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    « Une conversion miraculeuse au génie de la France » - rédigé par le Philosophe Manuel de Diéguez, un de nos grands Maîtres.

     

    Françaises, Français, mes chers compatriotes,

    L'Irlande a rejeté le traité de Lisbonne, le Président de la Pologne s'est fait tirer l'oreille pour signer le décret de légitimation du vote du Parlement qui l'avait largement approuvé et demain, la République tchèque refusera à son tour de l'entériner, parce qu'elle s'imagine encore bien à tort, que son adoption mettrait en danger l'asservissement politique et militaire de l'Europe au sceptre de l'étranger. L'heure est donc venue pour la France entière, mais aussi pour moi- même, d'ouvrir les yeux sur l'histoire véritable des peuples du Vieux Monde, l'heure est donc venue pour notre Continent d'écouter la voix des nations dont les millénaires ont forgé l'âme et la raison, l'heure est donc venue pour nous tous de prêter une oreille attentive aux leçons de ce fleuron des civilisations qu'on appelait l'Europe. Qu'enseigne le vote irlandais à tous les chefs d'Etat de nos démocraties ? Qu'il n'y a pas, qu'il n'a jamais existé et qu'il n'existera jamais d'autorité politique respectée sous la livrée d'un souverain venu d'ailleurs, qu'il n'y a pas , qu'il n'a jamais existé et qu'il n'existera jamais de pouvoir acceptable quand les citoyens se trouvent placés sous la férule de dirigeants sur la tête desquels étincelle le glaive de l'occupant.

    Si les peuples écoutaient le tic tac d'une pendule, si le cadran des siècles indiquait les heures de servitude et de liberté des esprits et des cœurs , si l'intelligence des chefs d'Etat était appelée à s'illuminer sur les chemins de Damas où l'expérience de l'histoire les éclairerait sur la nature de leur vocation et de leur mission, alors je reconnais que j'étais demeuré un aveugle sur la scène internationale et que mon cerveau s'est embrasé du feu subit d'une conversion. Mais votre Président ne saurait, tel Saint Paul, demeurer frappé de cécité trois jours durant : au contraire, son devoir est de se réveiller et de mettre sans tarder ses yeux nouveaux au service de la France.

    http://pagesperso-orange.fr/aline.dedieguez/tstmagic/1024/tstmagic/defis_europe/conversion.htm


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  • Plus riche noeud de civilisations, la Méditerranée reste le noeud géostratégique le plus complexe au monde.

    Véritable Meta-civilisation, la Méditerranée a été une « fabrique de civilisations » (J.Berque) aussi riches que différentes : égyptienne, grecque, romaine, juive, chrétienne, arabo musulmane. Pourtant, la Méditerranée a-t-elle jamais vraiment vécu unie ?

    Après la Mare Nostrum garantie par la Pax Romana, la Méditerranée est restée tous ces siècles durant le centre du Monde - de notre Monde - avant de s'imposer, avec plus ou moins de bonheur, aux autres civilisations.

    Espace d'affrontements stratégiques, ligne de fractures tragiques entre plusieurs mondes, la Méditerranée est devenue en quelques décennies - si peu au regard de l'Histoire - la périphérie du monde en mouvement. La voilà recluse au marche de l'histoire depuis que le centre de gravité du monde a glissé désormais en Asie, autour de l'axe Téhéran-Pékin-Tokyo, et son centre de gravité : le couple sino-indien (JFDaguzan).

    Face à cette « dérive des continents économiques » (Régnault) au service d'une stratégie américano-asiatique, l'Europe exclue aurait dû puiser dans la Méditerranée, le théâtre d'une puissance à recouvrer. Que ne l'a-t-elle fait ?

    C'est dans ce contexte mondial que survint le fameux 11 septembre.

    Berceau de la nouvelle menace globale, la Méditerranée est ainsi redevenue « la matrice d'un nouveau défis à relever pour les américains » (Gérard Claude). En remettant fondamentalement en cause le processus de désengagement, le 11 septembre a renvoyé les américains aux problèmes moyen-orientaux. La Méditerranée est ainsi entrée stratégiquement dans le « premier cercle ».

    Aujourd'hui, il est ainsi possible d'affirmer : « la Méditerranée est de retour » !

    Lire la suite : http://www.penser-la-france.asso.fr/unionmediterra..pdf


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    « Une Marocaine en burqa se voit refuser la nationalité française »

     

    La burqa est-elle incompatible avec la nationalité française ? Une Marocaine de 32 ans, mariée à un Français et mère de trois enfants nés en France, vient de se voir refuser la nationalité au motif qu'elle "a adopté, au nom d'une pratique radicale de sa religion, un comportement en société incompatible avec les valeurs essentielles de la communauté française, et notamment le principe d'égalité des sexes".

    Pour la première fois en France, le Conseil d'Etat, dans un arrêt du 27 juin, a pris en compte le niveau de pratique religieuse pour se prononcer sur la capacité d'assimilation d'une personne étrangère. Jusqu'à présent, dans la communauté musulmane, seules des personnes jugées proches de mouvements fondamentalistes ou ayant publiquement tenu des propos relevant de l'islam radical se sont vu refuser la nationalité française. Et aucune n'est allée au bout de la procédure.

    Dans le cas de Faiza M., ce sont sa tenue vestimentaire et sa vie privée qui sont mises en avant pour confirmer le refus de la nationalité française. Invoquant le principe de liberté religieuse garanti par <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName w:st="on" ProductID="la Constitution">la Constitution</st1:PersonName> et le fait qu'elle n'a, depuis son arrivée en France en 2000, "jamais cherché à remettre en cause les valeurs fondamentales de <st1:PersonName w:st="on" ProductID="la République">la République</st1:PersonName>", Mme M. avait demandé au Conseil d'Etat d'annuler le décret de 2005 refusant sa demande pour "défaut d'assimilation".

     

    http://www.lemonde.fr/societe/article/2008/07/11/une-marocaine-en-burqa-se-voit-refuser-la-nationalite-francaise_1072401_3224.html


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    CITE DU VATICAN, 10 juil 2008 (AFP) - Le Vatican attend moins de rigidité dans la laïcité française (cardinal)

    Le Vatican attend un infléchissement dans la "rigidité" de la laïcité à la française, a déclaré jeudi le cardinal Tarcisio Bertone, secrétaire d'Etat du Vatican et bras-droit du pape, à deux mois du voyage de Benoît XVI en France.

    Le prélat, dans un discours sur la laïcité italienne publié dans l'Osservatore Romano, a évoqué la situation française où "certains éléments font espérer une évolution de cette laïcité rigide qui fit de <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName w:st="on" ProductID="la France">la France</st1:PersonName> de la 3e République un modèle de comportements antireligieux".

    Le cardinal Bertone avait relevé auparavant que les discours prononcés par le président français Nicolas Sarkozy sur la laïcité à Rome le 20 décembre 2007 et à Riyad le 14 janvier "ont suscité stupeur et indignation en France".

    Le secrétaire d'Etat du Vatican participait à une table-ronde à Rome sur le 60e anniversaire de <st1:PersonName w:st="on" ProductID="la Constitution">la Constitution</st1:PersonName> italienne et sur le concordat qui régit les relations entre l'Italie et le Saint-Siège.

    Il a qualifié la situation italienne de "vraie laïcité" formant le cadre d'une "collaboration fructueuse" entre l'Eglise et à l'Etat avec "un objectif commun: la promotion du bien authentique de l'Italie".

    http://www.la-croix.com/afp.static/pages/080710162216.n2v1y4i3.htm


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  • Ce jour-là, rapporte Le Figaro, le président se présente à la salle à manger de l'Elysée, avec un dossier au titre explicite : "Leaders d'opinion". Il a rendez-vous avec un groupe de personnes qu'on ne qualifie plus désormais d'intellectuels dans les antichambres du pouvoir, mais, avec franchise et de manière décomplexée, de leaders d'opinion, des êtres qui font profession non plus de penser mais d'influencer, non plus de critiquer le pouvoir mais d'en flatter les attributs. Pourquoi pas ? Que Nicolas Sarkozy emploie des intellectuels pour relayer son discours devenu inaudible, c'est de bonne guerre. Qu'il les rebaptise leaders d'opinion, cela a le mérite de la clarté. Qu'il s'entoure d'une cour pour dispenser ses oracles comme le trop fameux : "On ne va pas à <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName w:st="on" ProductID="la Comédie-Française">la Comédie-Française</st1:PersonName> pour s'emmerder" n'est pas un crime. Là n'est pas l'essentiel. Selon Le Figaro, Luc Ferry, l'un des convives, lui expliqua qu'il fallait compenser la dureté des réformes en proposant aux Français "l'embellissement de la vie". Rien de moins ? Malraux s'était contenté de ravaler les façades haussmanniennes. Paris y gagna en luminosité. Mais l'embellissement de la vie, c'est un programme digne des Lumières. Une nouvelle Renaissance, comme dirait Henri Guaino. Pourtant, rapporte l'un des convives, qui avoue n'avoir pas compris où Luc Ferry voulait en venir, "Ferry s'est fait ramasser sèchement". Il est vrai que l'humeur présidentielle est plutôt belliqueuse depuis quelques semaines, son caractère le porte moins à l'embellissement de la vie qu'au corps-à-corps avec les Français, qu'ils soient pêcheurs, chercheurs, militaires ou salariés de France Télévisions. L'insulte, par les temps qui courent, ne s'embarrasse pas de nuances. Souvenez-vous : Jérôme Kerviel, qualifié de "terroriste" par le PDG de <st1:PersonName w:st="on" ProductID="la Société">la Société</st1:PersonName> générale. Ce n'est pas Nicolas Sarkozy qui commettrait une telle outrance. Quand il veut blesser les journalistes, il les gratifie, avec un haussement d'épaules presque timide, du sobriquet de "manifestants", ce qui n'en est pas moins grave, presque un délit, à ses yeux.

    Mais Nicolas Sarkozy n'est pas toujours menaçant, il sait aussi faire preuve d'humour à l'occasion, comme lorsqu'il confia aux salariés de l'aciérie d'ArcelorMittal menacés de licenciement : "Je dois dire que Gandrange, comme voyage de noces, y a pas mieux." Voilà un homme qui sait parler au peuple. Ou à l'occasion du conseil de l'UMP le 6 juillet, lorsqu'il confia à un public conquis : "<st1:PersonName w:st="on" ProductID="la France">La France</st1:PersonName> est en train de changer. Elle change beaucoup plus vite et beaucoup plus profondément qu'on ne le croit." Avant d'affirmer, faussement ingénu : "Désormais, quand il y a une grève en France, plus personne ne s'en aperçoit"

     

    http://www.lemonde.fr/opinions/article/2008/07/11/une-presidence-famillionnaire-par-christian-salmon_1072584_3232.html


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    A propos de : "Le monde de la philosophie" (Editions Flammarion)

     

    Les éditions Flammarion publient une collection en trente volumes des textes fondateurs de la philosophie occidentale. Le prix en est tellement modéré qu'il s'agit visiblement d'une tentative de sauvetage in extremis d'une civilisation européenne menacée de décérébration accélérée en raison du naufrage dans l'enseignement scolaire d'une discipline dont Socrate disait qu'elle s'adressait aux âmes dignes d'en féconder la semence. Le mérite de cette entreprise est de faire entrer dans le capital philosophique de l'Occident des textes non classés officiellement sous la rubrique " philosophie " , tel L'Eloge de la folie d'Erasme ou Le Prince de Machiavel. Du coup, il apparaît plus crûment encore à quel point on ne saurait philosopher sans recourir à une philosophie de la philosophie , donc sans donner un sens à son histoire.

    A l'heure de la physique à plusieurs dimensions, du décryptage de notre code génétique, de la bombe nucléaire, de la traque des origines zoologiques de notre espèce , de la multiplication des psychanalyses , de la crise de la " raison " , de la rechute de l'humanité dans les mythes religieux, de la délégitimation du suffrage universel par des majorités populaires irréfléchies , la philosophie découvre que, depuis les origines, le "Connais-toi" socratique renvoie à une pesée anthropologique de l'encéphale humain.

     

    1 - Qu'est-ce que l'esprit philosophique ?

     

    Quand un grand éditeur lance dans le désert du panculturalisme mondial la vaste entreprise de publier un compendium en trente volumes des œuvres marquantes de la philosophie occidentale de Platon à Nietzsche , et cela non seulement à un prix incroyablement bas, mais " sous coffret cartonné et illustré ", quand il bénéficie en outre d'un support publicitaire de taille, celui du lancement dispendieux sur le " marché " de l'industrie du livre d'une page du journal Le Monde entièrement consacrée, et cela chaque semaine, à expliciter le contenu de Hume, d'Auguste Comte ou de Montesquieu, c'est que cette Maison n'est pas seule à tirer les conséquences de ce que le professeur Aristote avait enfermé les Isaïe de la pensée, dont un certain Socrate, dans une enceinte académique promise à la scolarisation de la pensée. Mais une civilisation européenne dont le vrai souffle de l'esprit critique ne serait plus celui du progrès du "Connais-toi" se trouverait condamnée au naufrage cérébral dans un relativisme culturel planétarisé. C'est pourquoi la présentation de la collection s'interroge "avec humilité, mais avec conviction", sur " la spirale de la vitesse et de la frivolité où veut nous entraîner le monde contemporain" . Mais qu'est-ce que la philosophie si elle répond au rêve de tout un chacun, de prendre le " recul de la réflexion, d'aiguiser son jugement, de cultiver certaines valeurs, de conquérir une plus grande liberté dans la conduite de son existence "?

     

    http://pagesperso-orange.fr/aline.dedieguez/tstmagic/1024/tstmagic/philosopher/monde.htm


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    Mais pour quelle raison Le Monde a-t-il décidé de publier une intégrale des grands textes de philosophie occidentale ?

    Comment Diable ce journal corrompu, vendu, qui a trahi ses fondateurs, gagné par la moisissure intellectuelle d'une « bobologie » inculte et nauséabonde a-t-il pu « s'élever » à cette publication ?

     

    Dans un article exceptionnel, le grand Philosophe Manuel de Diéguez répond :

     

    « L'audace de publier un " monde de la philosophie " en vingt-cinq mille pages revient à inaugurer un musée des exploits de la pensée européenne appelé, justement, de ne pas faire figure de conservatoire, mais d'ouvrir un regard philosophique sur une philosophie désormais menacée de se changer en une exposition des performances oubliées de la réflexion philosophique du simianthrope d'autrefois. Le choix des documents cérébraux tenus pour mémorables se fera-t-il a priori ? Tracera-t-on des allées passantes et des allées désertes dans l'Eden d'une philosophie à jamais en attente du rêve qui l'inspire ? Mais sur quelles balances peser les richesses et les carences révélatrices des promesses et des asphyxies alternées dont souffre depuis les origines une discipline vouée à se demander sans relâche : " Qui suis-je ?" (...) L 'idée de publier en cette aube du IIIè millénaire une somme des textes philosophiques tenus pour les plus décisifs de l'Occident pensant témoigne de la nécessité impérieuse de déscolariser l'enseignement de la philosophie ; »

     

    Lire le texte brillant en son entier dans le Billet suivant, au dessus.


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    Il s'est produit en une dizaine d'années une transformation considérable et inattendue dans la représentation de la fonction et de l'importance du travail dans la société française. Au milieu des années 1990 fleurissaient des discours sur le travail "valeur en voie de disparition", voire sur la "fin du travail". Ils traduisaient l'opinion - erronée mais à la mode - que le travail perdait son importance comme le socle privilégié de l'inscription des individus dans la société.

    Parallèlement, le débat public était animé par des réflexions plus sérieuses sur la possibilité de lutter contre le chômage en réduisant la durée du travail afin de mieux le répartir. Réflexions plus sérieuses, parce que le plein-emploi ne se mesure pas à la durée du travail, ni sa productivité au temps passé à travailler. Il n'est donc pas déraisonnable de penser que dans le cadre d'une meilleure organisation du travail, compte tenu des gains de productivité et des progrès technologiques, on pourrait travailler moins en travaillant mieux, comme l'atteste l'histoire du capitalisme industriel.

     

    http://www.lemonde.fr/opinions/article/2008/07/08/travailler-plus-pour-gagner-quoi-par-robert-castel_1067614_3232.html


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    "On me dit solitaire et il est possible que je le sois ; ce qui est sûr c'est que plonger dans ce travail de gravure sur le thème de l'exode où chaque trait est un chemin, chaque silhouette un personnage, chaque nouvel ouvrage un voyage, exige une profonde solitude. Mais il est vrai que cette solitude, l'impression que j'ai d'être dans le secret, dans la clandestinité de la vie, ne sont pas pour me déplaire car ainsi, je rejoins le destin de mes personnages.

    Lorsque je suis penché sur mon bois, la gouge à la main, le savoir faire, la maîtrise technique de cet art que j'ai acquis avec le temps me permettent de rêver et c'est ce rêve intérieur qui m'aide à donner une identité propre à chaque silhouette que je mets au monde, en faisant se croiser mon intériorité avec l'actualité, le dedans et le dehors. Je les fais voyager, ces oiseaux de passage, comme je le ressens, dans la douleur, la dureté du voyage, confrontés aux dangers que représentent de tels périples. Accordez-moi qu'il est rare qu'un exode soit sans péril, et que c'est toujours un peu contraint, sinon désespéré, qu'on prend ce chemin-là...

     

    http://www.senat.fr/evenement/ete_du_senat/2008/davioud_le_fur.html 

     

    L'artiste : Georges Le Fur http://www.georges-lefur.com

     


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    L'inquiétude monte chez les professionnels des médias. Depuis quelques mois, les remises en cause de la réglementation qui encadre les métiers du secteur se multiplient. Celle-ci est pourtant garante de leur indépendance vis-à-vis des pressions politiques ou économiques. "Il y a une volonté de mainmise de Nicolas Sarkozy sur les médias. Nous devons réagir en tant que citoyen. Il y a urgence !", s'est alarmé, vendredi 4 juillet, Nicolas Traube, producteur, membre de <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName ProductID="la Commission Copé" w:st="on">la Commission Copé</st1:PersonName>, au cours d'un rassemblement, vendredi 4 juillet, réunissant, à Paris, syndicats de réalisateurs, de producteurs, d'auteurs et sociétés de journalistes.

    Premier sujet d'inquiétude, la réforme de l'audiovisuel public. Dès l'annonce, par le président de <st1:PersonName ProductID="la République" w:st="on">la République</st1:PersonName>, le 8 janvier, sans concertation avec les ministres et les directions concernés, du projet de suppression de la publicité sur les chaînes publiques et de réorganisation de France Télévisions, le ton était donné.

    Bien que la commission Copé, regroupant, à parité, professionnels et parlementaires, ait été installée par le chef de l'Etat, ses conclusions, remises le 25 juin, n'ont pas pesé lourd face à la volonté présidentielle. Le jour même, M. Sarkozy, qui n'hésite pas à donner directement son avis sur les émissions qu'il aimerait voir à la télévision, fixait lui-même le calendrier de la réforme, le plan de financement, très aléatoire, du service public et annonçait son intention de nommer lui-même le président de France Télévisions.

     

    http://www.lemonde.fr/actualite-medias/article/2008/07/05/la-remise-en-ordre-des-medias-par-le-pouvoir-inquiete-les-professionnels_1066826_3236.html


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    Du 3 au 6 juillet 2008, CinÉditions se tiendra à <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName ProductID="la Cinémathèque" w:st="on">la Cinémathèque</st1:PersonName> française du 51 rue de Bercy, offrant aux professionnels comme au public l'occasion de rencontres, débats, projections (y compris en plein air !), dans le but d'aider à faire mieux connaître les métiers de l'édition, et de permettre aux éditeurs comme aux libraires de rencontrer un large public.

     

    http://www.cinematheque.fr/fr/cineditions/cineditions1.html


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    « Vive le deuxième EPR »


    Le collectif « Sauvons le Climat » se félicite de l'annonce de la construction d'un deuxième EPR faite par le Président de <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName ProductID="la République" w:st="on">la République</st1:PersonName>, et demande, dans ces conditions, que le programme de construction de centrales fossiles (6,1 GWe d'ici 2015 selon <st1:PersonName ProductID="la Programmation Pluriannuelle" w:st="on">la Programmation Pluriannuelle</st1:PersonName> des Investissements de 2006) soit amputé de la puissance équivalente à celle de l'EPR.

    Dans une société cherchant à diminuer sa dépendance au gaz et au pétrole, l'usage de l'électricité doit se développer, que ce soit dans le domaine des transports collectifs (TGV, TER, ferroutage), des transports individuels (voitures électriques ou hybrides rechargeables) ou de la production de chaleur (chaleur industrielle, chauffage des locaux). Il est donc essentiel que l'électricité soit produite avec des émissions de CO2 aussi faibles que possible.

     

    Lire les positions de « Sauvons le Climat »:

    http://sauvonsleclimat.org/new/spip/ 

     

    Les communiqués :

    http://www.sauvonsleclimat.org/new/spip/communiques.php

    <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p>

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