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    LE "NON" l'emporte contre le TRAITE DE LISBONNE !

     

    CE SOIR, NOUS SOMMES TOUS IRLANDAIS !


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    Laurent Fabius , député PS de Seine-Maritime, a exprimé mercredi sa "stupeur" après le compromis des 27 pays de l'UE autorisant une durée du travail pouvant aller jusqu'à 60 ou 65 heures hebdomadaires, affirmant que "l'Europe a besoin d'être profondément réorientée".

    "J'ai appris avec stupeur l'évolution sur la durée du travail", a déclaré M. Fabius, invité de l'Association de la presse parlementaire, à propos de ce projet d'accord intervenu mardi à Bruxelles et qui requiert l'approbation du Parlement européen.

    Selon l'ex-Premier ministre, "on ne peut pas seulement incriminer la directive européenne, il faut incriminer le gouvernement français" dont "l'attitude est maintenant de dire oui" à ce compromis.

    L'ex-chantre du non à <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName w:st="on" ProductID="la Constitution">la Constitution</st1:PersonName> européenne a refusé de dire s'il souhaitait que les Irlandais, consultés jeudi par référendum sur le Traité de Lisbonne, le ratifient ou non. "On enregistrera leur vote, c'est tout. Je ne suis pas allé faire campagne, quand j'avais des choses à dire sur ce sujet, je l'ai dit en France", a-t-il dit.

    Réaffirmant que l'Europe connaît "un déficit démocratique énorme", il a soutenu que l'Union "a besoin d'être profondément réorientée vers une dimension sociale, une dimension démocratique, une dimension écologique".

     

    http://www.laurent-fabius.net/


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    Jusqu'à la fin de <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName ProductID="la Seconde" w:st="on">la Seconde</st1:PersonName> guerre mondiale, l'Europe était un continent d'émigrants. Des dizaines de millions d'Europe partirent aux Amériques pour coloniser, échapper aux famines, aux crises financières, aux guerres ou aux totalitarismes européens et à la persécution des minorités ethniques.

    Aujourd'hui, je suis avec préoccupation le processus de la dite "directive retour". Ce texte, validé le 5 juin passé par les ministres de l'Intérieur des 27 pays de l'Union européenne, doit être approuvé le 18 juin par le Parlement européen. Je perçois qu'il durcit de manière drastique les conditions de détention et d'expulsion des migrants sans papier, quelque ait été leur temps de séjour dans les pays européens, leur situation de travail, leurs liens familiaux, leur volonté et le succès de leur intégration.

    Les Européens sont arrivés dans les pays d'Amérique latine et d'Amérique du Nord, en masse, sans visa ni conditions imposées par les autorités. Ils furent toujours bienvenus, et le demeurent, dans nos pays du continent américain, qui absorbèrent alors la misère économique européenne et ses crises politiques. Ils vinrent sur notre continent en exploiter les richesses et les transférer en Europe, avec un coût très élevé pour les peuples premiers de l'Amérique. Comme par exemple dans le cas de notre Cerro Rico de Potosi et de ses fabuleuses mines qui donnèrent sa masse monétaire au continent européen entre le XVIème et le XIXème siècle. Les personnes, les biens, les droits des migrants européens furent toujours respectés.

     

    http://www.collectifdu29mai.org/Directive-de-la-honte-lettre-d-Evo.html

     


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    « Irlande : le camp du non récuse une Europe intrusive et menace le traité de Lisbonne »

     

    Le ministre irlandais des affaires européennes est comme Hillary Clinton : il veut y croire jusqu'au bout. Jusqu'au 12 juin, date du référendum irlandais sur le traité de Lisbonne, Dick Roche veut croire que l'Irlande, seul des 27 pays membres de l'Union européenne (UE) à devoir voter par référendum et non par voie parlementaire, ratifiera le traité. "Le contraire serait catastrophique et je ne l'envisage pas", dit-il, sans tout à fait dissimuler son inquiétude.

    Les Irlandais, grands bénéficiaires de l'UE depuis leur adhésion en 1973, ne semblent pourtant pas encore décidés à se prononcer majoritairement en faveur du traité - censé permettre le fonctionnement de l'Union à 27.

    Selon le dernier sondage du Sunday Business Post (25 mai), les Irlandais tentés par le non sont en augmentation depuis deux semaines. 41 % se disent favorables au traité (+ 3 points), 33 % contre (+ 5 points). La part importante des indécis (26 %) et l'hypothèse probable d'un fort taux d'abstention laissent redouter le pire aux partisans du traité. Sur Internet, les parieurs ne s'y trompent pas : la cote du non a largement baissé.

     

    http://www.lemonde.fr/archives/article/2008/06/02/irlande-le-camp-du-non-recuse-une-europe-intrusive-et-menace-le-traite-de-lisbonne_1052621_0.html


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    Le couple franco-allemand, jadis si fort, a un peu perdu de sa superbe, entre un Nicolas Sarkozy soucieux de réussir sa communication et une Angela Merkel en difficulté dans son pays.

    Certains ont pu penser que la politique allemande de Nicolas Sarkozy s'appuyait sur des bases solides, celles des analyses de son conseiller Henri Guaino, très bon connaisseur de la réalité économique allemande. C'est sous son impulsion que <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName w:st="on" ProductID="la France">la France</st1:PersonName> a semblé un temps ne plus vouloir se laisser imposer systématiquement la volonté de l'Allemagne. C'est la raison pour laquelle la politique française a défendu le projet d'Union méditerranéenne, réponse bien tardive au Conseil des Etats de <st1:PersonName w:st="on" ProductID="la Baltique">la Baltique</st1:PersonName> (Ostseerat) mis en place par l'Allemagne réunifiée dans sa zone d'implantation historique dès le début des années 1990 sans demander l'avis de <st1:PersonName w:st="on" ProductID="la France. C'est">la France.</st1:PersonName>

    <st1:PersonName w:st="on" ProductID="la France. C'est">C'est</st1:PersonName> aussi pour marquer plus de fermeté, sous Jacques Chirac, que Paris a annulé des rendez-vous avec le partenaire allemand lorsque celui-ci, par la bouche de son ministre des Finances Peer Steinbrück, a commencé à faire pression pour que <st1:PersonName w:st="on" ProductID="la France">la France</st1:PersonName> résorbe son déficit - Jacques Chirac avait-il mis sous pression Berlin lorsque l'Allemagne s'était affranchie, sous Gerhard Schröder, du pacte de stabilité? Plus fondamentalement, Paris voudrait voir l'Allemagne à ses côtés pour mener une politique monétaire active vis-à-vis du dollar, et fait sentir sa mauvaise humeur face à l'inertie allemande sur le sujet.

    http://www.marianne2.fr/Allemagne-d-aujourd-hui-4-4-Ou-va-la-cooperation-franco-allemande-_a84614.html?PHPSESSID=edde9d66a2dc6a4c2d847d3edf4c27cb


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    4 février 1790 : Devant l'Assemblée Nationale, le roi jure solennellement fidélité à <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName ProductID="la Constitution" w:st="on">la Constitution</st1:PersonName> qui est la première de l'Histoire de France.

     

    4 février 2008 : Les parlementaires français votent la soumission de <st1:PersonName ProductID="La France" w:st="on">la France</st1:PersonName> en entérinant une modification Constitutionnelle qui permet l'adoption d'un texte européen dont le contenu avait été repoussé par le Peuple français, consulté par Référendum en 2005.

     

    Cette forfaiture est une haute trahison contre <st1:PersonName ProductID="la Nation" w:st="on">la Nation</st1:PersonName> ! C'est le Viol de la FRANCE !

     

    Il faudra juger tous ces petits marquis... Comme il faudra prendre les Bastilles nouvelles !


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    Appel à un rassemblement citoyen et festif

     

    Le 4 FEVRIER 2008  dès 12h

     

    (Place du marché aux fleurs de Versailles)

     

    Le traité de Lisbonne, en avez-vous entendu parler ?

    Le Conseil européen de Lisbonne des 18 et 19 octobre <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:metricconverter ProductID="2007 a" w:st="on">2007 a</st1:metricconverter> adopté un nouveau traité européen. Élaboré en catimini, ce traité nous a été présenté par Nicolas Sarkozy comme « un traité simplifié, limité aux questions institutionnelles ».

    Loin d'être simplifié, ce traité comporte plusieurs centaines de pages avec 359 modifications des traités existants, treize protocoles et quelques dizaines de projets de déclarations ayant la même valeur juridique que les traités. Loin de le limiter aux questions institutionnelles, ses rédacteurs en ont fait une copie illisible du Traité constitutionnel européen (TCE) qui a été rejeté par les Français et les Néerlandais en 2005.

     

    http://www.tousaversaillesle4fevrier2008.fr/post/2008/01/26/Pas-dEurope-contre-les-peuples-Toutes-et-tous-a-Versailles-le-4-fevrier 

     

    Premiers signataires : AC !, AlterEkolo, ATTAC France, Cactus/La gauche !, CGT finances, Collectif Bellaciao, Coordination des collectifs antilibéraux, Confédération paysanne, Fondation Copernic, LCR, Les Alternatifs, LO, Marches Européennes, Mars-Gauche républicaine, PCF, P.R.C.F., Réseau féministe Ruptures, SNJ-CGT Audiovisuel, Union syndicale Solidaires.<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p>

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    Intervention de Jean-Pierre Chevènement au rassemblement du Comité national pour un référendum (CNR) samedi 2 février, Paris (Halle Carpentier).

    <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p>

     

    Nous sommes réunis ici pour défendre la souveraineté populaire. Celle-ci et la démocratie sont en effet une seule et même chose.

    Les parlementaires réunis à Versailles, après demain 4 février 2008, auront à répondre à une question simple : peuvent-ils désavouer le peuple qui s'est prononcé, le 29 mai 2005, à 55% contre le projet de constitution européenne ?

    Car il n'est pas vrai, comme l'a prétendu M. Sarkozy, que le traité de Lisbonne soit un traité « simplifié » et moins encore un « mini-traité ».

    Ce subterfuge ne peut tromper personne. M. Giscard d'Estaing n'a-t-il pas lui-même déclaré le 17 juillet 2007, devant le Parlement européen, que le traité de Lisbonne n'apportait que « des changements cosmétiques à <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName ProductID="la Constitution" w:st="on">la Constitution</st1:PersonName> européenne pour qu'elle soit plus facile à avaler » ? En vérité, nos dirigeants se moquent du peuple.

    Alors, comment les représentants du peuple pourraient-ils couvrir une forfaiture par une autre ? Car ils auront à se prononcer lundi 4 février non sur le traité de Lisbonne mais sur une question préjudicielle : accepteront-ils la modification de la constitution qui rendra possible la ratification de Lisbonne par sa voie parlementaire ? Ils peuvent très bien mettre obstacle à ce déni de démocratie : il suffit que 2/5 des suffrages exprimés se prononcent contre le projet de révision constitutionnelle préalable. Cette minorité de blocage existe au sein du Congrès, pour peu que les parlementaires se souviennent des engagements qu'ils ont pris à travers les candidats qu'ils ont soutenus à l'élection présidentielle. Accepter la révision constitutionnelle préalable, ce serait pour le Parlement couvrir l'intention du Président de <st1:PersonName ProductID="la R←publique" w:st="on">la République</st1:PersonName> de s'asseoir sur le suffrage universel. Il piétinerait à son tour la démocratie et ajouterait une forfaiture à une autre forfaiture.

     

    http://www.chevenement.fr/Les-parlementaires-qui-diront-non-le-4-fevrier-a-Versailles-prendront-date-pour-l-avenir_a554.html?preaction=nl&id=3345999&idnl=31195&


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  • Référendum ou non - Mélenchon clarifie
    Vidéo envoyée par inet

    Il montre que cela ne dépend que du PS. http://www.nousvoulonsunreferendum.eu/ http://www.tousaversaillesle4fevrier2008.fr/


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    Traité européen: Pour un référendum
    Non au déni de démocratie!

     

    Samedi 2 février, de 14h30 à 18h30

     

    APPEL DU CNR

     

    Halle Carpentier

    81 boulevard Massena

    Paris 13° - M° Porte d'Ivry

     

    http://www.nousvoulonsunreferendum.eu/index.php


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  • <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /> 

    « L'indécision irlandaise met en danger le minitraité »

     

    Seuls 26 % des Irlandais déclarent vouloir voter «oui» au traité de Lisbonne sur les institutions européennes. Les indécis sont en revanche très majoritaires.

     

    Le sort du traité de Lisbonne sur les institutions européennes dépend maintenant du choix des quelque trois millions d'électeurs irlandais. <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName ProductID="La République" w:st="on">La République</st1:PersonName> d'Irlande est en effet le seul pays européen dont la constitution l'oblige à passer par un référendum avant de pouvoir ratifier le fameux minitraité. Or une immense majorité des Irlandais les deux tiers selon un sondage paru ce week-end dans le quotidien Irish Times se disent encore indécis. Avec cette proportion d'électeurs hésitants, la faible avance du oui sur le non (26 % contre 10 %) pourrait bien basculer d'ici le jour du scrutin.

    En 2005, les sondages sur l'ancien projet de constitution européenne donnaient une bien plus large avance au oui, avec 46 % des intentions de vote. Après le non de <st1:PersonName ProductID="la France" w:st="on">la France</st1:PersonName> et celui des Pays-Bas, le référendum prévu en Irlande avait été annulé.

    Cette fois, les Irlandais sont les seuls à voter, et la pression monte, car le référendum doit absolument avoir lieu avant la fin de l'année 2008. Or le débat sur le traité de Lisbonne n'a pas réellement commencé en Irlande, et la date du vote n'a pas encore été donnée par le gouvernement du premier ministre Bertie Ahern.

    Le mauvais souvenir de 2001 est encore dans tous les esprits : les électeurs irlandais avaient alors rejeté le traité de Nice, avant d'être appelé à un nouveau référendum sur le même sujet deux ans plus tard. La question de la neutralité de l'Irlande avait été au passage précisée. Et les Irlandais ont finalement accepté le traité...

     

    http://www.lefigaro.fr/international/2008/01/29/01003-20080129ARTFIG00004-l-indecision-irlandaisemet-en-danger-le-minitraite.php

    <o:p> </o:p>[Merci à Nicole]

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    Non au déni de démocratie !

     

    Grand rassemblement populaire

     

    Samedi 2 février à 14h30

     

    Halle Carpentier

    81 boulevard Massena

    Paris 13° - M° Porte d'Ivry

     

    http://www.nousvoulonsunreferendum.eu/index.php


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