• <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p> 

    Il n'y a aucune raison de céder à la manie commémorative : après la crise des banlieues, ces « délaissés de notre société » selon le mot de Jean-Marie Delarue (1), un an ne donne pas le recul suffisant pour juger ce qui a été fait ou ne l'a pas été. Même si on peut penser qu'un début de prise de conscience s'est opéré, c'est dans le temps long qu'il faut se placer pour apprécier les évolutions sociétales et l'efficacité des politiques.

    <o:p> </o:p>

     http://www.lefigaro.fr/debats/20061027.FIG000000057_halte_au_feu.html


    [Merci à Nicole]


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  • Jean-Louis Nadal, procureur général près la Cour de cassation, a assuré les magistrats de son soutien. <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" />

    <o:p> 


    La nouvelle est arrivée hier vers 15 heures et a fait, à toute blinde, le tour du tribunal. Etait convoquée, en urgence, une AG des magistrats de Bobigny pour 16 heures. Un fait tellement extraordinaire, qu'au début, chacun a pensé à un appel du simple procureur général de Paris. Mais c'était plus incroyable encore. Car, à l'heure dite, c'est Jean-Louis Nadal, procureur général près la Cour de cassation, qui s'est pointé. Pendant une demi-heure, enfermé avec ses collègues dans la salle de la cour d'assises, il leur a dit son soutien et son admiration pour leur «mobilisation» et leur «professionnalisme». Assommés, «désespérés»,  «dégoûtés» tant par la méchanceté des critiques de Nicolas Sarkozy, que par le «silence assourdissant» du garde des Sceaux face à ces mêmes critiques, les magistrats ont été sensibles à cette première dans le monde judiciaire. Et c'est peu dire.

     
    </o:p>

    http://www.liberation.fr/actualite/societe/206050.FR.php

    <o:p></o:p> 

    [Merci à Nicole]


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  • <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p> 

    La C2R rassemble des Citoyens de la Gauche républicaine autour des Idées défendues par Jean-Pierre CHEVENEMENT.


    Vous trouverez sur leur blog un ensemble de contributions, de textes et d'interventions... utile pour répondre à de nombreuses questions : Quelle France ? Comment moderniser le logiciel républicain ?


    A l'heure où le modèle français fait l'objet de nombreuses critiques, cette initiative mérite d'être saluée. Elle est extrêmement utile comme grand forum d'échange et de discussions autour des Idées si riche de JP Chevènement.

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    Retrouver le blog : http://rupturerepublicaine.blogg.org/


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    Jean-Pierre Chevènement : Emission du mercredi 5 juillet 2006

    <o:p> </o:p>

    Avec Eric Conan. Journaliste à L'Express. Géraldine Muhlmann. Professeur de sciences politiques, auteur de Du journalisme en démocratie (Payot) et d' Une histoire politique du journalisme au XIXe et XXe siècle (PUF). Yann Moulier-Boutang. Directeur de la revue Multitudes. Economiste et philosophe, spécialiste des questions d'économie politique (impacts de la mondialisation). Traducteur des ouvrages de Toni Negri. Philippe Raynaud. Normalien, agrégé de philosophie, docteur d'Etat en sciences politiques, Philippe Raynaud est professeur de sciences politiques à l'Université Paris II et à l'Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales (Institut Raymond Aron). Il est notamment l'auteur de Terrorisme et démocratie (Fayard) et de Max Weber et les dilemmes de la raison moderne(PUF)


    http://www.radiofrance.fr/chaines/france-culture2/emissions/rdv_politiques/index.php?emission_id=35060155


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  • Il y a plusieurs façons de tirer le bilan de la session parlementaire qui s'est achevée le 30 juin. La quatrième année de la législature aura en effet illustré sans répit les dysfonctionnements et les dérèglements institutionnels d'un régime qui n'en finit plus de s'interroger sur sa propre nature, parlementaire ou présidentielle. Même si on peut mettre à son actif la contribution qu'il a apportée au débat public sur la justice à travers la commission d'enquête sur l'affaire d'Outreau, le Parlement ne sort pas vainqueur de la joute qu'il a dû livrer avec le pouvoir exécutif.<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p>

    http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-3232,36-792657,0.html


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    Ils prétendent demain diriger la France ?


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  • "C'est une nomination people. Je ne pense pas qu'un ego suffise à faire une compétence."


    Michel Tubiana, président d'honneur de la Ligue des droits de l'homme (LDH).


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  • "Si cette Constitution n'est pas adoptée, la base juridique qui permet la protection des services publics disparaîtra."

     (Le Monde, 29 mars 2005)
     
    « Si le Non l’emporte, je serai obligée de privatiser les cantines scolaires du Poitou – Charentes »

    (Mots Croisés - France 2 – 16 mai 2005)


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  • "Le coeur du Plan B consiste à élire un Président de la République issu du NON de gauche"
    Jean-Luc MELENCHON - sénateur PS - 29 Mai 2006.


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  • Depuis maintenant plusieurs mois, Ségolène Royal caracole dans les sondages. Les têtes tournent au Parti Socialiste mais aussi au sein de la gauche entière.

    Ségolène ? Improbable candidate, et si ….

    L’arrivée massive de nouveaux adhérents au sein des sections socialistes – essentiellement urbaines – ne doit pas masquer l’engouement manifeste pour cette figure du Parti Socialiste.

    Candidate pour quel projet ?

    Les communiqués de Ségolène Royal et de son entourage sont d’une pauvreté consternante.  Ségolène ROYAL reste la candidate la moins préparée de tous les candidats du Parti Socialiste. Son manque de carrure politique et intellectuelle est bien réel.

    La gestion affichée de « bonne mère de famille » ne doit pas nous faire oublier l’essentiel.

    La France a besoin d’une ambition et d’une vision.

    La vision sociétale de Ségolène – qui par ailleurs caractérise tous les partis sociaux-démocrates en Europe – marque déjà le pas, comme en Espagne.

    Les récentes déclarations de Ségolène sur la sécurité dans les banlieues sont affligeantes parce qu’elles sont improvisées et d’une superficialité déconcertante.

    La fermeté est une nécessité. Elle ne peut se concevoir sans un projet de justice sociale.

    Emportée par son élan et un léger sens tactique, Ségolène cherche à prendre à contre-pied son adversaire de droite désigné. Mais après ?

    Le projet « blairiste » et « social-libéral » de Ségolène est-il en mesure de répondre au problème de fond de précarité sociale et culturelle, terrain d’une violence évidente ?

    Il serait regrettable que cette campagne électorale présidentielle se réduise au choix catastrophique entre deux candidats Néo-conservateurs – Sarkozy à droite et Royal à gauche.

    La France a besoin d’un grand projet républicain alliant générosité et fermeté.

     

    Jean-Luc Pujo

    Président des clubs "Penser la France"

     


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  • Le 29 Mai 2005, la France a rejeté courageusement la Constitution européenne qui lui était proposée. Heureux sursaut. Heureuses perspectives. Depuis ?

    L’Europe est en panne. La Construction européenne patine… honte à ceux par qui le grand malheur est arrivé !

    Ce discours malveillant à l’encontre du peuple ne doit pas étonner.

    Il est d’abord fondé sur une réalité : l’Europe qu’ils voulaient – ces gens-là – là-bas – là-haut – est en panne, stoppée. Tant est si bien que les tentatives fleurissent pour contourner le vote populaire français. L’infamie est à nos portes. Bientôt dans la Cité.

    Le discours est ensuite révélateur d’une situation politique exceptionnelle – douloureuse pour les peuples d’Europe – tous. Nos élites ont décidé pour nous, notre bonheur commun. Et voilà qu’un peuple, puis deux – les ingrats - se rappellent à leur souvenir. Insupportables démocraties !

    Mais qui donc nous gouverne depuis ?

    Ce sont les mêmes – médias du OUI, politiques du OUI, patrons du OUI, acteurs et actrices du OUI, chanteurs et sportifs du OUI… ce sont eux qui toujours vitupèrent ; qui conspuent le peuple que nous sommes. Fautifs, idiots, incultes.

    Quand donc la farce va cesser ? Tiens donc ! Quand nous les aurons chassé !

    D’ailleurs, l’heure va bientôt sonner.

    Car à la vérité, nous avons – bigrement - bien fait !

    Nous devons ensembles être fier d’avoir ainsi affirmé notre attachement au modèle français, modèle équilibré.  Ni le tout Etat, ni le tout Marché.

    Mais une subtile combinaison, permettant de « produire » de l’information, de l’éducation, de la santé, de la protection sociale, des services et des biens. Pour tous, dans l’égalité.

    Et pourquoi le cacher ?

    Oui ! Aussi ! Fier d’être français !

    Jean-luc Pujo

    Président des Clubs « Penser la France »


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