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Une émission d'Elisabeth LEVY , avec Gilles CASANOVA
Médias Communautaires : Intégration ou ghettoïsation ? avec Nacer Kettane.
On y est entre soi. On parle le même langage et parfois, la même langue
étrangère. On se rassure. ON évoque le pays. On se serre les coudes face à une société que l’on pense indifférente à la différence, et parfois hostile à tout particularisme. Alors que, résignée ou enthousiastehttp://www.radiofrance.fr/chaines/france-culture2/emissions/1erpouvoir/
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En novembre 2005, les émeutes dans les banlieues vous ont fait réagir. Aujourd'hui, ce sont les étudiants qui expriment leur colère. Comprenez-vous ce mouvement ? Jeunes de banlieues défavorisées et étudiants mieux insérés socialement ont un point commun : ils veulent un avenir. Malheureusement, ce qu'on leur propose, c'est la précarité. (lire la suite…cliquer sur le titre)
http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-3226,36-754509@51-754618,0.html
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La défiance des Français vis-à-vis des hommes politiques va croissant. Selon un sondage TNS Sofres, réalisé les 8 et 9 mars, au début de la crise du CPE, auprès d'un échantillon de 1 000 personnes pour la Journée du livre politique à l'Assemblée nationale, 69 % des personnes interrogées considèrent que ceux-ci se préoccupent "très peu ou pratiquement pas" de ce que pensent les Français, contre 58 % en 1998.(Lire la suite…cliquer sur le titre)
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« On peuplu rien dire... » avec SARKOZY.
de Didier BOURDON
http://www.sonymusic.fr/didierbourdon/didier-bourdon_on-peuplu-rien-dire.wax
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L'intention de vote présidentielle 2007 réalisée en marge du baromètre de l'action politique Ipsos-Le Point donne un premier aperçu du rapport de force électoral, à 14 mois du scrutin. Au-delà d'une tendance globalement favorable à la droite, on relèvera le potentiel d'attraction d'une candidature de Nicolas Sarkozy, et le haut niveau de l'extrême gauche.
(lire la suite...cliquer sur le titre)
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Une émission d'Elisabeth LEVY, avec Gilles CASANOVA
Liberté d'expression et responsabilité médiatique : la mondialisation change-t-elle la donne ? Avec Bruno Frappat
C'est clair. Publier douze malheureux dessins du Prophète Mohamed est donc bien plus offensant que bombarder Bagdad (Pour écouter l'émission...cliquer sur le titre)
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Le site retraçant le parcours et les activités de Régis DEBRAY : http://www.regisdebray.com/
(cliquer sur le titre)
et La revue de Médiologie : www.mediologie.org
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Vous qui aviez décrit, dans les années 1980, la venue d'un monde "désenchanté", n'êtes-vous pas surpris par le retour brutal de la religion sur la scène politique internationale ?
Non. J'avais été étonné, comme tout le monde, par la révolution islamique en Iran, mais depuis, j'ai toujours pensé que nous n'étions pas au bout de nos surprises avec ce double mouvement paradoxal de la "sortie" de la religion, qui s'accélère en Occident - le cas des Etats-Unis étant atypique - et de la réactivation des identités religieuses dans le reste du monde, spécialement le monde islamique. J'insiste : ce n'est pas à un "retour" de la religion en bonne et due forme que nous assistons, mais à une reviviscence des identités à caractère religieux. (Pour lire la suite...cliquer sur le titre)
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Il est des moments particuliers dans l'histoire des Nations, de ces instants prégnants, où la Nation se regarde elle-même. Elle s'interroge sur son devenir. Elle s'interroge sur son passé, glorieux, de peines et de sangs. Elle s'apitoie même. Tout cela, à quoi bon ?
La France connaît un de ces moments là !
(lire la suite...cliquer sur le titre)
http://www.penser-la-france.asso.fr/pages/texte__plf__pujo_congres_2006_b.pdf
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Une émission d'Elisabeth LEVY, avec Gilles CASANOVA
Les journaux, fabrique du débat public. Avec Jean-Luc Pouthier.
C'est, selon une formule pêchée dans Marianne, le journal officiel de la France d'en haut. Les pages que nos quotidiens consacrent aux « tribunes libres » et autres « points de vue » ont pris le relais des salons où l'on causait il y a deux siècles.
(écouter l'émission...cliquer sur le titre)
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Jamais un épisode de l'histoire de France aussi court que celui de "La Commune de Paris" n'aura laissé une trace aussi importante et durable dans l'esprit et l'imaginaire des français. On ne peut pas rester indifférent ou ne pas avoir d'avis tranché face à ces trois mois de folie qui ont entraîné sans doute la guerre civile la plus brutale et la plus sanglante qu'ait connu la France. Plus de 100 ans après la conclusion tragique des événements parisiens de 1871, mes deux grands pères, alors que j'étais enfant et que j'habitais la bonne ville de Brive en Corrèze, ne rataient pas une occasion de s'indigner de la dénomination d'une place briviste, la place Thiers, et dénonçaient la honte de lui avoir donné le nom du "boucher de la Commune". (lire la suite..cliquer sur le titre)
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