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    Des annonces qui marquent une première prise de conscience des inquiétudes des étudiants

    La ministre a annoncé jeudi 8 novembre une rallonge budgétaire supplémentaire de 11 millions d'euros pour le logement étudiant et de 5 millions d'euros pour la revalorisation de la licence, en écho aux priorités portées par l'UNEF. Les 11 millions supplémentaires sur le logement étudiant vont permettre de donner un coup d'accélérateur pour la réalisation des objectifs de construction et de réhabilitations du plan Anciaux pour 2008.

    Des annonces très insuffisantes :

    Cependant, si elles démontrent une prise de conscience des inquiétudes des étudiants, ces annonces sont insuffisantes au regard des attentes des étudiants et des besoins des universités.   Les étudiants exigent également des mesures pour les sortir de la précarité et revaloriser leur pouvoir d'achat. Enfin, les inquiétudes fortes des étudiants sur la loi sur les libertés et responsabilités des universités ne trouvent aucune réponse dans les annonces de la ministre. L'UNEF exige des modifications de la loi et une rallonge budgétaire significative en direction des universités pour garantir le service public.

     

    http://www.unef.fr/delia-CMS/une/article_id-2208/topic_id-160/de-premieres-avancees-qui-doivent-en-appeler-d'autres.-l'unef-appelle-les-etudia.html


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    Malgré des tentatives de prendre le sujet à bras-le-corps, l'enseignement de l'histoire de l'immigration témoigne d'une "carence" de l'éducation nationale, contribuant à entraver "la construction d'une mémoire collective scolairement partagée". Tel est le principal constat d'un rapport conjoint de l'Institut national de recherche pédagogique (INRP) et de <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName ProductID="la CNHI" w:st="on">la Cité</st1:PersonName> nationale de l'histoire de l'immigration (CNHI). Remis vendredi 19 octobre à Jacques Toubon, président du conseil d'orientation de <st1:PersonName ProductID="la CNHI" w:st="on">la CNHI</st1:PersonName>, ce rapport est le fruit d'un travail de deux ans, dirigé par Benoît Falaize, spécialiste de ces questions, agrégé d'histoire, chargé d'études et de recherches à l'INRP, avec Olivier Absalon et Pascal Mériaux. Programmes scolaires, manuels, pratiques enseignantes : le premier souci des rapporteurs a été de dresser un état des lieux sur un sujet controversé. A cet égard, ils contestent aussi bien l'idée d'un refus "communautariste" de l'histoire de France que les assertions courantes sur la prétendue absence de l'esclavage et de la colonisation dans les programmes et les manuels scolaires. Mais il en va différemment de l'histoire de l'immigration proprement dite : selon ces chercheurs, elle n'est qu'exceptionnellement envisagée "comme un thème d'étude en lui-même".

     

    http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0,36-969703,0.html


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    Depuis une semaine, de mails en forums de discussion sur Internet, une longue missive agite le monde universitaire. Son auteur, Xavier Dunezat, devenu professeur de sciences économiques et sociales au lycée, explique les raisons qui l'ont poussé à quitter l'université, où il était maître de conférences en sociologie. Méthodiquement, en cinq chapitres, l'enseignant dresse un tableau accablant des pratiques de recrutement en vigueur. Il dénonce le "règne du piston", le "désert relationnel" de l'université et le "mépris des étudiants qui transparaît dans l'organisation globale des enseignements... et dans les pratiques professionnelles des enseignants".

    A partir de son expérience d'un an, M. Denuzat reconnaît livrer un témoignage "très subjectif, parfois grossier". Pour autant, les nombreuses réactions qui fleurissent, notamment sur le blog de Baptiste Coulmont, lui-même maître de conférences en sociologie à l'université Paris-8 (Vincennes-Saint-Denis), l'un de ceux qui a mis en ligne la lettre, montrent que l'enseignant a fait mouche.

     

    http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0,36-967029,0.html


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    La réforme qui touche l'université peut-elle éviter ceux qui l'incarnent en premier lieu, les enseignants-chercheurs ?

    Depuis trente ans, le contexte de l'université a changé. L'afflux des étudiants, l'hétérogénéité de leurs parcours et de leurs niveaux scolaires, leurs difficultés d'adaptation et d'orientation, ont fait surgir de nouveaux besoins, notamment en terme d'encadrement pédagogique.

     

    En inscrivant officiellement cette mission comme l'une des finalités des études universitaires, la loi du 11 août 2007 relative aux libertés et aux responsabilités des universités, contraint les établissements à trouver en leur sein les ressources nécessaires.

    La carrière universitaire régie par des décrets qui datent de 1984, et qui, depuis, n'ont été modifiés qu'à la marge, ne prévoit aucune formation pédagogique. L'avancement dans la carrière est quasi exclusivement dépendant de l'activité de recherche, ce qui décourage l'investissement dans la fonction enseignante. Le statut d'enseignant-chercheur n'est plus adapté aux nouveaux besoins de l'université. Les gouvernements successifs ont tenté de faire sauter ce verrou. Jusqu'ici sans succès.

     

    http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0,36-966274,0.html


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    Samedi 6 octobre à 17h55

    Thème :  « L'école »

    Invités : Xavier Darcos, ministre de l'éducation nationale et Jean-Robert Pitte, président de l'Université Paris-IV-Sorbonne.


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    Sauver Les Lettres, collectif de professeurs d'abord en révolte contre la réforme Allègre, combat depuis mars 2000 les politiques Lang, Ferry et Fillon qui n'ont fait que la prolonger.

    Ce collectif refuse la disparition de l'éveil à la pensée critique, et en particulier celle de l'étude des lettres comme discipline à part entière.

    Dans le même sens, il combat plus globalement la dérive de l'enseignement induite par un constructivisme dominateur, pédagogie érigée en dogme par la loi Jospin de 1989, qui laisse à l'élève le soin d' "acquérir un savoir... par sa propre activité". Relayée par le libéralisme contemporain, cette dérive aboutit à la dégradation des programmes, à la réduction instrumentale des matières enseignées ou à leur éradication en tant que disciplines, autant de régressions qui dénaturent la mission de l'école et contre lesquelles Sauver Les Lettres réclame une véritable instruction émancipatrice pour tous.

    Enfin, à l'opposé des politiques qui s'inscrivent depuis le ministère Allègre dans un même projet de commercialisation de l'Éducation (projet conforme aux directives de <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName w:st="on" ProductID="la Commission">la Commission</st1:PersonName> de Bruxelles et donc aux préconisations de l'OCDE), Sauver Les Lettres lutte pour l'organisation d'un enseignement public et laïque de qualité sur l'ensemble du territoire.

     

    http://www.sauv.net/

     


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  • Information aux signataires de l'appel

     

    « Pas de zéro de conduite pour les enfants de trois ans »

    Le collectif Pasde0deconduite organise
    un 2e colloque Sciences et Société
    Samedi 10 Novembre 2007 à <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName w:st="on" ProductID="la Facult← St">la Faculté St</st1:PersonName> Antoine - Paris

    Enfants turbulents : l'enfer est-il pavé de bonnes préventions ?

     

    www.pasde0deconduite.ras.eu.org


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    « Lettre ouverte à Nicolas Sarkozy »

     

    Améliorer la réussite scolaire de tous les jeunes, il n'y a rien de plus urgent ! Vous semblez découvrir ce que nous n'avons cessé de dénoncer : après des années de progrès constants, de hausse du niveau de formation des jeunes, le système éducatif peine encore à remédier à l'échec scolaire de milliers de jeunes en difficulté. Mais il est d'autant plus urgent de traiter cette crise qu'elle s'inscrit dans une société où grandissent les inégalités sociales et territoriales. Les difficultés dans l'école renvoient à des difficultés vécues au quotidien hors de l'école par des milliers d'enfants et de jeunes. Non, tous les enfants n'ont pas les mêmes chances au départ, tous les jeunes n'ont pas les conditions de vie, de santé, d'équilibre qui leur permettent, sans accompagnement, d'accéder aux apprentissages, de se projeter dans l'avenir.

     

    http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0,36-959736,0.html


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    La lettre qui doit être lue aux lycéens n´évoque ni l´engagement du résistant ni le contexte historique.

    Le 18 mars 2007 au Zénith de Paris, le candidat Sarkozy déclarait : « Je veux dire que cette lettre de Guy Môquet, elle devrait être lue à tous les lycéens de France, non comme la lettre d´un jeune communiste, mais comme celle d´un jeune Français faisant à <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName ProductID="la France" w:st="on">la France</st1:PersonName> et à la liberté l´offrande de sa vie, comme celle d´un fils qui regarde en face sa propre mort.» Xavier Darcos vient d´annoncer que la lettre sera lue le 22 octobre dans tous les lycées de France.

    La lecture se fera au matin du 22 octobre, au moment où le Président commémorera lui-même la mort de Guy Môquet : la lecture pourra se faire en classe ou en groupe, sans qu´aucune indication de durée ne soit apportée. Elle pourra être faite par un ancien résistant, mais aussi par «toute personnalité dont l´engagement, le rayonnement ou la notoriété pourraient sensibiliser les élèves». Au pire, la lecture sera réalisée par un enseignant qui aura cours par hasard à ce moment-là. Et un haut cadre du ministère de l´Education nationale de penser que «cette lecture ne devait pas être réservée aux professeurs d´histoire-géographie», une manière d´avouer que ce n´est pas l´analyse critique et la mise en perspective qui importent ici, mais plutôt le pathos et une forme de «communion» avec le Président.

     

    http://www.liberation.fr/rebonds/277501.FR.php 

     

    [Merci à Nicole]

     


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  • Les syndicats d'enseignants ont réagi négativement à la "Lettre aux éducateurs" rendue publique, mardi 4 septembre, par Nicolas Sarkozy.

    Pour Gérard Aschieri, secrétaire général de <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName w:st="on" ProductID="la FSU">la FSU</st1:PersonName>, ce texte "brillant" n'est pourtant "pas à la hauteur des défis réels" de l'école, "le poids des inégalités sociales" en étant "complètement absent". Les "envolées lyriques", note le SNES-FSU, majoritaire dans le secondaire, masquent mal les "contradictions".

    "Comment croire à une amélioration de l'école qui commencerait par une réduction du nombre d'enseignants ?" demande le SNUipp-FSU, principal syndicat du primaire. Pour l'UNSA-éducation, ce discours "important (...) paraît déconnecté des réalités" et contient des aspects "inquiétants". Pour le SGEN-CFDT, "à trop vouloir marier les contraires", ce discours "prisonnier d'une logique comptable", est "une pure opération de communication". Seul le SNALC-CSEN, qui fait campagne contre le collège unique, a fait connaître son approbation


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    Polémiques insensées sur l'utilisation d'ASTERIX pour illustrer le Droit des enfants !

    <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p>

     

    La page consacrée à cette sympathique publication. Bravo pour cette initiative !

     

    http://asterix.com/droits-des-enfants/

     

    <o:p>et le site de la Défenseur des Enfants :</o:p> http://www.defenseurdesenfants.fr/

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    Dans l'agglomération de Toulon Provence Méditerranée (TPM), 10 communes  sur les 11 membres sont à droite, et obéissent au doigt et à l'oeil au chef Hubert FALCO!!! Mais une petite commune du bord de mer située entre Toulon et  Carqueiranne résiste, en essayant de ne pas s'attirer les foudres du Seigneur qui règne sur l'aire toulonnaise!

    Depuis ces dernières semaines, M.FALCO aidé par certains autres premiers magistrats (comme par exemple celui de La Garde, Maire et Conseiller Général) fait du chantage auprès des élus de La Ville du Pradet!!!!

    En effet, depuis de nombreuses années, le maire de cette petite commune demande l'implantation d'un collège sur sa commune, ce qui permettrait d'accueillir les jeunes pradétans mais aussi d'accueillir le surplus d'élèves du collège de carqueiranne et de La garde.

    A ce sujet, il y déjà 2/3 ans que le Conseil Général (présidé à l'époque par M.FALCO) a accepté la création de ce nouveau collège au Pradet, avec l'aval du Ministère de l'éducation et de l'Académie!

    Mais voilà qu'à l'approche des futures élections municipales, face à des besoins de restructurations urbaines de la ville de Toulon, que le projet du collège au Pradet est assujetti à une condition (nouvelle!):

    - Accepter la construction de logements sociaux sur Le Pradet pour accueillir des familles qui seraient "expulsées" de Toulon en raison de réhabilitation de certains quartiers!!!

    En échange de quoi, Maître FALCO s'engage à ne pas venir chasser sur le domaine du Pradet en évitant de parachuter un homme de son entourage!

    Monsieur Hubert FALCO, fervent supporter de Nicolas SARKOSY, et peut être futur membre de son équipe, nous laisse entrevoir sa vision de la démocratie et de sa pratique!

    Reste la question de savoir, combien de temps encore ce village  "gaulois" pourra résister à la pression de la droite dirigée par le Seigneur FALCO, Président de TPM, Maire de Toulon et Président du Conseil Général (non officiel)!!!!


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