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    « DE <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName ProductID="LA CONTESTATION MONDIALE" w:st="on">LA CONTESTATION MONDIALE</st1:PersonName> BOBO-DOCILE ET DU SOUVERAINISME DE LIBERATION » Par Paul-Eric Blanrue

     

    "Si le mouvement national contemporain ne veut pas se contenter de rééditer les anciennes tragédies amères de notre histoire passée, il doit se montrer capable de s'élever au niveau des exigences de l'heure présente". James Connolly (1868-1916), fondateur de l'Irish Republican Socialist Party

    "Donnez-moi un point d'appui et un levier et je soulèverai <st1:PersonName ProductID="la Terre." w:st="on">la Terre.</st1:PersonName>" Archimède

    "Pensez-vous tous ce que vous êtes supposés penser ?"

    "Ce que nous devons conquérir, la souveraineté du pays, nous devons l'enlever à quelqu'un qui s'appelle le monopole. Le pouvoir révolutionnaire, ou la souveraineté politique, est l'instrument de la conquête économique pour que la souveraineté nationale soit pleinement réalisée". Ernesto Guevara.

    À chaque époque, ses contradictions. L'une des contradictions majeures de notre temps, se déroulant dans la pratique sociale et politique, se présente sous la forme d'une lutte à mort entre les puissances convergeant vers l'homogénéisation planétaire et les mouvements résistant à ce processus. Largement utilisés depuis les années 1980, les termes de mondialisation et de globalisation traduisent l'action des puissances homogénéïsantes.

     

    http://www.comite-valmy.org/spip.php?article63 

     

    Photo : Bikini Che Guevara Tyler Durden

    <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /> 

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    « Rachida Dati a failli devenir ministre » par Patrick Jarreau

     

    Il n'est décidément pas facile d'être Rachida Dati. On lui reproche d'avoir défendu le jugement d'une magistrate de Lille, qui a accepté d'annuler un mariage au motif que la femme avait menti en se déclarant vierge, état qui constituait, aux yeux du mari, une "qualité essentielle". La garde des sceaux ayant décidé finalement de faire appel de ce jugement, on lui reproche de se contredire.

    La situation dans laquelle se trouve la ministre est de celles qui pourraient justifier une démission. Autrefois, un membre du gouvernement démissionnait quand son autorité était en jeu. Dans certains cas, c'était parce qu'il avait commis une faute, laissé commettre une faute ou devait en assumer une dans laquelle il n'était pour rien. Il pouvait aussi démissionner parce qu'il refusait d'appliquer une décision contraire à ses convictions. Le dernier exemple de ce type est celui de Jean-Pierre Chevènement, quittant le gouvernement en 2000 parce qu'il était en désaccord avec la politique corse du premier ministre, Lionel Jospin.

     

    http://www.lemonde.fr/opinions/article/2008/06/06/rachida-dati-a-failli-devenir-ministre-par-patrick-jarreau_1054674_3232.html


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    « Les chiraquiens : un petit carré de résistants au sarkozysme »

     

    Ils ne sortent pas à la nuit tombante, engoncés dans leur pardessus couleur muraille. Ces "résistants" au sarkozysme, ainsi que se définissent les plus virulents d'entre eux, affrontent ouvertement l'Elysée depuis la salle des Quatre-Colonnes de l'Assemblée nationale.

    Ouverture à gauche, tests ADN, discours de Dakar, relation franco-américaine, loi de modernisation de l'économie et réforme des institutions - leur cheval de bataille : ils posent sur la première année du mandat de Nicolas Sarkozy un regard impitoyable ; s'insurgent à coup de communiqués et de petites phrases ; se désolent : "Chirac et Villepin auraient fait mieux."

    Faute de mieux, on les appelle les chiraco-villepinistes, eu égard à leur engagement passé et présent pour l'ancien chef de l'Etat et le dernier de ses premiers ministres. Ils se sont soudés au cours de la campagne présidentielle 2007 qu'ils ont suivie en spectateurs consternés.

    Selon les comptages les plus optimistes, ils ne sont guère plus d'une vingtaine de parlementaires à s'affilier à cette famille, mais font du bruit comme cent. Ce qu'ils ne supportent plus ? Les attaques répétées du chef de l'Etat contre son prédécesseur et la troupe hétéroclite de ses fidèles. "Quand j'entends Sarkozy dire qu'avant c'était la nuit, les bras m'en tombent", s'énerve Jean-Pierre Grand, député de l'Hérault.

     

    http://www.lemonde.fr/archives/article/2008/05/30/les-chiraquiens-un-petit-carre-de-resistants-au-sarkozysme_1051808_0.html


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    A observer le ballet des prétendants au PS, on se prend à espérer le retour d'Ulysse, le héros de L'Iliade et de L'Odyssée, pour mettre un terme à la confusion créée par le vide de pouvoir Rue de Solférino. Ou que son fils Télémaque-Hollande se résolve à chasser les prétendants de l'Ithaque socialiste. Cependant, à bien y réfléchir, le rôle de Télémaque ne sied pas à François Hollande qui reste, quoi qu'il en dise, l'un des plus sérieux prétendants. Qui d'autre alors pourrait ramener la paix dans la maison socialiste ? Bertrand Delanoë n'a pas démérité depuis 2002. Et Lionel Jospin, son "père" politique, aurait de sérieux arguments à faire valoir pour jouer les Ulysse du PS, lui qui est resté attaché à son mât toute une année, quand les sirènes du pouvoir l'appelaient. Mais voilà, il a raté son retour à Ithaque. L'Hermès des sondages n'en voulait pas. Et Delanoë s'est engagé dans une course au caucus avec Ségolène pour savoir qui est le plus libéral des deux. "Or le socialisme ne se limite pas à une question morale. C'est d'abord un combat sur la production et la répartition des richesses." Parole de Julien Dray qui - après une saison dans l'île de Calypso, assis à la droite de Ségolène - est à nouveau en quête d'un port d'attache. Un imprudent a dû déboucher "l'outre d'Eole" sur le navire socialiste, et les vents soufflent si fort en tous sens qu'il n'est pas facile de naviguer dans la nuit postélectorale. Avec les autres prétendants, le voilà qui complote, dresse une embuscade pour se débarrasser de Ségolène, qui se trouve contrainte de jouer les Télémaque de L'Odyssée. Son slogan, "l'ordre juste", l'en rapproche mais son peu de loyauté à l'égard des aînés la disqualifie pour le rôle.

     

    http://www.lemonde.fr/opinions/article/2008/05/29/le-ps-trop-de-mythes-pas-assez-d-histoire-par-christian-salmon_1051353_3232.html


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    La gauche a besoin d'un profond renouvellement pour sortir de la routine et éviter le risque d'une nouvelle défaite à la prochaine élection présidentielle. Pour cela, il lui faut à la fois mieux se coordonner et mieux mobiliser ses adhérents et sympathisants.

    D'abord, mieux s'organiser. Face à l'UMP, qui a pratiquement unifié la droite, la gauche reste morcelée, balkanisée, divisée en plusieurs formations rivales. Certes, fusionner la gauche ne correspondrait ni à son histoire, faite de diversité, ni à la volonté de ses acteurs. En revanche, créer une fédération de la gauche, comme l'avait fait autrefois FrPluralisme, d'abord, car chacun des partis de gauche est attaché à sa spécificité, à son identité particulière et revendique légitimement l'exercice du droit à la différence qui, d'ailleurs, permet utilement dialogue et échange entre partenaires. Il ne s'agit donc pas d'envisager une uniformité, qui appauvrirait le débat public, et une unité de façade, qui serait artificielle.

    Mais la diversité de la gauche doit jouer comme un atout, non comme un handicap. Le résultat du 21 avril 2002 et l'absence de la gauche au second tour tiennent pour beaucoup à son excessive division au premier tour de cette élection présidentielle. De telles circonstances peuvent se reproduire. Pour l'éviter, il faut donc concilier pluralisme et partenariat en créant une structure fédérale qui, tout en laissant subsister chacune des formations de gauche, les coordonne pour des actions conjointes et dégage une stratégie commune. En particulier pour la présidentielle.

     

    http://www.lemonde.fr/opinions/article/2008/05/28/gauche-une-federation-et-des-primaires-par-roger-gerard-schwartzenberg_1050751_3232.html


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    « Le sarkophage » N°6 est en KIOSQUE  !

     

    Contre tous les sarkozysmes ! En AVANT <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName w:st="on" ProductID="la Résistance">la Résistance</st1:PersonName> !

     

    Avec les articles de Ben Cramer, Danielle Mitterrand, Baptiste Mylondo, Florence Jany-Catrice, Pierre Cours-Salies, Camille Sardon, Bernard Guibert, Philippe Godard, René Naba, Gilles Bachelier et Claude Beaulieu, Paul Ariès, Evelyne Perrin, Roger Martelli, Jacques Bidet, Charlotte Belge, Guy Dreux, Jean-Luc Debry, Danielle Charest, Jean-Luc Pujo, Olivier Le Cour-Grandmaison


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    Jean-Pierre Chevènement, président d'honneur du MRC, a appelé mercredi à un débat à gauche pour créer un grand parti de toute la gauche, avec la tenue d'un "Congrès de rassemblement" en 2010 ou début 2011 permettant une "candidature commune" à la présidentielle de 2012.

    Cette stratégie est proposée dans une motion d'orientation adoptée par la direction du Mouvement républicain et citoyen (MRC), pour son Congrès des 21 et 22 juin prévu au Kremlin-Bicêtre (Val-de-Marne), ville gérée par un maire MRC, Jean-Luc Laurent.

    "L'impératif est le rassemblement" et "les clivages internes de la gauche doivent être dépassés par le débat", a affirmé lors d'un point de presse M. Chevènement pour qui ce grand parti doit être fondé sur un "projet républicain".

     

    http://www.chevenement.fr/Chevenement-propose-un-Congres-de-rassemblement-de-la-gauche-en-2010-ou-debut-2011_a613.html?PHPSESSID=d1330e7053960140a4fddd95d05f48d4


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    Paris Match. Vous venez d'investir dans une société de vente aux enchères, Piasa. Est-ce un retour à la tradition familiale du négoce d'antiquités ? L'amorce d'une reconversion ?

    Laurent Fabius. C'est un hobby. Il s'agit d'une participation, avec des amis, dans une maison de qualité et de renom, de taille moyenne. J'ai toujours été très intéressé par l'art, à la fois traditionnel et contemporain. Je vais souvent à Drouot, je chine chez les brocanteurs, dans les foires à tout... Je mets mon petit chapeau, et hop !

    N'êtes-vous pas atterré par l'état de la politique et la course aux ego dans votre propre parti ?

    Depuis quelques années, la politique est devenue une sorte de show permanent. On dit que c'est l'influence américaine. Peut-être... Cette conception "bling-bling", à gauche comme à droite, ne m'intéresse pas. Un jour, je l'espère, on reviendra à des critères de compétence et de sérieux. Quant aux concours d'ego dans mon parti, je ne m'en mêle pas. La cuisine interne me déplaît, alors qu'il y a tant de problèmes importants auxquels nous devrions réfléchir : environnement, vieillissement, protection sociale, mondialisation...

     

    http://www.laurent-fabius.net/article1083.html


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  • Lors de la Révolution française, les Enragés est le nom donné aux ultra-révolutionnaires qui eurent notamment pour chef un prêtre constitutionnel Jacques Roux, surnommé "le curé rouge »,  l'un des premiers prêtres à prêter serment à la Constitution civile du clergé.

    Son Adresse à la Convention nationale (également connue sous le nom de Manifeste des Enragés) le 25 juin 1793 qui repose sur l'idée que : « La liberté n'est qu'un vain fantôme, quand une classe d'hommes peut affamer l'autre impunément. L'égalité n'est qu'un fantôme, quand le riche, par le monopole, exerce le droit de vie et de mort de son semblable. La république n'est qu'un vain fantôme, quand la contre-révolution s'opère de jour en jour par le prix des denrées auquel les trois quarts des citoyens ne peuvent atteindre sans verser des larmes. »

    Trois points peuvent apparaître comme les lignes de force de ce programme : taxation générale, répression de l'accaparement, prohibition du commerce de l'argent monnayé.

    Toute notre actualité ! Non ?

    Relire « Le Manifeste des Enragés » : http://www.royet.org/nea1789-1794/archives/documents_divers/roux_manifeste_enrages.htm


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  • Jean-Pierre Chevènement, président d'honneur du MRC, a appelé mercredi à un débat à gauche pour créer un grand parti de toute la gauche, avec la tenue d'un "Congrès de rassemblement" en 2010 ou début 2011 permettant une "candidature commune" à la présidentielle de 2012.

    Cette stratégie est proposée dans une motion d'orientation adoptée par la direction du Mouvement républicain et citoyen (MRC), pour son Congrès des 21 et 22 juin prévu au Kremlin-Bicêtre (Val-de-Marne), ville gérée par un maire MRC, Jean-Luc Laurent.

    "L'impératif est le rassemblement" et "les clivages internes de la gauche doivent être dépassés par le débat", a affirmé lors d'un point de presse M. Chevènement pour qui ce grand parti doit être fondé sur un "projet républicain".

    Pour l'ancien ministre, le contexte est favorable à un tel "électrochoc". "Nous sommes à l'aube d'une crise profonde et systémique", la "globalisation est en crise. Un tsunami est à l'horizon".

    M. Chevènement affirme croire aux "miracles républicains" - comme celui qui a permis, selon lui, la fondation du PS au Congrès d'Epinay en 1971.

    Des étapes intermédiaires seront peut être nécessaires pour ce grand parti, avec la création "dans un premier temps (d') une Fédération", ajoute-t-il.

    Il propose un calendrier: des "forums d'unité dès cette année", des "assises de la gauche en 2009" et "un Congrès de rassemblement en 2010 ou début 2011" en vue d'une "candidature commune de la gauche sur la base d'un projet partagé" en vue de la présidentielle de 2012.

    http://www.chevenement.fr/Chevenement-propose-un-Congres-de-rassemblement-de-la-gauche-en-2010-ou-debut-2011_a613.html?preaction=nl&id=3345999&idnl=34988&


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    Par Luc Mandret, qui, inquiet de vour Besancenot jouer le rôle d'épouvantail, appelle à un rassemblement de la gauche, du centre-gauche, du centre, pour construire un véritable débat positif, au sein d'un nouveau think tank : le LCC. Luc Mandret - DR –

     

    François Mitterrand, en fin stratège politique, a joué avec le feu. Voulant déstabiliser la droite républicaine, l'ancien président socialiste de <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName ProductID="la République" w:st="on">la République</st1:PersonName> voyait dans le Front National une occasion unique : diviser l'adversaire. Plus le FN remportait de suffrages, plus le nombre de voix pour le RPR s'asséchait. On peut considérer que l'instauration du scrutin à la proportionnelle en 1985 en est une preuve tangible, et l'une des causes de la démission de Michel Rocard du gouvernement.

    Dangereux pari : diviser pour mieux régner, au risque de renforcer les extrémismes. Nicolas Sarkozy n'adopterait-il pas la même stratégie ? Après avoir récupéré les voix frontistes, ne veut-il pas faire d'Olivier Besancenot son Jean-Marie Le Pen de demain ? Plus Besancenot monte dans les sondages et prend des voix à la gauche traditionnelle, plus les partis de la gauche se fragilisent.

    Dans les années 80, certains membres et cadres du RPR s'installent à l'aile droite du parti, n'hésitant pas à nouer des alliances avec le FN.

    Des députés RPR militent alors fermement pour la "dédiabolisation" du Front National. D'autres prennent la direction de régions avec les voix des conseillers régionaux frontistes.

     

    http://www.marianne2.fr/Et-si-Besancenot-devenait-l-arme-anti-gauche-de-Sarko-_a86972.html

     


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    Banquet républicain de Gauche Avenir, à Choisy le Roi, le lundi 5 mai 2008.

     

    La gauche est solidement installée dans le paysage local mais elle ne peut oublier qu'elle a échoué à trois reprises à conquérir le pouvoir d'Etat, à l'occasion des élections présidentielles de 1995, 2002 et 2007. Cette incapacité est-elle rédhibitoire ?

     

    I - La gauche est placée devant un grand défi : la conquête du pouvoir d'Etat.

     

    1. La politique engagée par Nicolas Sarkozy répond à un dessein illusoire : celui d'adapter <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName w:st="on" ProductID="la France">la France</st1:PersonName> à la mondialisation

     

    L'abaissement du coût du travail est une impasse pour <st1:PersonName w:st="on" ProductID="la France">la France</st1:PersonName> comme pour l'Europe. Ce n'est pas de cette manière que nous restaurerons notre compétitivité face à <st1:PersonName w:st="on" ProductID="la Chine">la Chine</st1:PersonName> , l'Inde, etc. On nous donne la politique allemande en exemple. Cette politique de compression des coûts s'exerce au détriment des autres pays européens. Elle est de plus en plus rejetée en Allemagne. La politique de Nicolas Sarkozy ne prépare pas l'avenir. Elle tue la croissance. Elle ruine la solidarité. Elle ne répond pas à l'exigence d'un effort partagé.

     

    http://www.chevenement.fr/Un-nouveau-depart-pour-la-gauche_a610.html?PHPSESSID=76f830df1e5e2b6ac3fa05b68ca0a630


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