•  

    « Mort d'Adam Rayski, figure de la résistance juive et cofondateur du Crif »

     

    Le résistant d'origine juive polonaise Adam Rayski, ancien dirigeant de la section française de <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName ProductID="la MOI" w:st="on">la MOI</st1:PersonName> (Main d'oeuvre immigrée), est mort mardi à son domicile parisien à l'âge de 95 ans, ont annoncé mercredi le Conseil représentatif des institutions juives de France (CRIF) et son fils l'historien Benoît Rayski

    Il était le dernier survivant des fondateurs du Crif, créé en 1943 par les responsables de la communauté juive, en pleine période d'Occupation.

    Né à Byalistok en Pologne, engagé très jeune dans les rangs du parti communiste clandestin, il émigra en France dans les années 30, où il devint rédacteur en chef d'un quotidien communiste en langue yiddish.

    Il était arrivé en 1932 à Paris et avait entrepris des études de journalisme à <st1:PersonName ProductID="la Sorbonne. En" w:st="on">la Sorbonne. En</st1:PersonName> 1934 il entre au quotidien yiddish "la presse nouvelle" avant de rejoindre la rédaction de l'Humanité.

     

    http://www.lemonde.fr/web/depeches/0,14-0,39-34670043@7-54,0.html

     


    votre commentaire
  •  

    Témoignage de l'assassin du CHE ...

    <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p>

     

    « Quand je suis arrivé dans la classe, le Che était assis sur un banc. En me voyant, il me dit :

    -Vous êtes venu pour me tuer ?  Je me suis senti intimidé et j'ai baissé la tête sans répondre.

    Ensuite, il m'a demandé :

    -Qu'ont dit les autres ? Je lui ai répondu qu'il n'avait rien dit, et il commenta : - Quel courage !  Je n'osais pas tirer. 

    A ce moment-là j'ai vu le Che grand, très grand, énorme. Ses yeux brillaient intensément. J'ai senti qu'il m'écrasait et quand il me regarda fixement, j'ai eu un étourdissement.

    J'ai pensé qu'avec un mouvement rapide le Che pourrait me prendre mon arme.

    - Calmez-vous - me dit-il - et visez bien, vous allez tuer un homme.

    Ensuite, j'ai effectué un pas en arrière, vers le seuil de la porte, j'ai fermé les yeux et j'ai tiré la première rafale [...]. J'ai repris courage et j'ai tiré une seconde rafale, qui l'a atteint au bras, à l'épaule et au cœur. Il était mort désormais (6) ».

    http://www.mondialisation.ca/index.php?context=va&aid=6954

     


    votre commentaire
  •  

    Les Francs-Tireurs Partisans Main d'Oeuvre Immigrée étaient les étrangers dans <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName w:st="on" ProductID="la Résistance">la Résistance</st1:PersonName> communiste en France. Les cadres étaient des anciens de la guerre d'Espagne. Chez les FTP-MOI la majorité des combattants (80 à 90 %) étaient juifs. Ainsi dans le groupe de mon père, 8 combattants, 8 Juifs. Ce rôle des Juifs dans <st1:PersonName w:st="on" ProductID="la Résistance">la Résistance</st1:PersonName> française est méconnu et le faire connaître est une des raisons majeures de l'existence de ce livre.

    [Réseau du Dauphiné - Région de Grenoble]

    <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p>

    http://www.herbertherz.blogspot.com/

    <o:p> </o:p>

    [Merci à sa fille, Murielle ]


    votre commentaire

  • votre commentaire
  •  

    Voir le site consacré :

    http://www.6juin1944.com/

     

     


    votre commentaire
  •  


    L'helléniste Jean-Pierre Vernant est mort mardi à l'âge de 93 ans. Ce philosophe et historien, grand spécialiste de l'Antiquité grecque, était aussi un héros de <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName w:st="on" ProductID="la Résistance">la Résistance </st1:PersonName>à Toulouse. C'est là qu'il a exercé comme professeur après sa démobilisation en 1940. Deux ans plus tard, il s'engage dans le réseau Libération Sud puis devient commandant des Forces françaises de l'intérieur de Haute-Garonne, sous le pseudonyme du « colonel Berthier ».



    Saluons le résistant et l'intellectuel !


    votre commentaire


  • « 14-18 » Le magazine de la Grande Guerre - n° 33
    Août/Septembre 2006 « L'offensive de la Somme » par Frédérick Hadley

    Les préparatifs de la bataille de la Somme-Le bombardement-L'offensive de la Somme (1er juillet-21 novembre 1916)



    Consulter le site Officiel : « Chemin de mémoire » : http://www.cheminsdememoire.gouv.fr/page/affichebiblio.php?idLang=fr&idBiblio=1230&idPage=7006


    et le site de la Grande Guerre : http://www.historial.org/fr/home_b.htm


    votre commentaire
  • Emus par les interventions politiques de plus en plus fréquentes dans l'appréciation des événements du passé et par les procédures judiciaires touchant des historiens et des penseurs, nous tenons à rappeler les principes suivants :
    L'histoire n'est pas une religion. L'historien n'accepte aucun dogme, ne respecte aucun interdit, ne connaît pas de tabous. Il peut être dérangeant.
    L'histoire n'est pas la morale. L'historien n'a pas pour rôle d'exalter ou de condamner, il explique.
    L'histoire n'est pas l'esclave de l'actualité. L'historien ne plaque pas sur le passé des schémas idéologiques contemporains et n'introduit pas dans les événements d'autrefois la sensibilité d'aujourd'hui.
    L'histoire n'est pas la mémoire. L'historien, dans une démarche scientifique, recueille les souvenirs des hommes, les compare entre eux, les confronte aux documents, aux objets, aux traces, et établit les faits. L'histoire tient compte de la mémoire, elle ne s'y réduit pas.
    L'histoire n'est pas un objet juridique. Dans un Etat libre, il n'appartient ni au Parlement ni à l'autorité judiciaire de définir la vérité historique. La politique de l'Etat, même animée des meilleures intentions, n'est pas la politique de l'histoire.
    C'est en violation de ces principes que des articles de lois successives ­ notamment lois du 13 juillet 1990, du 29 janvier 2001, du 21 mai 2001, du 23 février 2005 ­ ont restreint la liberté de l'historien, lui ont dit, sous peine de sanctions, ce qu'il doit chercher et ce qu'il doit trouver, lui ont prescrit des méthodes et posé des limites.
    Nous demandons l'abrogation de ces dispositions législatives indignes d'un régime démocratique.
    Jean-Pierre Azéma, Elisabeth Badinter, Jean-Jacques Becker, Françoise Chandernagor, Alain Decaux, Marc Ferro, Jacques Julliard, Jean Leclant, Pierre Milza, Pierre Nora, Mona Ozouf, Jean-Claude Perrot, Antoine Prost, René Rémond, Maurice Vaïsse, Jean-Pierre Vernant, Paul Veyne, Pierre Vidal-Naquet et Michel Winock

    Contact : libertepourlhistoire@wanadoo.fr


    votre commentaire
  • <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p> 


    Recevant à Rambouillet, il y a quarante ans, un Adenauer qui venait de prendre sa retraite, De Gaulle entendit :


    Adenauer : "J'ai à vous exprimer un désir : c'est que sous la direction de <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName ProductID="la France" w:st="on">la France</st1:PersonName>, l'Europe se crée. C'est mon désir le plus cher. Alors seulement les relations avec les Etats-Unis seront différentes. (...) Vous devez rester le chef de l'Europe et je ne dis pas cela par flatterie : c'est ma conviction la plus profonde."


    Le général, qui n'avait sans doute pas souvent bu autant de petit-lait, lui répondit sans détour que notre pays "n'avait plus les moyens d'exercer la conduite de l'Europe". "Vous non plus, poursuivit-il, mais ensemble nous pouvons le faire", étant entendu qu'un jour il devrait être mis un terme "à la division de l'Allemagne par les soviets".


    votre commentaire
  •  


    Mais qui donc était ce grand homme, au cercueil recouvert d'un drapeau tricolore, pour que le gouverneur militaire de Paris le fasse accueillir au son de <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName w:st="on" ProductID="La Marseillaise">La Marseillaise</st1:PersonName> aux Invalides, se demandaient les touristes, qui, mercredi 9 août, visitaient, fascinés, la cour d'honneur.


    C'était Maurice Kriegel-Valrimont, l'un des libérateurs de Paris, celui qu'une photo célèbre immortalise avec le général Philippe Leclerc alors qu'ils conduisaient, le 25 août 1944, le général allemand Dietrich von Choltitz à Montparnasse, pour signer la reddition allemande. C'était le résistant "Valrimont", auquel aucun membre du gouvernement français n'était pourtant venu rendre hommage.

    <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p>

    http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0,36-802511,0.html


    votre commentaire


  • "Grand résistant et ancien député du PC, il est mort à 92 ans". Par Pascal VIROT

    <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p>

    C'est un grand résistant qui est mort. Un grand communiste aussi, chassé du parti dans les années 60, témoin et procureur de ses dérives staliniennes.


    Maurice Kriegel-Valrimont, décédé mercredi à l'âge de 92 ans, était né à Strasbourg le 14 mai 1914. Fils de bonne famille, destiné à une belle carrière après avoir reçu une éducation religieuse judaïque qu'il rejette rapidement et obtenu son diplôme d'études supérieures de droit, il s'engage très tôt dans la lutte contre le fascisme qui menace le monde.


    http://www.liberation.fr/actualite/politiques/197041.FR.php

    <o:p> </o:p>

    VIDEO : Témoignage de Maurice KRIEGEL-VALRIMONT, au lycée Schuman de Metz (durée: 1h40 )


    http://www.stantv.com/


    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique