• Je suis en colère!!!

    On assassine un peuple, une culture sans qu'aucunes nations ne réagissent!!!
    Occupé à consommer toujours plus, le citoyen moderne ne sait plus réagir et défendre une cause.
    La vie d'un moine tibétain est apparemment bien moins importante que le dernier MP3 ou la dernière console de jeux proposés sur le marché!

     

    Je suis en colère!!!
    Quand on pense que les grands principes défendus par les philosophes des lumières sont supplantés par le "home cinéma" et le tout dernier PC portable !
    Nos citoyens seraient-ils devenus de simples consommateurs, dénués d'esprit critique, d'objectivité et de réflexion ?

     

    Je suis en colère!!!

     

    Lire la suite : http://lapaix.oldiblog.com/?page=lastarticle&id=1910189

    <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p><o:p> </o:p>

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    « Le sarkophage » N°5 est en KIOSQUE depuis le samedi 22 MARS !

     

    Contre tous les sarkozysmes ! En AVANT <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName ProductID="la Résistance" w:st="on">la Résistance</st1:PersonName> !

     

    Numéro exceptionnel : 24 pages au prix de 2 euros 40.

     

    « Editorial : Dix-huit mois » par Paul Ariès ; « Le voleur de mots » par Michel Guilhem ; « Derrière la crise financière » par Jean-Marie Harribey ; Les "roses-oranges" par Paul Ariès ; « Que veut <st1:PersonName ProductID="la LCR" w:st="on">la LCR</st1:PersonName> ? » par Christian Picquet ; « Le démagogue et le législateur » par Laurent Paillard ; « La réforme des régimes spéciaux » par Claude Debons ; « Pour en finir avec le jacobinisme », Yann Fiévet ; « Des dangers du bio-régionalisme » par Paul Ariès ; « De l'indépendance du Kosovo », par Frédérik Brandi ; « La critique médiatique » par Alain Accardo ; « Question de femmes ou question d'âme » par Séverine Capeille ; « Le capitalisme à bicyclette » par Vincent Cheynet ; « Parce que nous le valons bien », Yvon Bureau ; « Pour que le vent se lève », Jean-Luc Pujo ; « La preuve par l'absurde », Laurent Danet ; « Néo-libéralisme et biopolitique » par Isabelle Rochet ; « La sécurité, une valeur de gauche » par Mireille Popelin ; « Modernisation du commerce » par véronique Gallais ; « A l'auberge espagnole du sarkozysme » par Robert Charvin ; « Une gauche au PS » par Gérard Filoche ; « L'impasse civilisationelle » par Gilles Sainati ; « Le jardinier et le politique » par Gilles Clément ; « Dossier spécial "que faire de Mai 68 aujourd'hui ? » ; « Edifier une mémoire vive » par Charlotte Belge ; « Mai 68 autrement » par Philippe Corcuff ; « Actualité d'hier, urgence d'aujourd'hui » par Patrick Silberstein ; « Un moment paradoxal » par Jean-Claude Besson-Girard ; « La démocratie absolue » par Alain Jugnon

     


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    Retrouvez tous ces articles sur le site web des Clubs « Penser la France »

    - « Nicolas Sarkozy : Le Proconsul de l'Empire » le 14 juillet 2007

    - « Le Sarkozysme : Triomphe du Marché ou les anti-Lumières » le 15 septembre 2007

    - « L'OTAN ... Au vent mauvais ! » le 17 novembre 2007

    - « Union Méditerranéenne : Diplomatie de la puissance ou ruse du capitalisme » le 19 janvier 2008.

    http://www.penser-la-france.asso.fr/le_sarkophage.html

     

     


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    Au sujet de l'utilisation controversée l'été dernier d'un répulsif malodorant contre les SDF, Rama Yade a affirmé qu'"il faut tout tenter dans une ville ". "Il faut essayer des choses. Un maire ne fait pas ce qu'il veut, il répond aux préoccupations des gens", a-t-elle justifié.

     

    Martin Hirsch considère "dégradant d'utiliser ce type de produit contre des personnes". Valentin Teixeira dénonce la "banalisation" de cette mesure et se dit "scandalisé par les déclarations inappropriées et fâcheuses" de Rama Yade.

     

    [Merci à Nicole]


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    « Nous sommes dans une phase d'étonnement » observe Mme Parisot !

     

    OUI, en effet, une phase d'étonnement face à autant de familiarité et de vulgarité !


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    "Les Français ont un problème. Ils croyaient avoir un superprésident, un hyperdirigeant capable de les sortir de la dépression et de la décadence, et voilà qu'ils ont écopé d'un président comme ils en ont déjà connu beaucoup d'autres : à savoir malade, limité, qu'il faut dorloter et protéger tout en s'organisant pour que <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName ProductID="la France" w:st="on">la France</st1:PersonName> tourne et que le gouvernement et les institutions fassent leur devoir. La situation n'a rien d'inédit : Pompidou et Mitterrand étaient déjà des présidents malades et diminués. Le premier est même mort avant la fin de son mandat. Quant à Chirac, il fut un obstacle paralysant pendant une bonne partie de sa présidence. La maladie dont souffre Sarkozy n'a pas la gravité du cancer de la prostate de Mitterrand, mais elle touche un organe vital s'il en est : l'ego. Celui du président est d'évidence atteint d'une hypertrophie probablement incurable.Plus on s'approche du 9 mars 2008, date du premier tour des élections municipales, plus la nervosité des candidats du parti présidentiel augmente et plus on redoute les interventions de Sarkozy, susceptibles de faire perdre des voix à l'UMP. Le parti du chef de l'Etat est divisé à cause de tensions qu'il a lui-même créées. Le traitement qu'il a infligé en public aux uns et aux autres, y compris à certains de ses collaborateurs les plus proches, est digne du comportement d'un monarque bilieux et capricieux avec ses laquais. Même son actuelle impopularité est extravagante : elle ne s'explique pas par un train de réformes puisque ces dernières sont encore largement inappliquées. Elle s'explique uniquement par son comportement public.Le trône qu'occupe Nicolas Sarkozy a été imaginé par de Gaulle pour lui permettre d'être le troisième larron d'un monde bipolaire. Le président français voulait être un fier contrepoids occidental dans l'affrontement entre Washington et Moscou. Or Sarkozy, arrière-petit-fils libéral et proaméricain de De Gaulle (après le petit-fils, Chirac, et le fils, Pompidou), s'est installé sur le trône élyséen porté par son ambition personnelle et sa conception égotique de la présidence : il a par le fait encore accru les pouvoirs de la présidence. Et, une fois parvenu à ses fins, il s'est consacré à lui-même, comme un ado narcissique obnubilé par ses sentiments et ses plaisirs. Certes, le pouvoir peut en apporter beaucoup, mais la prudence conseille de ne pas trop en faire étalage. Sarkozy le téméraire fait tout le contraire et se vautre dans l'exhibitionnisme.

    C'est sur trois points précis qu'est venu se briser le personnage : l'économie, qui n'a pas enregistré la moindre amélioration depuis son arrivée ; son idéologie plus néocons, voire “théocons”, que gaulliste – en témoignent des prises de position sur la laïcité contraires à la culture de <st1:PersonName ProductID="la République" w:st="on">la République</st1:PersonName> ; et sa vie privée, étalée dans les médias. En monarque thaumaturge qui par une simple imposition des mains devait augmenter le pouvoir d'achat, il a échoué au point de prononcer la formule maudite qui rompt les sortilèges : “Qu'est-ce que vous attendez de moi ? Que je vide des caisses qui sont déjà vides ?” En monarque philosophe, il a manifesté les plus fortes réserves vis-à-vis des traditions républicaines, en exprimant avec désinvolture son affinité intellectuelle avec le pape. Il n'a pleinement triomphé que dans le rôle de sultan, seigneur en son sérail, paré des atours qui passionnent un certain public – et manifestement aussi ses pairs. Le voilà fasciné par son propre pouvoir de séduction, son goût exquis et sa désinvolture. Mais ce triomphe-là a le don de déprimer beaucoup de Français car il rabaisse <st1:PersonName ProductID="la République" w:st="on">la République</st1:PersonName> au niveau de la principauté de Monaco. »

     

    [Merci à Nicole]

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  • <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p> 

    Le Président de la République - Pauvres de nous ! - vient de visiter le salon de l'Agriculture.

    Au cours de cette visite, il s'en prend à un homme en des termes totalement déplacés.

    Nous avons décidé de ne pas diffuser cette vidéo. A quoi cela servirait-il puisque tous le monde en a connaissance ?

    Nous souhaitons en revanche inviter les français à réfléchir sur cette question : Peut-on sérieusement imaginer qu'un Président  de la République fasse assaut d'autant de familiarité et de vulgarité ?

    Absence de maîtrise ? Violence intérieure ? Conflit personnel non réglé ?

    La France, oui, méritait vraiment mieux !

    Parce que « le style fait l'homme », nous pouvons être sérieusement inquiets.

     


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    HONTE Sur la République !

    MIGNON vient de démentir des propos scandaleux !

    Emmanuelle Mignon, directrice de cabinet du président Nicolas Sarkozy, affirme que "les sectes sont un non-problème" en France.

    Emmanuelle Mignon a écrit certains des discours les plus contestés de Nicolas Sarkozy sur la religion et la laïcité, en particulier celui de Latran, et inspiré sa dernière initiative, également contestée, concernant le "parrainage" par chaque élève de CM2 d'un enfant juif français tué par les nazis.

    MIGNON démission !


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  • <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p> 

    « La directrice de cabinet de Nicolas Sarkozy, Emmanuelle Mignon, estime qu'«on peut s'interroger» sur la menace représentée par <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName ProductID="la Scientologie." w:st="on">la Scientologie.</st1:PersonName> »

     

    Inutile de s'inquiéter, les sectes sont un «non-problème» en France. C'est l'Elysée qui le dit, en la personne d'Emmanuelle Mignon. La directrice de cabinet de Nicolas Sarkozy s'exprime sur la question dans un entretien à l'hebdomadaire VSD de ce mercredi.

    «La lutte contre les sectes a longtemps permis de dissimuler les vrais sujets. Mais, en France, les sectes sont un non-problème», juge cette proche du chef de l'Etat. «La liste établie en 1995 est scandaleuse», ajoute-t-elle, évoquant la liste des «mouvements sectaires» mise au point alors par <st1:PersonName ProductID="la Commission" w:st="on">la Commission</st1:PersonName> parlementaire d'enquête sur les sectes.

    «Quant à <st1:PersonName ProductID="la Scientologie" w:st="on">la Scientologie</st1:PersonName>», qui figurait dans cette liste, «je ne les connais pas, mais on peut s'interroger. Ou bien c'est une dangereuse organisation et on l'interdit, ou alors ils ne représentent pas de menace particulière pour l'ordre public et ils ont le droit d'exister en paix», souligne Emmanuelle Mignon. La mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires (miviludes) devrait apprécier. D'autant que la directrice de cabinet accuse cette instance de «ne rien faire à part publier des rapports»

     

    http://www.liberation.fr/actualite/politiques/311158.FR.php


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    La semaine dernière, Emile Zuccarelli dégustait son loup en croûte de sel, tranquille comme Baptiste. Malgré sa défaite aux législatives, le maire (PRG) de Bastia parie gagnant sur sa réélection pour un quatrième mandat à la tête de la préfecture de Haute-Corse. «Et même dès le premier tour», se targue l'ancien ministre de <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName ProductID="la Fonction" w:st="on">la Fonction</st1:PersonName> publique, viré en mars 2001 par Lionel Jospin, alors Premier ministre, pour cause d'hostilité au processus de Matignon. Pour étayer son pronostic, il brandit ses mille voix d'avance obtenues sur la ville même de Bastia en juin 2007.

    «Milou», comme le surnomment les Bastiais, a pourtant bel et bien senti le vent du boulet. «C'est vrai que cette fois nous menons une campagne plus active que d'habitude», confie un de ses proches. «J'ai été battu par la conjonction de la vague bleue et celle du vote des nationalistes qui étaient dans une logique "sus à Zuccarelli"», explique le maire : «Les amis de Jean-Guy Talamoni ont majoritairement voté Sarkozy à la présidentielle. Pour eux, je suis l'ennemi de classe.» Ses adversaires de tous poils, confortés par cette première victoire aux législatives, jugent qu'ils disposent d'une fenêtre de tir pour porter l'estocade au maire, bête noire des «natios». «Cela fait la troisième génération de Zuccarelli à l'hôtel de ville, et son fils Jean figure à la 25e place sur sa liste pour le préparer à la succession. Cela va peut-être suffire», explique un des colistiers de Gilles Simeoni.

    <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p>

    http://www.liberation.fr/actualite/politiques/municipales2008/unevilleaujourlejour/311094.FR.php

     

    [Merci à Nicole]


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    Devant autant de bêtises et d'âneries cumulées, d'erreurs de comportements et de jugements, la question se pose alors « mais qui est donc derrière Nicolas SARKOZY » ?

    A moins que la personne ne rencontre de sérieux problèmes de santé ?

    Dans ce cas  alors le comportement psychomoteur du Président de la République française Nicolas SARKOZY doit inquiéter légitimement.

    L'examen de la structuration psychique de cette personnalité n'appelle-t-elle pas l'examen sérieux de la procédure de Destitution [article 67 et 68 de la Constitution de la Vème république] ?

     

    Voir l'analyse brillante du Philosophe MANUEL de DIEGUEZ

    http://pagesperso-orange.fr/aline.dedieguez/tstmagic/1024/tstmagic/europolitique/generation2.htm

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    Un appel "pour une vigilance républicaine"

     

    Dix-sept personnalités de gauche, centristes ou d'inspiration gaulliste ainsi que l'ancien premier ministre Dominique de Villepin, ont signé "l'appel du 14 février pour une vigilance républicaine" rendu public vendredi 15 février par l'hebdomadaire Marianne. Outre l'ancien premier ministre de Jacques Chirac, figurent notamment parmi les signataires les gaullistes Pierre Lefranc, ancien chef de cabinet du général de Gaulle, le souverainiste Nicolas Dupont-Aignan, le député communiste André Gerin, Jean-Pierre Chevènement, plusieurs socialistes de premier plan (Ségolène Royal, Bertrand Delanoë, Arnaud Montebourg), représentants du MoDem (François Bayrou, Marielle de Sarnez, la sénatrice Jacqueline Gourault) et du Nouveau Centre (les députés Maurice Leroy, Jean-Christophe Lagarde). Corinne Lepage, ancienne ministre de l'écologie d'Alain Juppé et le député Vert Noël Mamère sont également présents.

    Dans un court texte dans lequel Nicolas Sarkozy n'est pas cité, ils déclarent refuser "toute dérive vers une forme de pouvoir purement personnel confinant à la monarchie élective" et rappellent "leur attachement aux fondamentaux d'une laïcité ferme et tolérante" ainsi qu'à "l'indépendance de la presse".

    Enfin, les signataires qui souhaitent prendre position "au-delà de leurs divergences" déclarent partager un attachement commun "aux grandes options qui ont guidé depuis cinquante ans, au-delà des clivages partisans, une politique étrangère digne, attachée à la défense du droit des peuples, soucieuse de préserver l'indépendance nationale".

     

    Jean-Michel Normand - Le monde -


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