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    Renversement de la charge de la preuve en environnement : Rêve politique ou réalité juridique ? Faut-il se féliciter de ce renversement de la charge de la preuve en environnement, comme il est dit dans le débat parlementaire ?

    Jeudi 9 octobre dernier, lors de la première lecture du projet de la loi de programme sur la mise en œuvre du Grenelle de l'Environnement, la Commission des affaires économiques, de l'environnement et du territoire a adopté un amendement visant à renverser le charge de la preuve.

    Le texte expose que : « Pour les décisions publiques susceptibles d'avoir une incidence significative sur l'environnement, les procédures de décision seront révisées pour privilégier les solutions respectueuses de l'environnement en apportant la preuve qu'une décision plus favorable à l'environnement est impossible à un coût raisonnable ».

     

    http://www.reglementation-environnement.com/18410-renversement-charge-preuve-environnement.html


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    Philosophie de l'abolition de la peine de mort

    1 - Une interprétation de l'abolition de la peine de mort

    Qu'adviendra-t-il de la conjonction entre deux disciplines encore en cours d'élaboration théorique, mais d'ores et déjà prospectives et appelées à se féconder l'une l'autre par l'élaboration de la méthode qui rendra leur collaboration aussi nécessaire que prometteuse : la spectrographie politique de l'inconscient des théologies d'une part et l'interprétation simiantropologique de l'évolutionnisme, d'autre part ? La symbiose entre ces deux champs d'un savoir encore entièrement inexploré exigera une distanciation critique étroitement partagée, la première à l'égard de " Dieu ", la seconde à l'égard d'une espèce qui se réfléchit inconsciemment dans une figure démiurgique d'elle-même tour à tour cataclysmique, pateline et caricaturale. Les apories anthropologiques insurmontables auxquelles se heurtent les Etats se trouveront illustrées par l'examen spectral des contradictions politiques que l'idole rencontre sur son chemin, puisqu'elle se trouve nécessairement construite en miroir de ses adorateurs.

    http://pagesperso-orange.fr/aline.dedieguez/tstmagic/1024/tstmagic/philosopher/abolition.htm


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    Tonitruantes déclarations !

    Moulins à bras, imprécations !

    Un président... Comme la feuille au vent

    Qui dirige donc la France, vraiment ?


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    Le discours de M. Sarkozy "implique un jugement très anti-souveraineté du Québec. C'est dire: nous ne sommes pas d'accord avec la souveraineté du Québec", a estimé M. Parizeau, personnalité incontournable du Parti québécois (PQ, indépendantiste).

    "Je ne me souviens pas d'avoir jamais vu un chef d'Etat dire ça pendant tous les débats sur la souveraineté du Québec, pendant toute la campagne référendaire. Même Bill Clinton, avant le référendum (de 1995 sur l'indépendance du Québec), n'avait pas été jusque-là", a ajouté M. Parizeau, accusant le président français de s'immiscer dans les affaires intérieures de la province francophone.
    Dans un discours devant l'Assemblée nationale québécoise et au cours d'une conférence de presse, vendredi, M. Sarkozy avait parlé en termes chaleureux de la "fraternité" entre la France et le Québec, tout en soulignant que celle-ci n'excluait pas l'amitié pour le Canada.
    "Je ne vois pas au nom de quoi une preuve d'amour de la France pour le Québec fraternel, familial, devrait se nourrir d'une preuve de défiance à l'endroit du Canada", avait-il dit.
    Le coup de colère de M. Parizeau, qui s'exprimait pendant un colloque à Montréal, a été largement repris dans les médias locaux.

    L'ex-Premier ministre, qui fut l'artisan du référendum de 1995 au cours duquel l'indépendance n'a été rejetée que de justesse, a toutefois jugé que cette "énormité" du président français n'allait pas affecter les relations entre les peuples québécois et français.

     

    Governor General Michaelle Jean, Prime Minister Stephen Harper and French President Nicolas Sarkozy chat prior to a meeting Friday, in <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:City w:st="on"><st1:place w:st="on">Quebec City</st1:place></st1:City>. THE CANADIAN PRESS/Paul Chiasson<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" />

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    « Nous nous aimons comme au premier jour ... »

     

    Anne SAINCLAIR se prend pour Hillary CLINTON ?


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    "On ne refera pas la France par les élites, on la refera par la base. "

     

    Les Grands Cimetières sous la lune (1938) - BERNANOS


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  • La dernière manifestation footballistique au stade de France a été l'occasion d'un nouveau scandale doublement symbolique. Siffler « La Marseillaise » est tout aussi ridicule que lamentable.
    Ce geste doit cependant être expliqué dans sa complexité. Inculture, rébellion et sentiment anti-français se mêlent indifféremment.
    La portée politique ne doit pas être occultée mais ramenée à sa juste réalité. La plupart des siffleurs disent leur ras-le-bol de leur situation sociale, peu intellectualisent une « haine de la France ».
    Que les uns rencontrent ainsi les autres quand une réalité sociale croise un climat politique malsain, quoi de plus banal ?
    Ainsi, la réalité politique portée par une minorité, qui développe la haine de la France doit être prise au sérieux, très au sérieux. Non pas tant que cela menace la France, mais par le fait indéniable qu'elle alimente des comportements qui seront dangereux, et qu'il faudra bien sûr juguler.
    Mais tout le monde n'est-il pas satisfait d'un amalgame ainsi généralisé ?
    Enfin, voilà les coupables ! « On vous l'avait bien dit » !
    Et les mêmes d'affirmer encore l'actualité d'un front culturel entre deux blocs identitaires et culturels magistraux : l'Occident judéo-chrétien propre face à un monde musulman sale et dangereux ! On nous cite encore Huntington ? Non ! Pas cette fois-ci ?
    Mais quelle est notre réalité en fait ?
    Ces jeunes ne se sentent ni tout à fait de là-bas, ni tout à fait d'ici.
    Pas de là-bas, soit, on les comprend : des régimes répressifs, une vie culturelle encadrée, une sexualité non libérée, une situation économique et sociale catastrophique ...aucun ne veut retourner s'installer au Maghreb quand tant de membres de leurs familles veulent immigrer en France.
    Pas d'ici, soit, il faut l'admettre : la République a été trahie par ceux qui étaient censés la servir au plus haut. La France a oublié de faire France. La République a oublié d'être une République.
    Et à ces notions politiques essentielles - faire Nation - nous avons substitué un « tout consommer » étroitement conjugué de plus en plus avec un identitarisme communautaire malsain. Pourquoi cette erreur incroyable ?
    Parce que le « Tout Marché » s'accommode parfaitement de cette réalité : les consommateurs ne sont pas des citoyens mais des « ménages » sur segments clés.
    La pseudo-République a laissé faire. Nos élites ont laissé la République se défaire. Honte à eux !
    Et au même moment où se défaisait l'objet politique - la Nation - se réveillait dans le monde l'objet traditionnel - la Religion ! Etrange leçon de l'histoire.
    Alors que faire ?
    Il faut - il faudra - tout redresser !
    Redresser en République, c'est-à-dire réapprendre la France et ses valeurs.
    En apprenant ces valeurs, on aimera cette patrie.
    Certains sont-ils déjà perdus ? La persévérance travaille toujours en faveur des valeurs sûres.
    Pourquoi ne pas l'admettre ? Les élites à redresser seront certainement les plus dures à résister.
    Il faudra être d'une fermeté inébranlable... et nous verrons alors se lever comme par miracle, des hommes sortis du bout du monde venir chanter la France, ses valeurs au service de la République.
    Apporter un sang neuf pour alimenter ce message supérieur : la France, c'est la République universelle incarnée. Ce sont ces valeurs d'une puissante modernité : Liberté, Egalité, Fraternité...Laïcité !
    Combien d'ici là de temps perdu, de conflits, de mensonges, de démissions, de trahisons ?
    Beaucoup trop bien sûr.
    Alors OUI ! Réapprenons la France ! Vite !

    Jean-Luc PUJO
    Président des Clubs « Penser la France »

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    A côté de M. LAPORTE, Michel PLATINI passe pour un agrégé de Philosophie !

     

    Michel Platini, président de l'Union européenne de football (UEFA) et ancien capitaine de l'équipe de France, estime dans un entretien au Monde que les sifflets qui ont accompagné La Marseillaise avant le match France-Tunisie ne sont "pas une insulte à la France".

    Que pensez-vous du tollé politique qui a suivi les sifflets de La Marseillaise, mardi 14 octobre, au Stade de France ?

    Il y a trente ans, quand je jouais avec l'équipe de France, La Marseillaise était sifflée sur tous les terrains. Mais à l'époque, les politiques ne s'intéressaient pas au football et ça ne choquait personne. Aujourd'hui, c'est devenu une obligation pour un homme politique, en fonction de son étiquette, de se positionner. Une fois encore, le football est pris en otage par le monde politique car cette histoire de sifflets est devenue une affaire politique qui n'a rien à voir avec le sport.

    Je ne vois pas dans les sifflets qu'on a entendus au Stade de France un manque de respect ou une insulte à la France mais simplement des manifestations contre un adversaire d'un soir, en l'occurrence l'équipe de France, que l'on veut battre. Dans d'autres occasions, je suis certain que les mêmes jeunes qui ont sifflé La Marseillaise, mardi soir, chantent l'hymne national quand l'équipe de France dispute un match de l'Euro ou de la Coupe du monde.

    <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p>

    http://www.lemonde.fr/archives/article/2008/10/17/platini-le-football-est-pris-en-otage-du-monde-politique_1107988_0.html


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    Non, je ne regrette rien. Hier, Bernard Laporte a assumé sa proposition de ne plus jouer à Paris les matchs contre les équipes du Maghreb après les sifflets de mardi soir contre la Marseillaise.

     

    «J'assume tout ce que j'ai dit», a déclaré le secrétaire d'Etat aux Sports sur France 3.

     

    Le pire avec les imbéciles, c'est qu'ils persistent !


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  • <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p> 

    Petit arrêt sur image sur un chapelet de grèves, un recueil à la Prévert, il y en a à tous les étages... Dans les écoles parisiennes, où un professeur sur trois, jeudi 16 octobre, a débrayé, secouant le cocotier du service minimum. A Météo France, où l'on poursuivait un mouvement entamé lundi pour protester contre des suppressions de postes. A M6, où l'on s'insurge contre la fin des journaux régionaux. A FIP, où les animateurs radio redoutent un appauvrissement des antennes locales.

    Et l'on peut continuer. Dans les centres hospitaliers universitaires, où les médecins hospitaliers ont opéré, si l'on peut dire, une grève des soins pour dénoncer la réforme de leur régime de retraite. A Lyon, où une partie de la police municipale a cessé le travail. A Savigny-le-Temple (Seine-et-Marne), où il a fallu discuter des plages horaires des agents de <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName w:st="on" ProductID="la piscine. A Suze-sur">la piscine. A Suze-sur</st1:PersonName>-Sarthe, où des salariés de Valeo contestent les conditions financières d'un plan de départs. A Boulogne et Calais, où les officiers des deux ports ont bloqué cette semaine la navigation - une histoire de prime à éclaircir...

     

    http://www.lemonde.fr/opinions/article/2008/10/18/pas-morte-la-greve-par-jean-michel-dumay_1108428_3232.html


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    En 2002, sous le titre "Ce qui arrive", vous avez présenté à <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName w:st="on" ProductID="la Fondation Cartier">la Fondation Cartier</st1:PersonName> une exposition sur l'accident dans l'histoire contemporaine : Tchernobyl, 11-Septembre, tsunami... Une formule d'Hannah Arendt guidait votre démonstration : "Le progrès et la catastrophe sont l'avers et le revers d'une même médaille." Avec le krach boursier, y sommes-nous ?

    Bien sûr. En 1979, au moment de l'accident de la centrale nucléaire de Three Mile Island, aux Etats-Unis, j'ai évoqué un "accident originel" - de ceux que nous fabriquons nous-mêmes. Je disais que nos prouesses techniques sont grosses de promesses catastrophiques. Auparavant, les accidents étaient locaux. Avec Tchernobyl, nous sommes passés à des accidents globaux, aux conséquences inscrites dans <st1:PersonName w:st="on" ProductID="la dur←e. Le">la durée. Le</st1:PersonName> krach actuel représente l'accident intégral par excellence. Ses effets se diffusent loin, et il intègre la représentation des autres accidents.

    Cela fait trente ans que l'on fait l'impasse sur le phénomène d'accélération de l'Histoire, et que cette accélération est la source de la multiplication d'accidents majeurs. "L'accumulation met fin à l'impression de hasard", disait Freud à propos de <st1:PersonName w:st="on" ProductID="la mort. Son">la mort. Son</st1:PersonName> mot-clé, ici, c'est hasard. Ces accidents ne sont pas des hasards. On se contente pour l'instant d'étudier le krach boursier sous l'angle économique ou politique, avec ses conséquences sociales. Mais on ne peut comprendre ce qui se passe si on ne met pas en place une économie politique de la vitesse, générée par le progrès des techniques, et si on ne la lie pas au caractère accidentel de l'Histoire

     

    http://www.lemonde.fr/opinions/article/2008/10/18/le-krach-actuel-represente-l-accident-integral-par-excellence_1108473_3232.html#ens_id=1089411


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