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    Cher(e) Collègue,



    Le projet de loi sur la fusion Suez / GDF qui sera soumis au Parlement dès la semaine prochaine n'est pas anodin. Compte tenu de ses implications économiques, sociales et par conséquent, à la veille de 2007, politiques, tous les arguments doivent être soigneusement examinés et débattus. Aussi, il m'a paru indispensable de vous écrire pour vous expliquer les raisons pour lesquelles je crois ce projet profondément contraire à l'intérêt national et pourquoi, en conséquence, je le combattrai.



    http://www.vivelarep.org/communiques/display.php?id=109&begin=0

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  • Le gouvernement soumet son projet de loi sur la prévention de la délinquance au Sénat le 13 septembre. L'évolution de la délinquance est-elle préoccupante ?


    Au cours des cinq dernières années, on a constaté une stabilisation, mais à un très haut niveau, des atteintes aux biens sous forme de vol (2 millions enregistrés par an) ; une augmentation légère des actes de dégradation et de vandalisme ; et une augmentation forte des violences sérieuses dans les espaces publics. En 2005, 355 000 violences graves contre les personnes ont été enregistrées, soit 4,4 % de plus qu'en 2004 et 100 000 de plus qu'en 2000. Le diagnostic est difficile, car on raisonne à partir d'un enregistrement officiel, qui suppose une plainte ou le constat d'un service de police.Mais certaines infractions, dont la mesure est plus fiable, témoignent avec certitude d'une progression de la délinquance. Ainsi les vols avec violence, comptabilisés à part, et dont la définition juridique n'a pas changé, ont connu une progression fantastique en quinze ans (de 51 000 à 118 000 entre 1990 et 2005, soit +120 %), et une progression substantielle l'an dernier (+5 % entre 2004 et 2005)


    http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0,36-811368,0.html


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    Invité de l'émission "Question Ouverte" sur France 2, il a également défendu la carte scolaire et appelé à combattre Nicolas Sarkozy : "Son projet pour la France, c'est marche ou crève". <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p>VOIR LA VIDEO : http://www.laurent-fabius.net/article644.html

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  • À mesure que la chaleur des combats s'éloigne, les véritables contours de la situation au Proche-Orient se discernent mieux. L'ampleur de la victoire du Hezbollah tout comme l'ampleur de sa défaite ont créé une situation paradoxale en Iran, qu'il n'est pas évident de débrouiller au premier abord. Ampleur de la victoire : le Hezbollah a fait la démonstration qu'Israël n'avait ni les moyens de la guerre éclair, ni ceux des grandes opérations commandos d'antan. Entebbe est loin, les grandes offensives blindées dans le Golan et le Sinaï le sont aussi. Dans ce contexte, une attaque solitaire d'Israël contre les centres nucléaires clandestins de l'Iran semble improbable.

    http://www.lefigaro.fr/debats/20060907.FIG000000169_dangereux_paradoxes_iraniens.html<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p>

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  • L'échec d'Israël face au Hezbollah démontre les nombreuses faiblesses du concept de "guerre contre le terrorisme". Parmi elles, il y a le renforcement de la cause des terroristes grâce au ralliement des civils touchés par les actions militaires. Israël était fondé à vouloir détruire le Hezbollah et à se protéger contre la menace de missiles à ses frontières, mais il aurait dû prendre plus de précautions pour minimiser les dommages collatéraux. Les pertes civiles, les souffrances engendrées et les dommages matériels infligés au Liban ont enflammé les musulmans et l'opinion internationale contre Israël et ont fait passer le Hezbollah du statut d'agresseur à celui de héros de la résistance.


    http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-3232,36-810497,0.html


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  • <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p> 

    Si vous êtes sensible à l'air du temps  et que, dans les brumes de la rentrée littéraire, vous prenez facilement des vessies pour des lanternes, courez, le dernier Angot vous attend. Non ? Vous vous méfiez des sirènes qui commandent louanges et prosternation ? Alors demandez-vous si vous avez vraiment envie de passer la soirée avec « deux personnes faites pour s'aimer (qui) s'étaient rencontrées mais ça ne s'était pas fait. Voilà, c'était ça l'histoire » ?


    http://www.lefigaro.fr/litteraire/20060907.FIG000000230_angot_roman_ou_divan.html


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  • <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p> 

    Les résultats d'une étude menée auprès de 9 228 jeunes adultes de 18 à 28 ans par La Mutuelle des étudiants (LMDE), publiée mardi 5 septembre, révèlent l'existence d'un véritable "mal-être étudiant". 15 % des étudiants déclarent avoir eu des idées suicidaires au cours des douze derniers mois. Une détresse qui n'est pas prise en compte puisqu'un étudiant sur deux ne s'est confié à personne. Le passage à l'acte est le fait de 5 % d'entre eux.

    <o:p></o:p> 

    http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-3226,36-810464@51-809505,0.html

    Photo : dans un amphitéâtre de l'université Lyon-III.

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  • <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p>

    The New-York Review of Books - Volume 53, Number 14 · September 21,2006


    On June 25, members of three militant Palestinian organizations, including the governing Hamas, attacked an Israeli military base, killing two soldiers and seizing a third. On July 12, militants from the Lebanese Hezbollah crossed into Israel, captured two soldiers, and killed three others. When Israeli troops pursued them into Lebanese territory, Hezbollah hit again, killing five more.http://www.nybooks.com/articles/19301<o:p> </o:p>

    </o:p>Robert Malley was Special Assistant to President Clinton for Arab-Israeli Affairs and Director for Near East and South Asian Affairs on the National Security Council staff from September 1998 to January 2001. He is currently Middle East and North Africa Program Director at the International Crisis Group. (September 2006)


    Photo : Beirut under Israeli bombing, July 15, 2006 (Hassan Ibrahim/AFP/Getty Images)


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    Répondez un peu à cette question, je vous prie. Quand vous tuez cent civils innocents et un terroriste, est-ce que vous gagnez ou perdez la guerre contre le terrorisme ? "Ah, me rétorquerez-vous, mais ce terroriste aurait pu tuer deux cents personnes, mille personnes, plus encore !" Se pose alors une autre question : si, en tuant cent personnes innocentes, vous provoquez l'émergence future de cinq nouveaux terroristes et leur procurez une base populaire qui jure de leur fournir aide et soutien, garantissez-vous un avantage aux prochaines générations de vos concitoyens, ou vous êtes-vous créé l'ennemi que vous méritez ?


    http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0,36-810000,0.html


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    « Ce qui est stupéfiant, c'est l'intérêt des deux candidats pour le blairisme, au moment où, pour ce produit là, le marché intérieur s'est effondré »

    <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p>

    Howard Davies, directeur de la London School of Économics.


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  • <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p> 

    « Entreprises et territoires »


     lundi 25 septembre 2006 - 18h

    Maison de la Chimie 75007 Paris

    <o:p> </o:p>Intervenants :
    Louis Schweitzer, ancien président de Renault
    Louis Gallois, co-président d'EADS (sous réserve)
    Denis Gauthier Sauvagnac, président de l' UIMM
    Jean-Pierre Duport, ancien Délégué à l'aménagement du territoire et à
    l'action régionale (DATAR), conseiller d'Etat
    Dominique Garabiol directeur à la CNCE
    <o:p> </o:p>Inscription :  info@fondation-res-publica.org

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  • Quelles sont les causes de la Défaite de 1940 ? Le grand historien Marc Bloch écrivait en avril 1944 : " Le jour viendra [...] et peut-être bientôt où il sera possible de faire la lumière sur les intrigues menées chez nous de 1933 à 1939 en faveur de l'Axe Rome-Berlin pour lui livrer la domination de l'Europe en détruisant de nos propres mains tout l'édifice de nos alliances et de nos amitiés. " Annie Lacroiz-Riz analyse l'histoire des années 1930 pour éclairer les causes de la défaite de 1940. Selon elle, les Français n'ont pas été simplement été vaincus en cinq jours par une Wehrmacht invincible ; le haut patronat les a sacrifiés à son plan de " réforme de l'Etat " copié sur les voisins fascistes et à son obsession d'accord avec le Reich. Cette affirmation incroyable paraît moins audacieuse à la lecture des archives, françaises et étrangères, relatives à une décennie d'actions des élites : militaires ; politiciens ; journalistes ; hommes d'affaires surtout, qui régnaient sur tous les autres, avec à leur tête la Banque de France et le Comité des Forges. L'autonomie des politiciens ou des journalistes relève ainsi du mythe, celle des militaires aussi. C'est bien la France des grands intérêts économiques et financiers qui dicta le choix de l'Allemagne comme partenaire privilégié dès les années 1920 et sabota l'alliance russe de revers qui avait évité la défaite en 1914. Aujourd'hui, l'accès aux archives éclaire les causes intérieures et extérieures de la Défaite et permet " l'instruction du procès de la vaste entreprise de trahison " que réclamait Marc Bloch.
    Biographie de l'auteur
    Annie Lacroiz-Riz, ancienne élève de l'Ecole normale supérieure, agrégée d'histoire, professeur d'histoire contemporaine à l'Université Paris 7, a notamment publié Le Vatican, l'Europe et le Reich et Industriels et banquiers sous l'Occupation (Armand Colin).


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