• <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p>

    Peintre parisien, un quinquagénaire fait retour aux sources dans la maison familiale disposant d'un grand jardin abandonné. Aussi fait-il appel à candidature.  Le premier candidat (qui sera le bon) est un ancien complice de la communale, perdu de vue et ainsi miraculeusement retrouvé. Il sera le jardinier.

    Deux sensualités opposées : celle de l'artiste et celle de l'ouvrier. Une découverte mutuelle où l'on voit que la simplicité du regard au Monde, sur la nature, sur l'Humanité se révèle supérieure à la sensualité du peintre, qui devine cette richesse... à rebours des conventions. Une leçon magistrale où la simplicité dans le rapport au Monde se révèle proche de la « Vérité ». Un film magnifique.

    <o:p> </o:p>http://www.allocine.fr/video/player_gen_cmedia=18725914&cfilm=109332.html

    votre commentaire
  •  

    Film exceptionnel par ce qu'il représente et par ce qu'il traduit.
    Construit essentiellement autour de quelques chansons - la plupart intéressantes - ce film nous donne à voir et à partager   le tourbillon affectif de plusieurs jeunes gens - personnages sympathiques - qui se démènent avec talent !
    Ce faisant, ce film traduit avec brio cet « air du temps » qui fait le succès éphémère des produits grand publics.
    Et quel est ce temps ?  Justement !
    Ce film nous délivre un témoignage enlevé, un témoignage sur notre modernité.
    Triste modernité.
    Des hommes et des femmes courant dans une quête affective souvent désordonnée, à la recherche d'un bonheur inatteignable, une faible spiritualité  face à un vide intellectuel époustouflant : nous sommes au bord d'un gouffre social et politique.
    En cela, aussi, ce film nous délivre un message très riche sur notre époque mais - vous l'avez compris - un message en creux.
    Nous voilà à  l'ère du vide, en quête effrénée d'un bonheur que nous avons bien du mal à construire.
    Et si le film semble s'ériger en leçon de vie moderne, il n'en devient alors pas moins l'archétype d'une époque où nos contemporains sont bel et bien perdus, spirituellement, socialement et politiquement.
    Ce film aura du succès... en véritable miroir de notre Êpoqué.


    http://www.allocine.fr/video/player_gen_cmedia=18729425&cfilm=125076&hd=1.html


    3 commentaires
  • <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p> 

    Cette fois, ce n'est plus seulement à un bricolage séditieux, sympa, tonique, boyautant et malicieusement rentre-dedans que nous avons affaire, c'est à un chef-d'œuvre-surprise du cinéma de combat radicalement jouissif. Souffrant fort bien la comparaison avec les plus éperonnantes fictions anarcho-utopistes des années-barricades (<?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName ProductID="La Salamandre" w:st="on">La Salamandre</st1:PersonName>, <st1:PersonName ProductID="La Fianceé" w:st="on">La Fianceé</st1:PersonName> du pirate, Bof  et Themroc, les Mocky écrits par Alain Moury...) dont il retrouve le punch dialectique jubilatoire et le jusqu'auboutisme pyromanesque ouvrant sur tous les possibles, le documentaire-manifeste Volem rien foutre al païs s'avère être, de par son existence même, une terrible catastrophe pour le monde du travail décerveleur. A nous de le montrer partout sans vergogne ! A nous, mis à feu par lui, de tout-tout-tout faire péter pour tout-tout-tout réimaginer !

    <o:p> </o:p>

    Le site : http://www.rienfoutre.cabrule-lefilm.com/


    votre commentaire
  •  

    Schmitt, la rencontre de la littérature et du cinéma

    Odette Toulemonde est le premier long métrage réalisé par Eric-Emmanuel Schmitt, auteur français né en 1960, connu surtout pour ses pièces de théâtre. Révélé par la pièce <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName ProductID="La Nuit" w:st="on">La Nuit</st1:PersonName> de Valognes en 1991, [...]

    Voir la bande d'annonce : http://www.allocine.fr/video/player_gen_cmedia=18717988&cfilm=59831.html

    <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p>

    [MERCI à GILLES]


    votre commentaire



  • Il faut bien le reconnaître, ce film a un mérite d'importance, celui d'exister.
    Ainsi, comble-t-il les lacunes des plus jeunes générations auxquelles n'est plus enseigné l'Histoire. Pour quel dessein d'ailleurs ?
    Ce film - modeste - est décevant à plus d'un titre.
    Certes, il nous donne à voir des acteurs plutôt sympathiques.
    Mais le scénario reste d'une pauvreté affligeante. Clichés, caricatures et inexactitudes s'y côtoient au service d'une bien-pensance devenue aujourd'hui la garantie - la seule ? - d'un succès médiatique.
    Qui peut donc croire que ce film ait permis à J. CHIRAC de prendre la mesure d'une injustice flagrante ? Arrêtons la farce !
    L'utilité de ce film trouve ainsi toutes ses limites dans l'hypocrisie générale.
    De cette communion nationale, devenue abjecte,  peu de monde tire profit.
    Les acteurs, les pauvres, nouvellement investis dans un rôle politique et social. Les politiques qui font minent de découvrir l'indicible.
    Temps de honte ! Temps d'amertume !
    Quand allons-nous enfin regarder la vérité en face ?
    Quand allons-nous adresser à ces hommes - venus du fin fond des colonies pour défendre la France - des signes forts dignes d'une grande République ?
    Et ne nous payons pas de mots ! Quand allons-nous payer tous les arriérés de pensions à ces hommes là ? Donner des signes forts à leurs enfants ?
    Au contraire, nous voilà, dans l'abjection et le délire.
    L'État refuse de payer les arriérés. Trop cher ! Un simple geste suffira ! Et nos acteurs en pantins ridicules peuvent à satiété exprimer sur les plateaux de télévisions leur message exalté : « Nous devons dire à nos jeunes - ceux des banlieues - qu'ils sont légitimes dans ce pays »
    Dans l'immense tourbillon des approximations, tout devient alors possible.
    Même le pire.
    Voilà où mène la république évanescente de nos élites spirituellement corrompues !
    Tristes leçons ! Et tout ne fait que commencer...



    Jean-luc Pujo
    Président des Clubs « Penser la France »


    votre commentaire

  • Une déclaration d'amour à Paris. Un film exceptionnel...
    Au fil des quartiers, des histoires d'amour passager, voilé, mimé, vampirisé, malmené ou révélé...
    Un Pari(s) moderne émouvant et drôle, un film plein de vie(s) sur le thème de l'Amour.


    http://www.allocine.fr/film/video_gen_cfilm=46401.html


    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique