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    <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p><o:p> </o:p>

    Contre un Mini "OUI" ... Tous ensemble pour un GRAND "NON" !


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    A défaut de refuser le traité de Lisbonne, le PS devrait au moins s'abstenir de le cautionner.

     

    Ecrasée par son "surmoi" européiste, Elisabeth Guigou n'envisage pas d'autres solutions pour les socialistes que de voter oui au traité de Lisbonne (Le Monde du 1er novembre) et de faire ainsi la courte échelle à M. Sarkozy pour imposer par la voie parlementaire une Constitution bis.

    Elisabeth Guigou n'oublie qu'une chose : le 29 mai 2005, le peuple français a rejeté à 55 % des voix un projet de Constitution dont le traité de Lisbonne reprend toute la substance. M. Sarkozy a certes annoncé pendant la campagne présidentielle qu'il ferait ratifier par la voie parlementaire un "mini-traité" ou un "traité simplifié". Mais ce n'est absolument pas de cela qu'il s'agit !

    Avec 256 pages empilant les articles qui modifient les traités existants, le traité de Lisbonne n'est nullement un "mini-traité", encore moins un "traité simplifié". C'est d'abord une mystification. On comprend la frustration de M. Giscard d'Estaing, qui, certes, retrouve intégralement son oeuvre dans le traité de Lisbonne, mais brisée en mille morceaux que seuls des juristes besogneux pourront laborieusement recoller. Ce n'est pas ainsi qu'on comblera le déficit démocratique de l'Europe !

     

    http://www.chevenement.fr/Non-a-une-Constitution-bis-!_a473.html?preaction=nl&id=3345999&idnl=28020&


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    LETTRES A <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName w:st="on" ProductID="LA GENERATION DE">LA GENERATION DE</st1:PersonName> <st1:PersonName w:st="on" ProductID="LA LIBERTE">LA LIBERTE</st1:PersonName>

    <st1:PersonName w:st="on" ProductID="LA LIBERTE"></st1:PersonName> 

    <st1:PersonName w:st="on" ProductID="LA LIBERTE"></st1:PersonName>«  Comment définir la vérité ?  L'Europe et l'avenir de la raison »

     

    L'alliance sacrée du polythéisme avec les dispositions des lois civiles et publiques des Etats, donc la collusion des mythes religieux avec la puissance temporelle, soulève la question de la définition même de la notion de civilisation dans le monde d'aujourd'hui. (...)

    La caution aveugle que les peuples, les nations et les gouvernements dits civilisés de votre temps apportent désormais à nouveau aux récits mythologiques que les premiers hommes chargeaient d'expliquer l'origine de l'univers, sa finalité et la conduite du cosmos par des acteurs divins rend votre génération responsable de l'avenir de la pensée rationnelle, donc critique, sur toute la terre habitée. (...)

     

    http://pagesperso-orange.fr/aline.dedieguez/tstmagic/1024/tstmagic/europolitique/generation5.htm


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    A la veille de la délibération du bureau national du Parti socialiste sur le traité de Lisbonne, Jean-Pierre Chevènement a dit lundi à Rue89 son opposition au texte. Alors que le PS devrait se prononcer ce mardi soir pour le oui ou pour l'abstention, le président d'honneur du Mouvement républicain et citoyen (MRC) "pense qu'il faut voter non pour des raisons de forme et des raisons de fond".

    L'un des plus fervents "nonistes" de 2005, lors du référendum sur le projet de constitution européenne, campe sur ses positions. Et appelle le PS à le rejoindre. Pas forcément sur le traité simplifié lui-même, mais au moins sur la méthode de ratification. Il n'est pas acceptable, selon lui, qu'un texte rejeté par référendum soit de nouveau soumis deux ans plus tard aux parlementaires.

    "Je vois avec inquiétude certains dirigeants du Parti socialiste qui ont pris position pour le oui, bafouant ainsi les positions qui étaient les leurs il y a quelques mois", continue-t-il, après avoir rappelé que le projet présidentiel socialiste prévoyait un second référendum. Première visée: Ségolène Royal.

    S'il tient à préciser qu'il ne fait plus partie du PS, il n'a pas oublié qu'il avait activement soutenu l'ex-candidate durant la campagne. Mais pour Ségolène Royal, qui prône le oui, Jean-Pierre Chevènement n'a plus que de l'ironie: "J'aime beaucoup Ségolène. Je préférerais simplement qu'elle s'appelle Constance."

     

    Voir la vidéo : http://www.chevenement.fr/Entretien-de-Jean-Pierre-Chevenement-a-Rue89-com_a470.html?preaction=nl&id=3345999&idnl=27974&


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    « Opinion des Français à l'égard du traité simplifié européen »

    Sondage exclusif CSA / LE PARISIEN / AUJOURD'HUI EN FRANCE

     

    http://www.csa-fr.com/dataset/data2007/opi20071025-opinion-des-francais-a-l-egard-du-traite-simplifie-europeen.htm 

     

    [Merci à Nicole]


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  • Le 21 février dernier, à Strasbourg, le candidat de l'UMP à l'élection présidentielle annonçait qu'il proposerait, sitôt élu, « à nos partenaires de nous mettre d'accord sur un traité simplifié » reprenant « les dispositions du projet de traité constitutionnel nécessaires pour que l'Europe puisse se remettre en marche, qui n'ont pas suscité de désaccord majeur durant la campagne référendaire ». Il ajoutait à propos de cette idée subtilisée à d'autres, notamment à l'Allemagne : « Ce traité simplifié, de nature institutionnelle, sera soumis pour ratification au Parlement. » Le 19 octobre dernier, à Lisbonne, les chefs d'État et de gouvernement européens ont conclu un accord sur un traité dit « de fonctionnement de l'UE ». À cette occasion, Nicolas Sarkozy a réitéré sa volonté de soumettre son approbation au seul vote des parlementaires.

     

    http://www.lefigaro.fr/debats/20071105.FIG000000148_traite_simplifie_nous_voulons_un_referendum_un_point_c_est_tout.html 

     

    [Merci à Nicole]


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  • Jean-Pierre Chevènement, président d'honneur du MRC, estime que "l'incapacité" du PS à s'opposer au traité européen montre que "le travail de refondation de la gauche sera difficile" et que le succès de la stratégie d'ouverture de Nicolas Sarkozy "n'a pas été un accident".

    Dans une tribune publiée dans l'hebdomadaire Marianne, l'ancien ministre estime "décevant que de nombreux dirigeants du Parti socialiste aient exprimé leur intention de voter oui" au nouveau traité". "A défaut de voter non, le PS pourrait encore refuser de prendre part au vote", affirme-t-il.

    Le Bureau national du PS doit décider mardi de sa position sur le traité. Selon M. Chevènement, "l'incapacité du Parti socialiste à s'y opposer montre que le travail de refondation de la gauche sera difficile".

    "Elle révèle à quel point le succès de l'ouverture sarkozienne n'a pas été un accident", et "traduit un désarroi profond", selon M. Chevènement. L'ancien ministre dénonce "la communauté des postulats libéraux qui, depuis le traité de Maastricht, soude les deux partis dominants".

     

    http://www.chevenement.fr/Chevenement-s-en-prend-aux-dirigeants-PS-qui-disent-oui-au-nouveau-traite_a464.html

     


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  • «"Les parlementaires ont la capacité politique de faire barrage à Nicolas Sarkozy." Marie-Noëlle Lienemann ne veut pas entendre parler de la ratification parlementaire du Traité de Lisbonne -ou traité simplifié- prévue par Nicolas Sarkozy. Selon la députée européenne PS, il faut organiser un référendum et "on peut contraindre Sarkozy" à le faire.

    Marie-Noëlle Lienemann, l'ancien ministre socialiste Paul Quilès et leur club de réflexion Gauche Avenir -qui réunit des politiques de gauche, des chercheurs et des journalistes- ont analysé pour ce faire le processus de ratification parlementaire:

    "Pour que le Traité de Lisbonne s'applique, il faut passer par deux étapes successives. Première étape: la modification de <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName w:st="on" ProductID="la Constitution">la Constitution</st1:PersonName> française [les articles 88-1 à 88-7 doivent être adaptés, ndlr]. Deuxième étape: la ratification du texte du nouveau traité européen."

    Pour que chacune des deux étapes soit validée, il faut rassembler 3/5e des suffrages au Congrès (où siègent tous les députés et les sénateurs). Aussi, pour que le texte ne passe pas sans toutefois être rejeté définitivement par <st1:PersonName w:st="on" ProductID="la France">la France</st1:PersonName>, Gauche Avenir appelle au vote négatif lors de la première étape. Nicolas Sarkozy serait alors contraint, pour faire adopter le texte, de passer par la voie référendaire.

     

    http://www.rue89.com/2007/10/31/europe-on-peut-contraindre-sarkozy-au-referendum 

     

    [Merci à Nicole]


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  • Le traité de Lisbonne est sur le fond totalement identique à <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName w:st="on" ProductID="la Constitution">la Constitution</st1:PersonName> européenne de mai 2005, celle-là même que les Français ont refusée par leur vote. Histoire d'un mépris pour les décisions populaires.

    Nicolas Sarkozy nous avait promis : « Je tiens compte du vote des Français ; il n'y aura qu'un mini traité technique ».

    On sait ce que valent ses promesses. Mais là, il s'est surpassé. Le traité n'est pas mini du tout ; il est, à quelques éléments symboliques près, le jumeau du précédent ; certes, ce n'est plus une Constitution et c'est bien même s'il faut rappeler que la question était restée en suspens en 2005 ; certes, certains chapitres ont disparu, mais ils sont évoqués dans les annexes, ce qui leur donne la même force juridique que le corps du texte. Le nouveau traité conserve donc la teneur du texte antérieur tout en le rendant encore plus illisible.

     

    http://www.marianne2.fr/Traite-modifie,-democratie-bafouee_a80590.html?PHPSESSID=f0f46ba382a5ef50a4d2f6559bcc4bc3 

     

    [Merci à Nicole]


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  • <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p> 

    Les dirigeants européens ont sorti de leur chapeau une constitution vidée de sa substance. Récit d'une complaisance béate.

     

    19 octobre 2007. Scène de magie à Lisbonne. De l'enveloppe de la « Constitution européenne » est extrait, sous les acclamations des chefs d'Etat et de gouvernement émerveillés, le noyau dur : une Union européenne gouvernant par l'entremise de comités d'experts, de sages et de juges, toutes instances indépendantes des peuples mais non, assurément, des lobbies. Et chacun de se féliciter et de rentrer chez soi avec une injonction et une seule : plaudite, cives !

    Vous avez aimé la grande soeur ? Vous allez adorer la petite. Revoici les actes législatifs que ne contrôle aucun peuple souverain, les décisions à la majorité qualifiée réglant notre vie quotidienne, notre vie économique et sociale, une justice qui ne rend de comptes à personne, tout occupée qu'elle est à régler les principes fondamentaux de nos sociétés ainsi d'ailleurs que les moeurs, un Parlement qui ne décide pas de la loi et ne contrôle aucun exécutif, sans oublier le festin des peuples : un droit de pétition comme aux plus beaux temps de <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName w:st="on" ProductID="la Restauration.">la Restauration.</st1:PersonName>

    <st1:PersonName w:st="on" ProductID="la Restauration."></st1:PersonName> 

    <st1:PersonName w:st="on" ProductID="la Restauration."></st1:PersonName>http://www.marianne2.fr/Le-miracle-de-Lisbonne_a80580.html?PHPSESSID=bad06cc209ecbe77343faf09c078e002 

     

    [Merci à Nicole]


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    « Traité européen : c'est le peuple qui doit décider » LAURENT FABIUS !

    "Ce qui a été décidé par référendum ne peut être réexaminé que par référendum. Une autre procédure ne serait pas vraiment démocratique. Sur cette base, j'espère que ce sera l'occasion pour les socialistes de se rassembler." Interview de Laurent Fabius publiée par Le Parisien / Aujourd'hui en France.

    Voterez-vous le projet de traité simplifié adopté à Lisbonne, qui se fixe pour objectif de désembourber l'Europe ?

    Laurent Fabius. Le projet, avec ses 250 pages et ses 297 amendements, n'est pas plus « simplifié » que le précédent. En 2005, le peuple s'était prononcé par référendum.

    Ce qui a été décidé par référendum ne peut être réexaminé que par référendum. Une autre procédure ne serait pas vraiment démocratique. Sur cette base, j'espère que ce sera l'occasion pour les socialistes de se rassembler.

     

    http://www.laurent-fabius.net/article996.html


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