• « La femme est l'avenir de l'homme » dit le poète ARAGON

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    « Je suis l'ennemi de ce règne de l'homme qui n'est pas encore terminé. Pour moi, la femme est l'avenir de l'homme, au sens où Marx disait que l'homme est l'avenir de l'homme. » ARAGON


    Le poète a toujours raison
    Qui voit plus haut que l'horizon
    Et le futur est son royaume
    Face à notre génération
    Je déclare avec Aragon
    La femme est l'avenir de l'homme

    Entre l'ancien et le nouveau
    Votre lutte à tous les niveaux
    De la nôtre est indivisible
    Dans les hommes qui font les lois
    Si les uns chantent par ma voix
    D'autres décrètent par la bible

    Le poète a toujours raison
    Qui détruit l'ancienne oraison
    L'image d'Eve et de la pomme
    Face aux vieilles malédictions
    Je déclare avec Aragon
    La femme est l'avenir de l'homme

    Pour accoucher sans la souffrance
    Pour le contrôle des naissances
    Il a fallu des millénaires
    Si nous sortons du moyen âge
    Vos siècles d'infini servage
    Pèsent encor lourd sur la terre

    Le poète a toujours raison
    Qui annonce la floraison
    D'autres amours en son royaume
    Remet à l'endroit la chanson
    Et déclare avec Aragon
    La femme est l'avenir de l'homme

    Il faudra réapprendre à vivre
    Ensemble écrire un nouveau livre
    Redécouvrir tous les possibles
    Chaque chose enfin partagée
    Tout dans le couple va changer
    D'une manière irréversible

    JEAN FERRAT


  • Commentaires

    1
    anna
    Vendredi 9 Mars 2007 à 11:34
    femme
    L'inconnue Celle qu'on aime est l'inconnue Inspirant mille pages Promettant des malentendus Et les plus beaux voyages Gardant pour elle son inventaire Ses trucs pour vous plaire Sautillant comme un courant d'air A travers les âges Fatigante et ennivrante Sous vos yeux elle se dérobe S'efface en riant derrière son ombre Laissant le parfum de sa robe Celle qu'on aime est l'inconnue Bousculant les présages Caressant même un inconnu Comme une enfant sage Dévoilant parfois ses mystères Pleurante et douce mère Aimer l'inconnue c'est chercher A écrire mille pages Captivante et déroutante Sous vos yeux elle impressionne S'efface en riant pour changer sa robe Instantanée elle se dérobe (A.P) D'accord avec Aragon...Ce sont elles. C'est forcément elle. Si vous la voyez surgir ou passer, si vous la regardez s'éloigner, le sac bien accroché et les pas en liberté, vous sentez que c'est elle qui a, qui est, qui sait avoir et être, même si vous ne savez pas comment elle fait. Elle n'a rien fait de particulier ; elle donne la vie, c'est tout.La femme tisse sans cesse sa toile et harmonise les couleurs à sa convenance, avec plaisir pour les plus sensuelles, avec art pour les plus douées. Qu'elles aient des miroirs ou des regards pour spectateurs, elles chantent et dansent, de tout temps et de toute culture ; elles sont imprégnées de la légèreté des déesses et perpétuent la belle époque. Grâce à elles, tout est un éternel recommencement. Vous vous égarerez toujours dans des erreurs et des conquêtes contre nature ; pour aurez beau faire des guerres, elles ne perdront jamais le fil de la vie. Et comme elles sont bonnes, elles n'oublieront pas de vous repêcher le moment venu, pour reconstruire les jardins endommagés...
    2
    Vendredi 9 Mars 2007 à 15:16
    Merci à Anna - son texte corrigé :
    L'inconnue Celle qu'on aime est l'inconnue Inspirant mille pages Promettant des malentendus Et les plus beaux voyages Gardant pour elle son inventaire Ses trucs pour vous plaire Sautillant comme un courant d'air A travers les âges Fatigante et enivrante Sous vos yeux elle se dérobe S'efface en riant derrière son ombre Laissant le parfum de sa robe Celle qu'on aime est l'inconnue Bousculant les présages Caressant même un inconnu Comme une enfant sage Dévoilant parfois ses mystères Pleurante et douce mère Aimer l'inconnue c'est chercher A écrire mille pages Captivante et déroutante Sous vos yeux elle impressionne S'efface en riant pour changer sa robe Instantanée elle se dérobe (A.P) D'accord avec Aragon...Ce sont elles. C'est forcément elle. Si vous la voyez surgir ou passer, si vous la regardez s'éloigner, le sac bien accroché et les pas en liberté, vous sentez que c'est elle qui a, qui est, qui sait avoir et être, même si vous ne savez pas comment elle fait. Elle n'a rien fait de particulier ; elle donne la vie, c'est tout. La femme tisse sans cesse sa toile et harmonise les couleurs à sa convenance, avec plaisir pour les plus sensuelles, avec art pour les plus douées. Qu'elles aient des miroirs ou des regards pour spectateurs, elles chantent et dansent, de tout temps et de toute culture ; elles sont imprégnées de la légèreté des déesses et perpétuent la belle époque. Grâce à elles, tout est un éternel recommencement. Vous vous égarerez toujours dans des erreurs et des conquêtes contre nature ; pour aurez beau faire des guerres, elles ne perdront jamais le fil de la vie. Et comme elles sont bonnes, elles n'oublieront pas de vous repêcher le moment venu, pour reconstruire les jardins endommagés...
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