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    La Ville de Genève, une ville parmi les plus riches du monde, a décidé de fermer l'Espace Rousseau. Créé en 2002, au 40 Grand-Rue, sur le lieu de naissance de l'écrivain, l'Espace Rousseau a dû cesser ses activités et fermer ses portes en 2006.


    Une pétition internationale vient de recueillir de très nombreuses signatures et le Conseil municipal a décidé de voter une nouvelle subvention.


    Mais la menace perdure. Signez la pétition !


    2012,  marquera le trois centième anniversaire de la naissance de Rousseau à Genève !
    Pour visiter le site Web de l'Espace Rousseau :
    http://www.espace-rousseau.ch/f/rousseau-aujourdhui/presse.asp


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    Laurent Fabius a affirmé qu'il "n'était pas question de passer le moindre accord avec le gouvernement" pour permettre le vote du projet de privatisation de GDF, critiquant ainsi l'accord intervenu la veille entre l'UMP et le PS.

    "C'est clair, les socialistes sont contre la privatisation de GDF. Il n'est pas question de passer un accord du gouvernement là-dessus. Il n'est pas question qu'il y ait un accord pour faciliter le vote du texte".


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  • SEINE-SAINT-DENIS (93) : "comme un  révélateur" pour l'Unsa-police !
    "Avec les effectifs actuels, on ne peut plus prétendre assurer la sécurité des citoyens" avoue Bruno Bobinet, du syndicat Unsa-police, "il manque dans le département 1.700 policiers".
    "Sarkozy avait promis des renforts d'effectifs qui ne sont jamais arrivés. Le préfet n'a pas hésité courageusement à dénoncer l'inacceptable", souligne-t-il, estimant qu'"avec les effectifs actuels, on ne peut plus prétendre assurer la sécurité des citoyens".
    "Les créations de nouvelles unités de police ont déshabillé les commissariats". "On voit des véhicules partir avec seulement un adjoint de sécurité et un gardien de la paix à peine titulaire", s'insurge M. Bobinet.
    "Ces jeunes vont se faire fracasser un jour ou l'autre".

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  • Quatre pages de colère froide et argumentée : ainsi se résume la missive adressée juste avant l'été par le préfet de Seine-Saint-Denis à Claude Guéant, directeur du cabinet de Nicolas Sarkozy au ministère de l'intérieur. Dans son courrier daté du 13 juin, Jean-François Cordet s'alarme - pour la quatrième fois, par écrit, depuis le début de l'année - de la montée de la délinquance dans son département. <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p>


    Il dresse aussi un bilan très sévère de l'action du tribunal de Bobigny et s'inquiète des problèmes d'encadrement et de motivation chez les policiers, dans un des départements les plus criminogènes de France, qui, écrit-il, compte "sans doute plus de 1,5 million d'habitants (compte tenu des clandestins)". En Seine-Saint-Denis, où deux tiers de la population est étrangère ou d'origine étrangère, "les écarts se creusent, les envies s'exacerbent", assène M. Cordet.

    <o:p> </o:p>


    http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0,36-814397,0.html


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  • <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p> 

    La C2R rassemble des Citoyens de la Gauche républicaine autour des Idées défendues par Jean-Pierre CHEVENEMENT.


    Vous trouverez sur leur blog un ensemble de contributions, de textes et d'interventions... utile pour répondre à de nombreuses questions : Quelle France ? Comment moderniser le logiciel républicain ?


    A l'heure où le modèle français fait l'objet de nombreuses critiques, cette initiative mérite d'être saluée. Elle est extrêmement utile comme grand forum d'échange et de discussions autour des Idées si riche de JP Chevènement.

    <o:p> </o:p>

    Retrouver le blog : http://rupturerepublicaine.blogg.org/


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  • L'avant-campagne présidentielle s'est emparée de la question de la carte scolaire. Nicolas SARKOZY a tout bonnement proposé sa suppression pure et simple. Ségolène ROYAL a évoqué son aménagement ou son assouplissement. Les débats qui s'organisent autour de ces prises de position mêlent souvent la pure tactique, le double langage et la mauvaise foi. Il est utile d'y voir clair.La carte scolaire date de 1963 : elle a été mise en place en même temps que la création des collèges d'enseignement secondaire (les CES). Il s'agit de la fixation d'un périmètre à l'intérieur duquel toutes les familles qui résident doivent envoyer leurs enfants dans un établissement scolaire donné.



    Lire la suite : http://rupturerepublicaine.blogg.org/


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  • "Sans doute des aménagements sont-ils nécessaires pour désenclaver les zones ghettos mais la suppression de la carte scolaire ou le choix donné aux familles entre plusieurs établissements conduirait à une situation encore plus inégalitaire", a estimé la Société des agrégés.
    "Le meilleur moyen de lutter contre ces inégalités est de restaurer partout l'autorité du savoir" et de "renoncer aux +projets d'établissement+ qui sont autant de facteurs de disparités".
    Elle a déploré aussi "l'extension considérable du marché des cours particuliers à domicile, subventionnée à 50% par l'Etat" et jugé que "l'Etat dépense pour les entreprises privées des sommes considérables au lieu de les investir dans l'amélioration de la transmission des connaissances à l'Ecole".


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  • Le leader de la gauche mexicaine, Andres Manuel Lopez Obrador, a confirmé sa stratégie de rupture en se faisant proclamer "président légitime", samedi 16 septembre, par des centaines de milliers de ses partisans, réunis à Mexico lors d'une "Convention nationale démocratique". Il est censé prendre ses fonctions le 20 novembre, à l'occasion du 96e anniversaire de la révolution mexicaine, soit dix jours avant l'intronisation du président élu, Felipe Calderon (droite), que le Tribunal électoral fédéral a déclaré vainqueur du scrutin du 2 juillet, malgré les plaintes pour fraudes et irrégularités.



    http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-3222,36-814055@51-805669,0.html



    PHOTO : AFP/ALFREDO ESTRELLA - Le leader de la gauche mexicaine Andres Manuel Lopez Obrador s'adresse à ses partisans, samedi 16 septembre, sur la place du Zocalo, à Mexico, lors de la "Convention nationale démocratique", à l'issue de laquelle il a été désigné "président légitime".


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  • COMMUNIQUE du 18 septembre 2006

    Le discours du Pape à l'Université de Ratisbonne ne relève pas de la maladresse. Pas plus le propos, d'ailleurs, que le thème de son intervention.

    La volonté de poser la question de la violence aux responsables de l'Islam est délibérée. Elle relève même du piège parfait.

    La complexité religieuse de l'Islam s'efface aujourd'hui derrière une simplification - abusive - dont les musulmans sont les premières victimes.

    N'en sont-ils pas aujourd'hui tout autant les responsables ?

    Comment, en effet, nier que l'Islam est en train de développer en son sein une forme de prosélytisme hyper-violent ?

    Ce faisant, cet Islam violent - auquel il est impossible, bien sûr, de réduire l'Islam - devient l'allié objectif de tous ceux qui, en Occident, prônent le conflit de civilisation.

    Aussi assiste-t-on à la mise en place d'un piège parfait où la violence conforte les positions les plus dures au détriment du dialogue des civilisations.

    Se dessine ainsi un axe infernal entre Islamistes, Néo-con's américains, mouvements chrétiens les plus réactionnaires... dont Benoît XVI - lui-même - n'est pas éloigné !

    Comment les démocrates et les républicains de toutes les familles spirituelles, de toutes nationalités et de tous les continents - attachés aux valeurs universelles - vont-ils échapper à ce piège infernal ?
    Le discours du Pape à l'université de Ratisbonne est un signe délibéré ! Inquiétant, il est un mauvais signe.

    Les Clubs "Penser la France"

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  • «Nous devons offrir à nos soldats et professionnels du renseignement les instruments dont ils ont besoin pour protéger notre pays d'une nouvelle attaque, a martelé le président américain. Je propose que l'on introduise de la clarté dans la loi», a-t-il ajouté, estimant que les Conventions de Genève sur le traitement des prisonniers de guerre sont «vagues» et «ouvertes aux interprétations.»(...)


    Mais les sénateurs républicains John McCain, ancien prisonnier torturé au Vietnam, John Warner et Lindsey Graham ont fait adopter juste après sa visite un texte dissident en commission de la défense qui s'en tient aux Conventions de Genève. Dans une lettre de soutien à McCain, Colin Powell écrit : «Le monde commence à douter du fondement moral de notre lutte contre le terrorisme. Redéfinir (le droit international) aggraverait ces doutes. Qui plus est, cela mettrait nos propres troupes en danger.»


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    Ségolène ROYAL ... par une ancienne collaboratrice !


    «Une femme calculatrice, autoritaire, obsédée par le pouvoir, et qui semble avoir de l'argent public une conception toute personnelle.»


     


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    C'est pour moi un moment émouvant que de me trouver encore une fois à l'université, et encore une fois pouvoir y donner une conférence. Mes pensées me ramènent à ces années au cours desquelles après une belle période passée à l'institut supérieur de Freising j'ai commencé mon activité d'enseignant à l'université de Bonn. C'était - en 1959 - à l'époque de l'université à l'ancienne, avec ses titulaires pour les différentes chaires, où il n'y avait ni assistants ni dactylos, mais, en revanche, le contact avec les étudiants et surtout entre les professeurs était très direct. On se rencontrait avant et après les cours, dans la salle des professeurs. Les contacts avec les historiens, les philosophes, les philologues et naturellement aussi entre les deux facultés de théologie, étaient très étroits.

    <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p>

    Lire la suite : http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0,36-813673,0.html


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