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    TOUS à la manifestation du 1er MAI !

    Pour dire "NON" à cette politique libérale qui détruit la France et notre pacte républicain si chèrement acquis !

    Pour la première fois dans l'histoire syndicale. Huit organisations (CGT, CFDT, FO, CFTC, CGC, FSU, UNSA et Solidaires) appellent ensemble à quelque 300 défilés interprofessionnels vendredi dans toute la France, dans la continuité des journées de mobilisation des 29 janvier et 19 mars pour exiger une autre politique économique et sociale face à la crise. Les syndicats restent toutefois prudents quant à l'ampleur de la mobilisation.

    Les syndicats dénoncent "les annonces quotidiennes de suppressions d'emplois, de fermetures d'entreprises", qui "témoignent d'une situation qui se dégrade et dont ni gouvernement, ni patronat, n'ont apprécié la durée et la gravité". A Paris, la manifestation partira de la place Denfert-Rochereau à 14h en direction de la place de la Bastille

     


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    Ainsi Serge Ravanel nous a quittés. « Il est mort en combattant » m'a confié sa femme, c'est-à-dire comme il avait vécu.

    Entré en Résistance à l'âge de 22 ans, il n'avait jamais reculé devant les risques les plus fous, comme chef national des groupes francs. Le colonel Ravanel restera comme le libérateur de Toulouse en août 1944.

    Ce qui frappait le plus chez Serge Ravanel c'était pourtant son caractère réfléchi, sa recherche constante de la meilleure solution. Je revois son beau visage, son regard à la fois profond et vif, j'entends son élocution posée, développant la méthode qui lui paraissait la plus appropriée : bref il montrait la meilleur des qualités qu'on prête aux polytechniciens.

    Je l'ai vu appliquer toute son intelligence méthodique à la solution des problèmes de la recherche et de l'industrie française, quand il m'a fait l'honneur d'être à mon cabinet de 1981 à 1983. J'imagine très bien qu'il appliquait au combat les mêmes qualités. Les risques fous qu'il a pris ne l'étaient pas autant qu'ils le paraissaient : ils procédaient toujours, j'en suis sûr, d'une analyse complète et raisonnée des situations.

    Lire la suite : 

    http://www.chevenement.fr/Un-immortel-exemple_a794.html?preaction=nl&id=3345999&idnl=49391&


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  • Disparition de Serge Ravanel, résistant et compagnon de la Libération !

    Une pensée pour nos héros !

    http://www.ordredelaliberation.fr/fr_compagnon/35.html


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  • "L'autonomie veut dire la mise au pas des universitaires" Marcel Gauchet, historien et philosophe

    Dans votre dernier livre, "Conditions de l'éducation", vous mettiez l'accent sur la crise de la connaissance. Le mouvement actuel dans l'enseignement supérieur n'en est-il pas une illustration ?

    L'économie a, d'une certaine manière, dévoré la connaissance. Elle lui a imposé un modèle qui en fait une machine à produire des résultats dans l'indifférence à la compréhension et à l'intelligibilité des phénomènes. Or, même si c'est une de ses fonctions, la connaissance ne peut pas servir uniquement à créer de la richesse. Nous avons besoin d'elle pour nous aider à comprendre notre monde. Si l'université n'est plus du tout en position de proposer un savoir de cet ordre, elle aura échoué. Or, les savoirs de ce type ne se laissent ni commander par des comités de pilotage, ni évaluer par des méthodes quantitatives. 

    N'est-ce pas pour cela que la question de l'évaluation des savoirs occupe une place centrale dans la crise ?

    Alors que les questions posées par les modalités de l'évaluation sont très complexes, puisqu'elles sont inséparables d'une certaine idée de la connaissance, elles ont été réglées de manière expéditive par l'utilisation d'un modèle émanant des sciences dures. Ces grilles d'évaluation sont contestées jusque dans le milieu des sciences dures pour leur caractère très étroit et leurs effets pervers. Mais, hormis ce fait, ce choix soulève une question d'épistémologie fondamentale : toutes les disciplines de l'université entrent-elles dans ce modèle ? Il y a des raisons d'en douter.

    Ce n'est pas un hasard si les sciences humaines ont été en pointe dans le mouvement. Il s'agit pour elles de se défendre contre des manières de les juger gravement inadéquates. L'exemple le plus saillant est la place privilégiée accordée aux articles dans des revues à comité de lecture qui dévalue totalement la publication de livres. Or pour les chercheurs des disciplines humanistes, l'objectif principal et le débouché naturel de leur travail est le livre. On est en pleine impasse épistémologique.

    http://www.arhv.lhivic.org/index.php/2009/04/23/977-l-autonomie-veut-dire-la-mise-au-pas-des-universitaires


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  • ICRC Report on the Treatment of Fourteen "High Value Detainees" in CIA Custody by the International Committee of the Red Cross 43 pp., February 2007

    Download the text of the ICRC Report on the Treatment of Fourteen "High Value Detainees" in CIA Custody by The International Committee of the Red Cross, along with the cover letter that accompanied it when it was transmitted to the US government in February 2007. This version, reset by The New York Review, exactly reproduces the original including typographical errors and some omitted words.

    When we get people who are more concerned about reading the rights to an Al Qaeda terrorist than they are with protecting the United States against people who are absolutely committed to do anything they can to kill Americans, then I worry.... These are evil people. And we're not going to win this fight by turning the other cheek.

    If it hadn't been for what we did-with respect to the...enhanced interrogation techniques for high-value detainees...-then we would have been attacked again. Those policies we put in place, in my opinion, were absolutely crucial to getting us through the last seven-plus years without a major-casualty attack on the US....

    http://www.nybooks.com/articles/22614


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  • ICRC Report on the Treatment of Fourteen "High Value Detainees" in CIA Custody by the International Committee of the Red Cross 43 pp., February 2007

    Press release and contact information

    We need to get to the bottom of what happened-and why-so we make sure it never happens again.

    We think time and elections will cleanse our fallen world but they will not. Since November, George W. Bush and his administration have seemed to be rushing away from us at accelerating speed, a dark comet hurtling toward the ends of the universe. The phrase "War on Terror"-the signal slogan of that administration, so cherished by the man who took pride in proclaiming that he was "a wartime president"-has acquired in its pronouncement a permanent pair of quotation marks, suggesting something questionable, something mildly embarrassing: something past. And yet the decisions that that president made, especially the monumental decisions taken after the attacks of September 11, 2001-decisions about rendition, surveillance, interrogation-lie strewn about us still, unclaimed and unburied, like corpses freshly dead.

    How should we begin to talk about this? Perhaps with a story. Stories come to us newborn, announcing their intent: Once upon a time... In the beginning... From such signs we learn how to listen to what will come. Consider:

    I woke up, naked, strapped to a bed, in a very white room. The room measured approximately 4m x 4m [13 feet by 13 feet]. The room had three solid walls, with the fourth wall consisting of metal bars separating it from a larger room. I am not sure how long I remained in the bed....

    http://www.nybooks.com/articles/22530


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  • « Immense texte politique et philosophique - Magnifique ! »  jluc Pujo

    Les "assises de la culture française"

    1 - Epistola prima 

    Le Ministère de la culture et la France de la pensée

    Monsieur le Président,

    L'histoire ne connaît aucun exemple d'un homme d'Etat qui aurait seulement imaginé de convoquer et de présider des "assises de la culture", donc du génie de son pays. Dans le même temps, vous avez tenté de réconcilier la République avec les autels, la raison avec la théologie, les intellectuels français avec le sacré et le siècle des Lumières avec les clergés. Vous avez donc posé une question décisive aux yeux de l'anthropologie critique, celle de savoir si la vérité parle le langage compartimenté des diverses religions ou universel de la terre.

    C'est dire également que votre initiative est révélatrice du "malaise de la civilisation" que Nietzsche avait diagnostiqué un demi-siècle avant Freud. Saisirez-vous l'occasion d'une cérémonie républicaine et démocratique aussi singulière qu'une manière de concile des défenseurs de l'intelligence planétaire ou folklorique de l'humanité pour préciser le sens spirituel ou rationnel qu'il convient de donner au terme vague et flottant de "culture"? La chasse, la pêche et le jeu de boules ont-ils place dans la "culture française" ? Dans ce cas, comment définir leur particularité afin de les distinguer de la peinture, de la statuaire et de la musique, dont la vocation est mondiale ? Et puis, les religions sont représentées par des dépositaires et des propriétaires officiels d'une vérité tenue pour éternelle, infaillible et cernée par des théologies. De quels possesseurs de la "culture" allez-vous légitimer les œuvres sous la tutelle des croyances et des chasubles des prêtrises ?

    Lire la suite :

    http://pagesperso-orange.fr/aline.dedieguez/tstmagic/1024/tstmagic/philosopher/assises


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  • La presse et la crise, c'est le thème de l'entretien accordé par Michel Rocard à Lyon Capitale (entretien paru dans le numéro d'avril de Lyon Capitale). À l'heure de son départ à la retraite, le très « pédagogique » ancien Premier ministre, qui se décrit pourtant comme un « optimiste congénital et combatif », dresse un tableau bien sombre. Selon lui, la télé a tué la démocratie et la crise en sera d'autant plus longue. 

    Longtemps considéré comme un « chouchou » de la presse écrite, vous semblez ne pas avoir réussi à saisir le virage de la télé... Est-cela qui explique vos échecs dans la course à l'Elysée ?

    Il importe très peu de considérer les jeux personnels, les jeux de carrière. Le drame c'est que la télé est devenue le média dominant pour fixer les opinions. Et la presse écrite n'a pas su résister en faisant un contrepoids suffisant. Or l'image a des caractéristiques qui ne sont pas celles du texte écrit.

    L'image répugne à la complexité, demande du conflictuel, de l'affectif, du dramatique, et sûrement pas du complexe, du sociologique et de l'explicatif. L'image ne sait pas aider une pensée sur le long terme. Il faut de l'événementiel. Du coup, dans notre société, on ne réfléchit jamais à plus de quelques semaines. Et ça c'est tragique. La mort de la démocratie est là ! Mais peu importe qu'ils disent du bien ou du mal de tel ou tel homme politique, c'est un détail.

    Dans ces conditions, un nouveau Rocard aurait du mal à s'imposer...

    Si vous personnalisez, on ne va plus du tout se comprendre. Le champ politique maintenant par choix médiatique est voué aux gens qui présentent un fort avantage de charisme, homme ou femme. On peut appeler ça des qualités d'ordre théâtral. Tout le système est répulsif à l'idée d'examiner et de présenter les compétences, les choses faites.

    C'est un drame absolu. Il est mondial. Il concerne maintenant la totalité des démocraties, et commence à toucher même les dictatures qui voudraient paraître un peu moins brutales. Le professionnalisme est disqualifié, c'est terrible ! Et c'est une des raisons qui font qu'on a du mal à sortir de la crise actuelle.

    http://www.rue89.com/2009/04/27/michel-rocard-la-tele-cest-la-mort-de-la-democratie

    [Merci à Nicolas]


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  • Ou comment les normes et réglementations sont évacuées par le Marché et les grandes banques ! Tout va nous sauter à la figure !

    « Fallait-il vraiment assouplir les règles comptables ? » Willem Buiter

    Professeur d'économie politique européenne à la London School of Economics

    Lors de sa réunion du 2 avril dernier, le Financial Accounting Standards Board (FASB, organisme qui établit les normes comptables aux Etats-Unis) a une fois encore assoupli les règles de la valorisation des actifs sur la base de leur valeur de marché (mark-to-market). Cette décision a suivi une réunion de la Commission parlementaire, le Financial Services Committee du Congrès américain (HFSC), dont on peut se demander si ce n'est pas une filiale à 100% de l'American Bankers Association : le 12 mars, le HFSC demandait au FASB de réviser sa doctrine sur la juste valeur dans les marchés inactifs, l'avertissant que s'il ne se montrait pas suffisamment accommodant, le Congrès légiférerait et accorderait aux banques zombies ce qu'elles demandent. Tout cela va-t-il dans le bon sens ? Résolument, non. Explications.

    Le FASB s'est couché, et ce n'est pas la première fois. Avec quelques révisions mineures, ces propositions sont en voie de s'imposer, en dépit des protestations des représentants des investisseurs et du secteur de la comptabilité, qui considèrent qu'en rendant plus rigoureuses les règles de valorisation des actifs, on force les entreprises à donner l'image la moins inexacte de leur santé financière. Lors de la réunion du 2 avril, le FASB a également décidé de donner plus de flexibilité dans l'évaluation de titres de dettes en difficultés.

    http://www.telos-eu.com/fr/article/fallait_il_vraiment_assouplir_les_regles_comptab


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  • « La crise fait revenir la Nation au premier plan et démontre sa solidité »

    Portrait de Jean-Pierre Chevènement par Philippe Plassart et Julien Tarby, paru dans Le Nouvel Economiste, 23 avril 2009, n°1473.

    Conversation sous forme de confession politique avec le "Che". Sous les ors de la salle des pas perdus du Sénat.


    On ne s'attendait pas à retrouver le "Che" dans un fauteuil de sénateur. S'il avoue s'y trouver "un peu par hasard", suite à une déconvenue électorale dans son bastion belfortain, il semble y avoir trouvé assez vite ses marques, fort de sa longue expérience de la vie politique. Qu'on l'aime ou pas, Jean-Pierre Chevènement figure parmi les plus lourds de la politique française. Il fut la cheville ouvrière de l'alliance avec le PC et le concepteur des 101 propositions qui allaient amener Mitterrand au pouvoir. Depuis lors, sa vie politique a été ponctuée par trois démissions gouvernementales, une sécession corps et bien d'avec le Parti socialiste, une campagne prometteuse à la présidentielle de 2002 qui le plaçait au statut enviable de "troisième homme" mais qui finira dans les décombres de la poussée lepéniste à moins de 6 %...
    Aujourd'hui, l'homme, outrage du temps passant, semble en avoir rabattu sur ses ambitions. Feinte ? "Même mort, je reviendrai", prévient-il, reprenant la maxime latine devenue fétiche depuis sa résurrection post-comatique. Donnant la clé de sa longévité : "Pour survivre en politique, l'essentiel est d'être en harmonie avec soi-même et avec ce que l'on croit." Et quand Jean-Pierre Chevènement, l'artisan des nationalisations de 1981, plaide aujourd'hui pour une politique industrielle et une programmation dans laquelle l'Etat aurait plus que son mot à dire, il prouve sa constance.

    http://www.chevenement.fr/La-crise-fait-revenir-la-Nation-au-premier-plan-et-demontre-sa-solidite_a792.html?preaction=nl&id=3345999&idnl=49058&


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    « Du G20 à Durban II, le dessous des cartes : Un entretien avec Thierry Meyssan » par Silvia Cattori

    Sur fond de crise économique et financière, du G20 à Durban II, les sommets et les conférences internationales se succèdent sans que les médias dominants nous éclairent beaucoup sur ce qui s'y joue et s'y décide vraiment. Silvia Cattori a demandé à Thierry Meyssan son appréciation de l'évolution des rapports de force induite par cette crise, et des politiques mises en œuvre par les Etats-Unis et la finance anglo-saxonne pour maintenir leur prééminence.

    Silvia Cattori : Quels étaient les objectifs des États-Unis au récent G20 de Londres ? Dans quelle mesure sont-ils parvenus à les atteindre ? Ont-ils réussi à se rallier une majorité de dirigeants politiques ?

    Thierry Meyssan : Les deux sommets des chefs d'État et de gouvernement du G20 à Washington, puis à Londres, ont consacré la suprématie de la finance anglo-saxonne, et posé les prémisses d'un gouvernement économique mondial sous leadership anglo-saxon.

    Le troisième sommet est prévu à New York en marge de l'Assemblée générale de l'ONU ; ce qui est une manière d'humilier cette assemblée et d'affirmer l'existence d'un directoire économique des 20, équivalent au directoire politique du Conseil de sécurité, en dehors des institutions de l'ONU.

    Cependant, malgré les embrassades publiques, aucun accord significatif n'a été conclu entre les membres du G20. Les déclarations finales énumèrent des principes généraux qui n'engagent personne et des actions précises qui ont toutes été prises en dehors du sommet et dont aucune ne concerne les 20 à la fois [1]. Le sommet de Londres pourrait donc s'avérer être un sommet de dupes.

    La politique financière et économique de l'administration Obama est élaborée par un ensemble complexe d'organismes. Elle se situe en totale continuité de celle de l'administration Bush [2]. Vous vous souvenez d'ailleurs que les plans Bush-Paulson ont été soumis au candidat Obama et approuvé par lui avant d'être présentés au Congrès. Le secrétaire au Trésor Tim Geithner a succédé à Henry Paulson avec lequel il travaillait depuis plusieurs mois. Geithner a commencé sa carrière comme « nègre » d'Henry Kissinger dont il écrivait les textes économiques. Bref, le changement n'existe que dans les slogans de Barack Obama.

    Le Conseil économique national des États-Unis est présidé par Lawrence Summers, l'économiste qui a organisé, en 1999, le démantèlement des législations mises en place lors de la crise de 1929 pour en empêcher la répétition. À l'époque, son but était de favoriser une spéculation sans limites pour drainer les richesses du monde vers Wall Street. C'est toujours avec le même objectif qu'il poursuit son œuvre à travers les divers plans de sauvetage, de stabilisation etc. qu'il a imaginé.

    http://www.mondialisation.ca/index.php?context=va&aid=13293


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  • LA PLAN OBAMA est largement insuffisant !

    LE coup de grâce de la crise immobilière : le grand crash s'en vient

    Un immense « inventaire caché » par Mike Whitne

    En raison de la levée du moratoire sur les saisies à la fin mars, la tendance à la baisse dans l'immobilier gagne en vitesse. Le moratoire a été mis en vigueur en janvier pour donner une chance de réussite au programme d'anti-éviction d'Obama, un programme qui est une combinaison de modifications et de refinancement hypothécaires. L'objectif de ce plan consistait à venir rapidement en aide à près de 9 millions de propriétaires qui luttent pour garder leurs maisons, mais il est dorénavant clair que le programme va se pulvériser de même que son objectif.
    En mars, l'accélération du mouvement à la baisse des prix de l'immobilier indiquait qu'il y aurait de plus importants ajustements à venir. Les tangentes sont plus fortes que jamais - presque perpendiculaires. Les prix de l'immobilier ne sont pas en baisse, ils s'effondrent et ils s'effondrent sérieusement. Maintenant que le moratoire sur l'éviction a pris fin, les Avis de défaut [de paiement] (NOD) ont grimpé à leurs plus hauts niveaux historiques. Dans 4 à 5 mois, ces avis vont devenir des saisies créant une autre série de saisies. Les analystes du marché prédisent qu'il y aura 5 MILLIONS DE NOUVELLES SAISIES ENTRE AUJOURD'HUI ET 2011. Il s'agit d'une catastrophe plus grande que l'ouragan Katrina. La sidérante augmentation du chômage et la hausse des saisies rendent certain que des centaines de banques et d'institutions financières vont être contraintes à la faillite. Quarante pour cent des propriétaires en défaut de paiement ont déjà évacué leurs maisons. Il n'y a rien qu'Obama puisse faire pour les faire rester. Pire encore, seulement 30 pour cent des [maisons] saisies ont été remises en vente suggérant ainsi encore plus d'entourloupettes au sein des banques. Où sont donc passées les maisons? Ont-elles tout simplement disparues?

    http://www.mondialisation.ca/index.php?context=va&aid=13314


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