• « La France et l'OTAN ou le retour à Canossa », par Yves Boyer

     

    A l'occasion du discours aux ambassadeurs en août, le président de <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName w:st="on" ProductID="la République">la République</st1:PersonName> a clairement affiché son désir de voir "moderniser" les relations qui lient <st1:PersonName w:st="on" ProductID="La France">la France</st1:PersonName> à l'OTAN. Faut-il pour autant aller jusqu'à réintégrer l'organisation militaire intégrée, comme semblait le suggérer le ministre de la défense, M. Morin, lors de l'université d'été de la défense ?

    Dans la mesure où aucune d'entre elles n'a fait l'objet d'un quelconque accord au sein de l'OTAN, le président aurait-il fait marche arrière sur les trois conditions qu'il avait fixées, en tant que candidat, au maintien de la contribution de <st1:PersonName w:st="on" ProductID="La France">la France</st1:PersonName> à l'organisation militaire intégrée et dont aucune n'a jusqu'à ce jour été remplie : "L'OTAN ne doit pas évoluer vers une organisation mondiale effectuant des missions aux confins de l'humanitaire, du militaire et des activités de police internationale ; l'OTAN n'a pas vocation à se substituer à l'ONU, elle doit conserver un ancrage géopolitique clair en Europe et une vocation strictement militaire ; l'Union européenne doit s'appuyer sur les moyens de commandement que l'Alliance met en oeuvre" ?

     

    http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-3232,36-958799,0.html

    <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p> 

  • Commentaires

    Aucun commentaire pour le moment

    Suivre le flux RSS des commentaires

    Vous devez être connecté pour commenter