• <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p> 

    Le CAC 40 est-il de gauche ?

    <o:p> </o:p>

    PARISOT s'interroge encore ... ou nous prend pour des Gogos !

    <o:p> </o:p>

    "Je ne me sens pas dans un discours de droite ou de gauche" proclame Mme Parisot.

    <o:p> </o:p>

    Et ça vote SARKO, bien sûr !


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  • <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p> 

    Dans une charge contre les "hedge funds" (fonds alternatifs en français), Claude Bébéar, président du conseil de surveillance d'Axa a jugé leur jeu "malsain" et les a accusés de n'avoir trop souvent "que la spéculation en tête".

    <o:p> </o:p>

    Axa n'est peut-être pas, comme l'affirme M. Bébéar, un des souscripteurs les plus importants des "hedge funds". Mais il oublie de dire qu'Axa vend ce type de fonds. Certes, ce n'est pas le principal acteur sur ce créneau en France - le Crédit agricole, avec 14,5 milliards d'euros sous gestion est leader - mais la compagnie d'assurance gère tout de même un peu plus de 1 milliard d'euros.

    <o:p> </o:p>

    Et pour quel vaillant candidat vote M. BEBEAR ?


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  • <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p> 

    La redistribution ?... Que neni !

    <o:p> </o:p>

    « (...) apprenons donc à inverser l'ordre des questions. La focalisation quasi exclusive ces dernières années sur le thème de la redistribution des richesses nous a privés de débats et de réflexions sur la question première : celle des conditions favorables à la création elle-même de richesses. Comment l'autoriser, cette création, comment la favoriser, comment la doper ? Car seule l'augmentation globale des richesses garantira l'augmentation des revenus les plus modestes et une inversion de la tendance en faveur de la prospérité pour notre pays. »


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  • <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName ProductID="la France" w:st="on">La France</st1:PersonName>, un pays replié sur lui-même ? Sur les onze premiers mois de <st1:metricconverter ProductID="2006, l" w:st="on">2006, l</st1:metricconverter>'Hexagone a bénéficié - rachat de sociétés et opérations financières comprises - de plus de 52 milliards d'euros d'investissements en provenance d'entreprises étrangères (IDE). Un chiffre en hausse de 16 % par rapport à la même période l'année précédente, « notamment sous l'effet d'une augmentation des investissements venant de l'extérieur de la zone euro », selon les données publiées hier par <st1:PersonName ProductID="la Banque" w:st="on">la Banque</st1:PersonName> de France. Il y a dix ans, le sol français n'attirait que 20 milliards. Si les investissements directs de <st1:PersonName ProductID="la France" w:st="on">la France</st1:PersonName> à l'étranger (69 milliards sur onze mois) sont encore supérieurs aux investissements étrangers en France, l'Hexagone est en passe de confirmer sa position de première terre d'accueil de la zone euro - les chiffres annuels de l'IDE seront connus mi-février. Elle supplante nettement ses voisins italiens (35 milliards d'euros d'IDE sur un an, en octobre dernier) et espagnols (15 milliards). En 2006, le montant des investissements en France serait même « cinq fois supérieur » à celui à destination de l'Allemagne, « pays que d'aucuns dépeignent pourtant comme le modèle de compétitivité à suivre... », remarque-t-on au cabinet d'études Xerfi. Les montants investis ici restent toutefois très inférieurs à ceux destinés aux États-Unis et au Royaume-Uni.

    <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p>

    M. VT.. Publié le 19 janvier 2007 Le Figaro


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    L'Europe, <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName ProductID="la Russie" w:st="on">la Russie</st1:PersonName>, l'Iran, les Etats-Unis, l'Inde, <st1:PersonName ProductID="la Chine" w:st="on">la Chine</st1:PersonName>, l'Afrique du Sud, le Brésil, l'Australie... Où que les regards se tournent, aucune zone du globe n'échappe, dans ses débats sur l'énergie, à la "contamination" nucléaire.

    Pour la première fois, <st1:PersonName ProductID="la Commission" w:st="on">la Commission</st1:PersonName> européenne commence à plaider pour cette source d'énergie, mais de façon suffisamment discrète pour ne pas heurter de front les Etats membres ayant programmé la fermeture de leurs centrales atomiques. De leur côté, des producteurs de gaz et de pétrole comme <st1:PersonName ProductID="la Russie" w:st="on">la Russie</st1:PersonName> et l'Iran veulent développer l'atome civil pour produire leur électricité et réserver à l'exportation ces hydrocarbures qui assurent une grande part des rentrées de devises.<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" />

    http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0,36-849765,0.html

    <o:p></o:p> 

    Photo : La centrale nucléaire de Dampierre-en-Burly, dans le Loiret.


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  • <?xml:namespace prefix = v ns = "urn:schemas-microsoft-com:vml" /><v:shapetype id=_x0000_t75 stroked="f" filled="f" path="m@4@5l@4@11@9@11@9@5xe" o:preferrelative="t" o:spt="75" coordsize="21600,21600"><v:stroke joinstyle="miter"></v:stroke><v:formulas><v:f eqn="if lineDrawn pixelLineWidth 0"></v:f><v:f eqn="sum @0 1 0"></v:f><v:f eqn="sum 0 0 @1"></v:f><v:f eqn="prod @2 1 2"></v:f><v:f eqn="prod @3 21600 pixelWidth"></v:f><v:f eqn="prod @3 21600 pixelHeight"></v:f><v:f eqn="sum @0 0 1"></v:f><v:f eqn="prod @6 1 2"></v:f><v:f eqn="prod @7 21600 pixelWidth"></v:f><v:f eqn="sum @8 21600 0"></v:f><v:f eqn="prod @7 21600 pixelHeight"></v:f><v:f eqn="sum @10 21600 0"></v:f></v:formulas><v:path o:connecttype="rect" gradientshapeok="t" o:extrusionok="f"></v:path><?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:lock aspectratio="t" v:ext="edit"></o:lock></v:shapetype><v:shape id=_x0000_s1026 style="MARGIN-TOP: -174pt; Z-INDEX: 1; MARGIN-LEFT: -70.85pt; WIDTH: 16.5pt; POSITION: absolute; HEIGHT: 23.25pt; wrap-distance-left: 0; wrap-distance-top: 0; wrap-distance-right: 0; wrap-distance-bottom: 0; position-horizontal: absolute; position-horizontal-relative: text; position-vertical: absolute; position-vertical-relative: line" alt="" type="#_x0000_t75" o:allowoverlap="f"><v:imagedata o:title="webmail?ID=IigLN24VKo4ZQE9hXKhzcsVjt1UJQsBhzyRDo_J1kPGS1mQ5qMQ7duoP&Act_View=1&R_Folder=aW5ib3g=&msgID=7322&Body=2" src="file:///C:\DOCUME~1\JEAN-L~1\LOCALS~1\Temp\msohtml1\01\clip_image001.gif"></v:imagedata><?xml:namespace prefix = w ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:word" /><w:wrap type="square"></w:wrap></v:shape>Les Français ont désormais une vision majoritairement négative de l'euro. Selon un sondage TNS Sofres pour l'hebdomadaire Le Pèlerin à paraître jeudi 28 décembre, 52 % des Français estiment que la monnaie unique a été "une mauvaise chose" pour <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName w:st="on" ProductID="la France">la France</st1:PersonName> en général. Seuls 46 % pensent que le remplacement du franc par l'euro, le 1er janvier <st1:metricconverter w:st="on" ProductID="2002, a">2002, a</st1:metricconverter> été une bonne chose. Le sondage a été réalisé les 23 et 24 novembre auprès de 1 000 personnes représentatives de la population française et âgées de 15 ans et plus. En décembre 2003, les opinions négatives sur ce sujet ne représentaient encore que 45 % des sondés, selon une enquête réalisée pour le Nouvel Observateur.

    <o:p> </o:p>

    [Merci Nicole]


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  • Invité par le Premier ministre Dominique de Villepin à s'exprimer dans le cadre de la Conférence sur l'emploi et les revenus, Emmanuel Todd a développé l'idée que le protectionnisme à l'échelle européenne est la seule solution cohérente et réaliste à la compression des salaires en Europe et à l'aggravation des inégalités.

    <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p>

    VOIR LA VIDEO sur MARIANNE 2007 :


    http://www.marianne2007.info/Emmanuel-Todd-le-protectionnisme-europeen-est-la-seule-reponse-realiste-a-la-compression-des-salaires-en-Europe_a387.html


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    Jean-Pierre Chevènement, candidat MRC à la présidentielle, a qualifié jeudi d'"aberrante" et de "dangereuse" la décision de <?xml:namespace prefix = st1 /><st1:PersonName w:st="on" ProductID="la Banque">la Banque</st1:PersonName> centrale européenne (BCE) de relever d'un quart de point son taux directeur à 3,5%.
    "C'est une décision dangereuse pour l'activité et l'emploi en Europe. Non seulement la politique de l'euro fort pénalise nos exportations, mais elle décourage l'investissement et précipite les délocalisations", affirme l'ancien ministre dans un communiqué.
    "Les gnomes de Francfort veillent sur la rente et asphyxient l'emploi", accuse le président d'honneur du Mouvement républicain et citoyen (MRC).
    Selon lui, "pour sortir de la stagnation de l'activité en Europe et du chômage de masse, il est urgent de réorienter la construction européenne et de mettre en place" un "gouvernement économique de la zone euro". [AFP]


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  • Bolkestein 15 Nov 06
    Vidéo envoyée par canalchalo

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    La coupure de courant que viennent de subir une dizaine de millions d'européens dans la nuit de 4 au 5 novembre 2006 souligne le sous investissement dans le domaine de la production et de la transmission électrique en Europe malgré les cris d'alarme répétés du RTE, par exemple. Or des investissements considérables ont été faits au cours des dix dernières années, particulièrement en Allemagne (un total de 17 GEuro investis en 2003 qui devraient atteindre 45 GEuro en 2015), en Espagne et au Danemark, exclusivement sous forme d'éoliennes. Les éoliennes sont radicalement incapables de faire face à de brusques demandes de courant et introduisent une fragilité accrue dans le réseau.



    Lire la suite : http://www.sauvonsleclimat.org/fr/lect_communiques.php?id_communique=24


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  • "Il faudrait s'occuper d'Airbus, de l'euro, de l'harmonisation sociale et fiscale. Au lieu de cela, de quoi s'occupe la Commission ? De chercher des poux dans la tête au PMU, de faire en sorte que la Poste, qui marche en France, soit soumise à la concurrence", a dit Laurent Fabius, avant de lancer : "vraiment, il y a inversion des priorités !"
    "L'une des premières mesures sera d'arriver à avoir avec nos partenaires une directive services publics qui permette de différencier les secteurs publics, la Poste en est un, de ce qui relève du marché".


    Laurent FABIUS sur RMC.



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    Laurent Fabius a affirmé qu'il "n'était pas question de passer le moindre accord avec le gouvernement" pour permettre le vote du projet de privatisation de GDF, critiquant ainsi l'accord intervenu la veille entre l'UMP et le PS.

    "C'est clair, les socialistes sont contre la privatisation de GDF. Il n'est pas question de passer un accord du gouvernement là-dessus. Il n'est pas question qu'il y ait un accord pour faciliter le vote du texte".


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