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    TOUS AU KIOSQUE !


    Les "agités du bocal", Charlotte Belge
    Faut-il sauver la capitalisme en sacrifiant l'humanité, Paul Aries
    Le catholicisme serait-il de droite ?, Alain Jugnon
    Où sont les cathos de gauche ?, Christian Terras
    Quel avenir pour les classes moyennes ?, Jean-Luc Debry
    Créationnistes, laïcité et réformes de l'enseignement, Olivier Brosseau et Cyrille-Baudoin
    Les matérialistes ont-ils une âme ?, Pascal Charbonnat
    Alzheimer, cancer, stérilité... et si c'était la pollution ?, Catherine Levraud
    La croissance élitiste, Jean-Marie Harribey
    Philosophie de la banqueroute, Philippe Godard
    Les économistes à la corbeille, Thierry Ribault
    La planification à l'ordre du jour, Michel Husson
    Comment rationner l'énergie ?, Mathilde Szuba
    Qu'est-ce que l'économie distributive ?, Marie-Louise Duboin
    Au cas par cas, Laurent Paillard

    Sous les couches-culottes, le pot aux roses, Thierry Ribault

    <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p>

    http://www.lesarkophage.com/

     


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  • Lancement officiel du Roman « De la France - Les chemins de terre » par l'éditeur<o:p> </o:p>

    Le jeudi 27 novembre 2008.

    En présence de M. DANIEL COHEN, Directeur littéraire

    Voir les comptes-rendus des rencontres du mois de Novembre :

    - rencontre avec des étudiants de Dijon le 8 novembre ;

    - rencontre avec des militants de <st1:PersonName w:st="on" productid="la Gauche Républicaine">la Gauche Républicaine</st1:PersonName> des Hauts-de-Seine le 15 novembre ;

    Le blog du Roman : http://delafrance.blogg.org


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    « La diplomatie américaine et la religion ».

     

    A propos de Dieu, l'Amérique et le monde de Mme Madeleine Albright, ex-ministre des affaires étrangères des Etats-Unis.

     

    Au Professeur Emmanuel LOUISE-ALEXANDRINE qui a bien voulu me signaler cet ouvrage.

    Dans mon texte précédent - Les rêves et les chaînes, M. Obama ou la fin de l'illusion - j'ai souligné que l'échec inéluctable du sommet des vingt du 15 novembre à New-York - il a déjà renoncé à l'ambition de détrôner le dollar - ne sera pas définitif en ce sens qu'il fera changer de direction à l'histoire parallèle de la pensée et de la politique ; il est évident, disais-je, que le destin de la politique de la planète passera par l'ascension de la Chine , du Japon, de l'Inde, de la Russie , de l'Indonésie, du Mexique, de l'Argentine, du Brésil, du monde arabe, de la Corée et de l'Afrique du Sud et que la perpétuation du pelotonnement des Etats européens dans le giron de l'OTAN renverrait à l'agonie du Vieux Monde dans le provincialisme des décadences.(...)

    A la lumière de Dieu , l'Amérique et le monde (éditions Salvator 2008), de Mme Madeleine Albright, ancienne ministre des affaires étrangères des Etats-Unis, j'ai tenté d'expliquer les dessous théologiques de l'expansion de l'empire américain. On remarquera que ce titre exprime une hiérarchie. Le "Très Haut" dépasse l'Amérique d'une courte tête, mais "le monde" se place au dernier rang, parce qu'il fait l'objet d'une gestion commune de Dieu et de sa fille.

    Cet inconscient théologique de la politique est-il analysable? Qu'est-ce que le "coup de l'ange" qui arme une démocratie messianisée à l'école de ses idéalités sacralisées?

     

    http://pagesperso-orange.fr/aline.dedieguez/tstmagic/1024/tstmagic/laicite/albright.htm

     


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    « Faut-il être déçu ou non des résultats du G20 tant souhaité par la France ? »

     

    Malgré les déclarations de notre président qui y voit un sommet historique, où un certain nombre de « Graals » (je cite) ont pu être atteint, je crois que l'on peut être légitimement déçu par ce sommet. Je rappelle que le G20 c'est 85% du PIB de la planète, autrement dit c'est l'économie mondiale. Et cette économie mondiale préfère d'abord se préoccuper de relance de la croissance que de régulation financière. Ensuite, le G20 n'a pas adopté le principe d'une institution de régulation financière supranationale, au contraire, et ça c'est extrêmemement décevant. Je cite le communiqué : « La régulation relève avant tout de la responsabilité des régulateurs nationaux. » Chacun doit se débrouiller ou balayer devant sa porte, en matière de paradis fiscaux, de titrisation, de contrôles prudentiels, d'évaluation des agences de notation – ce qui dans une économie mondialisée est impossible.

    C'est une manière de relancer la compétition entre les nations.

    Je dirais même la guerre économique entre les nations. Chacun pour soi, fut la réaction des nations après la crise de 29 : résultat, on eut une guerre commerciale, puis industrielle, puis une guerre tout court. Aujourd'hui on propose aux Etats des relances séparées, notamment par la voix fiscale. Autrement dit par le moins d'Etat. On a le résultat réjouissant suivant : une fois que les banques et les intermédiaires des pays riches ont capté 3000 milliards de dollars (une fois et demi le PIB de la France ), et bien c'est fini, retour aux vieilles recettes qui ont conduit à la catastrophe actuelle.

    http://www.radiofrance.fr/franceinter/chro/lautreeconomie/

     


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    Les derniers néo-conservateurs sont-ils à Paris? Hubert Védrine, l'ancien ministre socialiste des Affaires étrangères, a lancé une pique ironique à son lointain successeur Bernard Kouchner, qui avait mis en garde les Etats-Unis contre un dialogue direct avec l'Iran.

    "Ça m'a fait rire de lire que Bernard Kouchner était allé faire une conférence à Washington pour mettre en garde les Etats-Unis contre le risque de parler à l'Iran. Faudrait pas qu'on soit les derniers néo-conservateurs du système. Il faudrait peut-être se projeter dans une autre politique: parler à l'Iran n'est pas plus absurde que de parler à l'URSS à l'époque où celle-ci menaçait l'Occident de l'annihiler"...

    L'ancien ministre de Lionel Jospin participait vendredi matin à "Parlons Net", le Club de <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName w:st="on" ProductID="la presse Internet">la presse Internet</st1:PersonName> animé par David Abiker (France Info.com) dont Rue89 est partenaire. Il répondait aux questions de Luc de Barochez (LeFigaro.fr), Xavier Monnier (Bakchich.info) et moi-même.

     

    http://www.rue89.com/2008/11/16/vedrine-les-derniers-neo-cons-sont-ils-a-paris-0


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    La plus grave crise économique de l'histoire moderne

     

    L'effritement financier d'octobre 2008 n'est pas l'effet d'un phénomène économique cyclique. C'est un aboutissant calculé de la politique du gouvernement des États-Unis, orchestré par le Trésor américain et le Federal Reserve Board. C'est la plus grave crise économique de l'histoire. Le « plan de sauvetage » («The Bailout») proposé par le Trésor américain ne constitue pas une « solution » à <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName ProductID="la crise. C" w:st="on">la crise. C</st1:PersonName>'est en fait tout le contraire : il provoque davantage de débâcle. Il crée une concentration de richesses sans précédent, qui à son tour contribue à creuser les inégalités économiques et sociales, au sein des nations et entre les nations. Le niveau d'endettement est monté en flèche. Poussées à la faillite, les corporations industrielles sont rachetées par les institutions financières mondiales. Le crédit, c'est-à-dire, l'offre de prêts de financement, qui constitue la bouée de sauvetage de la production et de l'investissement, est contrôlé par une poignée de conglomérats financiers.

    Avec le «plan de sauvetage» la dette publique a dérapé. Les États-Unis sont le pays le plus endetté de <st1:PersonName ProductID="la planète. Avant" w:st="on">la planète. Avant</st1:PersonName> le « renflouage », leur dette publique était de l'ordre de 10 billions de dollars. Cette dette libellée en dollars US se compose de bons du Trésor et d'obligations en souffrance, détenues par des particuliers, des gouvernements étrangers, des entreprises et des institutions financières.

     

    http://www.mondialisation.ca/index.php?context=va&aid=10982


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    L'avenir des Balkans

    Lundi 24 novembre 2008 à 18h

    Maison de la Chimie

    75007 Paris

    Inscription : res-publica@wanadoo.fr 

    Avec la participation de :  Bertrand Dutheil de la Rochère, Fondation Res Publica ; Bertrand de Largentaye, conseiller à la Délégation de l'Union européenne auprès de l'OCDE et de l'UNESCO, représentant-adjoint de la Commission de l'U.E. à la Conférence internationale sur l'ex-Yougoslavie ; Michel Foucher, fondateur de l'Observatoire européen de géopolitique, directeur du Centre d'analyse et de prévision du M.A.E. et conseiller auprès du ministre (1997-2002), ambassadeur en Lettonie (2002-2006), professeur à l'Ecole normale supérieure ; Youri Roubinski, Institut de l'Europe de l'Académie des Sciences de Russie et Jean-Pierre Chevènement, président de la Fondation Res Publica;


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    Les hommes de nos familles y étaient !

    SONNERIE DU CESSEZ LE FEU :

     

    http://musique2rh.free.fr/sonneries/cessez.mp3

     

    Des sites de batailles :

    http://gite.du.loison.meuse.free.fr/histoire-citadelle-souterr.html

    <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p>

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    A lire absolument : Texte très important  !

     

    Les rêves et les chaînes

    M. Obama ou la fin de l'illusion

     

    Quel prodige que l'histoire veuille bien s'asseoir un instant au chevet de la pensée : Clio a donné rendez-vous à la philosophie, les Etats démocratiques à la dialectique, l'Europe au "Connais-toi" et Socrate à la simianthropologie ! Depuis huit ans, je lutte pour une renaissance cérébrale des classes dirigeantes du Vieux Continent, depuis huit ans, je me heurte à une problématique politique privée de recul anthropologique, depuis huit ans, j'appelle la raison occidentale à ouvrir les yeux sur l'animal scindé entre ses rêves et ses chaînes - et voici que l'histoire redécouvre le réel (.)

    Non, M. Obama ne demandera pas à l'Europe de réapprendre à voler de ses propres ailes, non, M. Obama ne retirera pas gentiment de l'Irak ses séraphins de la Démocratie, non, M. Obama n'expliquera pas au monde que l'arme nucléaire est seulement de prestige et que cette mythologie ne menace en rien la terre d'Israël, mais seulement son hégémonie politique dans la région.

    Oui, comme partout sur la terre, M. Obama installera des bases américaines en Irak, oui, M. Obama tentera de porter le glaive de l'empire jusqu'en Ukraine et en Géorgie sous la sainte tunique de l'Otan, oui, M. Obama défendra l'unité politique de la ville de Jérusalem, oui, M. Obama réarmera son pays au profit de la sainte ambition de l'Amérique de diriger le monde sous la cotte de mailles d'un mythe de la délivrance sur lequel la croix des chrétiens aura été épinglée.

    Mais s'il n'avait pas joué à l'ange Gabriel, s'il n'avait pas feint de croire qu'un prophète proclamé empereur renoncerait à commander les légions, s'il n'avait pas replongé le monde dans le délire universel qui le scinde entre le cynisme et l'utopie, jamais le genre humain n'aurait pris rendez-vous avec lui-même. (.)

     

    Lire la suite :

     http://pagesperso-orange.fr/aline.dedieguez/tstmagic/1024/tstmagic/decodage/Obama.htm


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    Pour l'historien Emmanuel Todd, l'élection de Barack Obama «redonnera quelques années de vie supplémentaires à l'empire». Elle ne suffira pas cependant à restaurer l'autorité d'une puissance en voie de déclassement.

     

    L'élection annoncée de Barack Obama sera interprétée comme une régénération de la démocratie américaine, affirme Emmanuel Todd. Suffira-t-elle pourtant à opérer les ruptures espérées? Historien, démographe, auteur en 2002 d'«un «essai sur la décomposition du système américain», Todd ne cache pas sa perplexité. S'il accueille avec enthousiasme l'accession d'un président noir à la Maison-Blanche, il craint, dit-il, que l'événement ne s'inscrive dans un «processus de dislocation».

     

    - Voilà six ans, vous dressiez le tableau d'un pays devenu «un facteur de désordre international». Une élection de Barack Obama pourrait-elle modifier ce constat?

    - Elle donnera dans un premier temps l'image d'une Amérique qui rebondit. Avec Bush, on a eu le pire des présidents - une sorte de Rantanplan, qui fait la guerre, qui par sa maladresse accélère la destruction de l'empire américain. Avec Obama, resurgit le visage d'une Amérique optimiste et dynamique. Une Amérique civilisée, à la politique étrangère plus raisonnable, qui aspire à se retirer d'Irak, qui ne veut pas déclarer la guerre à l'Iran. Une Amérique qui pourrait néanmoins rester aussi anti-russe que la précédente, les démocrates ciblant la Russie comme le seul véritable adversaire stratégique des Etats-Unis.

    Dans le climat actuel de débâcle, de déroute financière et morale, et compte-tenu de la responsabilité inouie de l'Amérique dans le désordre du monde, la victoire d'Obama va permettre aux pro-Américains des pays occidentaux de dire que l'Amérique est redevenue merveilleuse. Elle redonnera quelques années de vie supplémentaires à l'empire.

     

    http://www.tdg.ch/actu/monde/empire-sursis-democratie-voie-dislocation-hyperpuissance-demeure-chine-russie-2008-10-31


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    Pour comprendre le vote des militants socialistes du 6 novembre 2008 » par l'Humouriste Didier Porte

     

     [Merci à Jean-Pierre]


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