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    En rendant publique, mardi 8 avril, la note qu'il a adressée au ministère de l'intérieur, Alex Türk, le président de <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName ProductID="la Commission" w:st="on">la Commission</st1:PersonName> nationale informatique et libertés (CNIL), a décidé de mettre la pression sur Michèle Alliot-Marie. Ce, dans un contexte où le gouvernement projette de tripler le nombre des caméras de vidéosurveillance dans les lieux publics d'ici deux ans.

    Cette note veut donner à <st1:PersonName ProductID="La CNIL" w:st="on">la CNIL</st1:PersonName> de nouveaux pouvoirs alors qu'elle a perdu certaines prérogatives en 2004, lors de la révision de la loi "informatique et libertés" de 1978. Au cœur de l'argumentaire, une évolution technique qui transforme le cadre juridique de la vidéosurveillance en imbroglio. Car deux régimes cohabitent : la loi du 21 janvier 1995 soumet à l'autorisation du préfet les dispositifs installés dans les lieux ouverts au public.

    Celle de 1978, modifiée en 2004, confie à <st1:PersonName ProductID="La CNIL" w:st="on">la CNIL</st1:PersonName> les dispositifs qui contrôlent des lieux non ouverts au public, comme les entreprises. Ce partage serait clair si <st1:PersonName ProductID="La CNIL" w:st="on">la CNIL</st1:PersonName> n'avait aussi le pouvoir d'intervenir sur les systèmes dont les enregistrements font l'objet de "traitements automatisés".

     

    http://www.lemonde.fr/archives/article/2008/04/08/la-cnil-veut-controler-la-videosurveillance-des-lieux-publics_1032098_0.html


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    APPEL NATIONAL à REFONDER LA GAUCHE Française !

     

    Projet du Mouvement Républicain et Citoyen, dimanche 6 avril 2008.

     

    1 - En France

    1-1 - <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName w:st="on" ProductID="La République">La République</st1:PersonName> relevée

    La souveraineté, la démocratie, la loi

    Refonder les institutions européennes sur la démocratie, c'est la refonder sur les souverainetés nationales qui sont inaliénables. Cela n'exclut nullement des transferts de compétences, des compétences exercées en commun, mais à condition que celles-ci soient démocratiquement contrôlées.

    Les droits de l'homme sont indissociables de ceux du citoyen, qui constitue une parcelle du souverain ; ils sont donc liés à la souveraineté nationale. Le « droitdel'hommisme » qui veut l'ignorer, et qui d'ailleurs s'évanouit à l'exercice du pouvoir, est une tromperie.

    En République, le citoyen n'a qu'un maître : la loi, qui doit être égale pour tous. Il est urgent de simplifier la loi, de mettre un terme à la prolifération réglementaire, nationale comme européenne. Prendre le citoyen au sérieux c'est garantir la clarté et la lisibilité de la loi.

    <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p>

    http://www.chevenement.fr/Un-projet-republicain-plus-que-jamais-d-actualite_a596.html?preaction=nl&id=3345999&idnl=33640&


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  • <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName w:st="on" ProductID="La France"></st1:PersonName> 

    <st1:PersonName w:st="on" ProductID="La France">La France</st1:PersonName> a cru trouver en M. Sarkozy sinon un sauveur du moins un Président réformateur capable de limiter la casse face aux dégâts de la mondialisation. Elle découvre aujourd'hui non sans effroi l'impasse dans laquelle l'a entraînée son élection.

     

    I - Un tsunami barre l'horizon

     

    1) De sombres craquements se font entendre de toutes parts : entrée en récession de l'économie américaine, euro à plus de 1,50 dollar, pétrole dépassant les cent dollars le baril, faillite et renflouement par des fonds souverains étrangers ou directement par la puissance publique, d'institutions financières prestigieuses : le fond Carlyle et les banques Citigroup, Merill Lynch et Bear Stearns aux Etats-Unis, Northern Rock en Grande-Bretagne. C'est tout le système financier mondial miné par un endettement aussi gigantesque qu'inconsidéré qui découvre sa fragilité.

    2) Les prévisions de croissance en Europe et en France doivent être précipitamment revues à la baisse. Le candidat Sarkozy se flattait de ramener « avec les dents » un point de croissance supplémentaire. C'est avec, au mieux, un point de croissance en moins que le nouveau Président de <st1:PersonName w:st="on" ProductID="La République">la République</st1:PersonName> va devoir compter. Loin de remettre en cause les contraintes européennes, M.Sarkozy a négocié sans aucune contrepartie et fait adopter, en catimini, un traité de Lisbonne qui reprend la substance de <st1:PersonName w:st="on" ProductID="la Constitution">la Constitution</st1:PersonName> européenne. Ce traité entérine l'impuissance d'institutions européennes déconnectées du suffrage universel face à la globalisation financière ainsi que la perte d'influence de <st1:PersonName w:st="on" ProductID="La France">la France</st1:PersonName> par rapport à l'Allemagne dans les votes au Conseil des ministres européen. En acceptant que notre pays ne pèse plus que les trois quarts de son partenaire principal en Europe, le Président de <st1:PersonName w:st="on" ProductID="La République">la République</st1:PersonName> a mis fin à la parité fondatrice qui, pendant un demi-siècle, avait assuré un développement relativement équilibré de la construction européenne. Presque simultanément, Madame Merkel a mis son veto au projet d'Union pour <st1:PersonName w:st="on" ProductID="la Méditerranée">la Méditerranée</st1:PersonName> ou plus précisément l'a vidé de sa substance en l'inscrivant dans le cadre communautaire et en le privant de tout financement supplémentaire.

     

    http://www.chevenement.fr/Un-contenu-et-un-chemin-pour-la-creation-d-un-grand-parti-de-toute-la-gauche_a595.html?preaction=nl&id=3345999&idnl=33640&


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    LETTRES A <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName w:st="on" ProductID="LA GENERATION DE">LA GENERATION DE</st1:PersonName> <st1:PersonName w:st="on" ProductID="LA LIBERTE">LA LIBERTE</st1:PersonName>

    <st1:PersonName w:st="on" ProductID="LA LIBERTE"></st1:PersonName> 

    <st1:PersonName w:st="on" ProductID="LA LIBERTE"></st1:PersonName>XXIII - Le thermonucléaire et le mythe du Déluge

     

    1 - Un chimpanzé en cours de vaporisation

     

    Quand le prêtre chrétien prononce les paroles rituelles dites de la consécration, ne croyez pas qu'il bénit le pain qu'il tient dans sa main et le vin dont il élève une coupe vers le ciel : il s'agit d'une cérémonie religieuse censée métamorphoser ces aliments en la chair et le sang physiques d'un dieu-homme crucifié il y a deux mille ans en Galilée et que plusieurs siècles d'élaboration du mythe ont élevé au rang de l'égal du créateur de <st1:PersonName w:st="on" ProductID="la Genèse">la Genèse</st1:PersonName>, parce que sa divinisation est censée le nantir à la fois corporellement et symboliquement du statut psychobiologique d'une espèce partiellement évadée de la zoologie et réputée se trouver à mi-chemin entre l'animal qu'il n'est plus et un vivant dont l'ultime parachèvement a été fixé par son géniteur au jour de la " résurrection des morts ".

    On appelle " messe " l'enchaînement des gestes sacerdotaux réputés effectuer cette transfiguration miraculeuse, du latin missus, qui signifie envoyé, parce que le Mercure chrétien est un médiateur qui véhicule la charpente réelle et la charpente mythologique confondues d'un annonciateur de l'humanité future. Mais le christianisme est une sotériologie. C'est pourquoi cette religion réifie autrement que le polythéisme les signaux biphasés chargés de la mission de charrier le sens apostolique de l'existence humaine et la finalité d'un cosmos sauvé par un " rédempteur ". Il en résulte que cette croyance concrétise des métaphores, substantifie des figures de rhétorique, met en scène des images sur un modèle eschatologique fort différent de celui des Anciens, qui dédoublaient Jupiter en un taureau ou un cygne, Athéna en une femme casquée et appuyée sur la " lance pensive " qu'évoquait Malraux, Aphrodite en une beauté charnelle confondue à une déesse du désir sexuel, mais qui ne s'adressait pas à une humanité coupable , donc punissable et pourtant guérissable à condition qu'elle y mettre le prix.

     

    http://pagesperso-orange.fr/aline.dedieguez/tstmagic/1024/tstmagic/europolitique/generation23.htm

     


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    « L'OTAN ... Au vent mauvais ! » par Jean-Luc Pujo

     

    Publié le 17 novembre dans le journal « Le Sarkophage »

     

    En élisant Nicolas Sarkozy, les français ont largement mésestimé la rupture diplomatique et stratégique programmée. Nous y voilà. <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName ProductID="la France" w:st="on">La France</st1:PersonName> va rejoindre le commandement militaire intégré de l'OTAN, pour complaire aux pouvoirs qui ont porté le nouvel occupant de l'Elysée.

    Cette décision s'inscrit en contradiction avec la tradition française, avec les choix stratégiques et diplomatiques des cinq décennies passées. La situation française peut-elle s'accommoder de la nouvelle stratégie portée par l'OTAN ? Ou doit-on conclure aux dangers éminents de ce rapprochement ?

    Il faut le reconnaître, <st1:PersonName ProductID="la Défense" w:st="on">la Défense</st1:PersonName> française a une particularité. Elle porte l'arme nucléaire, qui a fait d'elle une des plus grandes puissances stratégiques de la planète.

    Dès <st1:PersonName ProductID="la IVème République" w:st="on">la IVème République</st1:PersonName>, les dirigeants français de tous bords - comme les militaires - ont considéré que « la première raison de faire la bombe vers 1954-1955 était d'avoir le même statut que les britanniques et les américains au sein de l'OTAN » rappelle Bruno Tertrais (Fondation de <st1:PersonName ProductID="la Recherche" w:st="on">la Recherche</st1:PersonName> stratégique).

    Couteux, ce programme s'est inscrit depuis dans des limites technologiques ...

     

    http://www.penser-la-france.asso.fr/otan_....pdf

     


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    Vendredi 4 avril à 18h

     

    Il répondra aux questions d'Eric Hacquemand (Le Parisien), Bruno Jeudy (Le Figaro) et Loïc Barrière (Radio Orient) entre 18h et 19h.

    L'émission est rediffusée dimanche 6 avril à 19h et pourra être réécoutée pendant 1 semaine à cette adresse.

     

    http://www.radioorient.com/


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    Les tenants de la lutte antisecte sortent renforcés de la récente polémique sur l'utilité de <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName ProductID="la Mission" w:st="on">la Mission</st1:PersonName> interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires (Miviludes). En affirmant, en février, que les sectes sont un "non-problème" en France, la directrice de cabinet du chef de l'Etat, Emmanuelle Mignon, a provoqué de vives protestations, puis une contre-offensive.

    En présentant le rapport 2007 de <st1:PersonName ProductID="la Miviludes" w:st="on">la Miviludes</st1:PersonName> à la presse, jeudi 3 avril, son président, Jean-Michel Roulet, a estimé qu'il fallait "revoir, à la lumière de l'évolution du paysage sectaire, ses attributions : il faut lui donner les moyens d'aller plus loin dans l'investigation et multiplier les formations des fonctionnaires d'Etat et des collectivités locales". L'inflexion donnée par la ministre de l'intérieur, Michèle Alliot-Marie, à la lutte contre les sectes, a mis en cause les méthodes de <st1:PersonName ProductID="la Miviludes" w:st="on">la Miviludes</st1:PersonName> sous la présidence de M. Roulet. Ce dernier, dont les fonctions s'achèvent fin septembre, a rappelé la promesse faite en février par le premier ministre, François Fillon, de "renforcer" <st1:PersonName ProductID="la Mission." w:st="on">la Mission.</st1:PersonName>

    <st1:PersonName ProductID="la Mission." w:st="on"></st1:PersonName> 

    <st1:PersonName ProductID="la Mission." w:st="on"></st1:PersonName>http://www.lemonde.fr/societe/article/2008/04/04/critiquee-la-miviludes-defend-le-principe-d-une-liste-des-sectes_1030958_3224.html#ens_id=1029359


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    En plein débat britannique sur la future loi de bioéthique, des chercheurs de Newcastle annoncent avoir produit des cellules humaines à partir d'ovules de vache.

    C'est un joli pavé dans la mare qu'ont lancé les chercheurs de l'université de Newcastle en annonçant la création d'un embryon hybride homme-animal. Alors qu'en Grande-Bretagne le débat politique, religieux et scientifique relatif à un projet de loi de bioéthique concernant l'aide à la procréation et l'utilisation d'embryons humains venait tout juste de se calmer, l'équipe de Lyle Armstrong a annoncé à <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName ProductID="la BBC" w:st="on">la BBC</st1:PersonName> avoir réussi à produire un embryon à partir d'un ovocyte de vache et de cellules humaines. Une première au Royaume-Uni et en Europe. Le premier embryon hybride a apparemment été créé en 2003 à Shanghaï avec des cellules d'homme et de lapin.

    Le but de l'exercice n'est pas de donner naissance à des chimères, mais de fournir un mode de production de cellules souches sans utiliser d'ovocytes humains, dans le cadre de recherches de nouveaux traitements pour des maladies graves et incapaci­tantes, comme Parkinson et Alzheimer. Au terme de chaudes disputes sur l'intérêt scientifique de telles expériences, le premier ministre Gordon Brown a fini par déclarer il y a quelques jours qu'il retirait ses consignes de vote concernant la future loi relative aux questions de fécondation in vitro et devant faciliter les recherches déjà autorisées en Grande-Bre­tagne sur l'embryon humain.

     

    http://www.lefigaro.fr/sciences/2008/04/03/01008-20080403ARTFIG00478-creation-du-premier-embryon-hybride-homme-animal.php


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    L'ancien ministre socialiste de l'Éducation nationale (1984-1986) défend la réforme des programmes proposée par Xavier Darcos.
    Le Figaro : Le projet des derniers programmes du primaire a été très critiqué. Qu'en pensez-vous ?

    Jean-Pierre Chevènement : Je suis surpris par la violence des expressions de Luc Ferry et de Jack Lang : ils parlent de programmes populistes et de vide abyssal. Ces critiques sont excessives. L'amour-propre d'auteurs blessés doit passer après les questions de fond : que valent les programmes du point de vue de la réussite des élèves ? La lecture des programmes de 2002 décourage par la longueur et le jargon pédagogiste employé. Que signifie par exemple «instaurer des dialogues didactiques» entre le maître et l'élève ? Il y a un progrès très net entre les programmes de 2002 et le projet d'aujourd'hui. Celui-ci a le mérite de définir des contenus précis tout en étant assez clair et moins jargonnant. Jack Lang assure que l'apprentissage du français était au cœur de ses programmes. Mais il était noyé dans l'ensemble des matières ! Le recentrage sur les fondamentaux, la mémorisation de petits textes vont dans le bon sens.

     

    http://www.chevenement.fr/Entretien-de-Jean-Pierre-Chevenement-au-Figaro-Oui-au-retour-aux-fondamentaux-a-l-ecole-_a591.html?preaction=nl&id=3345999&idnl=33511&

     


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    Ancien ministre des Affaires étrangères de Lionel Jospin, Hubert Védrine plaide pour un débat sur le rôle et les missions de l'Otan.

     

    LE FIGARO. Quel regard portez-vous sur le renforcement de la présence française en Afghanistan ?

    Hubert VÉDRINE. Avant de décider un éventuel renforcement de la présence française en Afghanistan, il faudrait examiner ce que devient l'Otan. À force d'élargissement géographique et de ses missions, on ne sait plus vraiment ce qu'est son rôle. Or cette confusion dans les missions de l'Otan lutte antiterroriste ou construction de l'État contribue à la rendre inefficace en Afghanistan. L'Otan a une compétence militaire, mais sur le reste ? Tout cela paraît confus. Il faudrait, au sein de l'Alliance, préciser quel rôle l'Otan a à jouer en Afghanistan en tirant les leçons des sept années écoulées.

     

    http://www.lefigaro.fr/politique/2008/04/02/01002-20080402ARTFIG00308-vedrine-il-faut-d-abord-preciser-le-role-de-l-otan.php


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    Par décision du 27 mars, le tribunal administratif de Rouen vient de condamner l'Etat à verser 3 000 euros à un détenu à raison de conditions de détention "n'assurant pas le respect de la dignité inhérente à la personne humaine". Il est vrai qu'entasser trois personnes dans moins de <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:metricconverter w:st="on" ProductID="11 m2">11 m2</st1:metricconverter> confère à l'affirmation de Valéry Giscard d'Estaing, en 1974 : "La prison c'est la privation de liberté et rien d'autre", le caractère d'un voeu toujours pieux.

    Notre code de procédure pénale contient pourtant tout un dispositif relatif aux conditions de détention souhaitables. Comment se fait-il que l'ensemble de ces dispositions soit toujours lettre morte ? Il ne suffit pas d'énoncer qu'il s'agit de mesures "indicatives" pour s'en satisfaire. Quand le gouffre qui sépare la réalité des bonnes intentions est aussi grand et qu'il ne se réduit pas, l'hypocrisie confine au cynisme. Nous avons pourtant introduit, assez récemment, dans notre système juridique l'exigence d'"effectivité du droit". C'est, de façon indirecte, l'ineffectivité de notre droit qui vient d'être stigmatisée par la décision du tribunal administratif de Rouen.

     

    http://www.lemonde.fr/opinions/article/2008/04/02/prison-la-justice-au-pied-du-mur-par-dominique-coujard_1030046_3232.html


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    « La liberté dans une démocratie n'est pas assurée si le peuple tolère que la puissance privée grandisse au point qu'elle devienne plus forte que l'Etat démocratique lui-même, ce qui fondamentalement est le fascisme ».

     

    F.D.ROOSEVELT - Message au Congrès, 11 janvier 1944.


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