• Le dernier épisode du conflit entre Israël et <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName w:st="on" ProductID="la Palestine">la Palestine</st1:PersonName> s'est ouvert avec l'enlèvement à Gaza de deux civils, un médecin et son frère, par les forces israéliennes. Un incident mentionné nulle part, sauf dans la presse turque. Le lendemain, les Palestiniens capturèrent un soldat israélien, puis proposèrent d'en négocier l'échange contre un certain nombre de prisonniers palestiniens - ils sont environ 10 000 dans les prisons israéliennes.

    <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p>

    http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0,36-798611,0.html


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  • http://moghtarebeen.com/ ; http://july2006waronlebanon.blogspot.com/ ; <?xml:namespace prefix = o />http://white-profusion.blogspot.com<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> ; </o:p>http://thehumanprovince.blogspot.com ; http://ramziblahblah.blogspot.com ; http://blog.rrizk.com ;

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  • Fallait-il encore une fois massacrer le Liban, déjà gangrené dans les années 1970 par l'hyper-présence de réfugiés palestiniens, sacrifié hier sur l'autel d'une alliance contre nature de l'Amérique avec les terroristes syriens et aujourd'hui livré aux dévastations d'une force brutale au nom de la sécurité d'Israël ? L'Etat d'Israël a le droit de se défendre, et, si ses dirigeants nous ont habitués à entretenir des relations rudes, souvent violentes, avec leurs voisins, c'est parce qu'ils ont été habitués à vivre sous la constante menace des armes de tous ceux qui, depuis cinquante-huit ans, ne pensent qu'à rayer ce pays de la carte du monde. Pourtant ce qui se passe aujourd'hui concerne autant la mort du Liban que la survie d'Israël.

    <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p>

    http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0,36-798610,0.html


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  • Le collectif «Trop c'est trop!» appelle Israël à mettre un terme à un conflit qui constitue une «fuite en avant».

    <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p>

    Nous le savons, nous l'avons suffisamment entendu : Israël a le droit de se défendre, de libérer ses soldats pris en otage, et, selon ses généraux, la meilleure façon de se défendre est, bien sûr, d'attaquer. Attaquer Gaza, arrêter des ministres (ils sont du Hamas, donc des terroristes...), liquider des activistes ainsi que leurs parents et leurs voisins, détruire des centrales électriques, affamer la population, rendre la vie des Gazaouis impossible (et leur apprendre où ça les mène d'avoir voté pour le Hamas).

    <o:p> </o:p><o:p> </o:p>

    http://www.liberation.fr/opinions/rebonds/195599.FR.php


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  • UNE FUSION entre EDF et Gaz de France est possible et ne serait pas contraire au droit européen, a affirmé, mardi 25 juillet, <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName w:st="on" ProductID="la CGT">la CGT</st1:PersonName>, se fondant sur une étude du cabinet Levy-Gosselin sur la faisabilité juridique d'une telle fusion.




    http://www.lemonde.fr/web/recherche_breve/1,13-0,37-953755,0.html


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  •  
    Quelques citations glanées  chez les militants socialistes de Cintegabelle
     «Jospin et sa tentative de retour ? C'est pitoyable.» 
     «Il a tourné la page en nous quittant avant la fin de son mandat de conseiller général. Les militants ont tourné la page eux aussi.» 
     «Il n'est jamais repassé ici nous faire un petit coucou, depuis 2002.»
     «Il nous a laissés dans la mouise.» 
    «Il a fallu se débrouiller sans lui. Des réflexions des électeurs, on en a pris en travers de la figure quand il s'est agi de faire élire son remplaçant au conseil général. Non, je n'ai pas digéré son départ.»
     «En tout cas, j'avais, moi, compris qu'il partait complètement. Il n'y a tout de même pas trente-six mots pour le dire.» 
     «Il ne peut pas nous avoir plantés comme il l'a fait et espérer qu'on l'accueille maintenant à bras ouverts, grogne encore cet ex-militant depuis sa retraite. Mais s'il veut passer à la maison prendre un café, ce sera avec plaisir.»
    http://www.liberation.fr/actualite/politiques/195865.FR.php

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  • « But I have no interest in diplomacy for the sake of returning Lebanon and Israel to the status quo ante. I think it would be a mistake. What we're seeing here, in a sense, is the growing -  the birth pangs of a new Middle East and whatever we do we have to be certain that we're pushing forward to the new Middle East not going back to the old one ».

    « Je ne vois pas l'intérêt de la diplomatie si c'est pour revenir au status quo ante entre Israël et le Liban. Je pense que ce serait une erreur. Ce que nous voyons ici, d'une certaine manière, c'est le commencement, les contractions de la naissance d'un nouveau Moyen-Orient et quoique nous fassions, nous devons être certains que nous poussons vers le nouveau Moyen-Orient et que nous ne retournons pas à l'ancien ».<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p>

    Source : Special Briefing on Travel to the Middle East and Europe, Département d'État, 21 juillet 2006.


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  • Peu avant la conférence de Rabat, 14 pays européens décidaient d'un déploiement armé contre les flux africains.


    Par Ali BENSAAD, maître de conférences à l'université de Provence, enseignant-chercheur à l'Institut de recherche et d'études sur le monde arabe et musulman.

    <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p>

    La conférence euro-africaine sur la migration, au début du mois à Rabat, a consacré le traitement répressif qui a été de mise, jusque-là, de la question des migrations subsahariennes. Deux faits majeurs auguraient déjà de la consécration de cette conception. Trois semaines avant l'ouverture de la conférence et le jour même de la célébration de la journée mondiale du réfugié (le 20 juin), quatorze pays européens décidaient, en appui de l'Espagne, d'un déploiement militaire (naval et aérien) pour contrer les flux migratoires africains. Cette décision intervenait deux semaines après la conférence préparatoire de Dakar, où le document (confidentiel) élaboré est surtout un inventaire de mesures répressives qui se veulent «audacieuses»,  «rapides» et «tangibles» par ses auteurs.

    <o:p> </o:p>

    http://www.liberation.fr/opinions/rebonds/195390.FR.php


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  • Avant de saisir la main que lui tendait le chef de l'OLP avec la bénédiction de Bill Clinton au cours de la fameuse cérémonie sur la pelouse de <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName ProductID="la Maison Blanche" w:st="on">la Maison Blanche</st1:PersonName>, en septembre 1993, Ithzak Rabin avait marqué un instant d'hésitation qui n'avait échappé à personne. Rien de tel chez leurs successeurs : conviés par le roi de Jordanie à un petit déjeuner sur le site magique de Petra, le 22 juin, le premier ministre israélien, Ehoud Olmert, et le président palestinien, Mahmoud Abbas, se sont donné une accolade qui paraissait la chose la plus naturelle du monde.

    <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p>

    http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0,36-797487,0.html


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  • A l'approche de 2007, je crains que nous parlions trop peu de l'Afrique. Une récente visite au Mali et au Sénégal m'a renforcé dans ma conviction : là comme ailleurs, nous avons plusieurs changements de fond à opérer.

    Changement dans nos mémoires. Il faut d'abord écouter et comprendre. La force des symboles existe. À Dakar, je me suis incliné sur la tombe de Léopold Senghor, aux obsèques duquel l'actuel président de <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName ProductID="la République" w:st="on">la République</st1:PersonName> était malheureusement absent. Je me suis rendu aussi à Gorée, faire mémoire de l'esclavage.


    http://www.lefigaro.fr/debats/20060722.WWW000000060_quatre_changements_pour_lafrique_par_laurent_fabius.html


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  • Ce qu'il y a de terrible dans les évidences c'est qu'elles s'avancent masquées.
    De quoi s'agit-il ? En apparence,  des incidents de frontière et de guérilla dégénèrent.
    En réalité une gigantesque partie d'échec menée par des joueurs de poker.
    Bis répétita,  nous assistons à la crise des missiles , version  Ahmadinejad , inspirée par Khrouchtchev.
    Le Liban est un objet de manipulation et d'intox pour l'Iran comme Cuba le fut pour l'URSS.
    Le Hezbollah, seule force organisée appuyée sur un réseau social que ses institutions (école , centre de santé , associations , relations diplomatiques) contribuent activement à alimenter, remplit le vide militaire et sécuritaire que la pseudo armée libanaise divisée ne peut combler.
    Le Hezbollah n'est en rien l'allié de l'Iran , mais son outil , sa milice privée .
    La disproportion est absolue, il faut se rappeler du fameux meeting de Bint-Jbeil où la milice regroupa 100 000 personnes dont le ministre iranien des affaires étrangères. En « soutenant » le Hezbollah, l'Iran renforce son potentiel contre Israël. Les missiles SOL-SOL Al FAJR 3 et 5 ( Téhéran - Beyrouth via Damas) reflètent non pas un intérêt prononcé pour un Liban libre mais une tentative de créer une dissuasion stratégique contre les attaques israéliennes qui viseraient l'Iran.
    De fait, si le cheikh Hassan Nasrallah tient des propos guerriers provocateurs, il devient mystérieusement muet sur les perspectives de paix à long terme, ce qui rappelle à l'évidence que la poursuite ou l'arrêt des opérations militaires sont liées aux orientations iranienne et à son allié syrien.
    Après le début de la guerre civile libanaise en 1975 et la perte de l'influence chrétienne, gage de stabilité, Israël s'est souvent fait piéger en intervenant en 1978, 1981, 1982, 1996 jusqu'en mai 2000 avec son retrait total abandonnant l'ALS ( Armée du Liban Sud- 3000 hommes à majorité chrétienne maronite), mais permettant à 7000 libanais de se réfugier en Galilée et d'y travailler ( coût pour Israël : 31 milliards de dollars par an).
    A chaque fois ce fut pour Tsahal « un pas en avant, deux pas en arrière ».
    Alors aujourd'hui... le pire est toujours possible..
    Mais le plus probable est qu'une fois de plus les autorités militaires vont faire croire au peuple israélien qu'il a remporté une éclatante victoire. Comme l'échec -ou le succès - d'une politique ne s'apprécie que par rapport aux objectifs, «  la crise des missiles »  se traduira par un échec.
    Le Hezbollah que Tsahal veut chasser et l'Iran maintenir se trouvera réduit, effrité, moribond, quasi-inexistant mais consolidé comme force de résistance dans l'esprit de libanais de toutes origines...
    En contraignant les israélien à se réengager au Liban, l'Iran les a amenés a devenir médiatiquement les agresseurs.  Le Liban qui venait de sortir de l'occupation syrienne et qui commençait à pouvoir réduire l'influence iranienne du Hezbollah va se retrouver en position de faible, en position de demandeur et     rejoindra tôt ou tard le bloc islamique...
    Non sans raison  Ahmadinejad pourra proclamer avoir regagné le Liban fusse sous les décombres         « sans un seul coup de feu ».
    Par ces manœuvres,  l'Iran parvient à désintégrer le camp occidental : aucune position politique et militaire d'envergure; seul,  un accord sur les couloirs de sécurité pour évacuer des populations misérables.
    Mais il y a pire. Les tenants du complexe militaro-industriel américano-israélien pourront continuer leur justification de conserver en l'état ce grand porte-avion américain qu'est Israël : « vous voyez bien que nos bombes sont utiles puisque nos tonnes d'explosifs... explosent »
    De très nombreux patriotes sionistes ( ceux qui n'ont jamais oublié le tire au canon sur leur bateau l'Altalena) comprennent  que l'état US ne fait que défendre au Moyen-orient des parts de marché dans le jeu du monopoly mondial.
    Les U.S.A comme leurs prédécesseurs britanniques ne connaissent que les lois du profit et se fichent des Tables de la Loi.
    Israël doit se sortir du double piège américano-iranien, il doit en tirer les conséquences.
    La seule bonne politique est la politique de sa géographie.
    Aujourd'hui, la base de la coexistence est le positionnement économique et éthique, le rapport entre économie globale et économie régionale, c'est-à-dire l'intérêt des peuples israélien, palestinien et libanais à un développement « écologique »  harmonieux par une coopération économique profitable parce que mutuellement équitable.
    Pour cela il est indispensable d'admettre une fois pour toute que les U.S.A sont loin, très loin et que la France et l'Europe sont proches.
    Israël est la clé de dialogue de civilisation à civilisation de part et d'autre de la Méditerranée et du Bosphore.
    Israël c'est l'Europe en Orient.
    Laissons les américains se perdre, plaignons leurs soldats latinos qui meurent pour rien, ou plutôt pour le capitalisme sauvage, les pétroliers cyniques, les roitelets corrompus.
    Mais alors, nous Français, soyons là auprès des Libanais !
    Nous avons toujours à régler leur compte aux terroristes qui ont assassiné  le 23 octobre 1983 nos 58 parachutistes venus pour préserver la paix.
    Notre civilisation européenne est une civilisation pagano-judéo-arabe qui lève le voile sur ce que Péguy prévoyait: «  la lutte mortelle entre le monde de l'argent d'une totale et absolue matérialité et tous les autres mondes ensembles (  le monde des philosophies et le monde des religions) qui sont de quelque spiritualité et dont les sorts sont liés, les fortunes conjointes »

    La conscience des prophètes comme celle des philosophes en appelle à notre désir de vivre.


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  •  


    En quelques jours, les tensions à la frontière entre Israël et le Liban se sont muées en trois guerres : conflit meurtrier entre le Hezbollah et Israël ; combat pour l'avenir du Liban ; lutte américano-iranienne concernant l'architecture régionale. Comprendre comment on en est arrivé là, si loin et si vite, c'est commencer à se donner les moyens de mettre fin à ces affrontements.

    <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p>

    http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0,36-797169,0.html


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