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    En élisant Nicolas Sarkozy, les français ont largement mésestimé la rupture diplomatique et stratégique programmée. Nous y voilà. <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName ProductID="la France" w:st="on">La France</st1:PersonName> va rejoindre le commandement militaire intégré de l'OTAN, pour complaire aux pouvoirs qui ont porté le nouvel occupant de l'Elysée. Cette décision s'inscrit en contradiction avec la tradition française, avec les choix stratégiques et diplomatiques des cinq décennies passées.

    La situation française peut-elle s'accommoder de la nouvelle stratégie portée par l'OTAN ? Ou doit-on conclure aux dangers éminents de ce rapprochement ?

    Il faut le reconnaître, <st1:PersonName ProductID="la Défense" w:st="on">la Défense</st1:PersonName> française a une particularité. Elle porte l'arme nucléaire, qui a fait d'elle une des plus grandes puissances stratégiques de la planète.

    Dès <st1:PersonName ProductID="la IVème République" w:st="on">la IVème République</st1:PersonName>, les dirigeants français de tous bords - comme les militaires - ont considéré que « la première raison de faire la bombe vers 1954-1955 était d'avoir le même statut que les britanniques et les américains au sein de l'OTAN » rappelle Bruno Tertrais (Fondation de <st1:PersonName ProductID="la Recherche" w:st="on">la Recherche</st1:PersonName> stratégique).

    Couteux, ce programme s'est inscrit depuis dans des limites technologiques étroites. Le choix important et récent de la simulation - pris en 1994 par F. Mitterrand - a tout naturellement poussé <st1:PersonName ProductID="la France" w:st="on">la France</st1:PersonName> à envisager des coopérations notamment avec nos amis du Royaume Unis. En vain.

     

    http://www.penser-la-france.asso.fr/otan_....pdf

     


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    LETTRES A <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName w:st="on" ProductID="LA GENERATION DE">LA GENERATION DE</st1:PersonName> <st1:PersonName w:st="on" ProductID="LA LIBERTE">LA LIBERTE</st1:PersonName>

    <st1:PersonName w:st="on" ProductID="LA LIBERTE"></st1:PersonName> 

    <st1:PersonName w:st="on" ProductID="LA LIBERTE"></st1:PersonName>XXX - L'anthropologie critique et la théopolitique des Etats

     

    Votre destin se situe à un embranchement décisif entre deux âges du singe vocalisé. L'école laïque avait tenté d'effacer les souvenirs tenaces des civilisations cérébralisés à l'école de leur mythologie ; mais l'histoire moderne découvre avec surprise que les futurs progrès du "Connais-toi" vous mettront sur la trace de documents cérébraux messianisés et théâtralisés. L'âge religieux les avait fait descendre le fleuve de la mémoire du tragique et de l'espérance. On appelait ces mises en scène théologies de la mort et de l'éternité. Qu'en est-il de ces clés d'un animal que son évasion partielle de la zoologie a fait basculer dans des mondes oniriques et dont l'encéphale se reflète encore de nos jours dans les miroirs hérités de son passé dans le spéculaire sacré?

    Si l'avenir de la politologie mondiale dépend désormais d'un approfondissement de la connaissance psychobiologique de l'inconscient religieux des fuyards de la nuit animale, alors la science historique est à la veille du décodage d'un vivant livré de naissance à des mondes tour à tour iréniques et sanglants. (.)

     

    Lire la suite : http://pagesperso-orange.fr/aline.dedieguez/tstmagic/1024/tstmagic/europolitique/generation30.htm

    <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p>

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    Juridiquement, le traité de Lisbonne est mort avec le non irlandais : un traité n'a de valeur que s'il est adopté, dans les mêmes termes, par tous les pays qui l'ont signé. En France et aux Pays-Bas, les gouvernements avaient déjà contourné la volonté populaire en procédant, par un véritable déni de démocratie, à une ratification par voie parlementaire.

    Patatras ! Là où le vote par référendum était constitutionnellement nécessaire, en Irlande, le rejet populaire est net. On cherche à minorer le vote irlandais : ce ne serait que 4 millions d'habitants, M. Sarkozy a eu un mot malheureux en parlant «d'incident irlandais». Mais qui peut douter, qu'en France, comme aux Pays-Bas, le résultat aurait été le même si le peuple avait été consulté ? Et qui peut croire que, s'il l'était au Royaume-Uni, en République tchèque, voire en Allemagne, le résultat serait pareillement négatif ?

     

    http://www.chevenement.fr/Il-faut-construire-l-Europe-en-respectant-les-peuples_a625.html?preaction=nl&id=3345999&idnl=36118&

    <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p>

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    Jean-Pierre Chevènement, président du Mouvement républicain et citoyen (MRC), a estimé vendredi que le probable rejet du Traité de Lisbonne par les Irlandais, selon des projections de la télévision publique, était "un service rendu à l'Europe tout entière".

    "Le vote du peuple irlandais revêt une signification profonde : les peuples refusent de se laisser dissoudre dans une Europe à la fois technocratique et antisociale", a affirmé M. Chevènement dans une déclaration à l'AFP.

    Adversaire du traité, il a jugé que "le rejet de <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName ProductID="la Constitution" w:st="on">la Constitution</st1:PersonName> européenne bis est un service rendu à l'Europe tout entière". "C'est aussi un service rendu à <st1:PersonName ProductID="la France" w:st="on">la France</st1:PersonName>, dont le poids relatif était affaibli par le Traité de Lisbonne, en rupture avec la parité fondatrice avec l'Allemagne qui avait jusqu'ici permis le progrès équilibré de la construction européenne", a-t-il ajouté.

    Selon M. Chevènement, "c'est à partir de la volonté démocratiquement exprimée des nations qu'on doit pouvoir avancer vers une Europe à géométrie variable, fondée sur des coopérations renforcées". "Cela est particulièrement vrai pour le gouvernement économique de la zone euro, mais pourrait l'être aussi dans des domaines comme la politique étrangère et la défense", a précisé l'ancien ministre.


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    LE "NON" l'emporte contre le TRAITE DE LISBONNE !

     

    CE SOIR, NOUS SOMMES TOUS IRLANDAIS !


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    La présidence de <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName w:st="on" ProductID="la République">la République</st1:PersonName> et le gouvernement vont annoncer ce mercredi un nouveau train de mesures pour réduire le train de vie de l'Etat de quelque 7,7 milliards d'euros en trois ans.

    Il bouclera ainsi une phase de diagnostic et de définition des réformes ministère par ministère.

    Au terme de la réforme, le Quai d'Orsay devrait donc disposer d'un réseau d'une trentaine de grosses ambassades "polyvalentes", d'une centaine d'ambassades "à missions prioritaires", délestées d'une partie de leurs services, et d'une trentaine de simples "postes de présence diplomatique".

    Parmi les mesures qui seront annoncées mercredi, le CMPP décidera de "briser le tabou de l'uniformité de la représentation de l'Etat dans tous les pays", précise l'Elysée.

    Il y aura ainsi trois types d'ambassades : une trentaine d'ambassades resteront totalement polyvalentes, les deux-tiers des représentations diplomatiques françaises seront recentrées sur des missions prioritaires en fonction des pays ; environ 30 autres ne seront plus que des postes de "présence diplomatique" avec des fonctions et des effectifs réduits. Cela se traduira par des réductions et des redéploiements d'effectifs du ministère des Affaires étrangères.

     


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    Laurent Fabius , député PS de Seine-Maritime, a exprimé mercredi sa "stupeur" après le compromis des 27 pays de l'UE autorisant une durée du travail pouvant aller jusqu'à 60 ou 65 heures hebdomadaires, affirmant que "l'Europe a besoin d'être profondément réorientée".

    "J'ai appris avec stupeur l'évolution sur la durée du travail", a déclaré M. Fabius, invité de l'Association de la presse parlementaire, à propos de ce projet d'accord intervenu mardi à Bruxelles et qui requiert l'approbation du Parlement européen.

    Selon l'ex-Premier ministre, "on ne peut pas seulement incriminer la directive européenne, il faut incriminer le gouvernement français" dont "l'attitude est maintenant de dire oui" à ce compromis.

    L'ex-chantre du non à <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName w:st="on" ProductID="la Constitution">la Constitution</st1:PersonName> européenne a refusé de dire s'il souhaitait que les Irlandais, consultés jeudi par référendum sur le Traité de Lisbonne, le ratifient ou non. "On enregistrera leur vote, c'est tout. Je ne suis pas allé faire campagne, quand j'avais des choses à dire sur ce sujet, je l'ai dit en France", a-t-il dit.

    Réaffirmant que l'Europe connaît "un déficit démocratique énorme", il a soutenu que l'Union "a besoin d'être profondément réorientée vers une dimension sociale, une dimension démocratique, une dimension écologique".

     

    http://www.laurent-fabius.net/


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    TOUTE l'actualité de l'asile et de l'immigration en France, en Europe et dans le Monde est sur « ASULON EUROPE », le Blog des professionnels de l'asile et de l'immigration en Europe.

     

    Le Blog : http://asuloneurope.blogg.org/ 

     

    Le site Web : http://www.asulon.eu/pages/bluerings_indexpag.html


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    Jusqu'à la fin de <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName ProductID="la Seconde" w:st="on">la Seconde</st1:PersonName> guerre mondiale, l'Europe était un continent d'émigrants. Des dizaines de millions d'Europe partirent aux Amériques pour coloniser, échapper aux famines, aux crises financières, aux guerres ou aux totalitarismes européens et à la persécution des minorités ethniques.

    Aujourd'hui, je suis avec préoccupation le processus de la dite "directive retour". Ce texte, validé le 5 juin passé par les ministres de l'Intérieur des 27 pays de l'Union européenne, doit être approuvé le 18 juin par le Parlement européen. Je perçois qu'il durcit de manière drastique les conditions de détention et d'expulsion des migrants sans papier, quelque ait été leur temps de séjour dans les pays européens, leur situation de travail, leurs liens familiaux, leur volonté et le succès de leur intégration.

    Les Européens sont arrivés dans les pays d'Amérique latine et d'Amérique du Nord, en masse, sans visa ni conditions imposées par les autorités. Ils furent toujours bienvenus, et le demeurent, dans nos pays du continent américain, qui absorbèrent alors la misère économique européenne et ses crises politiques. Ils vinrent sur notre continent en exploiter les richesses et les transférer en Europe, avec un coût très élevé pour les peuples premiers de l'Amérique. Comme par exemple dans le cas de notre Cerro Rico de Potosi et de ses fabuleuses mines qui donnèrent sa masse monétaire au continent européen entre le XVIème et le XIXème siècle. Les personnes, les biens, les droits des migrants européens furent toujours respectés.

     

    http://www.collectifdu29mai.org/Directive-de-la-honte-lettre-d-Evo.html

     


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    Où va la société israélienne ?

     

    Lundi 16 juin 2008 à 18h

     

    Maison de <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName ProductID="la Chimie" w:st="on">la Chimie</st1:PersonName>

    <st1:PersonName ProductID="la Chimie" w:st="on"></st1:PersonName>28, rue Saint Dominique

    75007 Paris

     

    Avec la participation de : Jacques Huntzinger, ancien ambassadeur de France en Israël, président de <st1:PersonName ProductID="la Fondation France-Israël" w:st="on">la Fondation France-Israël</st1:PersonName> ; Dominique Moïsi, conseiller spécial à l'Institut Français de Relations Internationales (IFRI) ; Gilbert Benhayoun, professeur à l'Université d'Aix-Marseille III, président du groupe d'Aix ; Laurence Louër, chargée de recherche, Sciences-Po/CERI ; Jean-Yves Camus, professeur à l'Institut universitaire d'études juives Elie Wiesel, chercheur associé à l'Institut de Relations Internationales et Stratégiques (IRIS) ; Jean-Pierre Chevènement, président de <st1:PersonName ProductID="la Fondation Res" w:st="on">la Fondation Res</st1:PersonName> Publica

     

    Inscrivez-vous à l'adresse électronique res-publica@wanadoo.fr

     

     


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    « L'anthropologie critique et la méthode historique de Patrice Gueniffey »

     

    L'histoire est-elle une discipline narrative ou explicative ? Hérodote raconte, Thucydide explique. Mais jusqu'à quelle profondeur Clio est-elle autorisée à expliquer l'humanité ? (.)

    Quelle est la signification psychobiologique du refus de l'inégalité entre les individus ? Des démocraties d'Athènes et de Rome jusqu'au rêve marxiste, ce songe a piloté une espèce que ni ses chefferies sporadiques, ni ses efforts pour se noyer dans un anonymat cyclopéen ne sont parvenus à faire naviguer sur "l'océan des âges". Pourquoi la démocratie est-elle devenue sotériologique, messianique et rédemptrice à l'échelle planétaire? La science historique moderne cherche le Thucydide qui rendrait les fuyards de la nuit animale plus compréhensibles à eux-mêmes . (.)

    Lire la suite :

    http://pagesperso-orange.fr/aline.dedieguez/tstmagic/1024/tstmagic/histoire/gueniffey.htm

     


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    Ces femmes qui plaisent tant ... à « Mister Président »

     

    ou le triomphe des Courtisanes !

    <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p>

     


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