[Philosophe, maître de conférences de science politique à l'IEP de Strasbourg (Université Robert-Schuman)].<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p>
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Le crédit ascendant de Ségolène Royal dans la compétition présidentielle devrait réjouir tous ceux qui, au-delà des clivages électoraux, déplorent le retard historique de la France en matière de parité. À la voir ainsi portée par une vague que plus rien ne semble à même de contenir, comment ne pas savoir gré à cette fière frégate de tracer sur la mer toujours recommencée du combat des chefs un sillage enfin différent ?Passé la divine surprise, on déchante pourtant. Irrésistible tant qu'elle mène la course en aparté, lors de visites royales sous escorte, professionnelle dans les échanges de plateau avec la presse, la championne socialiste se révèle étrangement inconsistante lorsqu'il lui faut affronter challengers ou militants à coups d'arguments et de propositions. Lire la suite : http://www.lefigaro.fr/debats/20061017.FIG000000064_splendeur_et_misere_de_la_posture_royal.html