• Pour ou contre l'intégration de la France à l'OTAN ?
    Vidéo envoyée par IRIS-FRANCE

    Laurent Fabius, député de Seine Maritime, ancien Premier ministre, nous donne son avis sur la probable intégration de la France au commandement intégré de l'OTAN.


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    Communiqué de Laurent Fabius, ancien Premier Ministre

     

    Depuis 1966 et la décision historique du Général de Gaulle, un consensus s'était établi sur la position de notre pays à l'égard de l'OTAN : allié des Etats-Unis mais pas aligné. Cette position, qui fait de nous des partenaires loyaux mais indépendants, correspond à nos intérêts et contribue à l'audience internationale de la France.

    L'intention de M. Sarkozy de rompre prochainement avec cette attitude constante depuis plus de 40 ans, au prétexte d'obtenir des commandements d'ailleurs mineurs, constitue une triple faute : nous aligner dorénavant sur les Etats-Unis, exclure toute évolution vers une réelle défense européenne, affaiblir la position internationale de la France : ce serait un recul considérable qui briserait le consensus national alors que la mission d'un chef de l'Etat est au contraire de le renforcer.

    Nombreux sont les Français de toutes opinions qui ne l'acceptent pas. C'est pourquoi un débat national est indispensable sur ce sujet, dont je demande qu'il soit conclu par un vote.

    M. Sarkozy est Président de la République, il n'est pas propriétaire du destin de notre pays. Il ne lui appartient pas, par préjugé idéologique, de rompre avec les intérêts supérieurs de la France.

    <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p>http://www.laurent-fabius.net/article1168.html

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    "Les inconvénients du retour de la France dans l'Alliance atlantique" de Paul Quilès, publiée par le Figaro du 11 février 2009.

     

    Le 7 mars 1966, le général de Gaulle retirait la France du commandement militaire intégré de l'OTAN, c'est-à-dire des comités et des groupes où prenait corps l'intégration des forces armées des pays de l'Alliance atlantique. Les forces françaises étaient déliées des contraintes de la planification militaire commune et n'avaient plus à occuper des positions prédéterminées dans le dispositif de défense allié. Notre pays restait cependant tenu par les obligations de l'article 5 prévoyant une clause d'assistance mutuelle en cas d'agression.

    Durant les années 90, si la France a réintégré le comité militaire, où se réunissent les ministres de la défense des pays membres de l'Alliance, elle est restée à l'écart de trois structures :

    - le comité des plans de défense, où s'élabore la planification de défense, c'est à dire les objectifs de forces à atteindre en fonction des missions et des scénarios ;

    - le commandement militaire permanent intégré, qui comprend la chaîne de commandement permanente et où s'élabore la planification opérationnelle ;

    - le groupe des plans nucléaires, où les pays non‑nucléaires sont informés de la politique nucléaire suivie par les Etats‑Unis et la Grande Bretagne dans le cadre de l'OTAN.

    <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p>

    http://paul.quiles.over-blog.com/


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    En élisant Nicolas Sarkozy, les français ont largement mésestimé la rupture diplomatique et stratégique programmée. Nous y voilà. La France va rejoindre le commandement militaire intégré de l'OTAN, pour complaire aux pouvoirs qui ont porté le nouvel occupant de l'Elysée.

    Cette décision s'inscrit en contradiction avec la tradition française, avec les choix stratégiques et diplomatiques des cinq décennies passées.

    La situation française peut-elle s'accommoder de la nouvelle stratégie portée par l'OTAN ? Ou doit-on conclure aux dangers éminents de ce rapprochement ?

    Il faut le reconnaître, la Défense française a une particularité. Elle porte l'arme nucléaire, qui a fait d'elle une des plus grandes puissances stratégiques de la planète.

    Dès la IVème République, les dirigeants français de tous bords - comme les militaires - ont considéré que « la première raison de faire la bombe vers 1954-1955 était d'avoir le même statut que les britanniques et les américains au sein de l'OTAN » rappelle Bruno Tertrais (Fondation de la Recherche stratégique).

    Couteux, ce programme s'est inscrit depuis dans des limites technologiques étroites. Le choix important et récent de la simulation - pris en 1994 par F. Mitterrand - a tout naturellement poussé la France à envisager des coopérations notamment avec nos amis du Royaume Unis. En vain.

     

    http://www.penser-la-france.asso.fr/otan_....pdf


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    Intervention de Jean-Pierre Chevènement au Sénat, sur le budget de la Défense, 1er décembre 2008.

    <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p> 

    Monsieur le Ministre,

     

    I - L'annuité 2009

    Ce budget est le premier budget d'application d'une loi de programmation 2009-2014 dont le Parlement n'a pas encore eu à connaître. Cela est regrettable.

    A) Des présentations flatteuses comme l'augmentation très forte des autorisations d'engagement en matière d'équipement occultent la réduction globale de l'effort de défense du pays que met bien en lumière l'excellent rapport de MM. Trucy, Masseret et Guené : si, en effet, on défalque du budget de votre ministère, conformément à <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName w:st="on" ProductID="la norme OTAN">la norme OTAN</st1:PersonName>, et sauf pour 5 % ; la gendarmerie, la part des dépenses de défense dans le PIB n'est plus que de 1,6 % aujourd'hui. Elle sera voisine de 1,5 % en 2012 et tendra, selon les rapporteurs spéciaux, à 1,4 % en 2020.
    Nous sommes loin de l'effort britannique de 2 % du PIB, en norme OTAN, et nous sommes surtout loin des engagements pris par Nicolas Sarkozy, alors qu'il était candidat à la Présidence de la République, de maintenir à 2 % du PIB, l'effort de défense de la France.

    B) Au surplus, les chiffres fournis pour l'ensemble de <st1:PersonName w:st="on" ProductID="la mission D←fense">la mission Défense</st1:PersonName>, soit 37,389 milliards d'euros en 2009, restent soumis à de nombreux aléas qui pèsent principalement sur le programme 146 « Equipement des forces », chiffré à 12,215 Milliards d'euros.

    <o:p></o:p> 

    http://www.chevenement.fr/Le-senateur-Chevenement-s-oppose-au-projet-de-budget-de-la-Defense_a728.html?preaction=nl&id=3345999&idnl=42489&


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  • Après le 11 septembre 2001, Chirac et Jospin jugèrent qu'il était nécessaire d'intervenir aux cotés des USA en Afghanistan. Cette décision fut prise sous le coup de l'émotion provoquée par les attentats de New York et Washington. Une entrée en conflit peut se concevoir. Un transfert de troupes très loin du territoire national peut s'envisager mais il faut, non seulement, dans un état démocratique, avoir établi publiquement « les raisons » qui déterminent ces actions, mais aussi les rendre toujours plus transparentes pour les soumettre à la critique publique et garantir le droit d'investigation de chaque citoyen. Or, aujourd'hui en France, si un quidam quelconque s'inquiète de la cohérence ou de l'incohérence du déroulement des événements du 11/9, il devient immédiatement suspect de révisionnisme ou pire de négationnisme...

    Il s'agit pourtant de la vie et de la mort de nos soldats mais aussi de la légalité d'un acte peu banal aux conséquences tragiques pour « les indigènes » : une guerre.

    Concernant le 11/9 les grands esprits médiatiques de notre temps de BHL à PPDA en passant par Arditi ont établi une vérité religieuse, un dogme, un tabou : on ne cherche pas, on ne discute pas, on ne s'interroge pas sur « la vérité » asséné par l'État américain.

    http://www.lequotidienalgerie.com/index.php/3326/afghanistan-la-cia-trafique-les-soldats-trinquent/

    Jean-Marc DESANTI, est responsable national des Clubs « Penser la France », chargé des questions défenses et stratégies.


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    « Livre blanc sur la défense : une espérance déçue »

     

    Un groupe d'officiers généraux et supérieurs des trois armées terre, air, mer , tenu à l'anonymat, commente le livre blanc sur la défense et la sécurité nationale présenté le 17 juin par le président de <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName w:st="on" ProductID="la République.">la République.</st1:PersonName>

    <st1:PersonName w:st="on" ProductID="la République."></st1:PersonName>Les éléments de la nouvelle politique de défense qui viennent d'être rendus publics ont été, ce qui est bien normal, présentés par leurs auteurs d'une manière très encourageante. La réalité est quelque peu différente. Personne ne peut, ou ne souhaite, à l'intérieur des armées, mettre en cause les choix politiques du jour. D'abord, ils sont incontestables par nature. Ensuite, le souhait du président de <st1:PersonName w:st="on" ProductID="la République">la République</st1:PersonName>, chef des armées, est de disposer d'un instrument militaire plus efficace pour un moindre coût ; de raisonner en termes d'efficacité et non d'équipements de prestige ; de faire preuve de réalisme quant aux menaces ; et enfin de ne se laisser arrêter par aucun a priori dogmatique. Ce souhait ne peut rencontrer que l'approbation de tous ceux qui ont fait le choix de la carrière des armes et qui ont souffert, ces dernières années, de l'immobilisme des institutions de défense. Et, dirions-nous, plus que l'approbation, le désir, avec volonté et discipline, de faire passer ce souhait dans la réalité.

    La vérité oblige à dire, cependant, qu'au-delà des déclarations, la volonté présidentielle a été largement dénaturée par ceux, politiques, militaires ou personnalités qualifiées, qui avaient la charge de la mettre en œuvre. Voici pourquoi.

    Dès avant l'élection présidentielle et comme le président de <st1:PersonName w:st="on" ProductID="la République">la République</st1:PersonName> l'avait bien vu, le système militaire français était à bout de souffle.

    <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p>

    http://www.lefigaro.fr/debats/2008/06/19/01005-20080619ARTFIG00011-livre-blanc-sur-la-defense-une-esperance-decue.php


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    Rédiger un Livre blanc sur la défense et la sécurité est une entreprise difficile. Les prévisions favorables que nous faisions pour la paix au lendemain de la guerre froide sont chaque jour démenties. Le terrorisme et la prolifération sont deux types de menaces redoutées. L'Europe qui devait définir notre futur est grippée. L'équation de stabilité au Moyen-Orient et en Asie est problématique. Nos forces sont engagées sur de nombreux théâtres extérieurs, comme en Afghanistan, sans débouché. Les armées françaises sont confrontées à une crise de leur modèle d'armée sur fond de crise financière.

    On mesure à cet énoncé la gageure. A cette difficulté de fond, se sont ajoutées des "péripéties" qui ont entamé le crédit de l'exercice confié à la commission du Livre blanc.

    Celle-ci, composée à la main du pouvoir, ne pouvait pas prétendre être autre chose qu'une instance de réflexion et d'animation du débat public sur les futures options de notre défense. Ce qu'elle fit plutôt bien. Mais, les conclusions de ses travaux, entérinées par le président de <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName ProductID="la République" w:st="on">la République</st1:PersonName>, sont devenues définitives sans même être approuvées par le Parlement. Cette procédure peu respectueuse des prérogatives de la représentation nationale, que le candidat Sarkozy avait pourtant promis d'étendre, est à l'origine de la démission des deux parlementaires socialistes membres de la commission qui ne voulurent pas cautionner un faux-semblant démocratique.

     

    http://www.lemonde.fr/opinions/article/2008/06/18/la-defense-entre-recentrage-et-alignement-par-louis-gautier_1059721_3232.html


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  • Le PCF a estimé mardi que la réforme initiée par le Livre blanc de <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName ProductID="la Défense" w:st="on">la Défense</st1:PersonName> augure "une dérive ouvertement atlantiste" et Jean-Pierre Chevènement y a vu "le dépérissement" de l'outil de défense français "subordonné à la politique américaine et à l'OTAN".

    "La réorganisation en profondeur de notre outil de défense est conçue dans la vision d'un espace atlantiste et militarisé, ou <st1:PersonName ProductID="la France" w:st="on">la France</st1:PersonName> renonce à son indépendance en s'insérant dans le sillage sinistre de la politique menée par les Etats unis d'Amérique", a affirmé le PCF dans un communiqué.

    Quant aux "certitudes du chef des armées sur la prééminence de la dissuasion nucléaire, elles ne sont pas démontrées", a estimé le PCF pour qui "les réductions d'effectifs vont faire très mal à <st1:PersonName ProductID="la France" w:st="on">la France</st1:PersonName>" et "les conséquences sur l'emploi industriel et de service risquent d'être douloureuses".

    Pour Jean-Pierre Chevènement, président d'honneur du MRC, "en privilégiant la riposte militaire tout en réduisant le format des armées, le livre blanc enferme <st1:PersonName ProductID="la France" w:st="on">la France</st1:PersonName> dans une posture de subordination à la politique américaine et à l'OTAN". "Notre pays sera à l'avenir incapable de soutenir des conflits autres que de basse intensité", a-t-il souligné dans un communiqué.

    "La défense nationale est sacrifiée à celle d'un improbable 'Occident' sous égide américaine dans lequel <st1:PersonName ProductID="la France" w:st="on">la France</st1:PersonName> est invitée à se fondre". "Le livre blanc répond à une logique claire: le dépérissement de l'outil de défense est cohérent avec l'abandon d'une politique étrangère indépendante", selon lui

     


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    En élisant Nicolas Sarkozy, les français ont largement mésestimé la rupture diplomatique et stratégique programmée. Nous y voilà. <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName ProductID="la France" w:st="on">La France</st1:PersonName> va rejoindre le commandement militaire intégré de l'OTAN, pour complaire aux pouvoirs qui ont porté le nouvel occupant de l'Elysée. Cette décision s'inscrit en contradiction avec la tradition française, avec les choix stratégiques et diplomatiques des cinq décennies passées.

    La situation française peut-elle s'accommoder de la nouvelle stratégie portée par l'OTAN ? Ou doit-on conclure aux dangers éminents de ce rapprochement ?

    Il faut le reconnaître, <st1:PersonName ProductID="la Défense" w:st="on">la Défense</st1:PersonName> française a une particularité. Elle porte l'arme nucléaire, qui a fait d'elle une des plus grandes puissances stratégiques de la planète.

    Dès <st1:PersonName ProductID="la IVème République" w:st="on">la IVème République</st1:PersonName>, les dirigeants français de tous bords - comme les militaires - ont considéré que « la première raison de faire la bombe vers 1954-1955 était d'avoir le même statut que les britanniques et les américains au sein de l'OTAN » rappelle Bruno Tertrais (Fondation de <st1:PersonName ProductID="la Recherche" w:st="on">la Recherche</st1:PersonName> stratégique).

    Couteux, ce programme s'est inscrit depuis dans des limites technologiques étroites. Le choix important et récent de la simulation - pris en 1994 par F. Mitterrand - a tout naturellement poussé <st1:PersonName ProductID="la France" w:st="on">la France</st1:PersonName> à envisager des coopérations notamment avec nos amis du Royaume Unis. En vain.

     

    http://www.penser-la-france.asso.fr/otan_....pdf

     


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    Où en est selon vous la réflexion sur le rôle que doit jouer <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName w:st="on" ProductID="la France">la France</st1:PersonName> dans le monde ?

    La prise de conscience d'une évolution de l'environnement international s'effectue en France avec retard parce que, situés au bout de la péninsule indo-européenne, nous nous sentons globalement en sécurité. Les Français ont de plus en plus de mal à faire le rapport entre l'effort de défense et leur propre sécurité, qui leur paraît un acquis. Le revers de la médaille du succès de l'Europe, c'est que les générations actuelles ne réalisent pas que si nous vivons dans cette situation de sécurité, c'est parce que nous avons réussi à écarter la menace par la défense. Je crois que si nous ne nous occupons pas davantage de défense, cette bulle artificielle de sécurité va éclater. Le risque sera alors que nous soyons devenus incapables d'assurer nous-mêmes notre propre sécurité.

    Faut-il pour autant tomber dans un discours alarmiste sur les risques ?

    Non, bien sûr, mais on ne peut ignorer un double phénomène : premièrement, la violence se répand dans le monde, les crises et les affrontements armés, même s'ils sont à plus petite échelle, se multiplient. Deuxièmement, les dépenses de défense s'accroissent partout, sauf en Europe. Il y a une espèce d'autisme européen, qui ferme les yeux devant l'évolution guerrière du monde. Il y a un autre phénomène, les armées européennes sont dans leur majorité des armées professionnelles, et ce qu'on avait pu craindre en 1996 s'est produit : les Français sont moins intéressés par les problèmes de défense depuis que leur armée a été professionnalisée, et le lien entre l'armée et la nation s'est fragilisé.

     

    http://www.lemonde.fr/opinions/article/2008/04/26/nous-n-en-avons-pas-fini-avec-la-guerre_1038837_3232.html


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    « L'OTAN ... Au vent mauvais ! » par Jean-Luc Pujo

     

    Publié le 17 novembre dans le journal « Le Sarkophage »

     

    En élisant Nicolas Sarkozy, les français ont largement mésestimé la rupture diplomatique et stratégique programmée. Nous y voilà. <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName ProductID="la France" w:st="on">La France</st1:PersonName> va rejoindre le commandement militaire intégré de l'OTAN, pour complaire aux pouvoirs qui ont porté le nouvel occupant de l'Elysée.

    Cette décision s'inscrit en contradiction avec la tradition française, avec les choix stratégiques et diplomatiques des cinq décennies passées. La situation française peut-elle s'accommoder de la nouvelle stratégie portée par l'OTAN ? Ou doit-on conclure aux dangers éminents de ce rapprochement ?

    Il faut le reconnaître, <st1:PersonName ProductID="la Défense" w:st="on">la Défense</st1:PersonName> française a une particularité. Elle porte l'arme nucléaire, qui a fait d'elle une des plus grandes puissances stratégiques de la planète.

    Dès <st1:PersonName ProductID="la IVème République" w:st="on">la IVème République</st1:PersonName>, les dirigeants français de tous bords - comme les militaires - ont considéré que « la première raison de faire la bombe vers 1954-1955 était d'avoir le même statut que les britanniques et les américains au sein de l'OTAN » rappelle Bruno Tertrais (Fondation de <st1:PersonName ProductID="la Recherche" w:st="on">la Recherche</st1:PersonName> stratégique).

    Couteux, ce programme s'est inscrit depuis dans des limites technologiques ...

     

    http://www.penser-la-france.asso.fr/otan_....pdf

     


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