• <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p> 

    Évoquer à nouveau le rapport présenté en 2004 par Jean-Pierre Obin, inspecteur général « Etablissements et vie scolaire » à travers les commentaires de vingt écrivains, enseignants et chercheurs de grande notoriété n'amortit pas « le choc » qui continue de se produire lors de ce qui n'a jamais été mieux nommé une « réception ». Faut-il alors décrire une hystérésis, comme le feraient des physiciens ? Car si la diversité des lectures fonde la légitimité de la publication présente et lui donne toute sa pertinence, d'aussi fortes divergences d'interprétations dans un contexte de polémique qui retentit encore dans la plupart des contributions incitent à revenir au texte princeps, joint dans son intégralité en annexe du livre.

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    http://www.communautarisme.net/L-ecole-face-a-l-obscurantisme-religieux-20-personnalites-commentent-un-rapport-choc-de-l-education-nationale_a905.html?preaction=nl&id=3125214&idnl=19255&


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    Parution au Journal officiel du décret supprimant les décharges de certains enseignants, entraînant un allongement du temps de travail sans contrepartie.
    Les cinq fédérations de l'Education (FAEN, FERC-CGT, FSU, SGEN-CFDT, UNSA-Education) réunies lundi soir ont appelé dans un communiqué commun à "amplifier les actions" pour dénoncer les suppressions de postes et un décret sur leur temps de travail.

    Quel Education Nationale et quelle implication des enseignants voulons-nous ?

    <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p>

    Il est temps  d'«Organiser des Etats généraux des enseignants sur le mode participatif, pour améliorer leurs conditions de travail dans l'école, assurer la pleine reconnaissance de leurs missions et préparer un plan pluriannuel de recrutement des enseignants, de formation et de résorption de l'emploi précaire. »

    C'est du Ségolène ... dans le texte !

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  • <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p> 

    À la question posée je répondrai sans hésiter : non, <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName w:st="on" ProductID="la France">la France</st1:PersonName> n'a pas l'enseignement qu'elle mérite. Et cela je crois est fort grave. Dans ce domaine, une crise s'est formée, année après année, et toute crise est grave lorsqu'elle touche à ce qui constitue l'avenir de notre pays. Ceci posé, l'enseignement me paraît une réalité trop importante et surtout trop complexe pour que je ne sois pas opposée à l'idée d'une réforme globale, plus ou moins improvisée, qui nécessairement laisserait de côté des éléments importants. Le résultat aurait toutes chances d'être pire que le mal. En fait, j'ai enseigné à tous les niveaux, depuis le simple collège jusqu'au Collège de France. Il m'apparaît clairement qu'il existe un certain nombre d'erreurs, qu'il serait nécessaire et suffisant de réparer au plus tôt. Il s'agit moins de l'organisation de l'enseignement que de son contenu même, et du but à poursuivre. Pour cela, il est nécessaire que le redressement se fasse d'abord dans les plus petites classes et se poursuive ensuite de proche en proche et d'année en année.



    http://www.lefigaro.fr/forum-figaro-2007/20070206.FIG000000038_la_france_a_t_elle_l_universite_qu_elle_merite.html


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  • <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p> 

    04 janvier 20:02 - DRANCY (AFP) - Deux villes de Seine-Saint-Denis ont instauré la gratuité de la cantine à l'école primaire, initiative inédite alors que de plus en plus de familles pauvres ne peuvent plus assurer les frais de restauration pour leurs enfants scolarisés.


    Les maires UDF de Drancy et du Bourget (Seine-Saint-Denis) ont annoncé jeudi la gratuité de la cantine dans leurs écoles primaires à compter de lundi, jour de la rentrée des vacances de Noël, une "mesure sociale juste" selon les édiles.


    Cette décision "sociale juste" des deux maires a été applaudie par l'Unicef jeudi. L'organisation internationale milite depuis plusieurs années pour un accès égal des enfants à la cantine.


    "Nous avons recensé que deux à trois élèves par école restent sur le carreau et ne vont pas à la cantine, cela fait beaucoup lorsque l'on sait qu'il y a 56.000 écoles en France!", souligne Laurence Hintzy, chargée des questions d'accès à la cantine à l'Unicef.


    Elle rappelle qu'"un million d'enfants vivent sous le seuil de pauvreté en France".


    L'Unicef plaide pour un aménagement des quotients familiaux de sorte que les familles démunies paient moins voire rien du tout pour la cantine, quitte à ce qu'elle demeure payante pour les familles ayant des revenus suffisants.


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    C'est quasiment à une contre-expertise collective sur la question du dépistage des troubles des conduites de l'enfant que se sont livrés les intervenants d'un colloque organisé par l'Inserm, mardi 14 novembre, à la Mutualité à Paris. Un an après la violente polémique suscitée par la publication, en septembre 2005, d'un rapport de l'institut de recherche, les pédopsychiatres ont rejeté en bloc l'idée qu'il existerait un lien prédictif entre les troubles du comportement chez le jeune enfant et la délinquance à l'adolescence. <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p>

    http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0,36-834660,0.html


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  • L'avant-campagne présidentielle s'est emparée de la question de la carte scolaire. Nicolas SARKOZY a tout bonnement proposé sa suppression pure et simple. Ségolène ROYAL a évoqué son aménagement ou son assouplissement. Les débats qui s'organisent autour de ces prises de position mêlent souvent la pure tactique, le double langage et la mauvaise foi. Il est utile d'y voir clair.La carte scolaire date de 1963 : elle a été mise en place en même temps que la création des collèges d'enseignement secondaire (les CES). Il s'agit de la fixation d'un périmètre à l'intérieur duquel toutes les familles qui résident doivent envoyer leurs enfants dans un établissement scolaire donné.



    Lire la suite : http://rupturerepublicaine.blogg.org/


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  • "Sans doute des aménagements sont-ils nécessaires pour désenclaver les zones ghettos mais la suppression de la carte scolaire ou le choix donné aux familles entre plusieurs établissements conduirait à une situation encore plus inégalitaire", a estimé la Société des agrégés.
    "Le meilleur moyen de lutter contre ces inégalités est de restaurer partout l'autorité du savoir" et de "renoncer aux +projets d'établissement+ qui sont autant de facteurs de disparités".
    Elle a déploré aussi "l'extension considérable du marché des cours particuliers à domicile, subventionnée à 50% par l'Etat" et jugé que "l'Etat dépense pour les entreprises privées des sommes considérables au lieu de les investir dans l'amélioration de la transmission des connaissances à l'Ecole".


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