• Le baromètre du moral des cadres continue sa baisse ce mois-ci. Il révèle aussi la désillusion des sondés quant au scrutin présidentiel.


     


    QUITTANT les cimes atteintes en septembre, le moral des cadres pique du nez pour le deuxième mois consécutif. À - 10 points, le baromètre établi par l'institut de sondages LH2 pour HEC, Le Figaro et France Inter, rejoint ainsi quasiment le niveau atteint en janvier dernier (- 9). À l'exception, curieuse, du chômage, tous les indices sont orientés à la baisse. « Derrière cette chute, il y a un effet de conjoncture incontournable : le ralentissement de la croissance, nulle au troisième trimestre », souligne François Miquet-Marty, directeur des études politiques de LH2.  À en croire le sondeur cette seule explication ne suffit pas.

    La perception du niveau de vie chute en effet très sensiblement, perdant 7 points en un mois. François Miquet-Marty y voit une préoccupation croissante des cadres les plus modestes qui rejoignent l'inquiétude de beaucoup de Français sur leur pouvoir d'achat. Même tendance du côté des finances personnelles. La chute, cette fois, s'expliquerait plus par les soucis des cadres seniors préoccupés par la retraite qu'ils toucheront. Le simple repli conjoncturel s'accompagne donc de phénomènes plus profonds. Rien de bien inquiétant pour autant : « Le contexte n'est pas fondamentalement mauvais, rappelle le sondeur, les chiffres de ce troisième trimestre peuvent très bien n'être qu'un accident de parcours. » La question d'actualité de ce sondage, consacrée à l'élection présidentielle, permet d'abord de constater à quel point les cadres se préoccupent des propositions économiques des candidats. <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p>

    http://www.lefigaro.fr/emploiactu/20061204.WWW000000389_les_cadres_nattendent_rien_de_la_presidentielle.html


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  • <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p> 

    "Je crois qu'on cherche un candidat antilibéral... Mais le candidat antilibéral, c'est moi ! "

    <o:p> </o:p>

    Jean-Pierre CHEVENEMENT ovationné par plus d'un millier de militants, salle JAPY.


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  • Meeting de lancement de campagne à Paris



    Mardi 28 novembre à 19h30

    Gymnase Japy, <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p>2 rue de Japy, 75011 Paris.
    Métros : Voltaire, Charonne (ligne 9)

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  • Alors que Lionel Jospin, dont il est un proche, a indiqué mercredi que son soutien à Ségolène Royal "allait de soi", Claude Allègre a expliqué sur i-TELE qu'il n'était "pas forcément toujours en accord" avec l'ancien Premier ministre.
    "Aujourd'hui, je pense que Jean-Pierre Chevènement porte davantage les valeurs de la gauche que Ségolène Royal", a-t-il dit, tout en précisant qu'il n'avait pas arrêté son vote.
    Selon l'ancien ministre, le vote des militants socialistes a été "biaisé" et "pas honnête".
    Claude Allègre a jugé que Lionel Jospin "aurait rendu un grand service à la France s'il s'était présenté un peu plus tôt".


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  • Chevènement chez Mazerolle sur BFM TV
    Vidéo envoyée par chevenement2007

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  • Chevènement chez Fogiel
    Vidéo envoyée par chevenement2007

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    Réunis mardi soir dans une salle de l'Assemblée nationale, les Jospinistes se sont inquiétés de la perspective d'une campagne "multi-régionale" de Ségolène Royal, candidate du PS à la présidentielle, selon un participant.


    "Ce qui a le plus inquiété c'est la dimension régionale, voire multi-régionale, de la campagne de Ségolène Royal, car une campagne présidentielle ne peut pas être une adjonction de campagnes régionales" précise un militant.

    Aux yeux des amis de l'ancien Premier ministre, une campagne présidentielle comporte à la fois des enjeux nationaux et internationaux, et "la France n'est pas un état fédéral".
    Selon lui, la régionalisation pourrait réduire "l'unicité de la campagne" avec une multiplicité de campagnes aux accents variant selon les régions et un risque de balkanisation du parti et de son expression.

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  • Ségolène et Nicolas triomphent actuellement dans les Médias et leurs militants le leur rendent bien. L'un comme l'autre illustrent le nouveau tournant que la vie politique française est en train de vivre. L'image détrône l'écrit, qui a lui-même détrôné le verbe, pour reprendre la célèbre grille d'analyse de Régis Debray des trois moments successifs de notre histoire : vidéosphère, graphosphère et logosphère.
    Cette rupture est un évènement majeur.
    Ségolène a joué le style et l'image. Nicolas a vendu son action par épisodes médiatiques successifs.
    L'image politique démontre l'action politique et s'impose à la pensée.
    Dans ce processus dynamique, la France est en train de perdre une partie de sa tradition politique faites de débats et de confrontations d'idées.
    Ce processus est-il arrivé à son terme ? Bien sûr que non !
    L'élection de 2007 sera-t-il le point de bascule de ce bouleversement annoncé ? C'est possible, mais rien n'est sûr !
    Ce bouleversement nous est en effet imposé intellectuellement par les vaillants soldats et officiers supérieurs de la vidéopshère - sondeurs, analystes et journalistes de l'image - trop avides d'asseoir ainsi leur domination définitive et sacrée.
    Mais que représentent Ségolène et Nicolas - et leurs partis respectifs - en terme électoral ? Moins de 25% du corps électoral.
    Certains candidats issus de la graphosphère ou de sa tradition ont - d'ores et déjà - été écartés : Laurent Fabius en est un exemple parfait.
    Mais d'autres sont encore présents : Bayrou, Chevènement et... le probable Chirac.
    Dans ce processus, où en est véritablement la France ?
    Va-t-elle obéir à ce besoin irrépressible d'image, de style ou va-t-elle réaffirmer sa passion toujours intacte pour le débat et la confrontation d'idées ?
    La tentative d'OPA de 2005 - sur le référendum - a opposé les deux mêmes pratiques, avec le résultat que l'on sait...
    La vidéosphère cherche-t-elle sa revanche ? C'est probable !
    Dans ce processus, les corps souffrent, et tout naturellement le dernier homme de la logosphère - le tribun Le Pen - peut encore tirer son épingle du jeu.
    Il est à prévoir - enfin - qu'au cours de cet affrontement, surgira un seul élu dans chaque camp : quel sera celui de la graphosphère ?
    Sûr de lui, le tribun reste à l'affût, certains que son triomphe se limitera à un possible second tour, mais jamais plus.
    Drôle de campagne - aux enjeux multiples - que cette campagne de la présidentielle 2007.

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  • Segolene - Discours candidate
    Vidéo envoyée par da93

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    Première sortie « sur le terrain » après ma déclaration de campagne hier soir, à 16H00, à la « portière » de l'usine de Mandeure (Doubs) de Peugeot Motocycles (PMTC). L'entreprise a décidé de délocaliser en Chine, par un accord avec l'entreprise chinoise Jinan Quingqi, la production des petits scooters de 50 cm3 qui constituent l'essentiel de son activité, en continuant à produire sur le site de Mandeure des scooters à plus forte cylindrée (125 cm3, voire 250 cm3) comme le Satelis, le Geopolis, etc.

    <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p>http://www.chevenement2007.fr/index.php?action=article&numero=89&preaction=nl&id=3345999&idnl=16261&

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  • 14 novembre : J'ai souvent observé que les gens se rappellent plus souvent ce qu'ils ont dit que ce qu'on leur a dit. C'est dans la nature humaine.

    La presse du 14 novembre revient sur un éventuel « retrait » que je n'ai même pas évoqué « au cas où Le Pen, etc. ».

    Le Pen dont l'apparition aux élections municipales de Dreux coïncide - avec six mois de retard - avec la « parenthèse libérale » de mars 1983, apparition confirmée aux Européennes de juin 1984 et depuis enracinée dans le paysage politique, est un formidable outil de manipulation pour maintenir le cap de la politique de résignation devant l'installation du capital financier mondialisé, celle-là même qui l'a fait naître. Le Pen est le bâtard de l'Establishment. Celui-ci, qui l'a créé, se sert de ce spectre pour resserrer autour de lui la solidarité des enfants soi-disant légitimes qui croient naïvement que le capital financier mondialisé leur laissera encore quelque chose en héritage. L'Establishment et Le Pen fonctionnent en étroite symbiose. L'un l'a produit. L'autre le sert, en contribuant à maintenir le statu-quo.
    <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p>

    http://www.chevenement2007.fr/Le-Pen,-batard-de-l-Establishment_a86.html


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  • Laurent Fabius répond à David Pujadas
    Vidéo envoyée par jlpujo

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