historien, ancien ministre de François Mitterrand.


    Lire l'article complet Le figaro Magazine du 28octobre 2006 (N°19358)


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    L'émission de Franz-Olivier Giesbert


    Revoir la vidéo de l'émission :

    http://www.france5.fr/chez-fog/chezfog_article.php3?id_article=314

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  • - de la candidature de Jean-Pierre Chevènement -



    La candidature annoncée de Jean-Pierre Chevènement à la Présidence de la République est un évènement pour tous les républicains.
    Elle est une espérance pour toutes les femmes et tous les hommes attachés aux valeurs de progrès et de justice sociale. Elle est un signe fort pour ceux qui entendent porter haut et fort les couleurs de la France.


    Cette candidature - tout naturellement - secoue la gauche et réveille un pays encore endormi dans une pré-campagne aussi banale qu'inintéressante.
    Les réveils sont parfois douloureux et la surprise gênée puis courroucée de certains lève-tard ne doit pas nous surprendre.
    Je dois cependant confesser mon étonnement devant le ballet indigné de certains d'entre eux tant les élans morfondus me peinent par leur médiocrité ou leur nullité.


    Attaquer Chevènement, soit ! L'insulter, le pendre haut et court, pourquoi ? Pourquoi pas ? Vous pouvez toujours tenter...
    Mais Diable ! Mettez du cœur à l'ouvrage, du talent, de la grâce.
    Il s'agit de Chevènement, tout de même. Le Monsieur a de l'esprit, du verbe, de la classe...


    Dans le ballet ridicule des Cressons, Cohn-Bendit, Dhombres, tout se côtoie : l'insipide et le vulgaire, l'analphabète et le stupide.                                     
    L'exercice est délicat - je le concède - l'objet vole haut ? Soit !
    Faites-vous aider ! Consultez, lisez, ouvragez l'édifice...
    J'ai là quelques idées qui me viennent tout à trac.
    Chevènement ? "Vrai français" Ah ! L'insulte.
    Chevènement ? "Homme de gauche" ! Ah ! L'abjection.
    Chevènement ? "Gaulliste et Jaurésien" ! Ah ! L'involuté !


    Peut-être pourriez-vous tenter le sectarisme territorial ?


    Chevènement ? "Homme de Belfort" ! Bah ! Il y fait froid !
    Chevènement ? "Franc-Comtois" ! C'est pire !
    Ou alors l'insulte suprême pour le Languedocien que je suis :
    Chevènement ? "Nordiste, va !


    Mais voilà, de vos travaux sur l'ouvrage, je n'ai vu qu'insignifiance et petitesse.
    Pour l'une, "candidature de trop" ; pour l'autre "pas de solution neuve".
    Ici, "ridicule"; là, "grand guignol".
    Pas de talent, donc. Pas de surprise non plus.
    Dans le grand orchestre des banalités infiniment ressassées et dont se repaissent les médias intellectuellement corrompus, pas même les critiques n'ont de talent.
    Triste époque où des journaleux - pamphlétaires auto désignés - se livrent à un exercice difficile sans en avoir même la colonne.
    Parmi ces postillons, il en est un qui porte bien son nom.
    M. Dhombres - qu'on se le dise - vous n'y pourrez rien changer...


                                                   ***


    Chevènement ! "Le vent se lève"... Merci !
    Nous sommes des millions de français à espérer.
    Nous sommes des millions pour qui - dorénavant - savoir voter !


    Jean-Luc Pujo
    Président des Clubs « Penser la France »
    Membre du MRC


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