• Barack Obama en Egypte : "Je serai assassiné"

    L'Europe des amateurs et des connaisseurs de la politique étrangère des grandes puissances découvre peu à peu les catastrophes diplomatiques liées à l'incapacité naturelle et inévitable de la plupart des chefs d'Etat élus par le vote populaire de s'initier rapidement et sur le tard aux responsabilités, inattendues pour eux, que leurs hautes fonctions les appellent à exercer sur la scène internationale.

    En deux ans, un Président issu du suffrage universel s'est brouillé avec la Chine à seule fin de faciliter la rotation, au Tibet, des moulins à prière d'un bouddhisme dégénéré et indigne de l'Eveillé - aussi Pékin tente-t-il de déposséder la France du rôle de moteur privilégié de l'Europe politique qu'elle avait conquis de haute lutte depuis le général de Gaulle et de remettre l'avenir du Vieux Monde entre les mains d'une Allemagne encore infirme, mais qui y a d'ores et déjà gagné douze milliards d'euros de contrats; en deux ans, la France a compromis pour longtemps ses relations avec la Russie à force d'agiter sottement le drapeau d'une Géorgie aux mains de la CIA; en deux ans, la France a tellement refroidi ses relations avec l'Allemagne qu'elle sue sang et eau à les réchauffer; en deux ans, la France, ignorante de ce que le monde anglo-saxon ne se ralliera jamais au Vieux Continent a bêtement tenté de gagner l'Angleterre à une cause qui lui est viscéralement étrangère; en deux ans, la France a stupidement cru pouvoir s'attaquer aux accords de Bretton Woods sans alliés fiables et sans préparation appropriée; en deux ans, la France sautillante autour d'un Président des Etats-Unis après l'autre a cru pouvoir faire entrer Israël à la barbe de Mahomet dans l'union des pays riverains de la Méditerranée; en deux ans, la France des caïds de préau a soutenu le massacre israélien de Gaza, puis le blocus qui affame un million six cent mille hommes, femmes, vieillards et enfants dans la ville dont le nom signifie Trésor en latin et en persan, ce qui permettra à l'Amérique de M. Barack Obama de rafler la mise auprès de la civilisation musulmane tout entière; en deux ans, la France des petits fils de Talleyrand aura commis la dramatique bévue de placer sous le commandement militaire de l'Amérique une nation nucléaire dont le territoire s'est libéré depuis un demi siècle des garnisons de l'étranger installées à perpétuité dans tout le reste de l'Europe, ce qui n'a pas tardé à conduire au grotesque: le 6 juin, ce ne sera pas la France qui recevra le Président des Etats-Unis sur ses terres, mais ce dernier qui trônera sur une parcelle américaine du territoire national afin d'y accueillir une pâle et docile casaque de l'OTAN.

    Lire la suite :

    http://pagesperso-orange.fr/aline.dedieguez/tstmagic/1024/tstmagic/decodage/assassine.htm

     


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    L'euro, qui vient de fêter ses dix ans, passe pour être une monnaie forte, rivale du dollar, et à la pérennité assurée. Ce n'est pas l'avis de Christian Saint-Etienne. Non seulement la zone euro n'est pas une zone monétaire optimale, mais son avenir lui paraît gravement compromis. Au lieu d'accroître la coopération entre les pays membres, les disparités et les rivalités s'aggravent. Une concurrence fiscale de plus en plus exacerbée s'est installée. Mais plus inquiétant encore, l'Allemagne ne cherche-t-elle pas à faire éclater la zone euro pour en reprendre le contrôle ?

    Aujourd'hui, quel est l'avenir de l'euro ? Quel impact va avoir la crise économique et financière sur lui ? Que penser de sa probable implosion ? Que vont faire les grands pays concernés ?

    Dans cet essai court et limpide, Christian Saint-Etienne nous décrit la situation actuelle de l'euro, les risques qu'il court et les différents scénarios possibles pour éviter le pire, s'il en est encore temps.

    Christian Saint-Etienne est professeur titulaire de la chaire d'économie industrielle au Conservatoire national des arts et métiers, professeur à l'université Paris-Dauphine et membre du Conseil d'analyse économique (CAE). Il est président de l'Institut France Stratégie. Il est docteur d'État en sciences économiques et titulaire d'un master d'économie de la London School of Economics et d'un master d'économie mathématique de Carnegie Mellon University. Il a été économiste au Fonds monétaire international et à l'OCDE.

    [Merci à Gaël]


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  • Election Européenne, le débat avec Msr Schivardi
    Vidéo envoyée par JRTVteleweb

    JRTV présente son émission A VOUS DE VOIR consacrée aux Européennes avec entre autre Msr SCHIVARDI, Henri TEMPLE, Jean Luc PUJO, Guilhem JOHANIN et Laurent VASSALLO.


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    Malgré les mesures exceptionnelles déployées par la Fed et le Trésor, les taux longs remontent.

    Mauvaise nouvelle pour l'économie américaine : les taux longs remontent. Mercredi soir, les rendements des bons du Trésor américain à 10 et 30 ans ont touché des plus hauts depuis six mois. Les explications ne manquent pas pour justifier cet accès de tension.

    Ce qui inquiète, c'est l'envolée du déficit budgétaire américain et donc l'explosion de la dette publique qui va contraindre Washington à émettre quelque 2 000 milliards de dollars de dette nouvelle sur les marchés cette année. Les investisseurs s'interrogent sur la solidité à moyen terme de la note «triple A» attribuée aux États-Unis par les agences de notation. Ils craignent aussi un retour de l'inflation.

    La conjonction de ces inquiétudes, amplifiée par les doutes récemment émis sur la solidité financière de la Grande-Bretagne, pousse les taux vers le haut. Sans que - et c'est ce qui est nouveau depuis quelques semaines - l'arsenal de mesures déployées par la Réserve fédérale parvienne à contenir le mouvement. Non contente de ramener ses propres taux directeurs à un plancher historique (entre 0 et 0,25 %), la banque centrale a engagé en mars un programme d'achats sur le marché de 300 milliards de dollars de dette publique américaine. Pour certains experts, ce ne sera peut-être pas suffisant, au regard des volumes en jeu : sur cette seule semaine, le Trésor aura émis une centaine de milliards de dette.

    http://www.lefigaro.fr/tauxetdevises/2009/05/29/04004-20090529ARTFIG00286-les-rates-de-la-strategie-anticrise-des-etats-unis-.php


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    Willy Wimmer, ex-secrétaire d'Etat au ministère allemand de la Défense, et député CDU/CSU au Bundestag durant de longues années, a écrit un article* très intéressant sur le paysage politique allemand actuel. Voici son message central: Les députés au Bundestag débattent enfin avec beaucoup de sérieux et d'honnêteté de la crise financière et écono­mique mondiale et de ses retombées en Allemagne. Wimmer parle par exemple d'une séance de sa fraction comme d'«un des rares grands moments parlementaires», où «l'un après l'autre» s'est levé pour dire quelque chose et «ce qui a été dit avait du poids.»


    Cependant le débat sur la politique extérieure et de sécurité allemande n'est toujours pas à l'ordre du jour. Wimmer fait remarquer que les diverses fractions peinent désormais à trouver suffisamment de candidats aux commissions et cercles de travail du Bundestag et en conclut: «On ne peut échapper à l'impression que beaucoup, dans ces commissions, et plus encore parmi les autres membres du Parlement, sont devenus des émigrés de l'intérieur pour éviter d'être mêlés à ces nombreuses décisions désagréables car impliquant des guerres et des combats. Si l'on n'a personnellement aucune part à ces domaines, pourtant cruciaux pour notre pays, il est beaucoup plus facile de se rallier aux vues du gouvernement fédéral, liées à l'Alliance (les USA et l'OTAN): on passe à travers en fermant les yeux.»


    Et de fait, l'Allemagne aurait aussi grand tort de suivre la ligne décidée par Londres et Washington pour répondre aux défis posés par la crise économique et financière mondiale. De toute évidence une lutte titanesque se livre en ce moment: l'Allemagne doit-elle renouer avec le modèle continental européen des années d'après-guerre, l'économie sociale de marché, qui a apporté à l'Allemagne et à l'Europe bien-être et paix sociale? Doit-elle enfin prendre honnêtement en compte les réussites et les conquêtes de la RDA et les insérer dans ses projets d'avenir? Ou doit-elle, comme elle le fait depuis 20 ans, choisir le modèle capitaliste anglo-saxon, qui va contre les intérêts du pays et les souhaits de l'Europe?

    http://www.mondialisation.ca/index.php?context=viewArticle&code=M%C3%BCL20090527&articleId=13756


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  • « How to Understand the Disaster » By Robert M. Solow

    A Failure of Capitalism: The Crisis of '08 and the Descent into Depression by Richard A. Posner

    Harvard University Press, 346 pp., $23.95

    No one can possibly know how long the current recession will last or how deep it will go. That is because the dangerous combination of the "real" recession-the unemployment and idle productive capacity that come from lack of demand-and the financial breakdown, each being both cause and effect of the other, makes the situation more complex, more unstable, more vulnerable to psychological imponderables, and more distant from previous experience. Whenever the US economy returns to some sort of normality, or preferably before then, it will be necessary to improve and extend the oversight and regulation of the financial system. The main goal should be to make another such episode much less likely, and to limit the damage if one occurs.

    To make progress in that direction requires some understanding of the origins of the current mess. I once saw a hospital discharge diagnosis that read "sepsis of unknown etiology"; that sort of thing will not help in this case. The need is not only for a clear picture of what happened but for an assessment of the motives and actions of the main players, the causes and consequences of what they did, and the ideas and institutions that encouraged, inhibited, and shaped the outcomes. Richard Posner's book is intended to fill that need, in clear and understandable language. I think it is at best a partial success; it gets some things right and some things wrong, and the items on both sides of the ledger are important.

    More striking than what the book says is who says it. Posner is a judge of the US Court of Appeals for the Seventh Circuit, and so preeminently a lawyer. In addition, he is an apparently inexhaustible writer on...nearly everything. To call him a polymath would be a gross understatement. A partial list of his publications in the past ten years alone includes How Judges Think; Law, Pragmatism and Democracy; Frontiers of Legal Theory; the seventh edition of his Economic Analysis of Law (first published in 1973); the third edition of Law and Literature; three volumes of essays on The Economic Structure of Law; and books on plagiarism, constitutional aspects of national emergencies, the election of 2000, the US domestic intelligence system, countering terrorism, public responses to the risk of catastrophe, the Clinton impeachment, dealing with the AIDS epidemic, and, significantly, Public Intellectuals: A Study of Decline. There is a prehistory of still more books, and many articles in legal and other periodicals.

    http://www.nybooks.com/articles/22655


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    La tâche qui attend le nouveau président américain, Barack Obama, est immense. Consacrés superpuissance mondiale lors de la première guerre du Golfe en 1991, les Etats-Unis semblent avoir perdu confiance en eux-mêmes: après l'enlisement dans la guerre en Irak, les voilà englués dans une crise économique et financière dont ils sont fortement tenus pour responsables. Dans ce contexte, l'Amérique saura-t-elle conserver son hégémonie sur le reste du monde? Deux éminentes figures de la politique étrangère américaine, Zbigniew Brzezinski, démocrate, et Brent Scowcroft, républicain, tous deux anciens conseillers à la Sécurité nationale sous différents gouvernements américains, tous deux opposants de la première heure à l'entrée en guerre contre l'Irak, ont choisi, en pleine campagne électorale, de converser à bâtons rompus de l'avenir des Etats-Unis et des enjeux de politique étrangère qui attendent le président américain. Prenant acte de la nouvelle donne et notamment du 11 Septembre, ces deux experts de la guerre froide (ils conseillaient alors ceux qui étaient aux commandes) s'accordent à dire que tout le système international, issu de cette période, est à remettre à plat. Puis, ils passent en revue les sujets qui les taraudent aujourd'hui : quelle forme doit prendre le retrait des Etats-Unis d'Irak? Dans quelle mesure l'Iran représente-t-il une menace sérieuse pour l'Occident? Comment la Chine peut-elle être intégrée dans le système international? Comment se pose aujourd'hui la question de l'intégration de la Russie à l'Europe? etc. Sur tous ces points, les auteurs apportent des réponses précises et toujours très stimulantes. Et, d'un bout à l'autre de ce livre, c'est bien évidemment du leadership américain et de la forme qu'il doit prendre qu'il est question. Un débat passionnant et très accessible pour tous ceux qui s'intéressent à l'Amérique et au monde d'aujourd'hui.

    Biographie de l'auteur : Zbigniew Brzezinski a été conseiller à la Sécurité nationale de Jimmy Carter et conseille aujourd'hui Barack Obama. Il est professeur à l'université Johns Hopkins et conseiller et administrateur du Center for Strategic and International Studies. Brent Scowcroft a été conseiller à la Sécurité nationale sous George H. W. Bush et Gerald Ford, et conseiller à la Défense sous Nixon. David Ignatius est éditorialiste au Washington Post.


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    Dans son livre, De quoi Sarkozy est-il le nom ?, Alain Badiou proposait de nommer " hypothèse communiste " ce qui, depuis la Révolution française, a animé les politiques révolutionnaires, ou politiques d'émancipation. Le jugement que l'histoire officielle tente d'imposer est que toutes les tentatives de réalisation de cette hypothèse s'étant soldées par de tragiques échecs, l'hypothèse elle-même serait invalidée par l'Histoire. Le présent volume veut envisager directement la fameuse preuve historique de cet " échec ", à travers trois exemples fondamentaux qui le caractérisent - la Commune de Paris, la Révolution culturelle et Mai 68. Il pose que, pas plus en matière de politique qu'en matière de science, l'échec local d'une tentative n'autorise à éluder le problème dont elle proposait une solution; que de nouvelles solutions doivent être aujourd'hui imaginées pour résoudre les problèmes sur lesquels cette expérimentation a buté. C'est ce que fait le dernier texte de ce livre, prononcé à Londres, en mars 2009, lors d'un important colloque précisément intitulé " L'Idée de communisme ". " Le capitalisme et sa "démocratie" de surface, c'est ce qui est vieux, c'est ce qui est condamné, c'est le renoncement à penser, le renoncement à agir selon les principes d'une pensée. C'est l'hypothèse communiste, quel que soit le nom qu'on lui donne (émancipation, égalité... ), qui est nouvelle et légitime."

    Biographie de l'auteur
    Ecrivain, philosophe, professeur à l'Ecole normale supérieure, Alain Badiou a récemment publié Second manifeste pour la philosophie (Fayard, 2009). Le présent volume est le cinquième de la série " Circonstances ".


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  • REFERENDUM 29 MAI 2005 : Jamais nous n'oublierons !

    Voir le blog du Groupe Europe MRC et toutes les archives !

    http://www.blogg.org/blog-14787.html

     


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    « Ce n'est pas le moment de perdre courage ! » Julien COUPAT

    « La révolte a des conditions, elle n'a pas de cause. Combien faut-il de ministères de l'Identité nationale, de licenciements à la mode Continental, de rafles de sans-papiers ou d'opposants politiques, de gamins bousillés par la police dans les banlieues, ou de ministres menaçant de priver de diplôme ceux qui osent encore occuper leur fac, pour décider qu'un tel régime, même installé par un plébiscite aux apparences démocratiques, n'a aucun titre à exister et mérite seulement d'être mis à bas ? C'est une affaire de sensibilité (...).

    Heureusement, le ramassis d'escrocs, d'imposteurs, d'industriels, de financiers et de filles, toute cette cour de Mazarin sous neuroleptiques, de Louis Napoléon en version Disney, de Fouché du dimanche qui pour l'heure tient le pays, manque du plus élémentaire sens dialectique. Chaque pas qu'ils font vers le contrôle de tout les rapproche de leur perte. Chaque nouvelle "victoire" dont ils se flattent répand un peu plus vastement le désir de les voir à leur tour vaincus. Chaque manœuvre par quoi ils se figurent conforter leur pouvoir achève de le rendre haïssable. En d'autres termes : la situation est excellente. Ce n'est pas le moment de perdre courage. »

    Lire l'entretien entier :

    http://www.lemonde.fr/societe/article/2009/05/25/julien-coupat-la-prolongation-de-ma-detention-est-une-petite-vengeance_1197456_3224.html


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  • Les Européennes sur JRTV.com en Languedoc

    Gérard SCHIVARDI candidat aux élections présidentielles de 2007, maire de MAILHAC

    Henri TEMPLE candidat aux élections Européennes pour le parti Debout la République

    Jean Luc PUJO, auteur républicain, membre du MRC de Jean Pierre Chevènement.

    Guilhem JOHANIN pour le Modem

    Laurent VASSALLO pour le parti Socialiste

    Diffusion du débat télévisé : Mercredi 27 mai 2009 -18H; Jeudi 28 mai 2009 - 20h00 et Vendredi 29 mai 2009 - 22h00

    Liens TV du WEB :

    http://www.vupourvous.info/

     


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  • « Déficits publics : d'où viendra le financement ? » par John Mauldin

    Où trouver 5.000 Milliards de $ pour financer la dette mondiale ? Qui va payer quand tout le monde a des déficits au même moment ?

    A l'image du célèbre paradoxe de l'épargne, John Mauldin pointe le paradoxe du déficit. Si un Etat peut mobiliser l'épargne mondiale pour financer une relance, qu'advient-il lorsque tous les gouvernements doivent s'endetter massivement au même moment ? Les énormes déficits publics prévus, pouvant encore s'aggraver avec la récession et si les pertes du secteur financier s'amplifient - tout particulièrement en Europe - ne trouveront pas les financements nécessaires, estime Mauldin. Et les premiers signes de faiblesse des bons du Trésor US apparus ces derniers jours indiquent que l'heure de vérité pourrait sonner bien plus tôt que prévu. Une remarque. Si le diagnostic porté sur l'Europe peut sembler forcer le trait, la réalité des risques soulignés face à l'exposition à l'est n'en est pas moins incontestable, et la situation de l'Espagne reste singulièrement préoccupante.

    Il y a quelque chose qui s'agite dans le placard où sont enfermés mes soucis. Le marché obligataire ne se comporte pas comme si la déflation était inscrite dans notre futur, et le dollar s'affaiblit. Le taux de chômage ne cesse d'augmenter, mais plus encore, le déficit du gouvernement américain semble échapper à tout contrôle.

    Des déficits à 1000 milliards

    Cette semaine, la dette totale des États-Unis atteint 11 300 milliards et continue d'augmenter rapidement. L'Administration Obama projette de lever 1 850 milliards en 2009 (13% du PIB) et encore 1 400 milliards en 2010. Le Congressional Budget Office prévoit près de 10 000 milliards de dette supplémentaire entre 2010 et 2019. En janvier dernier, le déficit pour 2009 était estimé à « seulement » 1 200 milliards. Les choses se sont rapidement dégradées.

    http://contreinfo.info/article.php3?id_article=2747


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