• « Critiquée, la Miviludes défend le principe d'une "liste" des sectes »

     

    Les tenants de la lutte antisecte sortent renforcés de la récente polémique sur l'utilité de <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName ProductID="la Mission" w:st="on">la Mission</st1:PersonName> interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires (Miviludes). En affirmant, en février, que les sectes sont un "non-problème" en France, la directrice de cabinet du chef de l'Etat, Emmanuelle Mignon, a provoqué de vives protestations, puis une contre-offensive.

    En présentant le rapport 2007 de <st1:PersonName ProductID="la Miviludes" w:st="on">la Miviludes</st1:PersonName> à la presse, jeudi 3 avril, son président, Jean-Michel Roulet, a estimé qu'il fallait "revoir, à la lumière de l'évolution du paysage sectaire, ses attributions : il faut lui donner les moyens d'aller plus loin dans l'investigation et multiplier les formations des fonctionnaires d'Etat et des collectivités locales". L'inflexion donnée par la ministre de l'intérieur, Michèle Alliot-Marie, à la lutte contre les sectes, a mis en cause les méthodes de <st1:PersonName ProductID="la Miviludes" w:st="on">la Miviludes</st1:PersonName> sous la présidence de M. Roulet. Ce dernier, dont les fonctions s'achèvent fin septembre, a rappelé la promesse faite en février par le premier ministre, François Fillon, de "renforcer" <st1:PersonName ProductID="la Mission." w:st="on">la Mission.</st1:PersonName>

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    <st1:PersonName ProductID="la Mission." w:st="on"></st1:PersonName>http://www.lemonde.fr/societe/article/2008/04/04/critiquee-la-miviludes-defend-le-principe-d-une-liste-des-sectes_1030958_3224.html#ens_id=1029359


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