•  

    Certains se demandent si, en refusant de voter la révision constitutionnelle, les socialistes ne sont pas en train de passer à côté d'une opportunité : rééquilibrer les institutions. La réponse est non. Cette révision est une occasion perdue, non pour les socialistes, mais pour <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName w:st="on" ProductID="la République. Nos">la République. Nos</st1:PersonName> institutions souffrent d'un mal profond : l'hyperpuissance du président. Il est le véritable chef du gouvernement, pour ne pas dire le gouvernement à lui seul, dans la pratique actuelle de l'Elysée. Et, depuis le quinquennat et la succession des élections présidentielle et législatives, il est le chef réel de la majorité présidentielle à l'Assemblée. La séparation des pouvoirs n'est plus qu'apparence. De surcroît, ce pouvoir sans pareil n'est assorti d'aucune responsabilité. J'appelle ce régime la monocratie : le pouvoir d'un seul dans <st1:PersonName w:st="on" ProductID="la République.">la République.</st1:PersonName>

    <st1:PersonName w:st="on" ProductID="la République."></st1:PersonName>Or le projet de révision ne réduit pas les pouvoirs du président. Il les accroît en lui permettant de s'adresser directement aux parlementaires réunis en Congrès. Le président présentera un bilan flatteur de son action et fera acclamer par sa majorité son programme de gouvernement. Le premier ministre comme chef de la majorité parlementaire disparaît. Le renforcement des prérogatives du Parlement, premier objectif de la révision selon le président, est un leurre en termes de pouvoir réel. Tant que le président sera le chef incontesté de la majorité à l'Assemblée, le Palais-Bourbon demeurera une annexe du palais de l'Elysée. "Cy veut le Roi, cy fait la loi", l'axiome de l'Ancien Régime demeure la règle sous <st1:PersonName w:st="on" ProductID="la Ve République.">la Ve République.</st1:PersonName>

    <st1:PersonName w:st="on" ProductID="la Ve République."></st1:PersonName> 

    <st1:PersonName w:st="on" ProductID="la Ve République."></st1:PersonName>http://www.lemonde.fr/archives/article/2008/07/19/non-a-l-hyperpresidence-par-robert-badinter_1075175_0.html


    votre commentaire
  •  

    CONTRE TOUS <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName w:st="on" ProductID="LA SARKOZISMES">LES SARKOZYSMES</st1:PersonName> !

     

    1er anniversaire du SARKOPHAGE !

     

    Le N° 7 du SARKOPHAGE est sorti  le 12 Juillet !

     

    TOUS à vos Kiosques !


    votre commentaire
  •  

    « Une conversion miraculeuse au génie de la France » - rédigé par le Philosophe Manuel de Diéguez, un de nos grands Maîtres.

     

    Françaises, Français, mes chers compatriotes,

    L'Irlande a rejeté le traité de Lisbonne, le Président de la Pologne s'est fait tirer l'oreille pour signer le décret de légitimation du vote du Parlement qui l'avait largement approuvé et demain, la République tchèque refusera à son tour de l'entériner, parce qu'elle s'imagine encore bien à tort, que son adoption mettrait en danger l'asservissement politique et militaire de l'Europe au sceptre de l'étranger. L'heure est donc venue pour la France entière, mais aussi pour moi- même, d'ouvrir les yeux sur l'histoire véritable des peuples du Vieux Monde, l'heure est donc venue pour notre Continent d'écouter la voix des nations dont les millénaires ont forgé l'âme et la raison, l'heure est donc venue pour nous tous de prêter une oreille attentive aux leçons de ce fleuron des civilisations qu'on appelait l'Europe. Qu'enseigne le vote irlandais à tous les chefs d'Etat de nos démocraties ? Qu'il n'y a pas, qu'il n'a jamais existé et qu'il n'existera jamais d'autorité politique respectée sous la livrée d'un souverain venu d'ailleurs, qu'il n'y a pas , qu'il n'a jamais existé et qu'il n'existera jamais de pouvoir acceptable quand les citoyens se trouvent placés sous la férule de dirigeants sur la tête desquels étincelle le glaive de l'occupant.

    Si les peuples écoutaient le tic tac d'une pendule, si le cadran des siècles indiquait les heures de servitude et de liberté des esprits et des cœurs , si l'intelligence des chefs d'Etat était appelée à s'illuminer sur les chemins de Damas où l'expérience de l'histoire les éclairerait sur la nature de leur vocation et de leur mission, alors je reconnais que j'étais demeuré un aveugle sur la scène internationale et que mon cerveau s'est embrasé du feu subit d'une conversion. Mais votre Président ne saurait, tel Saint Paul, demeurer frappé de cécité trois jours durant : au contraire, son devoir est de se réveiller et de mettre sans tarder ses yeux nouveaux au service de la France.

    http://pagesperso-orange.fr/aline.dedieguez/tstmagic/1024/tstmagic/defis_europe/conversion.htm


    votre commentaire
  • Ce jour-là, rapporte Le Figaro, le président se présente à la salle à manger de l'Elysée, avec un dossier au titre explicite : "Leaders d'opinion". Il a rendez-vous avec un groupe de personnes qu'on ne qualifie plus désormais d'intellectuels dans les antichambres du pouvoir, mais, avec franchise et de manière décomplexée, de leaders d'opinion, des êtres qui font profession non plus de penser mais d'influencer, non plus de critiquer le pouvoir mais d'en flatter les attributs. Pourquoi pas ? Que Nicolas Sarkozy emploie des intellectuels pour relayer son discours devenu inaudible, c'est de bonne guerre. Qu'il les rebaptise leaders d'opinion, cela a le mérite de la clarté. Qu'il s'entoure d'une cour pour dispenser ses oracles comme le trop fameux : "On ne va pas à <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName w:st="on" ProductID="la Comédie-Française">la Comédie-Française</st1:PersonName> pour s'emmerder" n'est pas un crime. Là n'est pas l'essentiel. Selon Le Figaro, Luc Ferry, l'un des convives, lui expliqua qu'il fallait compenser la dureté des réformes en proposant aux Français "l'embellissement de la vie". Rien de moins ? Malraux s'était contenté de ravaler les façades haussmanniennes. Paris y gagna en luminosité. Mais l'embellissement de la vie, c'est un programme digne des Lumières. Une nouvelle Renaissance, comme dirait Henri Guaino. Pourtant, rapporte l'un des convives, qui avoue n'avoir pas compris où Luc Ferry voulait en venir, "Ferry s'est fait ramasser sèchement". Il est vrai que l'humeur présidentielle est plutôt belliqueuse depuis quelques semaines, son caractère le porte moins à l'embellissement de la vie qu'au corps-à-corps avec les Français, qu'ils soient pêcheurs, chercheurs, militaires ou salariés de France Télévisions. L'insulte, par les temps qui courent, ne s'embarrasse pas de nuances. Souvenez-vous : Jérôme Kerviel, qualifié de "terroriste" par le PDG de <st1:PersonName w:st="on" ProductID="la Société">la Société</st1:PersonName> générale. Ce n'est pas Nicolas Sarkozy qui commettrait une telle outrance. Quand il veut blesser les journalistes, il les gratifie, avec un haussement d'épaules presque timide, du sobriquet de "manifestants", ce qui n'en est pas moins grave, presque un délit, à ses yeux.

    Mais Nicolas Sarkozy n'est pas toujours menaçant, il sait aussi faire preuve d'humour à l'occasion, comme lorsqu'il confia aux salariés de l'aciérie d'ArcelorMittal menacés de licenciement : "Je dois dire que Gandrange, comme voyage de noces, y a pas mieux." Voilà un homme qui sait parler au peuple. Ou à l'occasion du conseil de l'UMP le 6 juillet, lorsqu'il confia à un public conquis : "<st1:PersonName w:st="on" ProductID="la France">La France</st1:PersonName> est en train de changer. Elle change beaucoup plus vite et beaucoup plus profondément qu'on ne le croit." Avant d'affirmer, faussement ingénu : "Désormais, quand il y a une grève en France, plus personne ne s'en aperçoit"

     

    http://www.lemonde.fr/opinions/article/2008/07/11/une-presidence-famillionnaire-par-christian-salmon_1072584_3232.html


    votre commentaire
  •  

    Nicolas Dupont-Aignan, ancien UMP, député (non inscrit) de l'Essonne, est président de Debout <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName w:st="on" ProductID="la R←publique. Il">la République. Il</st1:PersonName> a mené campagne en 2005 pour le non au traité constitutionnel européen et a voté contre la ratification du traité de Lisbonne.

     

    Que vous inspire le déploiement des drapeaux français et européens pour la présidence française de l'Union Européenne ?

    Pour qu'un drapeau ait un sens dans la conscience collective, il faut qu'il représente quelque chose de positif, qu'il y ait une légitimité démocratique. Or, l'Union européenne d'aujourd'hui n'en a aucune puisque ses dirigeants bafouent ouvertement le suffrage universel et veulent imposer aux peuples une Europe qui ne marche pas. Le décalage saisissant entre la multiplication des drapeaux européens et l'échec patent de l'Union à améliorer la vie de ses citoyens explique le rejet des peuples, de plus en plus lassés du double discours permanent.

    Après le non irlandais au traité de Lisbonne, quel plan B proposez-vous ?

    Les dirigeants européens auraient dû accepter les refus référendaires des Français et des Néerlandais et ne pas chercher à les contourner. Le non irlandais montre que les peuples n'ont pas été dupes. Il fallait donc reconnaître ce vote populaire et suspendre le processus de ratification. Le président polonais et le président tchèque se chargeront de le faire. Ce traité est mort. L'Europe qu'il met oeuvre ne fonctionne pas. Le plan B est simple. Rompre les négociations avec <st1:PersonName w:st="on" ProductID="la Turquie">la Turquie</st1:PersonName> et lui offrir un partenariat. Revoir le statut de <st1:PersonName w:st="on" ProductID="la Banque">la Banque</st1:PersonName> centrale européenne pour y inclure un objectif de croissance économique et de lutte contre le chômage. Rendre des compétences aux Etats-nations pour gérer leurs propres affaires. Développer des coopérations à la carte sur les sujets essentiels qui permettront à l'Europe de peser dans la mondialisation - sciences, industrie, environnement... En un mot, arrêter de rêver une Europe uniforme à vingt-sept, impossible à construire, pour bâtir la seule qui peut marcher : celle des coopérations à géométrie variable.

     

    http://www.lemonde.fr/europe/article/2008/07/02/le-chef-de-l-etat-s-est-place-dans-une-contradiction-insurmontable_1065416_3214.html


    votre commentaire
  •  

    « Alain Lambert, fidèle meurtri et déçu du sarkozysme »

     

    Alain Lambert, ancien ministre du budget sous la présidence de Jacques Chirac, fut parmi les premiers à soutenir Nicolas Sarkozy dans sa quête de l'Elysée. Aujourd'hui, il ne cache pas sa déception. "Je ne comprends plus rien à l'action de l'homme que j'ai connu, aimé, soutenu, recommandé et dont je souffrirais profondément qu'il échouât", écrit le sénateur (UMP) de l'Orne dans une adresse au président de <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName w:st="on" ProductID="la R←publique">la République</st1:PersonName> publiée, samedi 28 juin, sur son blog. Quelques jours plus tôt, il avait refusé de voter au Sénat le projet de réforme constitutionnelle sur les institutions. "Ce qui a blessé ma conscience, c'est qu'il ait refusé d'introduire dans <st1:PersonName w:st="on" ProductID="la Constitution">la Constitution</st1:PersonName> les quelques mots nécessaires pour s'engager à respecter l'équilibre des finances publiques", explique-t-il, jugeant que l'amendement qui a été introduit à la demande du Nouveau Centre est "sympathique mais pas exigeant". "La suffisance du ministre chargé des relations avec le Parlement (Roger Karoutchi) dans les réponses aux amendements des sénateurs de sa majorité a fini par me convaincre que l'arrogance ministérielle illustrait pour longtemps le mépris du gouvernement pour le Parlement", écrit M. Lambert dans le courrier envoyé à ses collègues de l'UMP pour expliquer sa position.

    L'ancien ministre dénonce la "cour" qui entoure M. Sarkozy et fait barrage aux réflexions critiques qui pourraient l'aider à arrêter ses choix. "Il est loin le temps où je pouvais vous parler des choses simples de la vie de <st1:PersonName w:st="on" ProductID="la France">la France</st1:PersonName> et des Français, regrette-t-il, dans son adresse au chef de l'Etat. Désormais, il faut, pour ceux qui en acceptent l'humiliation, se prosterner d'abord devant une cour infranchissable."

    "Qu'il réfléchisse bien. Si des fidèles de mon genre lui disent de faire attention, il devrait écouter, nous confie M. Lambert. C'est parce que je lui conserve ma fidélité que je continuerai à lui dire ce que je pense être bien et non ce qu'il a envie d'entendre. Je n'ai rien à prouver en ce qui concerne mon indépendance."

    Patrick Roger

     

    http://www.lemonde.fr/politique/article/2008/07/02/alain-lambert-fidele-meurtri-et-decu-du-sarkozysme_1065422_823448.html?xtor=RSS-823353


    votre commentaire
  •  

    French Leader Sarkozy Targeted By Assassins In Israel, 2 Dead

    The Federal Security Service of the Russian Federation (FSB) is reporting to Prime Minister Putin and President Medvedev today that France's President Nicolas Sarkozy ‘narrowly escaped' an assassination attempt during his departure from Israel's Ben-Gurion airport [top photo left] in an attack which left one French Security Officer and one Israeli policeman dead.

    To the ‘sanitized' Western propaganda reports being given to their peoples on this attempt against the French President's life we can read as reported by Israel's Ynet News Service:

    “The incident caused a scare during the ceremony, prompting body guards to rush VIPs away from the area. The armored cars of President Shimon Peres and Prime Minister Ehud Olmert were rushed to the ceremony site, and the two were taken away from the area.

    Meanwhile, the French president was taken into his airplane, which was waiting on the runway, by his own bodyguards. After the circumstances of the incident became clear, the bodyguards allowed Peres and Olmert to board the plane and bid Sarkozy farewell.”

    Russian Security Analysts are also stating that this ‘first version' of the Western propaganda media reports, that an Israeli Border Policeman ‘committed suicide' during President Sarkozy's farewell ceremony, is ‘ludicrous' to explain away this assassination attempt as only the most vetted Israeli policeman are allowed near foreign heads of state by Israel's Institute for Intelligence and Special Operations (Mossad).

     

    http://fourwinds10.com/siterun_data/health/intentional_death/news.php?q=1214337277

    <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p>

    votre commentaire
  •  

    La prestation de Nicolas SARKOZY sur F3, hier, a illustré la capacité indéniable du jongleur : différents taux de TVA dans l'Union, périodes de pêche du Thon rouge, analyse des différents types d'inflation ...

    Le Président de l'Union Européenne est prêt pour Bruxelles et ses négociations sempiternelles.

    Numéro de jongleur expérimenté, lassant, certes, mais vide politique, angoissant, frustrant même.

    Aucune perspective, aucun projet, aucune analyse.

    <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName w:st="on" ProductID="La France">La France</st1:PersonName> - gérée par des comptables - n'est donc plus dirigée.

    Faut-il donc taire le malaise ? S'abstenir des mêmes commentaires ?

    <st1:PersonName w:st="on" ProductID="La France">La France</st1:PersonName>, c'est autre chose ! Toujours plus haut, toujours plus fort !

    Comment s'étonner de ce vide puisque l'homme semble ignorer et mépriser tout de l'esprit Français ?

     


    votre commentaire
  •  

    L'ensemble des Médias français cache une réalité qui transparaît au fils des jours : <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName w:st="on" ProductID="La France">La France</st1:PersonName> est actuellement agitée par une multitude de conflits sociaux qui durent pour certains depuis des semaines : transports, fonctions publiques, industries, services ...

     

    Le Pays connaît ainsi un état de révoltes larvaires qui s'amplifient sans que les Médias n'en parlent.

     

    Ne sommes-nous pas à la veille d'un immense embrasement ?

     

    Sera-ce pour aujourd'hui ? Pour cet automne ?

    <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p>

    votre commentaire
  •  

    La présidence de <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName w:st="on" ProductID="la République">la République</st1:PersonName> et le gouvernement vont annoncer ce mercredi un nouveau train de mesures pour réduire le train de vie de l'Etat de quelque 7,7 milliards d'euros en trois ans.

    Il bouclera ainsi une phase de diagnostic et de définition des réformes ministère par ministère.

    Au terme de la réforme, le Quai d'Orsay devrait donc disposer d'un réseau d'une trentaine de grosses ambassades "polyvalentes", d'une centaine d'ambassades "à missions prioritaires", délestées d'une partie de leurs services, et d'une trentaine de simples "postes de présence diplomatique".

    Parmi les mesures qui seront annoncées mercredi, le CMPP décidera de "briser le tabou de l'uniformité de la représentation de l'Etat dans tous les pays", précise l'Elysée.

    Il y aura ainsi trois types d'ambassades : une trentaine d'ambassades resteront totalement polyvalentes, les deux-tiers des représentations diplomatiques françaises seront recentrées sur des missions prioritaires en fonction des pays ; environ 30 autres ne seront plus que des postes de "présence diplomatique" avec des fonctions et des effectifs réduits. Cela se traduira par des réductions et des redéploiements d'effectifs du ministère des Affaires étrangères.

     


    votre commentaire
  •  

    Un LOGO qui parle de lui-même !

     

    Des drapeaux en bernes pour une France abandonnée ...

     


    votre commentaire
  •  

    « Les réformes engagées depuis l'élection de Nicolas SARKOZY n'ont pas un caractère « inédit » ou « jamais vu ». « Aucune réforme entreprise n'est définitive » et « certaines sont très partielles ».

    La réforme des institutions ?

    Elle est « par certains aspects assez bâclée » !

     

    François GOULARD, député UMP du Morbihan et proche de Dominique de Villepin.


    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique