• <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p>

    "Le projet que je défends est à la fois le seul capable de répondre à l'urgence sociale et de préparer l'avenir, le seul capable de rassembler la gauche, donc le seul capable de nous faire gagner", a expliqué Laurent Fabius lors du Grand Jury RTL-LCI-Le Figaro. Ségolène Royal ne défend qu'une "espèce de social-blairisme" et Dominique Strauss-Kahn "une vision classique de la sociale-démocratie".

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    Voir Fabius sur LCI : http://www.laurent-fabius.net/article749.html

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  • Hier à Paris : Sifflets, huées et ricanements.

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    « Je ne m'explique pas ce qui s'est passé ce soir ! »

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    Ségolène Royal.


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  • <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p> 

    « Ségolène ROYAL est dans l'air du temps ».

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    Pierre MAUROY  - jeudi 26 octobre.


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  • Ségolène Royal a chuté de 15 points en une semaine auprès des sympathisants PS et de 6 points auprès de l'ensemble des Français.

    [CSA pour le Bleu de Profession politique réalisé mercredi et jeudi après le deuxième débat télévisé mardi soir ]
    Sondage réalisé par téléphone auprès de 802 personnes, selon la méthode des quotas-

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  • Laurent Fabius : le changement à gauche pour une société forte parce que solidaire !


    Retrouvez l'intégralité du second débat entre les présidentiables socialistes, consacré aux questions de société.

    <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p>VOIR LA VIDEO :</o:p> http://www.laurent-fabius.net/article740.html

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  • Le débat des présidentiables du Parti socialiste a pris hier un nouveau tournant.
    De toute évidence, deux types de société s'affrontent au-delà des différences d'analyses économiques et sociales.

    Deux lignes ainsi se distinguent :
    - la ligne Ségolène Royal dont le mérite est certainement de bousculer les lignes. Mais est-ce une vertu en soi quand les propositions sont, soit obsolètes, soit dangereuses ?

    - la ligne Fabius, classique, qui prône une orthodoxie enlevée et pleine de panache, au service d'un projet mûrement réfléchi.

    DSK - comme j'ai déjà eu le loisir de l'écrire - est l'arbitre de la bataille.
    Après avoir fait signe à Jospin, DSK va désigner le vainqueur.
    Fabius a toutes ses chances.
    Comment ne pas s'en réjouir quand la chance rejoint le talent ?

    Jluc PUJO

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  • Après les « jurys populaires » maoïstes...

    A quand la mise en place des « Soviets » ?

    Décidemment, Ségolène, qu'est-ce qu`elle est belle !

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  • Dans une tribune publiée par Libération, vous tentez - avec brio - de définir le phénomène Ségolène Royal.
    De ce « Ségolisme », vous dites l'essentiel.
    Quel mal vous a pris d'affubler cette personne d'une qualité toute discutable ?
    Vous estimez Ségolène « intelligente » ? Dites-vous.
    Vous me permettrez sur ce point de faire valoir quelque hésitation. Elle m'amène à réfuter cette couleur « fashion », affreux contraste dans le magnifique tableau que vous nous livrez.
    Ne confondez-vous pas « intelligence » et « intelligence politique » ?
    Cette dernière doit-elle, au demeurant, se mesurer à la seule capacité à gagner le pouvoir ?
    Voyez-vous, M. Motchane, penser que « la communication plus qu'un lien décisif est le lieu décisif de la pensée » et faire apparaître « la vie comme un cortège d'apparition » - pour reprendre les termes que vous employez et qui correspondent si bien au « ségolisme » - est l'absolue contraire de ce que commande l'intelligence politique.
    C'est de cette inintelligence, qui n'est plus - hélas ! - un obstacle à l'accès au pouvoir, dont nous allons le plus souffrir. Nous en souffrons déjà.
    Par le succès même de l'apparence, nous creusons notre propre tombe, alors que tout commande à donner du sens, à parler vrai.
    De cette intelligence là, que nous définirons comme la compréhension des grands enjeux et la conscience sur - aiguë  du bonheur d'un peuple - Oui ! J'ose le mot - le « Ségolisme » est dépourvu.
    De plus, les enjeux qui se présentent à nous - en cette période - sont, vous le savez mieux que quiconque, d'une très grande importance.
    <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p>La situation internationale commande une intelligence politique exceptionnelle et du courage.
    Tout doit donc nous alerter.
    N'en veuillez donc pas à un jeune histrion politique de proclamer sa foi toujours intacte dans la raison et d'affirmer avec conviction sa propre pétition : « Laurent Fabius est une chance et il peut l'emporter ! »


    Cordialement,


    JLuc Pujo


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  • Ils ont chacun leur logiciel, construit au fil de leur formation et de leur expérience. Bien sûr, ils sont tous contraints par le projet socialiste, qu'ils ont plus ou moins influencé, directement ou indirectement. Mais chacun en propose, dans ses professions de foi, ses interviews et ses discours, une application différente, fruit de sa culture politique personnelle et aussi de ses calculs d'homme et de femme de pouvoir. <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /> Pour Ségolène Royal, présidente de la Région Poitou-Charentes, le credo qui sous-tend toutes ses prises de position, c'est « la décentralisation jusqu'au bout ». Certes, dans sa profession de foi, Royal affirme que « la globalisation appelle le renforcement de l'État ». Mais cet État, pour elle, n'est jamais à l'initiative : son rôle principal, à ses yeux, c'est « d'assurer la péréquation entre les territoires », en un mot de corriger plus que d'impulser, de financer sans décider.<o:p> </o:p>

    Lire la suite : http://www.lefigaro.fr/debats/20061020.FIG000000062_royal_strauss_kahn_fabius_la_region_le_contrat_l_etat.html


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  • Deux jours après leur premier exercice télévisé, les trois prétendants à l'investiture socialiste pour 2007 ont cultivé pendant deux heures chacun leur style: Mme Royal dans le registre de "la proximité", M. Strauss-Kahn dans celui de la pédagogie, et M. Fabius dans l'affirmation passionnée de convictions anti-libérales.


    Titre la suite : http://www.laurent-fabius.net/


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  • L'apparence d'une transparence ou la transparence d'une apparence ? Les deux ensembles, ma Ségolène.


    Apparence d'une transparence : La mise en orbite dans la médiasphère de la candidature à la présidence de la République de Ségolène Royal a pris tout d'abord l'apparence du lancement d'un OVNI-objet visible non identifié. Plutôt une apparition d'ailleurs dans ce ciel médiatique qu'un lancement qu'aucune NASA ne s'était flattée d'avoir fait partir d'un cap CANAVERAL politique.  Il a suffi un jour de lever les yeux au ciel pour apercevoir Ségolène sur le seuil de l'Elysée, comme si elle avait été toujours là.


    Lire la suite : http://www.liberation.fr/opinions/rebonds/election_presidentielle/209726.FR.php


    [Merci à Renaud]


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  •  

    Invité de RMC Info, Laurent Fabius fait le bilan du débat du 17 octobre 2006. <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p>« Je veux être pragmatique, précis et de gauche. Et je place la personne humaine au centre de tout. » 18 octobre 2006 

    http://www.laurent-fabius.net/article717.html

    REVOIR Le DEBAT sur LCP : Laurent Fabius : des propositions précises pour un vrai changement à gauche !18 octobre 2006http://www.laurent-fabius.net/article716.html

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