• <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p> 

    Nous sommes des êtres clivés, et nous vivons dans un monde schizophrène, c'est rien de le dire.
    Écrivant ces lignes, quelques heures après mon retour du vernissage de <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName ProductID="la Biennale" w:st="on">la Biennale</st1:PersonName> de Venise, je ne suis pas bien certaine, moi-même, de n'avoir pas rêvé pendant une partie de mon séjour, et vécu l'autre partie... À moins que je n'aie rêvé la partie que je crois avoir vécu...
    Au beau milieu des Giardini, j'ai cru avoir la berlue en reconnaissant une gigantesque œuvre d'art populaire que j'avais eu l'occasion de contempler il y a des années, là où elle avait surgi, sur l'une des hauteurs de Río de Janeiro : le Morrinho Project. Il s'agit de la reconstruction en miniature, mais sur une vaste surface, d'une favela, par de très jeunes garçons qui en sont issus, et qui en donnent une interprétation ludique et onirique. Une version de cette favela, trônait là, face au pavillon américain, consacré cette année à l'œuvre de Felix Gonzalez-Torres. Et alors que j'admirais cette merveille, une connaissance m'a abordée pour me demander si je savais qui était invité, le lendemain soir, à un dîner donné par François Pinault fêtant l'accord passé avec la ville qui lui octroie, en plus du Palazzo Grassi, les bâtiments de l'ancienne douane pour y présenter sa collection.

     

    http://www.artpress.com/intro.php


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    Gallerie DADOUN 5 rue Nicolas Appert dans le 11ème

    Métro : Bréguet Sabin, Richard Lenoir ou Bastille


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    http://www.artpress.com/


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    DU 5 AU 18 MARS 2007

    <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p>

    Sur le thème Lettera amorosa, le poème d'amour

    <o:p> </o:p>

    http://www.printempsdespoetes.com/


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    Roberto ALAGNA a chanté devant La Scala de Milan et la foule réunie : « Adieu sanctuaire fleuri du bonheur et de l'amour » extrait de Madame Butterfly de Puccini.


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  • <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p> 

    Théâtre de Gennevilliers : « Sobel : juif un peu, communiste beaucoup, Homme surtout »

    <o:p> </o:p>

    Le 31 décembre, Bernard Sobel, metteur en scène et directeur du théâtre de Gennevilliers, petite commune communiste des Hauts-de-Seine, devra quitter les lieux qui l'ont vu mener depuis 1963 une aventure théâtrale unique en France, et peut-être ailleurs. Le ministre de la Culture, Renaud Donnedieu de Vabres, a pris cette décision il y a un an, sans que l'on sache très bien pourquoi.


    Voir l'article Le Monde 2 - n° 19251 du 16 décembre 2006.


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  • <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p> 

    Pontus Hulten: ce que signifie l'audace ; Norman McLaren, Centre Pompidou, 15/11-4/12/06
     Jean-Claude Brisseau, Les anges exterminateurs
     ; Claes Oldenburg & Coosje van Bruggen: l'envol et la chute ; Je rêvais d'un autre monde ; Jana Sterbak, la condition d'animal humain ; Dana Wyse, les 10 ans de Jesus Had A Sister Productions™ ; Avital Ronell, american philo ; Herman Melville, Moby Dick ; Le Céline de Sture Dahlström ; La guerre sexuelle n'aura pas lieu ; Le feuilleton de J.H. : Comment on devient Marguerite Duras ; Andy Warhol, Géant ; Louis Cane, Peintures 1963-2005 ; Jorge Amat, obsessions nocturnes ; Lewis Carroll, Pat Andrea, Alice au pays des merveilles ; Winsor McCay, LiPontus Hulten: ce que signifie l'audace ;
     
     
    http://www.artpress.com/index.php


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  • <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p> COLLOQUE. C'est à une remarquable série d'interventions, de communications, de débats que donne lieu le colloque international «Levinas, Blanchot : penser la différence», qui se tient à partir de lundi 13 novembre à Paris. C'est l'un des points forts de la célébration du centième anniversaire du grand philosophe, l'un des sommets de «Un siècle avec Levinas» porté par plusieurs associations.

    Lire la suite :

    http://www.lefigaro.fr/culture/20061110.FIG000000019_le_centenaire_d_emmanuel_levinas.html<o:p> </o:p>

    Maison de l'Unesco, 125, avenue de Suffren, 75007 Paris. De lundi 13 à jeudi 16 novembre inclus. Inscriptions au : info@levinas.100.org


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    par Edouard HUSSON, historien, maître de Conférence à Paris IV. 


    Les Bienveillantes de Jonathan Littell est un gigantesque canular. J'utilise le mot, à son sens propre, celui de ces textes en prose ou en vers composés dans un esprit irrévérencieux par les khâgneux pour leurs professeurs ou pour un public imaginaire. Bien évidemment, si le canular est réussi, il aura trouvé des lecteurs pour le prendre au sérieux.

    <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p>http://www.lefigaro.fr/debats/20061108.FIG000000047_les_bienveillantes_un_canular_deplace.html

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  • <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p>

    La semaine dernière, l'amateur d'art parisien a parfois eu la sensation de courir un marathon : entre <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName w:st="on" ProductID="la Fiac">la Fiac</st1:PersonName> (au Grand Palais, dans la cour carrée du Louvre et dans le Jardin des Tuileries), Show Off (à l'Espace Pierre Cardin), Slick (à <st1:PersonName w:st="on" ProductID="la Belleviloise">la Belleviloise</st1:PersonName>, dans le 20e) et DIVA (Hôtel Cube, dans le 18e), on peut véritablement parler de grand écart. Et c'est tant mieux, car un peu de sport n'a jamais fait de mal.
    Dans chaque manifestation, on a pu vivre des ambiances très différentes, de la présentation très «design» de la cour carrée à l'atmosphère très détendue de Slick. On y aura aussi fait des découvertes, comme l'installation suspendue en latex de Christoph Broich présentée par la galerie Envoy (New York) à <st1:PersonName w:st="on" ProductID="la Belleviloise. Mais">la Belleviloise. Mais</st1:PersonName> surtout, ce qu'on retiendra de tout cela, c'est que cette multiplication des foires off était absolument nécessaire à une ouverture de l'art contemporain. Certaines galeries moins connues que les autres acquièrent ainsi une autre visibilité. Il y a de la place pour tout le monde et l'on peut désormais juger sur pièces. C'est pourquoi l'élargissement de l'offre me paraît être la bonne formule pour que le milieu de l'art français, qui a un peu tendance à fréquenter toujours les mêmes galeries, puisse découvrir d'autres artistes.

    Richard Leydier

    <o:p> </o:p>

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