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    La lecture de la lettre de Guy Moquet dans les classes de <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName ProductID="la République" w:st="on">la République</st1:PersonName> soulève des sentiments paradoxaux.

    Symbole de résistance, de sacrifice, d'abnégation et d'amour de <st1:PersonName ProductID="la France" w:st="on">la France</st1:PersonName> , cette lettre nous touche tous. Emouvante, elle glorifie le sacrifice de ceux qui ont eu à cœur de résister au nom de valeurs supérieures.

    Pourtant, cette célébration annoncée dans le cadre d'une campagne présidentielle fourre-tout, véritable opération de détournement de mémoire - abjecte donc ! - nous apparaît soudain dans son effroyable puanteur : Proclamation d'un non Gaulliste, d'un non résistant, d'un petit Monsieur, représentant des forces symboliques de l'Empire dévouées au Marché !

    Le sentiment de rejet tout naturel ouvre ainsi la voie à des réactions compréhensibles bien que parfois ridicules : de quelques gauchistes, qui n'en peuvent mais de <st1:PersonName ProductID="la France" w:st="on">la France</st1:PersonName> , de l'héroïsme, de la patrie ; d'enseignants qui de manière inacceptable refusent tout de go d'appliquer une circulaire ministérielle, s'arrogeant ainsi le pouvoir de légiférer, de décréter...

    Le cirque de Nicolas mérite certes réponse, mais une autre réponse.

    Lire <st1:PersonName ProductID="la Lettre" w:st="on">la Lettre</st1:PersonName> de Guy Moquet est une obligation.

    Mais cette lecture doit être accompagnée : Expliquer la force, la puissance du message de <st1:PersonName ProductID="la Résistance" w:st="on">la Résistance</st1:PersonName> c'est former notre jeunesse à ce sentiment premier : le devoir supérieur de lutter contre toute forme frelatée de la démocratie, qui insulte la mémoire même de ceux qui se sont sacrifiés.

    Eduquer à la résistance, est ainsi la meilleure des réponses à cette tentative éhontée de politique dévoyée.

    Eduquer notre jeunesse à la résistance devient ainsi la plus juste des réponses à cette vulgaire mascarade !

    Comme un simple mais magnifique « retour à l'envoyeur » ?

     

    Jean-Luc Pujo

    Président des Clubs "Penser la France"


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    Cette affiche vaut à des étudiants de l'UNEF d'être poursuivis sous le chef d'inculpation suivant :"offense au Président de le République".

     

    Tout cela est-il bien sérieux M. SARKOZY ?

     

    http://www.liberation.fr/actualite/societe/284933.FR.php 

     

    [Merci à Jean-François de Toulon]


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  • En apportant leur caution à Nicolas Sarkozy, les ministres issus de la gauche accentuent « la dérive néoconservatrice du pouvoir » expliquent les historiens Pierre Cornu et Jean-Luc Mayaud. Auteurs d'un texte virulent et alarmiste sur leur blog, «Sur quoi ouvre l'ouverture », ils analysent le « mutisme » du PS.

     

    Pierre Cornu est maître de conférences à l'université Blaise Pascal Clermont 2 et Jean-Luc Mayaud professeur d'histoire à l'universite de Lyon 2, dont il dirige le Laboratoire d'études rurales. Ils publient le mois prochain « Au nom de la terre » un essai sur l'agrarisme aux éditions de la boutique de l'histoire.<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" />

    Qu'est-ce que vous pensez du silence politique qui entoure la question de l'ouverture?

    Le silence des partis de gauche sur la politique d'« ouverture » de Nicolas Sarkozy ne doit être interprété ni comme une tactique du « mépris » ni comme l'expression d'une gêne passagère. C'est au vrai un mutisme de la stupeur et de l'abattement. Car ce qui s'est effondré avec le débauchage de quelques figures du Parti socialiste et du tissu associatif, ce n'est pas seulement la discipline collective de la gauche héritée des tréteaux du programme commun des années 1970, mais c'est l'illusion de l'autonomie intellectuelle et morale d'une social-démocratie détachée de son socle marxiste. Le Parti socialiste, dans sa configuration majoritaire, a cru que l'humanisme laïc et l'expertise technocratique suffiraient à maintenir son capital électoral et sa force d'attraction sur les classes moyennes et les élites de la sphère non marchande. Il se rend compte aujourd'hui qu'il ne sait même pas quoi reprocher à ceux qui sont allés vendre leur « humanisme » et leur « expertise » au nouveau pouvoir.

     

    http://contrejournal.blogs.liberation.fr/mon_weblog/ouverture_ou_imposture/index.html 

     

    [Merci à Nicole]

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  • Nicolas et Cécilia Sarkozy ont divorcé !

     

    Laurence Ferrari et Thomas Hugues se séparent !

     

    On s'en tape !


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    "Sur le traité européen simplifié, j'attends de voir le texte mais une chose est déjà acquise : un sujet qui a été tranché par référendum ne peut être à nouveau valablement tranché que par le peuple."

    http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0,36-968369,0.html

    <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p>

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    Réflexions sur la destitution du Président de <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName w:st="on" ProductID="la Caspienne">la République</st1:PersonName> en vertu de l'art. 67 de <st1:PersonName w:st="on" ProductID="la Constitution">la Constitution</st1:PersonName> du 23 février 2007

     

    1 - La renaissance de la " Raison "

     

    Par deux fois déjà, je vous ai entretenus de l'étendue, de la nouveauté et de la fécondité du champ non seulement ouvert, mais imposé à la pensée philosophique, politique, anthropologique , psychologique, historique et même psychanalytique par la nécessité, pour les juristes internationaux de demain, d'approfondir leur réflexion sur l'art. 67 introduit le 23 février 2007 dans <st1:PersonName w:st="on" ProductID="la Constitution">la Constitution</st1:PersonName> française par le biais d'une procédure de destitution pure et simple pour cause " d'inaptitude manifeste " d'un Président de <st1:PersonName w:st="on" ProductID="la Caspienne">la République</st1:PersonName> pourtant régulièrement élu par le verdict du suffrage universel ; car, vous le savez, dans toutes les grandes démocraties, le vote populaire fonde une souveraineté de la raison politique supposée avoir pris légitimement la relève de l'infaillibilité doctrinale des théologies traditionnellement tenues pour bénéficiaires de l'autorité qu'une " révélation " du ciel leur confère.

     

    http://perso.orange.fr/aline.dedieguez/tstmagic/1024/tstmagic/europolitique/generation1.htm


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  • <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p> 

    « Je suis totalement partisan d'une gauche américaine, c'est-à-dire alliée avec le centre et qui assume la part libérale de son héritage »

     

    Bernard-Henri LEVY


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  • « Si les mots ont un sens »

    -adresse à monsieur Bernard-Henri LEVY-

     

    Vous fûtes - je le confesse - ma première figure d'intellectuel. Je vous ai adoré, du temps où jeune provincial languedocien, je scrutais à travers la petite lucarne, les signes obscurs d'une intelligence française. Depuis, j'appris qu'il existait aussi de vrais intellectuels. Combien ce déchirement fut douloureux - je le tairai - pardonnez ma pudeur.

    Il me suffit d'errer dans les lieux sacro-saints de cette intelligence prétendue pour entr'apercevoir  - aisément - le grand bal des faussaires.

    J'étais de ceux - les deux cents premiers - qui pour Sarajevo manifestèrent, avec Gluksman, René Remond, Huguette Bouchardeau... Je vous vis apparaître un jour - dix- huit mois passés - quand nous fûmes des mille et des caméras. De là, dataient mes premiers soupçons. Que dire depuis ? La chance de rencontres fugaces : Bourdieu, Ricoeur, Derrida... a fini de me convertir à l'Idée que - là comme ailleurs - il y avait des voyous.

    http://www.penser-la-france.asso.fr/bhl_1.pdf

     

     


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  • <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p> 

    "Ce petit con prétentieux ne m'intéresse pas. Qui est-il donc? Qu'a-t-il fait dans sa vie de si extraordinaire pour se permettre de juger comme ça? Je n'ai jamais rencontré BHL. Il ne m'aime pas, moi non plus. Il n'aime pas <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName ProductID="la France" w:st="on">la France</st1:PersonName>, moi si. Il a la bave aux lèvres, avec la haine qui suinte de partout." Henri Guaino.

     

    [Merci à David] 


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    La place que font les médias au sieur Bernard-Henri Lévy, milliardaire déguisé en philosophe, est révélatrice du profond abaissement intellectuel, moral et même spirituel de ce moment de notre Histoire. <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" />

    Aucun de ces médias ne s'est avisé de porter le fer dans le logiciel paranoïaque par lequel cet individu justifie ses injures et ses anathèmes : la gauche, compromise hier à ses yeux avec le totalitarisme stalinien, serait tentée aujourd'hui de se compromettre avec ce qu'il appelle le «fascislamisme». Mais que faisait hier B-H. Lévy aux côtés du président bosniaque Izetbegovic, dont on sait aujourd'hui les liens qu'il avait avec Oussama Ben Laden ?

     

    http://www.chevenement.fr/Le-petit-telegraphiste-de-l-Empire_a435.html?preaction=nl&id=3345999&idnl=26874&


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    « Il y avait - et il y aura toujours - chez cet homme (Jean-Pierre Chevènement) une qualité que l'on retrouve, somme toute, assez peu en politique : le courage d'être soi même. C'est-à-dire, en dernière analyse, le courage tout court. Cet homme là a porté très haut « une certaine idée de <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName w:st="on" ProductID="la R←publique">la République</st1:PersonName> » aux antipodes du laisser faire et de la facilité. Exigeant avec lui-même comme avec les autres, il fut pour moi un ministre exemplaire. »

     

    Extrait des mémoires d'Y. Bertrand , ex patron des RG

     

    [Merci à Nicole]


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