• "Je ne sais quelle sera la récompense, mais je sais que la gauche et la France sont deux causes superbes qui méritent qu'on leur consacre sa vie"
    16 septembre 2006
    A Lens, Laurent Fabius a prononcé un discours d'espoir et d'avenir pour la gauche, fortement applaudi par la salle. Il a répondu aux questions de deux militants.


    Voir la vidéo :
    http://www.laurent-fabius.net/article657.html


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  • Le 14 septembre 2006,


    Monsieur,


    À l'heure où le Parti Socialiste se prépare à désigner, dans quelques semaines, le prochain candidat à la Présidence de la République, je tenais à vous dire combien votre candidature m'apparaît essentielle. Doublement.
    Elle est essentielle pour la Gauche, elle est essentielle pour le pays.
    Votre engagement dans la campagne contre l'adoption de la Constitution européenne a été décisif pour notre victoire. Cet engagement illustre combien vous avez anticipé l'élan profond de la gauche dans ce pays.
    Le Libéralisme est, en effet, en train de miner les fondements de notre société, du pacte social et républicain, hérité du Conseil national de la Résistance.
    Toute cela, vous l'avez compris quand d'autres oubliaient cet essentiel !
    Pourquoi ne pas constater que votre engagement a été partagé par une majorité de citoyens socialistes ?
    Ce faisant, en incarnant l'élan profond de la Gauche, vous avez également incarné, Monsieur Laurent Fabius, l'élan profond du pays.
    Notre pays a besoin de profonds changements. De nombreux signes politiques en témoignent.
    Ce besoin de renouveau doit prendre racine dans la riche terre du passé.
    Comprendre le Socialisme, son avenir, comprendre les attentes actuelles de nos concitoyens, c'est aussi répondre par de solides propositions aux défis de notre temps.
    Et quels défis ! Multiples et complexes.
    Vos propositions, Monsieur Laurent Fabius, offrent le tableau d'une France dynamique et moderne, recouvrant ses vertus, renouant avec ce qui a fait sa force, le pacte social et républicain.
    Dans le monde devenu incertain, nous avons besoin d'une personnalité habituée à la scène internationale, qui s'est frottée à cette réalité.
    Nous avons besoin d'un homme capable de dire « non ».
    Aujourd'hui, vous seul incarnez cette réalité.
    ***
    La tâche qui vous incombe n'est certes point aisée.
    Quand le chant des sirènes inonde les médias, comment résister à la tumultueuse tempête, éviter les écueils ?
    Gardez le cap ! Monsieur Laurent Fabius
    Tenez la barre, tenez bon !
    Parce que votre candidature est une chance pour la gauche,
    Parce qu'elle est une chance pour le pays,
    Bon courage à vous.


    Jluc PUJO
    Président des Clubs « Penser la France »
    Membre du MRC de Jean-Pierre Chevènement


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    Quelles Stars ?



    « L'une qui récuse la nationalité française pour ne pas payer d'impôt, l'autre qui s'est rendu célèbre par une chanson appelant à « cramer du poulet » » ?



    François DARRAS



    http://www.marianne-en-ligne.fr/


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  • « Le premier attribut du gaullisme, c'est l'indépendance de la France ; or, Sarkozy accepte le principe de la constitution européenne. Le deuxième, c'est la souveraineté du peuple ; or, Sarkozy est hostile au référendum. Le troisième, enfin, c'est un humanisme social ; or, Sarkozy est un conservateur libéral. »



    Nicolas DUPONT-AIGNAN, président de « Debout la République »


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    « Ce qui est stupéfiant, c'est l'intérêt des deux candidats pour le blairisme, au moment où, pour ce produit là, le marché intérieur s'est effondré »

    <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p>

    Howard Davies, directeur de la London School of Économics.


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  • François Bayrou est également convaincu que les Français ont besoin qu'on leur propose une offre politique alternative, il y a, selon lui, des millions de Français pour qui choisir entre Sarkozy et Royal est « un cauchemar ». Il a expliqué que tout le but de son action est justement que l'on ne reste pas dans cette hypothèse d'un duel entre l'UMP et le PS... François Bayrou a, en outre, plaidé pour le principe de séparation des pouvoirs entre le pouvoir économique et politique : « le destin des Français ne doit pas être influencé par des intérêts particuliers ». Il a ainsi voulu se différencier de Nicolas Sarkozy qui affiche ses liens avec de grands groupes économiques qui ont des intérêts dans les médias. Enfin, le président de l'UDF a confirmé qu'il ne votera pas la privatisation de GDF car il estime que l'Etat ne doit pas abandonner l'instrument qu'il s'est forgé - EDF et GDF - à un moment où nous sommes dans une crise énergétique et climatique sans précédent. (01/09/06)
    http://www.udf.org/index.html


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    « Je préfère dire « voici mon programme » que « mon programme, c'est Voici » ».

    <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p>

    Laurent Fabius


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  • <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p> A la veille de la campagne présidentielle, la professionnalisation de la vie politique et la complexité croissante des enjeux va-t-elle entraîner une montée en puissance des think tanks, ces "réservoirs d'idées", selon la terminologie anglo-saxonne ? Ou bien le style, parfois qualifié de "populiste", de certains candidats à la candidature risque-t-il de faire passer au second plan l'expertise de la vie publique ?<o:p> </o:p>http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0,36-808644,0.html

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  • Nicolas Sarkozy a déploré cette semaine le vide des propos de Ségolène Royal. Au PS, à La Rochelle, d'autres ont critiqué le trop flou de ses discours, leur "grande généralité". Ils ont tort. Ségolène Royal porte en elle quelques idées, simples, plutôt des valeurs, fortes, qui sont en vérité très proches de celles de Nicolas Sarkozy, et c'est sans doute pourquoi il commence à l'attaquer si tôt.

    http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0,36-808838,0.html


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    Laurent Fabius a débattu pendant une heure avec l'assemblée des membres du MJS à La Rochelle.


    http://www.laurent-fabius.net/article630.html


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  • La popularité de Ségolène Royal place le Parti socialiste dans une situation périlleuse. Alors que beaucoup de militants et de sympathisants se disent : "Elle est la seule à pouvoir gagner contre Nicolas Sarkozy", c'est probablement le contraire qui est vrai. Si elle était désignée, sa défaite serait presque assurée. Pourquoi ? Parce que son discours politique est en décalage avec les grandes attentes des électeurs potentiels de la gauche. Les sondages renvoient une popularité flatteuse, mais ils n'ont aucune valeur prédictive avant le début de la campagne électorale. L'opinion publique reste pour l'instant en apesanteur et se laisse séduire par l'accessoire. C'est seulement lorsque le débat politique montera en intensité que se révéleront les clivages fondamentaux et les tendances profondes. Alors apparaîtra le décalage entre Mme Royal et l'électorat de gauche. Le problème, c'est que, entre-temps, elle aura peut-être été désignée par son parti. Les socialistes doivent éviter ce piège.


    http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-3232,36-806401,0.html


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    Je propose aujourd'hui 7 engagements concrets et d'application immédiate au lendemain de l'alternance pour que chaque Française, chaque Français sache dès maintenant quels seront les changements précis apportés par une victoire présidentielle de la gauche.


    http://www.laurent-fabius.net/article620.html


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