• ART PRESS - Novembre 328

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    La semaine dernière, l'amateur d'art parisien a parfois eu la sensation de courir un marathon : entre <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName w:st="on" ProductID="la Fiac">la Fiac</st1:PersonName> (au Grand Palais, dans la cour carrée du Louvre et dans le Jardin des Tuileries), Show Off (à l'Espace Pierre Cardin), Slick (à <st1:PersonName w:st="on" ProductID="la Belleviloise">la Belleviloise</st1:PersonName>, dans le 20e) et DIVA (Hôtel Cube, dans le 18e), on peut véritablement parler de grand écart. Et c'est tant mieux, car un peu de sport n'a jamais fait de mal.
    Dans chaque manifestation, on a pu vivre des ambiances très différentes, de la présentation très «design» de la cour carrée à l'atmosphère très détendue de Slick. On y aura aussi fait des découvertes, comme l'installation suspendue en latex de Christoph Broich présentée par la galerie Envoy (New York) à <st1:PersonName w:st="on" ProductID="la Belleviloise. Mais">la Belleviloise. Mais</st1:PersonName> surtout, ce qu'on retiendra de tout cela, c'est que cette multiplication des foires off était absolument nécessaire à une ouverture de l'art contemporain. Certaines galeries moins connues que les autres acquièrent ainsi une autre visibilité. Il y a de la place pour tout le monde et l'on peut désormais juger sur pièces. C'est pourquoi l'élargissement de l'offre me paraît être la bonne formule pour que le milieu de l'art français, qui a un peu tendance à fréquenter toujours les mêmes galeries, puisse découvrir d'autres artistes.

    Richard Leydier

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