• <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p> 

    « Le Medef suggère de supprimer la durée légale du travail »

     

    Pour la présidente du Medef, Laurence Parisot, le problème du pouvoir d'achat est "totalement objectif". Elle a alors suggéré comme réponse de supprimer la durée légale du travail, fixée à 35 heures par semaine. "Le pouvoir d'achat est une résultante d'une croissance au niveau minimum. Donc, la vraie question n'est pas comment je contribue à ce qu'il y ait plus de pouvoir d'achat, mais comment je contribue à ce qu'il y ait plus de croissance", a-t-elle affirmé, mercredi 21 novembre, devant l'Association des journalistes économiques et financiers (AJEF).

     

    http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0,36-981079,0.html 

     

    [Merci à Nicole]


    votre commentaire
  • « Pour les grèves solidaires »

     

    Par plus de 200 signataires dont Etienne Balibar, professeur émérite à l'université Paris-X ; Françoise Balibar, professeur émérite à Paris-VII ; Daniel Bensaïd, professeur de philosophie à Paris-VIII ; Luc Boltanski, directeur d'études à l'EHESS ; Dominique Cabrera,cinéaste ; Alex Callinicos, professeur d'études européennes, King's College, Londres ;Michel Onfray, philosophe, université populaire de Caen ; Roland Pfefferkorn, professeur de sociologie, université Marc-Bloch-Strasbourg-II ; lavoj Zizek, chercheur à l'International Center for Humanities, université de Londres.

     

    Les grèves de 1995, les mobilisations sociales de 2003, le non de 2005 au traité constitutionnel européen ont contribué à freiner en France la contre-réforme libérale qui l'a emporté partout en Europe. Aujourd'hui, Nicolas Sarkozy et son gouvernement veulent faire de la grève des cheminots et du mouvement dans les universités un test. S'ils parviennent à les briser, ils espèrent avoir les mains libres pour faire passer au pas de charge le train de réformes annoncé sur le droit du travail, sur le système de santé, sur la protection sociale. Ils engagent pour cela une bataille d'opinion visant à diviser et à opposer ceux qui se lèvent tôt à ceux qui sont supposés se prélasser sur le mol oreiller de l'assistanat, le secteur privé au secteur public, les méritants aux récalcitrants, les étudiants studieux aux insoumis.

    C'est pourquoi l'offensive gouvernementale commence par la remise en cause des régimes dits spéciaux, présentés comme un privilège contraire à l'égalité, mais elle se poursuivra par l'augmentation pour toutes et tous de l'âge de la retraite, par la privatisation des services de santé et des assurances contre la maladie et la vieillesse, au détriment de la protection sociale par répartition.

     

    Lire la suite : http://www.liberation.fr/rebonds/291731.FR.php

    <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p>[Merci à Nicole]

    votre commentaire
  •  

    « Après que Dieu a achevé de créer le serpent à sonnette, le crapaud et le vampire, il lui restait encore un peu de substance avec laquelle il créa le briseur de grève.

    Le briseur de grève est un animal à deux pattes avec un esprit tordu, un cerveau dilué et une moelle épinière visqueuse et gluante.

    À la place du coeur, il a une tumeur de principes pervertis. Quand le briseur de grèves marche dans la rue, les hommes lui tournent le dos, les anges pleurent dans le ciel et les démons eux-mêmes ferment les portes de l'enfer pour l'empêcher d'entrer ...

    Judas Iscariote était un homme profondément digne en comparaison avec le briseur de grève.

    Car après avoir trahi son maître, il eut la force de caractère de se pendre. Le briseur de grève ne l'a pas. »

     

    Jack LONDON


    votre commentaire
  •  

    Du 17 au 25 novembre dans toute <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName ProductID="la France" w:st="on">la France</st1:PersonName>, organisée localement par des milliers d'acteurs locaux (associations, collectivités, établissements scolaires, comités d'entreprises, syndicats...).

     

    Que va-t-il se passer pendant <st1:PersonName ProductID="La Semaine" w:st="on">la Semaine</st1:PersonName> près de chez vous ? Quelles structures locales y participent ? Consultez le programme des animations par critères de recherche (l'enregistrement est fait par les organisateurs eux-mêmes au fur et à mesure).

     

    Consultez le programme des animations 2007 : http://www.lasemaine.org/spip.php?article132


    votre commentaire
  •  

    Environ 150 000 personnes ont défilé, jeudi 18 octobre, dans <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName w:st="on" ProductID="la France">la France</st1:PersonName> entière pour protester contre la réforme des régimes spéciaux de retraite. A Paris, les manifestants ont battu le pavé de la place de <st1:PersonName w:st="on" ProductID="la République">la République</st1:PersonName> à celle de <st1:PersonName w:st="on" ProductID="la Nation. Pour">la Nation. Pour</st1:PersonName> Bernard Thibault, secrétaire général de <st1:PersonName w:st="on" ProductID="la CGT">la CGT</st1:PersonName>, la "réussite" de cette journée d'action rend les syndicats "plus légitimes et plus forts pour exiger du gouvernement qu'il accepte de rediscuter du cadre

     

    A LIRE : « Les partis de gauche saluent une mobilisation "exceptionnelle" »

     

    http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-823448,36-968833@51-952133,0.html<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" />

    votre commentaire
  •  

    [Merci à Jean-Pierre]


    votre commentaire
  • C'était l'une des contreparties de l'allongement de la durée de cotisation de 37,5 années à 40 ans pour tous les salariés du public et du privé. Parmi les critères de départs anticipés, la réforme des retraites de <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:metricconverter w:st="on" ProductID="2003 a">2003 a</st1:metricconverter> reconnu la pénibilité au travail. Quatre ans plus tard, la négociation s'est enlisée. Patronat et syndicats ne sont pas parvenus à s'entendre sur la définition et la nature des risques, le nombre de personnes concernées et le financement.

    "La vérité, c'est qu'il existe des régimes spéciaux de retraite qui ne correspondent pas à des métiers pénibles et des métiers pénibles qui ne correspondent pas à un régime spécial de retraite" : le 11 septembre à Rennes, le président de <st1:PersonName w:st="on" ProductID="la République">la République</st1:PersonName>, Nicolas Sarkozy, a relancé la controverse pour justifier la remise à plat de la quasi-totalité des régimes particuliers de retraite.

    En attendant un allongement du temps d'activité à 41 ans, que le premier ministre a fixé à 2012, <st1:PersonName w:st="on" ProductID="la CFDT">la CFDT</st1:PersonName> estime que 500 000 salariés devraient pouvoir bénéficier de départs anticipés en contrepartie de la reconnaissance de la pénibilité de leur travail. <st1:PersonName w:st="on" ProductID="La CGT">La CGT</st1:PersonName>, pour sa part, estime qu'il faut multiplier ce chiffre par trois, pour tenir compte de l'ensemble des activités des secteurs publics et privés.

     

    http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0,36-960739,0.html

     


    votre commentaire
  •  

    Le taux de chômage en France va faire un bond de 0,4 point. Le gouvernement s'apprête à autoriser prochainement une nouvelle comptabilisation des demandeurs d'emploi qui aboutirait à un taux officiel de 8,4 % en juillet, contre 8 % selon le ministère de l'emploi. Le chômage resterait à son plus bas depuis un quart de siècle, le minimum atteint en 2001 ayant été de 8,6 %.

    L'Elysée et le gouvernement sont en effet convaincus depuis plusieurs semaines que le nombre réel de chômeurs ne correspond pas aux mesures publiées chaque mois. Ce que dénonçait le collectif de statisticiens, chercheurs et syndicalistes ainsi que les syndicats et les partis politiques de l'opposition durant la campagne électorale.

    <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p>

    http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0,36-957775,0.html


    votre commentaire
  •  

    « Martin Hirsch ou l'art d'interpréter les statistiques », par Jean de Bodman

    <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p>

    Il est regrettable qu'une personnalité aussi engagée que Martin Hirsch prenne le risque de discréditer son propos, pis, de discréditer la mission essentielle dont il est chargé, en maniant et en commentant les statistiques sur la pauvreté sans la rigueur qui s'impose.

    Il y a deux ans, M. Hirsch, alors président d'Emmaüs, publiait dans Le Monde une tribune intitulée "1 000 pauvres de plus par jour ouvrable", dans laquelle il demandait une nouvelle politique de lutte contre la pauvreté. Cet article s'appuyait sur les dernières données relatives à la pauvreté, celles de l'année 2003, que l'Insee venait de publier. Le titre, très accrocheur, a connu une belle fortune médiatique, puisqu'on l'a retrouvé dans des questions à l'Assemblée nationale, et jusque dans le discours de voeux municipaux de M. Rebsamen, maire de Dijon, en janvier 2007.

     

    http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-3232,36-951962,0.html

     


    votre commentaire
  • Nicolas Sarkozy a tout intérêt à profiter de l'état de grâce social, dont il bénéficie depuis son élection, pour avancer sur les réformes qu'il veut mettre en oeuvre d'ici à la fin de l'année. Même s'il y a, à la rentrée, des turbulences autour du service minimum dans les transports publics ou des suppressions de postes de fonctionnaires, nul avis de tempête ne se profile. <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName w:st="on" ProductID="La CGT">La CGT</st1:PersonName> ne fixe aucun rendez-vous et <st1:PersonName w:st="on" ProductID="la CFDT">la CFDT</st1:PersonName> se borne à annoncer une "semaine de mobilisation" du 8 au 12 octobre.

    Mais le président de <st1:PersonName w:st="on" ProductID="la R←publique">la République</st1:PersonName> sait que cette lune de miel apparente a une échéance, celle de la fin de l'année. En revanche, 2008 s'annonce à hauts risques. Avec en toile de fond des élections municipales en mars - et pour les syndicats des élections prud'homales le 3 décembre -, le climat sera politiquement plus électrique. C'est en 2008 que vont être mises en oeuvre les franchises médicales, très impopulaires, et que va s'ouvrir une nouvelle négociation sur les retraites, avec en ligne de mire les régimes spéciaux. Ce sera aussi le moment d'appliquer les réformes des prochains mois. Elles seront accueillies différemment selon qu'elles auront été arrêtées par le seul gouvernement ou qu'elles seront le fruit des négociations attendues entre les partenaires sociaux.

     

    http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-3232,36-943121,0.html

     


    votre commentaire
  • <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p> 

    Que pensez-vous de la proposition du chef de l'Etat, faite mardi 31 juillet, d'un nouveau système de franchises pour financer la lutte contre le cancer, Alzheimer et les soins palliatifs ?

    Ce sont des causes justes, elles méritent une réponse précise et des engagements tenus. <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName ProductID="la Mutualité" w:st="on">La Mutualité</st1:PersonName> française soutient ces causes. Nous mettrons en place, à partir du 1er janvier 2008, un parcours de santé pour mieux orienter nos adhérents et pour que les familles puissent mieux s'organiser dans le cadre de ces pathologies.

    Mais, franchement, je ne vois pas comment, à partir de franchises payées par les seuls malades, avec une sécurité sociale déficitaire, on pourrait dégager les sommes nécessaires pour tenir les promesses faites par le président de <st1:PersonName ProductID="la République." w:st="on">la République.</st1:PersonName>

    <st1:PersonName ProductID="la République." w:st="on"></st1:PersonName> 

    <st1:PersonName ProductID="la République." w:st="on"></st1:PersonName>http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-3224,36-941282@51-915608,0.html

     


    votre commentaire
  •  

    SECURITE SOCIALE = déficit monstre de 4 Milliards !?

    <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p>

    OUI, Mais ...

    <o:p> </o:p>

    Les exonérations de cotisations dépasseront 2,6 milliards d'euros en 2007 et 1,45 milliards d'euros de recettes fiscales ne seront pas perçues au titre de leur compensation.

    Il s'agit notamment des exonérations de charges consenties aux entreprises sur les bas salaires.

     

    Mais qui veut la fin de <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName ProductID="la Sécurité Sociale" w:st="on"><st1:PersonName ProductID="la Sécurité" w:st="on">la Sécurité</st1:PersonName> Sociale</st1:PersonName> à nous rabâcher ses déficits chroniques et monstrueux ?


    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique