• Interrogé par Marianne2007.info, Jean-Pierre Chevènement déclare : «Il semble que beaucoup de gens confondent la nation et le nationalisme. Ça n'a rien à voir. Le nationalisme est une maladie de la nation. Mais la nation, c'est le cadre de la démocratie, c'est une communauté de citoyens, c'est une conquête de <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName ProductID="la Révolution" w:st="on">la Révolution</st1:PersonName> française. « Vive la nation ! », c'est le cri de Valmy.»

     

    http://www.chevenement.fr/Jean-Pierre-Chevenement-Les-couches-populaires-feront-la-decision-dans-cette-election-video-marianne2007-info-_a273.html?PHPSESSID=d1211d1b13d55f81da2613f4abc49a77


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    COMMUNIQUE NATIONAL  des « Clubs Penser la France »
    du Lundi 26 mars 2007
     
    « Les Clubs PLF ont décidé d'apporter leur soutien
    au projet de Ségolène ROYAL »
     
    Réunis à Paris, le samedi 17 mars 2007, les Clubs PLF ont examiné les quatre candidatures susceptibles d'atteindre le 2ème tour de l'élection présidentielle de 2007 : François Bayrou, Jean-Marie Le Pen, Ségolène Royal et Nicolas Sarkozy.

    Lire le communiqué : http://www.penser-la-france.asso.fr/urgent.html

     


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  • <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p> 

    "En faisant chanter <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName ProductID="la Marseillaise" w:st="on">la Marseillaise</st1:PersonName> et en rappelant que le drapeau tricolore est celui du peuple français tout entier, Ségolène Royal reprend le terrain trop souvent abandonné par la gauche depuis des lustres à la droite et à l'extrême-droite", a estimé Jean-Pierre CHEVENEMENT.

    "Elle illustre en effet de la manière la plus claire une différence essentielle : elle affirme la valeur d'égalité, qui est au coeur du patriotisme républicain, contre les tenants des idéologies inégalitaire (Le Pen et Sarkozy) ou raciste (Le Pen)", a-t-il fait valoir.

    Rappelant que ministre de l'Education nationale, il avait "réintroduit en 1984 <st1:PersonName ProductID="la Marseillaise" w:st="on">la Marseillaise</st1:PersonName> dans le répertoire scolaire", M. Chevènement a affirmé "apprécier pleinement cette reconquête de <st1:PersonName ProductID="la France" w:st="on">la France</st1:PersonName> par la gauche".

    "Si cette reconquête est bien expliquée comme un retour aux sources de <st1:PersonName ProductID="la R←publique" w:st="on">la République</st1:PersonName>, elle marquera un tournant essentiel dans la campagne", a-t-il dit.


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  • <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p> 

    Ségolène Royal était l'invitée d'Olivier de Lagarde sur France Inter, le 23 mars. Elle a expliqué pourquoi elle avait tenu à ce que <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName ProductID="la Marseillaise" w:st="on">la Marseillaise</st1:PersonName> soit interprétée.

    "Il est quand même temps de remettre les choses au clair, notamment sur l'identité nationale. Et puis à Marseille cela me semblait là aussi cohérent et intéressant de ré expliquer ce qu'était <st1:PersonName ProductID="la Marseillaise" w:st="on">la Marseillaise</st1:PersonName>, il y a parfois des malentendus sur ce chant républicain. Vous savez il y a beaucoup de jeunes en particulier qui disent « mais le sang impur abreuve nos sillons » c'est une chanson violente que l'on ne veut pas sentir, donc j'ai rappelé cette histoire du chant républicain qui est au contraire est le chant de la lutte contre toutes les formes de tyrannie, qui était la lutte de la résistance des républicains contre toutes les forces de l'ancien régime".


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  • <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p> 

    Nicolas Sarkozy se targue fréquemment d'avoir « sauvé Alstom » en 2004.

    <o:p> </o:p>

    Outre qu'il oublie que l'initiative revient pleinement à Jacques Chirac en mai 2003, alors que lui-même n'était encore que ministre de l'Intérieur, Nicolas Sarkozy oublie de rappeler les conditions mises par le Commissaire européen à la concurrence, M. Monti, à la montée de l'Etat, à hauteur de 20 %, dans le capital d'Alstom : à savoir la cession de 1600 millions d'euros d'actifs d'Alstom à un repreneur extérieur. C'est ainsi que les Chantiers de l'Atlantique de Saint-Nazaire – tout ce qui reste de notre construction navale – ont été repris par le norvégien Aker-Yards, qui se révèle n'être qu'un Tapie des mers.
    Le repreneur norvégien n'est qu'un financier assoiffé de plus-values. Il vient d'annoncer son intention de céder ses chantiers navals à des fonds de pension anglo-saxons, à commencer par ce fleuron que sont les Chantiers de l'Atlantique à Saint-Nazaire. Après Péchiney, Thomson, Arcelor, ce sont les Chantiers de l'Atlantique qui s'ajoutent au long cortège des grandes entreprises françaises bradées au capitalisme financier mondialisé. Encore bravo M. Sarkozy !


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    L'Etat sera demain le garant de la reconnaissance que vous attendez

     

    Madame, Mademoiselle, Monsieur,

    Si je peux aujourd'hui m'adresser à vous, c'est à mes professeurs que je le dois, car c'est à l'école que j'ai été soutenue, encouragée, valorisée et que j'ai reçu le bagage qui m'a permis d'être une femme libre.
    L'Etat sera demain le garant de la reconnaissance que vous attendez. Je m'adresse directement à vous toutes et à vous tous parce que l'école, qui forme les générations de demain, qui prépare l'avenir de <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName w:st="on" ProductID="la Nation">la Nation</st1:PersonName>, est concernée prioritairement par le choix de société que les Françaises et les Français exprimeront les 22 avril et 6 mai prochains.
    L'éducation ! Tel est, pour moi, l'enjeu majeur de l'élection présidentielle. Avec moi, l'éducation sera au cœur de tout et en avant de tout.
    Lever des malentendus, vous dire mes convictions, ma confiance et ma reconnaissance pour votre mission, vous faire connaître ma volonté, tel est l'objet de cette lettre.

    <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p>

    http://www.desirsdavenir.org/index.php?c=sinformer_actualites&actu=1272


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    [ MERCI à NICOLE]


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  • Il est là, au premier rang, ce lundi 12 mars, au gymnase Japy à Paris, où Ségolène Royal recevait "mille" personnalités artistiques et intellectuelles. Et il goûte les paroles qu'il entend. "Nous, républicains, nous sommes amoureux de <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName ProductID="la France... La" w:st="on">la France... La</st1:PersonName> nation n'est pas une addition de communautés... Avec moi, l'identité nationale ne disparaîtra pas dans la mondialisation" (Le Monde du 14 mars). C'est, bien sûr, la voix de la candidate socialiste ; mais, derrière le timbre un peu las, c'est du Chevènement. Pas bégueule ni trop regardante dans cette campagne sans repères, la salle applaudit à tout rompre l'ode républicaine.

    http://www.lemonde.fr/web/imprimer_element/0,40-0@2-823448,50-883424,0.html


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  • Un jour vous direz «  Les scarabées sont sales » et le lendemain vous affirmerez péremptoire : « Les scarabées sont beaux, ils sont propres et j'ai d'ailleurs de nombreux amis scarabées ».
    Un jour vous direz « Ma mère vient de Vénus, mon père de Mars » et le lendemain, vous affirmerez «  Je suis terrien depuis des générations et j'aime tant les Clairs de lune ».
    Un jour vous direz «  J'aime les ouvriers, et Blum et Jaures » et le lendemain vous éructerez : « Le socialisme, voilà le mal Français ».
    Alors ce jour là, vous aurez vaincu les mots et les idées, vous serez devenu semblable à « Sarkozy, le magicien ».
    Un tel homme est capable de tout. Il est surtout capable du pire.
    Ayant tout dit - que le soleil brille le jour puis qu'il s'éteint la nuit - républicain dans les faubourgs, dans les salons Césarien... cet homme porte en lui l'absolu contraire de cette raison, outil qui règne au fondement de la démocratie moderne.
    « L'irrationalisme qui devient populaire est un affreux spectacle. On sent qu'il en résultera fatalement un malheur, tel que la surestimation unilatérale de la raison n'en pourra jamais provoquer. La raison peut être comique, avec sa pédanterie optimiste ; les forces les plus profondes de la vie peuvent la tourner en ridicule ; mais elles n'entraînent pas la catastrophe. Seule la déraison devenue souveraine le fait. »[2]
    Une fois le pouvoir conquis quel homme libérera-t-il ? Un humaniste ? Un démocrate ? Un républicain ? Qu'il soit permis d'en douter.
    Une fois libéré des nécessités de brouiller les pistes, d'illusionner, cet homme sera capable d'incarner un type politique insoupçonné : un homme habité par son seul succès, conforté par un Etat policier, des médias manipulés : un fascisme moderne incarné !
    «  Le type de dompteur avec fouet et révolver, le type d'hypnotiseur de masse, qui aujourd'hui comme chef d'Etat et conducteur de peuple, semble avoir l'avenir pour lui... ». Thomas Mann. Encore.
    Tant de signes déjà devraient nous alarmer !
    Le despotisme moderne - il est vrai - est bien dissimulé : il a la couleur du Marché, des médias scintillant, des mots contorsionnés. Berlusconi, Sarkozy ... le duché ?
    « Mario et le Magicien » : être manipulé avec dextérité.
    Une fois le pouvoir abandonné, que faire ? Pleurer ?
    Ne peut-on éviter une aussi funeste destinée ?
    Avant que le citoyen Mario violemment se réveille, faut-il l'empêcher de sombrer dans les faux rêves !
    C'est à une femme - une fois de plus -  que revient d'incarner, le seul rêve démocratique éveillé... Comment dès lors ne pas se mobiliser ?


    [1] Illustration libre de « Mario et le Magicien » de Thomas Mann. Ce récit reste un témoignage plus efficace sans doute que tout didactisme « démocratique » pour comprendre ce qu'il importe avant tout de comprendre : non pas tant que le fascisme ait pu triompher et se maintenir mais comment, en jouant sur quels ressorts profonds et cachés, il a réussi à le faire. »
    [2] Thomas Mann - texte de 1943 ;

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  • Segolene - Rencontre des 1000 - Japy
    Vidéo envoyée par da93

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    Bonne nouvelle : Les enseignants peuvent maintenant revenir !


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  • <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p> 

    Une "patinoire". La métaphore de Gérard Le Gall, le "M. Sondages" du Parti socialiste, à propos de la situation politique dessinée par les enquêtes sur les intentions de vote des Français à l'élection présidentielle, a fait florès. Elle décrit bien un paysage flottant où "tout le monde peut chuter". Le resserrement des écarts entre les trois principaux candidats - Nicolas Sarkozy, Ségolène Royal et François Bayrou -, que révèlent tous les instituts de sondage, résulte d'abord d'une forte indécision de l'électorat, beaucoup plus élevée qu'à la même période de 2002, où près d'un électeur sur deux n'a pas fait son choix. Dans cette "phase de tentation", comme disent les sondeurs, qui précède la "phase de décision", de plus en plus tardive, tout est possible, y compris une remontée de Jean-Marie Le Pen.

     

    http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-3232,36-882365,0.html


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