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    Un LOGO qui parle de lui-même !

     

    Des drapeaux en bernes pour une France abandonnée ...

     


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    « Les réformes engagées depuis l'élection de Nicolas SARKOZY n'ont pas un caractère « inédit » ou « jamais vu ». « Aucune réforme entreprise n'est définitive » et « certaines sont très partielles ».

    La réforme des institutions ?

    Elle est « par certains aspects assez bâclée » !

     

    François GOULARD, député UMP du Morbihan et proche de Dominique de Villepin.


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    Of the two speeches discussed here, Senator Barack Obama's speech at the National Constitution Center in Philadelphia on March 18, 2008, is available at www.barackobama.com and Abraham Lincoln's at the Cooper Union in New York on February 27, 1860, is available at showcase.netins.net.

    Two men, two speeches. The men, both lawyers, both from Illinois, were seeking the presidency, despite what seemed their crippling connection with extremists. Each was young by modern standards for a president. Abraham Lincoln had turned fifty-one just five days before delivering his speech. Barack Obama was forty-six when he gave his. Their political experience was mainly provincial, in the Illinois legislature for both of them, and they had received little exposure at the national level-two years in the House of Representatives for Lincoln, four years in the Senate for Obama. Yet each was seeking his party's nomination against a New York senator of longer standing and greater prior reputation-Lincoln against Senator William Seward, Obama against Senator Hillary Clinton. They were both known for having opposed an initially popular war-Lincoln against President Polk's Mexican War, raised on the basis of a fictitious provocation; Obama against President Bush's Iraq War, launched on false claims that Saddam Hussein possessed WMDs and had made an alliance with Osama bin Laden.

    http://www.nybooks.com/articles/21290


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    « Troubles sociaux meurtriers au Maroc et en Tunisie »

     

    De violentes émeutes ont éclaté ces derniers jours à Sidi Ifni et Gafsa, localités situées respectivement au Maroc et en Tunisie. C'est le chômage, couplé à l'absence de perspectives, qui a conduit, les 6 et 7 juin, des chômeurs à descendre dans les rues de ces deux petites villes, perdues à des centaines de kilomètres au sud de Rabat et de Tunis.

    A Sidi Ifni (20 000 habitants), port de pêche d'une région berbère contestataire, limitrophe du Sahara occidental, une violente altercation a opposé, samedi, les forces de l'ordre à des jeunes manifestants. Ceux-ci bloquaient le port pour contester un tirage au sort organisé un peu plus tôt par la municipalité pour l'embauche de trois personnes.

    Le bilan de l'échauffourée qui a suivi est incertain. Les associations locales, notamment Aït Baamarane et le Centre marocain des droits humains (CMDH), avancent le chiffre d'au moins deux morts et de nombreux blessés. Information confirmée par la chaîne de télévision Al-Jazira, qui fait état de deux à huit morts.

    Les autorités marocaines, quant à elles, parlent de 44 blessés et démentent énergiquement qu'il y ait eu des morts. Elles accusent Al-Jazira de "légèreté dans la collecte de l'information". Reste que l'accès à l'hôpital de Sidi Ifni est bloqué par les forces de l'ordre, ce qui alimente les rumeurs.

     

    http://www.lemonde.fr/archives/article/2008/06/09/troubles-sociaux-meurtriers-au-maroc-et-en-tunisie_1055648_0.html


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    Les faits, d'abord, l'émotion et le questionnement ensuite, l'explication et le commentaire enfin. Un mariage célébré le 8 juillet 2006. Deux jeunes Français dont on précise - pourquoi ? - qu'ils sont musulmans. Le couple s'éclipse lors des festivités. Le mari - 23 ans ! - revient, "blême", précisent les feuilletonistes de nos quotidiens. La femme n'est pas vierge. Elle lui a menti. Le scandale mis en scène culmine. L'orgueil (blessé) du mâle aussi.

    Il demande réparation à la justice sur la base de l'article 180 du code civil. Cette disposition - assez rarement évoquée - permet de prononcer la nullité d'un mariage "s'il y a eu erreur... sur des qualités essentielles de la personne..." A signaler que ces procédures sont particulièrement rares. Une des "qualités essentielles" requises par l'époux - la virginité - faisant défaut, le tribunal de grande instance de Lille annule le mariage. D'autant que l'épouse aurait acquiescé à la demande. Personne, d'ailleurs, ne se soucie d'en savoir davantage : pression familiale ? sociale ? culpabilisation excessive et intériorisée ? Envie d'en finir et d'effacer de ses souvenirs cet épisode navrant de sa jeune vie ?

    Il n'importe. Car - première observation - toutes les questions d'état des personnes - donc le mariage - relèvent de l'ordre public. Ce qui signifie que l'adhésion de l'épouse devrait être sans conséquence sur le jugement.

     

    http://www.lemonde.fr/opinions/article/2008/06/09/qualite-essentielle-la-virginite-par-gisele-halimi_1055698_3232.html


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    « DE <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName ProductID="LA CONTESTATION MONDIALE" w:st="on">LA CONTESTATION MONDIALE</st1:PersonName> BOBO-DOCILE ET DU SOUVERAINISME DE LIBERATION » Par Paul-Eric Blanrue

     

    "Si le mouvement national contemporain ne veut pas se contenter de rééditer les anciennes tragédies amères de notre histoire passée, il doit se montrer capable de s'élever au niveau des exigences de l'heure présente". James Connolly (1868-1916), fondateur de l'Irish Republican Socialist Party

    "Donnez-moi un point d'appui et un levier et je soulèverai <st1:PersonName ProductID="la Terre." w:st="on">la Terre.</st1:PersonName>" Archimède

    "Pensez-vous tous ce que vous êtes supposés penser ?"

    "Ce que nous devons conquérir, la souveraineté du pays, nous devons l'enlever à quelqu'un qui s'appelle le monopole. Le pouvoir révolutionnaire, ou la souveraineté politique, est l'instrument de la conquête économique pour que la souveraineté nationale soit pleinement réalisée". Ernesto Guevara.

    À chaque époque, ses contradictions. L'une des contradictions majeures de notre temps, se déroulant dans la pratique sociale et politique, se présente sous la forme d'une lutte à mort entre les puissances convergeant vers l'homogénéisation planétaire et les mouvements résistant à ce processus. Largement utilisés depuis les années 1980, les termes de mondialisation et de globalisation traduisent l'action des puissances homogénéïsantes.

     

    http://www.comite-valmy.org/spip.php?article63 

     

    Photo : Bikini Che Guevara Tyler Durden

    <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /> 

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    Où va la société israélienne ?

     

    Lundi 16 juin 2008 à 18h

     

    Maison de <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName ProductID="la Chimie" w:st="on">la Chimie</st1:PersonName>

    <st1:PersonName ProductID="la Chimie" w:st="on"></st1:PersonName>28, rue Saint Dominique

    75007 Paris

     

    Avec la participation de : Jacques Huntzinger, ancien ambassadeur de France en Israël, président de <st1:PersonName ProductID="la Fondation France-Israël" w:st="on">la Fondation France-Israël</st1:PersonName> ; Dominique Moïsi, conseiller spécial à l'Institut Français de Relations Internationales (IFRI) ; Gilbert Benhayoun, professeur à l'Université d'Aix-Marseille III, président du groupe d'Aix ; Laurence Louër, chargée de recherche, Sciences-Po/CERI ; Jean-Yves Camus, professeur à l'Institut universitaire d'études juives Elie Wiesel, chercheur associé à l'Institut de Relations Internationales et Stratégiques (IRIS) ; Jean-Pierre Chevènement, président de <st1:PersonName ProductID="la Fondation Res" w:st="on">la Fondation Res</st1:PersonName> Publica

     

    Inscrivez-vous à l'adresse électronique res-publica@wanadoo.fr

     

    http://www.chevenement.fr/Colloque-de-la-Fondation-Res-Publica-Ou-va-la-societe-israelienne-_a619.html


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    « Rachida Dati a failli devenir ministre » par Patrick Jarreau

     

    Il n'est décidément pas facile d'être Rachida Dati. On lui reproche d'avoir défendu le jugement d'une magistrate de Lille, qui a accepté d'annuler un mariage au motif que la femme avait menti en se déclarant vierge, état qui constituait, aux yeux du mari, une "qualité essentielle". La garde des sceaux ayant décidé finalement de faire appel de ce jugement, on lui reproche de se contredire.

    La situation dans laquelle se trouve la ministre est de celles qui pourraient justifier une démission. Autrefois, un membre du gouvernement démissionnait quand son autorité était en jeu. Dans certains cas, c'était parce qu'il avait commis une faute, laissé commettre une faute ou devait en assumer une dans laquelle il n'était pour rien. Il pouvait aussi démissionner parce qu'il refusait d'appliquer une décision contraire à ses convictions. Le dernier exemple de ce type est celui de Jean-Pierre Chevènement, quittant le gouvernement en 2000 parce qu'il était en désaccord avec la politique corse du premier ministre, Lionel Jospin.

     

    http://www.lemonde.fr/opinions/article/2008/06/06/rachida-dati-a-failli-devenir-ministre-par-patrick-jarreau_1054674_3232.html


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    Le STORYTELLING se poursuit !  Bien sûr ! La Fable aussi !


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    Suite à la victoire du Front Populaire aux élections législatives, Léon Blum, dirigeant de <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName w:st="on" ProductID="la Section">la Section</st1:PersonName> française de l'international ouvrière (SFIO), est appelé à former un nouveau cabinet. C'est la première fois que <st1:PersonName w:st="on" ProductID="la France">la France</st1:PersonName> se dote d'un gouvernement socialiste. Celui-ci se distingue par deux innovations : la création d'un sous-secrétariat d'Etat aux Loisirs et aux Sports, confié à Léo Lagrange, et la participation de trois femmes au ministère, alors qu'elles n'ont pas encore le droit de vote.

     


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    Rapport Bouchard-Taylor - Quand la « laïcité ouverte » conduit à Duplessis

    <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p>

    « La motion sur le crucifix du Salon bleu est un gâchis aux conséquences néfastes » Daniel Baril

     

    Au Québec, nous aimons croire que nous faisons les choses différemment d'ailleurs. Nous ne pratiquons pas le multiculturalisme, mais l'interculturalisme ; nous sommes pour la laïcité, mais pas n'importe laquelle : nous avons choisi, paraît-il, la « laïcité ouverte ». Le rapport Bouchard-Taylor est construit autour de ces deux notions fumeuses qui s'avèrent être dans la pratique autant de négations du véritable contrat social auquel s'attendaient les Québécois.

    Prenons le cas de la « laïcité ouverte ». Il s'agit d'un concept antirépublicain créé par des idéologues de diverses disciplines tous préoccupés de limiter au maximum les contraintes qu'un État démocratique est en droit d'imposer aux religions. Ce concept permet de dire que la laïcité est le bon choix à faire tout en autorisant toutes les atteintes possibles au concept vidé de son sens. Ce qui en résulte est si édulcoré que les intégristes religieux de toutes obédiences se disent tout à coup d'accord avec la laïcité. La « laïcité ouverte », c'est la laïcité du maire de Saguenay.

     

    http://www.mlq.qc.ca/

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    Les gendarmes bataillent pour conserver leur identité, en vue du passage sous la tutelle du ministère de l'intérieur, aux côtés des policiers, au 1er janvier 2009. Leur statut militaire va être sanctuarisé dans un texte de loi. Une première. Le seul texte spécifique date de 1903 : un simple décret portant sur l'organisation de la gendarmerie.

    Un avant-projet de loi très court, de huit articles, sera examiné lors d'une réunion interministérielle lundi 9 juin, avant d'être présenté en conseil des ministres à la fin du mois ou début juillet. Il consacre l'existence d'une police militaire.

    Le texte prépare ainsi, en apposant des verrous, le transfert de la tutelle du ministère de la défense à celui de l'intérieur. Il est surtout destiné à rassurer des gendarmes qui, depuis plusieurs mois, expriment de plus en plus ouvertement leur malaise, en prenant souvent pour référence 2001, année où, pour la première fois, ils avaient osé descendre dans la rue avec leurs familles. "Fuites" organisées dans la presse, témoignages relayés par des gradés, ou véhiculés par Internet, les exemples abondent.

    La rumeur de la fermeture de la moitié des brigades dans le cadre de la révision générale des politiques publiques, a envenimé la situation. Les comparaisons d'heures de travail et de salaires entre policiers et gendarmes n'ont cessé de se multiplier, parfois à tort et à travers. Les responsables hiérarchiques assurent que la "parité" des conditions sera assurée au terme de la réforme.

     

    http://www.lemonde.fr/societe/article/2008/06/04/la-loi-va-sanctuariser-l-existence-d-une-police-militaire_1053600_3224.html#ens_id=1051549


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