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    «Il serait temps pour Israël de reconnaître le droit d'exister des Palestiniens ».

     

    L'ancien patron du service de renseignements israélien est connu pour ses positions pragmatiques vis-à-vis des Palestiniens. Il fait partie d'un groupe d'anciens généraux et responsables de sécurité qui viennent d'envoyer une lettre au premier ministre recommandant un dialogue avec le Hamas.

    LE FIGARO. - Pourquoi avez-vous signé une lettre réclamant des négociations avec le Hamas ?

    Ephraïm HALÉVY. - Cette lettre n'était pas destinée à être publiée. Signée par des personnalités dont les points de vue divergent quant aux solutions à envisager avec les Palestiniens, mais qui sont d'accord pour dire qu'il n'existe pas de solution sans le Hamas, elle a été envoyée au premier ministre et au ministre de <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName w:st="on" ProductID="la Défense">la Défense</st1:PersonName> il y a deux mois pour tenter de les influencer. Sans une forme de dialogue avec le Hamas, rien ne sera possible. Si le conflit militaire se poursuit à Gaza, le président palestinien, Mahmoud Abbas, ne pourra pas négocier ou signer d'accord avec Israël. Les morts israéliens et palestiniens pèseront sur les discussions. Les lourdes pertes palestiniennes liées à une éventuelle opération israélienne à Gaza mettront Abbas dans une position impossible.

    Êtes-vous satisfait que le gouvernement négocie par l'intermédiaire de l'Égypte un cessez-le-feu avec le Hamas ?

     

    http://www.lefigaro.fr/international/2008/05/20/01003-20080520ARTFIG00009-ephraim-halevy-c-est-un-armistice-qu-il-nous-faut.php


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    Le président géorgien a accordé un entretien à un groupe de journalistes dont l'envoyé spécial du Figaro.

     

    LE FIGARO. - Vous avez déclaré que votre pays et <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName w:st="on" ProductID="la Russie">la Russie</st1:PersonName> étaient proches de la guerre. La situation a-t-elle changé depuis ?

    Mikhaïl SAAKACHVILI. - La situation est toujours aussi proche de la guerre qu'il y a deux semaines. Ça ne tient pas à moi : c'est <st1:PersonName w:st="on" ProductID="la Russie">la Russie</st1:PersonName> qui ne veut pas de l'Otan à ses frontières, c'est <st1:PersonName w:st="on" ProductID="la Russie">la Russie</st1:PersonName> qui a installé des missiles à nos frontières - nous le savons d'après des photos satellites -, c'est <st1:PersonName w:st="on" ProductID="la Russie">la Russie</st1:PersonName> qui a envoyé des parachutistes qui n'ont rien à voir avec une force de paix.

    L'Europe et les États-Unis vous soutiennent-ils assez ?

    J'ai été déçu par le temps de réaction de l'Union européenne. Mais les Européens ont finalement pris des positions fortes. Dans le passé, il y a eu un nettoyage ethnique (en Abkhazie, NDLR), <st1:PersonName w:st="on" ProductID="la Russie">la Russie</st1:PersonName> a distribué massivement des passeports aux Abkhazes et personne n'a rien dit. Dès 2005, un haut responsable russe m'a assuré qu'ils ne rendraient jamais l'Abkhazie.

    Avez-vous eu un contact direct avec le nouveau président russe Medvedev ?
    J'ai essayé d'appeler Medvedev après son élection, à plusieurs reprises, mais à chaque fois, on m'a passé Poutine !

     

    http://www.lefigaro.fr/international/2008/05/20/01003-20080520ARTFIG00011-mikhail-saakachvili-nous-sommes-proches-de-la-guerre.php


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  • <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p> 

    Ainsi la crainte qui était celle de nombreux observateurs et amis du Liban depuis deux ans s'est-elle concrétisée : le blocage politique et institutionnel a débouché sur une confrontation armée opposant avant tout chiites et sunnites, répercutant le bras de fer en cours entre l'Administration américaine et ses alliés israéliens et arabes, d'une part, et l'Iran et ses alliés, d'autre part. Mais cette confrontation a tourné en quelques heures à l'avantage du Hezbollah et de ses alliés, malgré les rodomontades émanant précédemment de certains leaders du camp gouvernemental. Le général Aoun avait pourtant prévenu que le Hezbollah se défendrait s'il était mis au pied du mur.

    Mais il ne s'agit pas pas encore ? d'un coup d'État : les deux décisions du Conseil des ministres considérées comme «déclarations de guerre» par Hassan Nasrallah ont été rapportées par l'armée libanaise. Les positions sensibles  permanences et moyens d'information ont été remises à l'armée. Le point de non-retour de la guerre civile n'est pas encore atteint. Les déclarations de Saad Hariri et de Hassan Nasrallah laissent toujours une issue possible dont l'armée libanaise et son chef, Michel Sleimane, peuvent être les garants, après avoir une nouvelle fois confirmé leur sang-froid et leur unité dans un contexte périlleux.

     

    http://www.lefigaro.fr/debats/2008/05/12/01005-20080512ARTFIG00416-liban-les-erreurs-de-la-france-et-de-l-union-europeenne.php


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    Fondateur de The Carter Center, qui œuvre pour la promotion de la paix, de la santé et des droits humains dans le monde, l'ancien président des États-Unis Jimmy Carter, au retour d'une tournée au Proche-Orient, s'indigne de la situation dans laquelle sont maintenus les Palestiniens de Gaza.

    Le monde est témoin d'un crime terrible contre les droits de l'homme à Gaza, où un million et demi d'êtres humains sont emprisonnés et quasiment privés de tout accès au monde extérieur, que ce soit par mer, par air ou par la terre. Une population entière est en train d'être brutalement punie.

    Ce mauvais traitement flagrant des Palestiniens de Gaza a été intensifié de façon spectaculaire par Israël, avec le soutien des États-Unis, après que des candidats politiques représentant le Hamas eurent gagné une majorité de sièges au Parlement de l'Autorité palestinienne en 2006. Cette élection avait été jugée honnête et juste de façon unanime par tous les observateurs internationaux.

    Israël et les États-Unis ont refusé d'accepter les droits des Palestiniens à former un gouvernement d'unité avec le Hamas et le Fatah et aujourd'hui, après une lutte interne, c'est le Hamas seul qui contrôle Gaza. Quarante et un des quarante-trois candidats victorieux du Hamas qui vivaient en Cisjordanie sont aujourd'hui emprisonnés en Israël, plus dix autres qui ont occupé des postes dans l'éphémère gouvernement de coalition.

     

    http://www.lefigaro.fr/debats/2008/05/09/01005-20080509ARTFIG00582-crime-contre-les-droits-de-l-homme-a-gaza.php


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    Les affrontements entre partisans, sunnites, du gouvernement et ceux, chiites, de l'opposition se sont exacerbés jeudi 8 mai, en particulier dans <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName w:st="on" ProductID="la Bekaa">la Bekaa</st1:PersonName> (est du pays) et à Beyrouth. Les lignes de démarcation qui séparaient les protagonistes de la guerre civile de quinze ans (1975-1990) se sont déplacées. Elles traversent aujourd'hui parfois une même avenue, ou une même rue.

    Le conflit armé n'a pas - pas encore? - débordé vers d'autres régions, mais la crise a pris une tournure telle que, pour la première fois, le commandement de l'armée a mis en garde les formations politiques contre les risques sérieux de division qui menacent la troupe, reflet de la composition plurielle du pays.

    Après quelques heures de relative accalmie dans les quartiers à population mixte chiite et sunnite de la partie ouest de Beyrouth, théâtre d'affrontements depuis mercredi, des partisans du Courant du futur, mouvement sunnite pilier de la majorité politique, et ceux du Hezbollah et du mouvement Amal, tous deux chiites et épine dorsale de l'opposition, ont fait usage, jeudi, de dizaines de roquettes RPG (Rocket Propelled Grenade), de mitrailleuses lourdes et d'armes automatiques.

     

    http://www.lemonde.fr/proche-orient/article/2008/05/09/le-hezbollah-passe-a-l-attaque-a-beyrouth_1042885_3218.html#ens_id=965845


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    L'embarras de Barack Obama face aux propos incendiaires de son mentor, pasteur et ami Jeremiah Wright, tient moins à la prétendue surprise du disciple devant le radicalisme "soudain" du maître qu'à la révélation de ses propres contradictions. En le répudiant in extremis, Barack Obama abandonne une "parole afro-américaine" dont il avait jusqu'alors prétendu être l'interprète.

    La colère venimeuse de Jeremiah Wright contre l'Amérique blanche est, en effet, la version outrancière d'un topo de l'Eglise noire et de ses prêches enflammés. Elle est au coeur de <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName w:st="on" ProductID="la Black Liberation">la Black Liberation</st1:PersonName> Theology, née dans le sillage de Martin Luther King et de Malcolm X, qui, outre le christianisme social, appelle au renouveau de la fierté noire. Le révérend Wright a d'ailleurs emprunté au sujet du 11-Septembre les mots mêmes de Malcolm X au lendemain de l'assassinat de John Fitzgerald Kennedy : "America's chickens are coming home to roost" (Qui sème le vent récolte la tempête).

     

    http://www.lemonde.fr/archives/article/2008/05/08/obama-rattrape-par-le-spectre-de-king-par-sylvie-laurent_1042488_0.html


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  • Comme deux vieilles connaissances fatiguées l'une de l'autre, l'Afrique et <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName w:st="on" ProductID="la France">la France</st1:PersonName> ne se comprennent plus. Non seulement Paris perd pied sur le continent noir, mais son image se dégrade. Objet de débat depuis quelques années, cette réalité est désormais officiellement reconnue et préoccupe le sommet de l'Etat. Multiforme, le constat est dressé dans un ensemble de télégrammes rédigés à la demande du Quai d'Orsay à l'automne 2007 par 42 ambassadeurs en poste en Afrique, et dont Le Monde a pris connaissance. Pareil état des lieux tend à plaider en faveur de la "rupture" dans la politique de <st1:PersonName w:st="on" ProductID="la France">la France</st1:PersonName> en Afrique promise par Nicolas Sarkozy. "Rupture" que des proches du président français semblent remettre en cause. L'image de <st1:PersonName w:st="on" ProductID="la France">la France</st1:PersonName> "oscille entre attirance et répulsion dans nos anciennes colonies, au gré du soutien politique ou des interventions, militaires notamment, dont ont fait l'objet ces pays", constate un télégramme de synthèse. "<st1:PersonName w:st="on" ProductID="la France">La France</st1:PersonName> n'est plus la référence unique ni même primordiale en Afrique. Les Français ont du mal à l'admettre", ajoute un diplomate qui a participé à ce travail. A l'entendre, tout se passe comme si le temps s'était arrêté : les Africains "jugent <st1:PersonName w:st="on" ProductID="la France">la France</st1:PersonName> à l'aune des travers du passé alors que Elf, c'est fini".

    De leur côté, les Français ignorent que les Africains entrent dans la mondialisation "plus vite qu'on ne le croit" et sont désormais courtisés par tous les pays émergents (Chine, Inde, Brésil) et par les Etats-Unis. "Loin de la pensée misérabiliste, (...) les progrès accomplis par l'Afrique sont importants et largement sous-estimés par l'opinion et les observateurs", estime le document, élaboré pour tenter de remédier à l'effet désastreux produit par le discours de Nicolas Sarkozy à Dakar en juillet 2007.

     

    http://www.lemonde.fr/afrique/article/2008/04/26/l-image-tres-degradee-de-la-france-en-afrique_1038797_3212.html


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    Le résultat des élections générales au Paraguay peut passer pour "historique" : Fernando Lugo, "l'évêque des pauvres", a été élu à la présidence de <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName w:st="on" ProductID="la République">la République</st1:PersonName> , dimanche 20 avril, mettant fin à soixante et un ans d'hégémonie du Parti Colorado. Il l'a emporté avec 40,8 % des voix, contre 30,7 % pour la candidate des Colorados, Blanca Ovelar, et 21,9 % pour l'ancien général putschiste Lino Oviedo. Le nouveau président qui sera investi le 15 août, ne bénéficiera pas, toutefois, de la majorité au Parlement.

    L'élection de Mgr Lugo renforce le virage à gauche de l'Amérique latine. "Je ne me sens ni de gauche, ni de droite : ma préoccupation pour les pauvres découle de mon option pastorale plutôt que d'une idéologie", assure-t-il. C'est le premier évêque à être élu chef de l'Etat dans le monde. Il a dû renoncer à son ministère, en 2006, pour se lancer dans la politique. Cela lui vaut d'être suspendu a divinis par le Vatican. Concerts de klaxons, pétards, tambours : une foule en liesse a envahi les rues d'Asuncion, dimanche soir. Au cours d'une conférence de presse, le vainqueur a invité tous les Paraguayens, "quel que soit leur parti politique", à construire "de meilleurs horizons" pour leur pays. Il a demandé à Dieu de "bénir le Paraguay, qui doit aux plus humbles ce changement historique".

     

    http://www.lemonde.fr/ameriques/article/2008/04/21/le-paraguay-elit-l-eveque-des-pauvres-et-bascule-a-gauche_1036439_3222.html#ens_id=1035751


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    L'ancien président Jimmy Carter a tendu la main au mouvement islamiste.

    Isolé et au bord de l'asphyxie en raison du blocus imposé à la bande de Gaza, dont il a pris le contrôle par la force il y a près d'un an, le Hamas tente une ouverture. Lundi , le chef en exil du mouvement islamiste, Khaled Mechaal, s'est dit prêt à accepter un État palestinien dans les frontières de 1967, c'est-à-dire s'étendant sur <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName w:st="on" ProductID="la Cisjordanie">la Cisjordanie</st1:PersonName> (y compris Jérusalem-Est) et la bande de Gaza. Khaled Mechaal a également donné son feu vert de prin­cipe à la tenue d'un référendum parmi les Palestiniens, pour entériner l'accord auquel pourraient aboutir les négociations en cours entre l'Autorité palestinienne et le gouvernement israélien d'Ehoud Olmert. Cependant, le chef du Hamas a réaffirmé que son mouvement «ne reconnaîtra pas Israël».

    «Nous acceptons un État palestinien dans les frontières du 4 juin 1967 avec Jérusalem pour capitale, un État souverain sans les colonies (israéliennes), avec le droit au retour des réfugiés palestiniens, mais sans la reconnaissance d'Israël», a affirmé Mechaal à Damas. Il répondait ainsi aux propositions de Jimmy Carter. L'ancien président américain a entrepris la semaine dernière une tournée au Proche-Orient visant à convaincre le Hamas de soutenir les négociations de paix israél

     

    http://www.lefigaro.fr/international/2008/04/22/01003-20080422ARTFIG00009-le-hamas-accepte-un-etat-palestinien-dans-les-frontieres-de-.php


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    L'ancien président américain Jimmy Carter a rencontré hier le chef du Hamas à Damas.

    Poursuivant, malgré la polé­mique, sa tournée dans la région pour promouvoir les efforts de paix, l'ancien président américain Jimmy Carter a rencontré, hier à Damas, le chef en exil du Hamas, Khaled Mechaal. Officiellement, le gouvernement d'Ehoud Olmert, tout comme <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName ProductID="la Maison-Blanche" w:st="on">la Maison-Blanche</st1:PersonName> à Washington, a rejeté l'initiative de Jimmy Carter. Cependant, le Prix Nobel de la paix, récompensé pour son rôle dans la signature des accords de paix israélo-égyptiens de Camp David en 1978, était porteur d'une offre israélienne de dialogue à l'adresse du Hamas. Celle-ci a été formulée par Eli Yishaï, vice-premier ministre en charge de l'Industrie et du Commerce.

    Yishaï est le seul responsable du gouvernement à avoir accepté de rencontrer Carter lors du pas­sage de ce dernier à Jérusalem ­cette semaine. Le ministre lui a dit être prêt à rencontrer Mechaal, en espérant ainsi parvenir à un échange de prisonniers avec le Hamas. «Je serais reconnaissant si vous pouviez m'y aider», lui a-t-il dit.

     

    http://www.lefigaro.fr/international/2008/04/19/01003-20080419ARTFIG00012-un-ministre-israelien-prone-un-dialogue-avec-le-hamas-.php


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    Le projet de rencontre de l'ancien président américain, le démocrate Jimmy Carter, avec le chef du bureau politique du Hamas, Khaled Mechaal, en exil à Damas, n'est pas du tout du goût des Israéliens. Ces derniers lui ont fait savoir lors de son passage à Jérusalem, première étape d'une tournée d'une semaine au Proche-Orient au cours de laquelle il se rendra en Syrie. Le président Shimon Pérès, qui l'a reçu dimanche 13 avril, lui a fait part de son désaccord, ajoutant, selon le quotidien Yediot Ahronot : "Vous avez causé beaucoup de torts à la suite de vos déclarations et des réunions que vous avez tenues au cours des dernières années."

    Auteur en 2006 d'un livre intitulé Palestine : la paix, pas l'apartheid, M. Carter est peu apprécié par les dirigeants politiques israéliens. La plupart d'entre eux l'ont snobé à commencer par le premier ministre, Ehoud Olmert. En revanche, le Prix Nobel de la paix <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:metricconverter w:st="on" ProductID="2002 a">2002 a</st1:metricconverter> rencontré le père de Gilad Shalit, le soldat israélien enlevé près de Gaza le 25 juin 2006, et lui a promis qu'il interviendrait en faveur de la libération de son fils. Il s'est également rendu à Sdérot, la ville israélienne sous le feu des roquettes tirées depuis la bande de Gaza, action qu'il a qualifiée de "crime infâme".

     

    http://www.lemonde.fr/archives/article/2008/04/16/jimmy-carter-suscite-l-ire-d-israel-en-voulant-dialoguer-avec-les-islamistes-du-hamas_1034948_0.html


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  • ParlonsNet n°7 J.L. Mélenchon Tibet
    Vidéo envoyée par FranceInfo

    Jean-Luc Mélenchon pousse un coup de gueule sur le Tibet et canarde au passage les pratiques spectaculaires de Reporters Sans Frontières. A découvrir aussi sur France-info.com : http://www.france-info.com/spip.php?article118561&theme=81&sous_theme=264


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