• Appel du Conseil National de la Résistance
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    Appel du Conseil National de la Résistance - 2004


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    «Bernard Tapie ou l'abaissement de l'Etat » par Monsieur François BAYROU

    Après la décision du tribunal arbitral donnant raison à Bernard Tapie contre l'Etat, a dénoncé "la collusion entre Nicolas Sarkozy et Bernard Tapie". Interrogé dans Le Monde du 22 juillet, Bernard Tapie avait rétorqué : "Bayrou, la seule chose qu'il sait faire, c'est répéter qu'il est un martyr, que les médias et les puissances d'argent ne l'aiment pas, que tout le monde est à mettre dans le même sac et qu'il se battra seul contre tous. C'est la même posture populiste que Le Pen, sans les idées. Du Le Pen propre".

     

    Les insultes proférées par M. Tapie à mon encontre (on comprend bien pourquoi) ne changeront rien aux dix affirmations suivantes, qui permettront à chacun de se faire une opinion.

    1) Si M. Tapie a gain de cause, c'est le contribuable qui va payer. Le CDR (consortium de réalisation), structure destinée à liquider les actifs douteux du Crédit lyonnais, dont la quasi-totalité des activités ont cessé au 31 décembre 2006, n'a aucune autonomie financière. Son financement est assuré par l'EPFR (établissement public de financement et de restructuration), alimenté par les crédits budgétaires de l'Etat, donc par le contribuable.

    2) Il n'y a pas eu de décision de justice. C'est une décision politique. La procédure d'arbitrage est une procédure privée destinée au monde des affaires. Quand les intérêts de l'Etat et du contribuable sont en jeu, c'est un principe absolu du droit que l'arbitrage est interdit ; seules les juridictions instaurées par la loi sont compétentes.

     

    http://www.lemonde.fr/poubelle/article/2008/07/25/bernard-tapie-ou-l-abaissement-de-l-etat_1077244_609984.html


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    « Comprendre Betancourt » par André-Marcel d'Ans.

     

    [Analyse publiée peu de temps avant sa libération] 

     

    Voici deux aperçus qui éclairent les raisons du calvaire d'Ingrid Bétancourt et contribuent à l'évaluation de ses chances d'en sortir. Deux témoignages dont il est d'autant plus intéressant d'explorer les recoupements qu'ils émanent de deux auteurs très dissemblables, puisqu'il s'agit respectivement d'un spécialiste et d'un lampiste.

     

    Jean-Jacques KOURLIANDSKY : Ingrid Betancourt. Par delà les apparences.

    Préface de Rafael JORBA.

    Éditions Toute Latitude, 123 p., 14 euros.

     

    Adair LAMPREA, avec Jean-Pierre BORIS : Parce qu'il l'ont trahie.

    Récit vécu de l'enlèvement d'Ingrid Betancourt.

    Éditions Hachette Littérature. 181 p., 17 euros.

     

    Le spécialiste, c'est Jean-Jacques Kourliandsky, chercheur à l'Institut des Relations Internationales et Stratégiques, et expert du Parti socialiste pour l'Amérique latine. Dans un ouvrage très resserré, cet excellent connaisseur de la région qui, à un moment donné, a suivi de très près l'action d'Ingrid Betancourt, s'applique tout d'abord à dresser le profil sociologique de cette niña bien (fille à papa) de Bogotá, aujourd'hui devenue, seule parmi les centaines d'otages qui partagent son sort dans la jungle colombienne, la madone éplorée dont le sort obnubile la planète médiatique.

    En Colombie, la famille Betancourt fait partie de cette élite où l'on respire naturellement le fric et la politique, cette dernière dans une des deux modalités du bipartisme alternatif qui tient lieu de démocratie dans ce pays, que traversent des inégalités tellement invraisemblables qu'on se demande si y évoquer l'idée de démocratie n'a pas déjà, en soi, quelque chose d'aberrant. Grand bourgeois catholique pratiquant, le père d'Ingrid avait été à deux reprises Ministre de l'Éducation dans son pays avant de venir finir sa carrière à Paris en tant que Directeur adjoint de l'Unesco. Ce furent alors pour sa famille et pour lui-même de longues années cossues passées dans de somptueuses résidences, et pour les enfants Betancourt l'occasion de poursuivre leurs études en français dans les meilleurs établissements que fréquente la jet-set parisien. De cette période, Ingrid a conservé : un carnet d'adresses bien rempli, des amitiés durables et protectrices comme celle de Dominique de Villepin, et enfin les conséquences de son mariage avec un séduisant diplomate qui lui donnera deux enfants ainsi que la nationalité française.

     

    http://laquinzaine.wordpress.com/2008/07/04/comprendre-betancourt-par-andre-marcel-d%E2%80%99ans/


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    "La décision de <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName w:st="on" ProductID="la Commission">la Commission</st1:PersonName> sera connue avant fin 2008"

     

    En tant que directrice générale de l'Autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA), savez-vous quand <st1:PersonName w:st="on" ProductID="la Commission">la Commission</st1:PersonName> européenne autorisera ou non la consommation d'animaux clonés et de leur descendance ?

    L'avis scientifique que nous venons de rendre n'est qu'une étape dans le processus de décision, puisqu'à la différence de <st1:PersonName w:st="on" ProductID="la FDA">la FDA</st1:PersonName> américaine l'EFSA n'est pas en charge de la gestion de ce dossier. Cet avis s'ajoute à celui rendu, en janvier, par le Groupe européen des sciences et des nouvelles technologies. Parallèlement, <st1:PersonName w:st="on" ProductID="la Commission">la Commission</st1:PersonName> européenne a décidé de lancer une enquête dite "Eurobaromètre", visant à préciser l'état de l'opinion publique sur cette question dans les Etats membres.

    C'est au vu de ces différents éléments, et sans aucun doute après avoir pris contact avec les principaux acteurs de la chaîne alimentaire, que <st1:PersonName w:st="on" ProductID="la Commission">la Commission</st1:PersonName> européenne décidera des mesures législatives et réglementaires devant ou non être prises. La décision sera certainement connue avant fin 2008. En toute hypothèse, cette question devra être rapidement tranchée, dans la mesure où des aliments issus de bovins ou de porcs clonés - ou plus fréquemment de leur descendance - commencent à être commercialisés aux Etats-Unis.

     

    http://www.lemonde.fr/sciences-et-environnement/article/2008/07/24/catherine-geslain-laneelle-la-decision-de-la-commission-sera-connue-avant-fin-2008_1076717_3244.html#ens_id=1076795 

     

    Entretien avec Catherine Geslain-Lanéelle, directrice générale de l'Autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA)

    <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p>

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    L'Autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA) devait rendre public, jeudi 24 juillet, l'avis de son comité scientifique sur l'éventuelle consommation par l'homme des produits alimentaires issus de bovins ou de porcs créés à partir de la technique du clonage.

    Tout en reconnaissant qu'il n'existe aujourd'hui aucune donnée scientifique permettant d'affirmer que des différences existent entre ces animaux et ceux issus d'une reproduction sexuée, les experts font preuve d'une prudence aussi grande qu'inhabituelle.

    A la différence de leurs homologues de <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName w:st="on" ProductID="la Food">la Food</st1:PersonName> and Drug Administration (FDA) américaine, qui avait donné son feu vert, en janvier, à la commercialisation de ces produits, les experts européens se sont penchés sur les questions de santé et de bien-être animal. Ils regrettent, en préalable, le faible nombre de travaux menés sur ce thème et le faible effectif des animaux étudiés. Cette situation fait que la réflexion scientifique est, selon eux, conduite dans un contexte de relative incertitude.

    Les experts de l'EFSA observent que la technique de la création de bovins et de porcs par clonage est, chez les femelles porteuses, associée à une série d'anomalies durant la gestation et la mise bas. D'autre part, une proportion non négligeable de porcelets (durant les premières semaines) et de veaux (durant les premiers mois) est atteinte de différentes affections, notamment respiratoires. C'est pourquoi les experts expriment "de sérieuses réserves".

     

    http://www.lemonde.fr/sciences-et-environnement/article/2008/07/24/les-experts-europeens-restent-reserves-sur-la-consommation-d-animaux-clones_1076715_3244.html

     

    L'Autorité européenne de sécurité des aliments devait rendre public, jeudi 24 juillet, son avis sur la consommation par l'homme des produits alimentaires issus de bovins ou de porcs créés à partir de la technique du clonage. <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" />

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    « L'Italie en accusation après la publication des photos de deux fillettes roms mortes sur une plage de Naples »

     

    Les photos sont choquantes. Sur la plage, la vie continue comme si de rien n'était alors que deux corps gisent sur le sable. Ils ont été recouverts d'une serviette de bain. Près de Naples, samedi 19 juillet, deux fillettes roms viennent de se noyer. Elles s'appellent Violetta et Cristina, respectivement âgées de douze et onze ans. Elles étaient venues du campement voisin vendre leur pacotille sur la plage, comme chaque jour. L'indifférence saute aux yeux.

    Sur une des photos, derrière les corps, on voit, sur le fond, un couple assis au soleil. Un homme téléphone. Deux autres images montrent les cercueils transportés devant une rangée de transats avec des gens allongés face à la mer. Quelqu'un rentre, tranquille, de sa baignade.

    C'est cette indifférence que dénonce l'archevêque de Naples, Crescenzio Sepe, dans <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName ProductID="La Repubblica" w:st="on">La Repubblica</st1:PersonName>, qui a publié ces photos terribles, lundi 21 juillet. "Ces images, dit le prélat, font encore plus mal à Naples que celles de ces derniers mois de la crise des déchets."

    <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p>

    http://www.lemonde.fr/europe/article/2008/07/23/l-italie-en-accusation-apres-la-publication-des-photos-de-deux-fillettes-roms-mortes-sur-une-plage-de-naples_1076321_3214.html?xtor=RSS-3210

     

    <o:p><o:p></o:p>Une des photos publiées, lundi 21 juillet, par le quotidien italien "<st1:PersonName ProductID="La Repubblica" w:st="on">La Repubblica</st1:PersonName>" montrant l'indifférence des Italiens devant les corps sans vie, sur une plage de Naples, de deux fillettes roms mortes noyées.

    </o:p>

     

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    Nicolas Sarkozy est donc parvenu à obtenir à une voix près, à ce que la majorité de 3/5 des parlementaires réunis en Congrès, partage sans vergogne sa propre responsabilité dans ce nouveau renoncement institutionnel, antinational et anti-démocratique que représente ce prétendu « toilettage » qui est la 24ème révision constitutionnelle depuis 1958.

    Ce résultat, une nouvelle régression des institutions de <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName ProductID="la République" w:st="on">la République</st1:PersonName> aura été obtenu non en sollicitant chez les députés et les sénateurs leur civisme, leur vision en conscience du bien public et de l'intérêt supérieur de <st1:PersonName ProductID="la France" w:st="on">la France</st1:PersonName> républicaine, mais bien ouvertement et les Français en sont témoins, au travers d'une suite de marchandages entre maquignons de la politique, de pratiques de copinage, de pressions, de chantages, de menaces et de récompenses. (Le oui de Jack Lang contre la promesse d'être nommé « défenseur » des citoyens ?)

    Les modifications voulues par Nicolas Sarkozy se traduiront notamment par une plus grande concentration de ses propres pouvoirs et non de ceux d'un parlement de plus en plus réduit au rôle de faire valoir et de chambres d'enregistrement ainsi que par une diminution supplémentaire des compétences du premier ministre et du gouvernement.

    Elles ouvrent une nouvelle étape dans le processus de dénationalisation et de démantèlement de nos institutions, de leur vassalisation et de leur européisation laquelle s'accompagne en même temps, de l'expression d'un rapprochement idéologique, chez N. Sarkozy, vis-à-vis du modèle institutionnel des Etats-Unis.

     

    http://www.comite-valmy.org/spip.php?article71


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    « Notre vocation ordonne à tous les gouvernements de <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName w:st="on" ProductID="la France">la France</st1:PersonName> de se souvenir que notre langue a écrit une histoire dont le trône s'appelle le génie de la nation »

     

    « L'Etat et la langue française » par le Philosophe Manuel de Diéguez, un de nos grands Maîtres !

     

    Si, du matin au soir l'empire romain avait diffusé sur les ondes des nouvelles fraîches de Titus, de Vespasien ou de Trajan, un latin châtié serait demeuré familier aux oreilles de province. Mais la prononciation correcte de cette langue se serait-elle perpétuée pour autant de <st1:PersonName w:st="on" ProductID="la Bretagne">la Bretagne</st1:PersonName> à <st1:PersonName w:st="on" ProductID="la Syrie">la Syrie</st1:PersonName>? Nos récentes retrouvailles avec l'accentuation du latin de Cicéron nous donnent des CD désastreux , tellement le palais de Paris n'apprendra jamais que mécaniquement à rythmer une langue que nos écoliers et nos professeurs prononcent depuis des générations sur le ton monocorde qui n'appartient qu'au français. Quant à la prononciation retrouvée du grec de Périclès, elle demeure plus artificielle encore et d'une lenteur ridicule en raison de la difficulté de trouver des acteurs qui entendent ce qu'ils lisent. Du salon de Mme de Rambouillet à nos jours , la royauté, puis <st1:PersonName w:st="on" ProductID="la République">la République</st1:PersonName> se sont attachées à " dégasconner " le français. Une nation est responsable de la grammaire de sa langue quand celle-ci se fait entendre vingt-quatre heures sur vingt-quatre sur les cinq continents .

    L'heure a sonné pour l'Etat de retrouver une politique de la langue . Car, dans moins d'un siècle, la multiplication des accents et des rythmes locaux sera devenue dramatique, et ce malgré la formidable puissance de sauvetage automatique de la langue dont dispose un monde de la parole soutenu par une mécanique, si la radio nationale nous fait entendre le français germanisé de Mulhouse ou chantant de Marseille, à l'image d'une Allemagne trop tardivement unifiée par Bismarck et qui fait passer tour à tour sur les ondes les derniers restes de la langue de Goethe et de Schiller à l'école de Cologne et des rudes gosiers des paysans de Bavière. Même disloqué, écartelé, naufragé, le salmigondis franco-allemand ne prononce pas variieren, desavouiren, cachieren, inakceptabel, sur le même ton dans tous les villages.

     

    Lire la suite :

    http://pagesperso-orange.fr/aline.dedieguez/tstmagic/1024/tstmagic/actualite/langue.htm

     


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    Réforme des institutions : "On est en train de bidouiller les institutions"

     

    Jacques Myard, député UMP des Yvelines, votera contre la réforme des institutions car elle "bouleverse l'économie générale de <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName w:st="on" ProductID="la Constitution">la Constitution</st1:PersonName> et ne revalorise pas le Parlement".

     

    Propos recueillis par Laura Marzouk :

    http://www.lemonde.fr/web/son/0,54-0@2-823448,63-1075101@51-1031893,0.html

    <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p><o:p> </o:p>

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    Certains se demandent si, en refusant de voter la révision constitutionnelle, les socialistes ne sont pas en train de passer à côté d'une opportunité : rééquilibrer les institutions. La réponse est non. Cette révision est une occasion perdue, non pour les socialistes, mais pour <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName w:st="on" ProductID="la République. Nos">la République. Nos</st1:PersonName> institutions souffrent d'un mal profond : l'hyperpuissance du président. Il est le véritable chef du gouvernement, pour ne pas dire le gouvernement à lui seul, dans la pratique actuelle de l'Elysée. Et, depuis le quinquennat et la succession des élections présidentielle et législatives, il est le chef réel de la majorité présidentielle à l'Assemblée. La séparation des pouvoirs n'est plus qu'apparence. De surcroît, ce pouvoir sans pareil n'est assorti d'aucune responsabilité. J'appelle ce régime la monocratie : le pouvoir d'un seul dans <st1:PersonName w:st="on" ProductID="la République.">la République.</st1:PersonName>

    <st1:PersonName w:st="on" ProductID="la République."></st1:PersonName>Or le projet de révision ne réduit pas les pouvoirs du président. Il les accroît en lui permettant de s'adresser directement aux parlementaires réunis en Congrès. Le président présentera un bilan flatteur de son action et fera acclamer par sa majorité son programme de gouvernement. Le premier ministre comme chef de la majorité parlementaire disparaît. Le renforcement des prérogatives du Parlement, premier objectif de la révision selon le président, est un leurre en termes de pouvoir réel. Tant que le président sera le chef incontesté de la majorité à l'Assemblée, le Palais-Bourbon demeurera une annexe du palais de l'Elysée. "Cy veut le Roi, cy fait la loi", l'axiome de l'Ancien Régime demeure la règle sous <st1:PersonName w:st="on" ProductID="la Ve République.">la Ve République.</st1:PersonName>

    <st1:PersonName w:st="on" ProductID="la Ve République."></st1:PersonName> 

    <st1:PersonName w:st="on" ProductID="la Ve République."></st1:PersonName>http://www.lemonde.fr/archives/article/2008/07/19/non-a-l-hyperpresidence-par-robert-badinter_1075175_0.html


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    CONTRE TOUS <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName w:st="on" ProductID="LA SARKOZISMES">LES SARKOZYSMES</st1:PersonName> !

     

    1er anniversaire du SARKOPHAGE !

     

    Le N° 7 du SARKOPHAGE est sorti  le 12 Juillet !

     

    TOUS à vos Kiosques !


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    « Le conseil d'Etat nous a montré la voie, il faut interdire la burka en France » par Fabrice Letailleur

     

    Pour la première fois une haute juridiction, en l'occurrence, le Conseil d'Etat vient de prendre une décision importante, qui fera date dans les annales judiciaires. En effet, dans un arrêt rendu le 27 juin 2008, le Conseil d'Etat a refusé la demande de naturalisation à une marocaine, mariée à un Français et mère de trois enfants, pour son appartenance à la mouvance rigoriste la plus extrême de l'islamisme radical, le salafisme.

    Pour lui refuser sa naturalisation le Conseil d'Etat a invoqué que celle-ci avait adopté au nom d'une pratique radicale de sa religion, un comportement en société totalement incompatible avec les valeurs essentielles de la communauté française et notamment le principe d'égalité des sexes.

    Cette femme, entièrement soumise à son époux, portait la burqua dans la sphère privée et publique. (...)

    Il est grand temps, que <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName ProductID="la France" w:st="on">la France</st1:PersonName> légifère sur l'interdiction du port de <st1:PersonName ProductID="la Burqa" w:st="on">la Burqa</st1:PersonName>, comme vient de le suggérer le député Jacques Myard. Il est grand temps que nous réaffirmions la défense de nos valeurs républicaines laïques et pour l'égalité des sexes.

    Nous ne devons pas transiger sur nos valeurs, encore moins négocier comme ont tenté de le faire certains de nos politiques, avec des courants qui souhaitent notre destruction.

     

    http://www.ripostelaique.com/Le-conseil-d-Etat-nous-a-montre-la.html


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