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    L'Etat face à la crise

    Mardi 9 décembre 2008 à 18h

    Maison de la Chimie

    75007 Paris

    Avec la participation de :  Marie-Françoise Bechtel, conseiller d'Etat; Jacques Fournier, conseiller d'Etat, ancien secrétaire général du gouvernement; Jean-Michel Quatrepoint, journaliste, auteur de « La crise globale »; Dominique Garabiol, Fondation Res Publica; Jean-Luc Gréau, économiste, auteur de « La trahison des économistes » et Jean-Pierre Chevènement, président de la Fondation Res Publica

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  • Les éditions L'Harmattan

    vous invitent à rencontrer

    jean-luc Pujo

     

    pour la signature de son roman politique

    "De la France - Les chemins de terre"

     

    le Jeudi 27 novembre 2008
    à partir de 18 heures

    Librairie Têckne
    7, rue des Carmes 75005 Paris
    http://delafrance.blogg.org


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    Des salariés de l'audiovisuel public ont fait grève et manifesté mardi à Paris contre la réforme débattue à l'Assemblée

    La mesure phare du projet de loi est la suppression de la publicité à France Télévisions. Les syndicats s'inquiètent du manque à gagner qu'elle va entraîner et dénoncent les menaces pesant sur le secteur.

    L'actualisation des pages d'informations de nos sites internet devrait être affectée durant toute la journée.

    Environ 4.000 salariés, selon les syndicats, ont défilé en compagnie de producteurs, scénaristes et réalisateurs, de <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName ProductID="la Tour Eiffel" w:st="on">la Tour Eiffel</st1:PersonName> jusqu'aux abords de l'Assemblée nationale. France 3 Régions était largement représentée dans le cortège. Les dirigeants socialistes Martine Aubry et Benoît Hamon s'étaient joints aux manifestants.

    L'intersyndicale (SNRT-CGT, CFDT, CFTC, FO, SNJ, Sud, CSA, SITR, SRCTA et SNJ-CGT) s'inquiète du financement du groupe public en raison de la perte des recettes publicitaires et d'un retour à une mainmise du pouvoir politique sur l'audiovisuel. Elle craint également les effets du plan de départs volontaires de 900 salariés évoqué par le président de France Télévisions, Patrick de Carolis.

     

    http://info.france2.fr/medias/48944061-fr.php


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    MANIFESTE du 5 NOVEMBRE

    Depuis sa création le 5 novembre 1921, l'AGEEM réaffirme avec force :

    <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p>

    OUI à l'école maternelle française publique, laïque et gratuite pour tous
    Seule école ouverte à tous les enfants quelles que soient leurs origines, leurs cultures et leurs conditions sociales.

    OUI à l'école maternelle française publique, laïque et gratuite pour tous
    Dont les valeurs sont celles de la République française

    OUI à l'école maternelle française publique, laïque et gratuite pour tous
    Qui accorde toute sa place à l'enfant, l'élève, le futur citoyen
    Qui considère l'enfant dans sa globalité
    Qui lui donne le temps de s'approprier les savoirs
    Qui vise la construction et l'épanouissement de sa personne
    Qui propose d'apprendre ensemble en étant acteur de ses apprentissages
    Qui privilégie le jeu, la manipulation, l'expérience sensible et l'accès à la pensée symbolique

    OUI à l'école maternelle française publique, laïque et gratuite pour tous
    Qui permet à l'enfant de maîtriser le langage
    Qui favorise la culture artistique, littéraire et scientifique
    Qui place le corps aux sources de l'éducation

    OUI à l'école maternelle française publique, laïque et gratuite pour tous
    Qui est un espace de prévention avec des partenaires : les Réseaux d'aide aux élèves en difficulté, le personnel de santé scolaire, la protection maternelle et infantile

    Avec AGEEM, dites OUI à l'école maternelle française
    Publique, laïque et gratuite pour tous !

    Pétition :

    http://marnesia.free.fr/phpPetitions/index.php?petition=2*&pour_voir=oui

    <o:p></o:p>

    Site de l'AGEEM

    http://www.ageem.fr/


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  • <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p> 

    http://non.aux.mesures.darcos.over-blog.com/

    <o:p> </o:p>

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  • <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p> <o:p></o:p> 

    http://www.mesuresdarcos-aupiquet.net/spip.php?article35


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    La sotériologie démocratique et "l'instinct de mort" de l'Europe

     

    Un décryptage de l'inconscient mythologique de l'Histoire

     

    1 - L'idole et ses Narcisse

    La mère de la philosophie s'appelle le questionnement et sa grand-mère l'étonnement. Puis la troisième génération cache la lumière de la question sous le boisseau de <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName ProductID="la réponse. Le" w:st="on">la réponse. Le</st1:PersonName> géomètre, dit Aristote, est légitimé de ne plus s'étonner de l'incommensurabilité de l'hypoténuse, puisque le théorème de Pythagore a résolu <st1:PersonName ProductID="la question. Mais" w:st="on">la question. Mais</st1:PersonName> si la stupéfaction du philosophe cessait avec Euclide ou Archimède, la physique moderne ne se serait peut-être pas engagée sur le territoire miné de la relativité générale. L'ébahissement philosophique moderne bénéficie de circonstances politiques favorables à l'ahurissement de cette discipline du fait que la mondialisation de l'Histoire rend universelle la question la plus centrale de la discipline socratique, celle de savoir pourquoi le cerveau humain sécrète des dieux, c'est-à-dire des idoles qui lui ont longtemps servi de guides tour à tour bienveillants et cruels.

    De nos jours, peut-être Freud observerait-il l'humanité réfléchie dans les miroirs que lui tendent ses théologies; et sans doute l'auteur de L'avenir d'une illusion tenterait-il de comprendre la psychophysiologie d'un personnage politique construit en décalque des épreuves sanglantes que les siècles ont infligées à sa créature, de sorte que la science historique deviendra un observateur privilégié de l'enclume sur laquelle l'encéphale d'une humanité scindée entre le réel et le songe s'est forgé. Car enfin, quels que soient sa nature et ses apanages, une divinité se présente toujours et en tous lieux sous les traits d'un souverain plus ou moins intraitable ou accommodant; et, de siècle en siècle, ses sujets tentent de lui rendre <st1:PersonName ProductID="la pareille. Mais" w:st="on">la pareille. Mais</st1:PersonName> jamais une divinité ne se présente sous les traits d'un particulier qui s'adresserait d'égal à égal à l'un de ses semblables aux fins de lui faire valoir ses prérogatives, ses exigences et ses droits. L'idole est donc un personnage collectif par nature ; et c'est à ce titre qu'elle négocie l'étendue de ses pouvoirs avec des interlocuteurs inégalement déterminés à lui céder ou à lui tenir tête.

    <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p>

    Lire l'introduction et l'article en son entier :

    http://pagesperso-orange.fr/aline.dedieguez/tstmagic/1024/tstmagic/laicite/instinct.htm


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    <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p>

    Parce que rien ne peut justifier l'organisation d'une catastrophe humaine !

     

    Un peuple se bat pour sa survie (Israéliens)

    Un peuple souffre horriblement contre une invraisemblable injustice (Palestiniens).

     

    Dans ce face à face, l'insupportable est maintenant atteint.

     

    Qui donc fera le point troisième, permettra l'équilibre ?

     

     


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    La Haute Autorité de Santé vient de publier le manuel de certification, dans sa version 2010, des établissements de santé. Rappelons que la procédure de certification des établissements de santé, introduite par l'ordonnance n°96-346 du 24 avril 1996 portant réforme hospitalière a pour objectif « de porter une appréciation indépendante sur la qualité des prestations d'un établissement »[1].

    La nouveauté dans cette version du référentiel est l'apparition d'un chapitre sur l'engagement de l'établissement dans le développement durable. On ne peut que se réjouir de cette insertion qui s'inscrit dans la proclamation constitutionnelle et législative que « Les politiques publiques doivent promouvoir un développement durable »[2]. La Haute Autorité de Santé explicite d'ailleurs dans son référentiel que l'objectif dans la V2010 est d'engager les établissements à promouvoir le développement durable dans leur stratégie et dans le management »[3]. L'HAS souligne également la transversalité de cette démarche d'intégration du développement durable

    Au-delà de cette proclamation, le temps est donc venu pour les établissements de santé d'envisager une méthodologie pour s'engager dans le développement durable. Déjà quelques établissements précurseurs comme la Clinique Champeau à Béziers avec la norme ISO 14001[4], l'Institut Paoli Calmette à Marseille avec le règlement Européen EMAS[5] et l'hôpital de Brest avec l'agenda 21 s'étaient lancés dans une démarche qui doit conduire à une approche globale de la prise en compte du développement durable dans l'ensemble des activités et le bâtiment de l'établissement de santé.

    Le pas supplémentaire que franchit la Haute Autorité de Santé consiste à poser un diagnostic développement durable de l'établissement en définissant en amont dans son référentiel les trois dimensions du développement durable à savoir une gestion économique fiable, un établissement socialement intégré et un établissement de santé écologiquement respectueux.

    Il est donc maintenant important de construire les indicateurs de développement durable en établissement de santé, afin de réaliser ce diagnostic.

    Pour conclure, il nous semble important de rajouter une quatrième dimension en matière de développement durable en établissement de santé, celle du patient et de l'humanisme qui doit ressortir de sa prise en charge globale.

    [1]  HAS - Direction de l'Amélioration de la Qualité et de la Sécurité des Soins - Chapitre 1 - Partie 1 - Edition novembre 2008 - p.3

    [2] Article 6 de la Charte de l'Environnement

    [3]  HAS - Direction de l'Amélioration de la Qualité et de la Sécurité des Soins - Chapitre 1 - Partie 1 - Edition novembre 2008 - p.19

    [4]  Norme internationale rédigée par l'Organisation Internationale de Normalisation en 1996 et révisée en 2004.

    [5] Règlement (CE) n°761/2001 du Parlement Européen et du Conseil du 1 mars 2001 permettant la participation volontaire des organisations à un système communautaire de management environnemental et d'audit (EMAS)



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    Comme en boomerang, l'affaire réveille toutes les plaies de <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName w:st="on" ProductID="la psychiatrie. Le">la psychiatrie. Le</st1:PersonName> meurtre d'un jeune homme en pleine rue, mercredi 12 novembre, par un patient schizophrène échappé de l'hôpital psychiatrique de Grenoble, a secoué les équipes soignantes en santé mentale. Comme après l'affaire du double meurtre de Pau, en 2004, commis par un ancien patient de l'hôpital psychiatrique de la ville, médecins et soignants témoignent de la crise profonde de leur discipline. "On ne parle de la psychiatrie que quand il y a des faits divers, s'alarme Séverine Morio, infirmière à l'hôpital parisien Maison-Blanche. Mais c'est toute l'année que nous sommes en difficulté. On organise les ruptures de soin en faisant sortir trop tôt les patients, et ensuite on s'étonne qu'il y ait des passages à l'acte..."

    Le drame de Grenoble intervient dans un contexte de crise latente, les appels à la grève se multipliant dans les services de psychiatrie. A l'hôpital de la Conception à Marseille, une équipe a observé un mois d'arrêt de travail, en octobre, pour refuser l'arrivée d'un patient réputé très violent ; le 6 novembre, une centaine de salariés de l'hôpital Saint-Jean-de-Dieu, à Lyon, ont débrayé pour protester contre l'agression d'une infirmière par un patient qui ne voulait pas sortir de l'hôpital ; mardi 18 novembre, des soignants des hôpitaux parisiens de Sainte-Anne, Esquirol et Maison-Blanche observaient également une grève pour "lancer l'alerte sur la dégradation de la psychiatrie en France".

    De fait, malgré l'effort consenti par l'Etat au titre du plan santé mentale 2005-2008 (plus d'1,5 milliard d'euros consacrés surtout aux rénovations d'établissement), les hôpitaux psychiatriques sont soumis à une forte contrainte financière.

     

    http://www.lemonde.fr/societe/article/2008/11/20/la-psychiatrie-francaise-va-de-plus-en-plus-mal_1120942_3224.html


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    L'avenir des Balkans

    Lundi 24 novembre 2008 à 18h

    Maison de la Chimie

    75007 Paris
    Inscription :
    res-publica@wanadoo.fr 

    Avec la participation de :  Bertrand Dutheil de la Rochère, Fondation Res Publica ; Bertrand de Largentaye, conseiller à la Délégation de l'Union européenne auprès de l'OCDE et de l'UNESCO, représentant-adjoint de la Commission de l'U.E. à la Conférence internationale sur l'ex-Yougoslavie ; Michel Foucher, fondateur de l'Observatoire européen de géopolitique, directeur du Centre d'analyse et de prévision du M.A.E. et conseiller auprès du ministre (1997-2002), ambassadeur en Lettonie (2002-2006), professeur à l'Ecole normale supérieure ; Youri Roubinski, Institut de l'Europe de l'Académie des Sciences de Russie et Jean-Pierre Chevènement, président de la Fondation Res Publica


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    Où qu'il aille, dans l'exercice de ses fonctions internationales, Jean Ziegler est frappé depuis quelque temps par l'hostilité de « principe » que les représentants des pays du Sud manifestent à l'endroit ceux du Nord. Au point de rendre impossible l'adoption de mesures d'urgence sur certains dossiers pourtant cruciaux du point de vue des plus démunis, comme celui du Darfour par exemple. Le droit lui-même, parce que ses fondements sont d'origine occidentale, est le plus souvent récusé « a priori » par ses interlocuteurs. Le représentant spécial de l'ONU pour le droit à l'alimentation, parce qu'il lui faut bien comprendre pour agir efficacement, a entrepris d'écrire ce livre pour localiser les racines de la haine que le Sud voue désormais à l'Occident et réfléchir aux moyens propres à l'extirper. Cette haine s'alimente à trois sources. D'abord à la brusque résurgence, à laquelle le Nord reste sourd, de la mémoire blessée du Sud. Les humiliations endurées durant les trois siècles de la traite et de l'occupation coloniale remontent aujourd'hui à la conscience des peuples (chapitre 1). Cette haine est évidemment entretenue et actualisée par les souffrances que le nouvel ordre du capitalisme mondialisé inflige à un nombre incalculable d'hommes, de femmes et d'enfants du Sud (chapitre 2). La pratique du double langage et l'arrogance dont le Nord fait preuve dans les enceintes internationales achèvent d'alimenter la détestation de ce que nous incarnons (chapitre 3). Dans ce contexte dégradé, certains pays dérivent de fait vers la misère la plus noire dans une relative indifférence, tel le Nigéria, qui fait ici l'objet d'une étude spécifique tant son cas est symptomatique (chapitre 4), quand d'autres, telle la Bolivie depuis l'accession d'Eva Morales au pouvoir, prennent appui sur la haine de l'ordre occidental pour rompre avec lui. Au prix, en l'occurrence, d'une valorisation de l'indigénisme, au risque, donc, de favoriser les fondamentalistes du combat identitaire en lutte contre contre les tenants des principes universalistes du droit (chapitre 5). Comment responsabiliser l'Occident ? Comment désarmer la haine du Sud ? Dans quelles conditions concrètes le dialogue peut-il être renoué ? Telles sont quelques-unes des questions traitées en épilogue, au terme d'un parcours documenté, riche en exemples concrets et rapportés du terrain, sur un mode toujours vibrant et engagé.

     


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