• <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p> 

    Germaine Tillion, née le 30 mai 1907 à Allègre (Haute-Loire) et morte le 19 avril 2008 à Saint-Mandé (Val-de-Marne), était une résistante et une ethnologue réputée ;  fille de l'écrivain Émilie Tillion.

     

    Les combats de Germaine Tillion : Germaine Tillion  ne s'arrêtera jamais. Signataire d'un appel à la condamnation de la torture durant la guerre d'Algérie (1), cette femme, née en 1907, peut témoigner des nombreuses épreuves traversées dans ce siècle, épreuves vécues ou témoignages recueillis. Un si long parcours que son ami Jean Lacouture tente de résumer dans une biographie qui vient de paraître (2). Les hommages et les témoignages de ses combats, « des vies » (3), de Germaine Tillion traduisent une continuité, toujours en première ligne de combats justes mais pas toujours compris.

     

    http://logicosoie.aloufok.net/


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    L'ancien président américain Jimmy Carter a rencontré hier le chef du Hamas à Damas.

    Poursuivant, malgré la polé­mique, sa tournée dans la région pour promouvoir les efforts de paix, l'ancien président américain Jimmy Carter a rencontré, hier à Damas, le chef en exil du Hamas, Khaled Mechaal. Officiellement, le gouvernement d'Ehoud Olmert, tout comme <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName ProductID="la Maison-Blanche" w:st="on">la Maison-Blanche</st1:PersonName> à Washington, a rejeté l'initiative de Jimmy Carter. Cependant, le Prix Nobel de la paix, récompensé pour son rôle dans la signature des accords de paix israélo-égyptiens de Camp David en 1978, était porteur d'une offre israélienne de dialogue à l'adresse du Hamas. Celle-ci a été formulée par Eli Yishaï, vice-premier ministre en charge de l'Industrie et du Commerce.

    Yishaï est le seul responsable du gouvernement à avoir accepté de rencontrer Carter lors du pas­sage de ce dernier à Jérusalem ­cette semaine. Le ministre lui a dit être prêt à rencontrer Mechaal, en espérant ainsi parvenir à un échange de prisonniers avec le Hamas. «Je serais reconnaissant si vous pouviez m'y aider», lui a-t-il dit.

     

    http://www.lefigaro.fr/international/2008/04/19/01003-20080419ARTFIG00012-un-ministre-israelien-prone-un-dialogue-avec-le-hamas-.php


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    Huit intervenants, praticiens, militants et chercheurs prennent ici la parole pour déconstruire méticuleusement ce populisme pénal prôné par le chef de l'Etat, qui a dicté l'adoption de la loi sur <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName ProductID="la Rétention" w:st="on">la Rétention</st1:PersonName> de sûreté, et le populisme constitutionnel qui veut l'appliquer par-delà les principes supérieurs de notre droit.

     

    http://www.lautrecampagne.org 

     

    Signer l'appel pour l'abolition de la loi : http://www.contrelaretentiondesurete.fr


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    « Ma bouche sera la bouche des malheurs qui n'ont point de bouche, ma voix, la liberté de celles qui s'affaissent au cachot du désespoir. »

     

    AIME CESAIRE


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    Le projet de rencontre de l'ancien président américain, le démocrate Jimmy Carter, avec le chef du bureau politique du Hamas, Khaled Mechaal, en exil à Damas, n'est pas du tout du goût des Israéliens. Ces derniers lui ont fait savoir lors de son passage à Jérusalem, première étape d'une tournée d'une semaine au Proche-Orient au cours de laquelle il se rendra en Syrie. Le président Shimon Pérès, qui l'a reçu dimanche 13 avril, lui a fait part de son désaccord, ajoutant, selon le quotidien Yediot Ahronot : "Vous avez causé beaucoup de torts à la suite de vos déclarations et des réunions que vous avez tenues au cours des dernières années."

    Auteur en 2006 d'un livre intitulé Palestine : la paix, pas l'apartheid, M. Carter est peu apprécié par les dirigeants politiques israéliens. La plupart d'entre eux l'ont snobé à commencer par le premier ministre, Ehoud Olmert. En revanche, le Prix Nobel de la paix <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:metricconverter w:st="on" ProductID="2002 a">2002 a</st1:metricconverter> rencontré le père de Gilad Shalit, le soldat israélien enlevé près de Gaza le 25 juin 2006, et lui a promis qu'il interviendrait en faveur de la libération de son fils. Il s'est également rendu à Sdérot, la ville israélienne sous le feu des roquettes tirées depuis la bande de Gaza, action qu'il a qualifiée de "crime infâme".

     

    http://www.lemonde.fr/archives/article/2008/04/16/jimmy-carter-suscite-l-ire-d-israel-en-voulant-dialoguer-avec-les-islamistes-du-hamas_1034948_0.html


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    André Wormser, vice-président de <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName ProductID="la Banque" w:st="on">la Banque</st1:PersonName> d'escompte et Wormser frères réunis, membre du comité directeur du Conseil représentatif des institutions juives de France (CRIF), est mort, jeudi 3 avril, à l'âge de 82 ans.

    Les mots que prononça Simone Veil, en 1995, à l'occasion de sa distinction comme officier de la légion d'honneur, permettent d'appréhender l'homme qu'il fut, engagé pour la communauté juive, mais aussi, fait moins connu, pour la reconnaissance des droits des harkis : "Vous appartenez, cher André Wormser, à une famille dont l'histoire est indissociable des gloires comme des tragédies de notre histoire nationale, déclara Mme Veil. L'oeuvre que vous avez accomplie s'inscrit dans le droit-fil de cet héritage."

    Si le métier de banquier l'occupa toute sa vie, et s'il y prit plaisir, André Wormser, diplômé en lettres classiques, se passionna surtout pour les causes qu'il défendit. "C'était un réel humaniste, un homme généreux, pour qui, par principe, le monde était bon", confie Alain Wormser, son neveu, président-directeur général de <st1:PersonName ProductID="la Banque" w:st="on">la Banque</st1:PersonName> d'escompte.

     

    http://www.lemonde.fr/carnet/article/2008/04/12/andre-wormser_1033919_3382.html


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    Hier jeudi 3 avril, nous avons eu la douleur d'apprendre le décès d'André Wormser.

    André Wormser était un homme discret, mais un compagnon de route infatigable. Il fut l'un des fondateurs de notre mouvement, il nous a aidés maintes et maintes fois et il nous manquera beaucoup.

    Nous publierons un avis dans l'édition du Monde de demain samedi (daté de lundi).

    Ses obsèques auront lieu mardi 8 avril à 14h30 au cimetière du Père-Lachaise. Le rassemblement est prévu devant l'entrée principale du cimetière (boulevard de Ménilmontant).
    Ni fleurs ni couronnes.

     

    <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName ProductID="La Paix Maintenant" w:st="on">La Paix Maintenant</st1:PersonName>

    <st1:PersonName ProductID="La Paix Maintenant" w:st="on"></st1:PersonName> 

    <st1:PersonName ProductID="La Paix Maintenant" w:st="on"></st1:PersonName>http://www.lapaixmaintenant.org/communique1787


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  • <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p> 

    André Wormser

    J'ai rencontré André Wormser pour la première fois, il y a presque un quart de siècle. C'était en 1984. Je venais de lire son article dans un numéro spécial de la revue "Les Temps Modernes" consacré à l'immigration maghrébine, dans lequel l'article d'André Wormser m'avait frappé par la finesse de son analyse. Je lui ai écrit. Nous nous sommes rencontrés. Une amitié sincère est née entre ce grand banquier au carnet d'adresse impressionnant, ancien président du CRIF, et un jeune étudiant kabyle, auvergnat d'adoption.

    http://www.harkis.com/article.php3?id_article=34


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    Monsieur,

     

    Vous avez adressé le 19 mars dernier une missive aux "êtres d'intelligence" de l'Union européenne, leur demandant des comptes pour la publication des caricatures danoises de Mahomet. Toute lettre mérite réponse. Votre boîte courriel est saturée, et le temps me manque pour faire un saut au Nord-Waziristan afin de vous remettre la mienne en mains propres. Le Monde fera pigeon voyageur.

    Pourquoi vous en prendre aux Européens ? En se rangeant sous la houlette américaine, à la rescousse d'un gouvernement parachuté par Washington, ces braves gens se sont, en Afghanistan, mis à votre service. Cette coalition chrétienne (avec un appoint turc), ignorant tout des langues, des moeurs et de l'histoire de ce pays, ne fait pas qu'abonder ainsi dans le sens du choc des civilisations qu'elle dénonce à domicile. Elle produira, comme toute occupation étrangère, avec ses exactions et ses victimes civiles, un sursaut national et tribal, qui remet déjà en selle vos amis, les talibans, auxquels nous remettons bêtement le drapeau de l'indépendance. Les Afghans ont toujours fini par expulser leurs envahisseurs, Britanniques, Soviétiques et demain Otaniens. L'Algérie et le Vietnam n'ont rien appris à nos élites, dont les repentances ont toujours cinquante ans de retard. Cette guerre coloniale, contre-productive, idiote et perdue d'avance, devrait combler vos voeux, voire les craintes de M. Huntington. Telle est la noire ironie de l'histoire. Si l'humour n'est pas votre fort, ni la mansuétude, un artiste démolisseur devrait au moins goûter les paradoxes stratégiques du choc en retour.

     

    http://www.lemonde.fr/opinions/article/2008/04/10/a-ben-laden-e-v-par-regis-debray_1033145_3232.html

     


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    Le gouvernement s'apprête à appliquer un plan d'économie de 7 milliards d'euros à l'horizon 2011 dans le cadre de la révision générale des politiques publiques. Après les 23 900 départs à la retraite non remplacés en 2008 (dont 11 200 dans l'éducation), 35 000 postes seront à nouveau supprimés en 2009 dans la fonction publique. "L'économie" réalisée ne dépassera pourtant pas 500 millions d'euros par an.

    On voit mal comment le gouvernement s'y prendra, sans relever les impôts, pour solder le reste de la facture par le simple biais des réorganisations annoncées (parfois nécessaires) de l'administration. En attendant, après l'éducation, l'encadrement prévu des dépenses de santé et d'emploi compromettra le traitement de nombreuses urgences sociales. Le manque de personnel dans les hôpitaux ne sera pas comblé. Le volet "sécurité" de la "flexisécurité" verra difficilement le jour. Le revenu de solidarité active ne fera pas long feu. Une telle baisse des dépenses publiques provoquera de surcroît un effet récessif.

    Contrairement à l'objectif recherché, les déficits se creuseront de nouveau, compte tenu de la chute des recettes fiscales induite par la décroissance de l'économie. Trop de rigueur tuera la rigueur. La politique budgétaire restrictive française est une erreur économique à l'heure où pointe une récession mondiale. Dans un tel contexte, Américains et Britanniques ne manquent jamais d'user de l'arme budgétaire pour relancer la croissance, en complément de l'instrument monétaire. <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName w:st="on" ProductID="La France">La France</st1:PersonName> pourrait d'autant plus emboîter le pas que ses marges de manoeuvre budgétaires sont sous-estimées.

     

    http://www.lemonde.fr/opinions/article/2008/04/10/trop-de-rigueur-tuera-la-rigueur-par-liem-hoang-ngoc_1033109_3232.html


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  • ParlonsNet n°7 J.L. Mélenchon Tibet
    Vidéo envoyée par FranceInfo

    Jean-Luc Mélenchon pousse un coup de gueule sur le Tibet et canarde au passage les pratiques spectaculaires de Reporters Sans Frontières. A découvrir aussi sur France-info.com : http://www.france-info.com/spip.php?article118561&theme=81&sous_theme=264


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    Le vide politique interne ravive le spectre de la guerre civile. Le roi Abdallah d'Arabie saoudite et le président égyptien Hosni Moubarak se réunissent mercredi à Charm el-Cheikh pour discuter de la crise qui sévit au Liban, sans président depuis le 24 novembre. Pendant que les discussions se poursuivent à l'extérieur du pays, les différents clans se livrent à une course à l'armement.

    Appuyés au balcon du premier étage de ce petit immeuble, décoré de l'enseigne «Secure Plus», une dizaine de jeunes Libanais en blue-jeans et tee-shirts scrutent nerveusement du regard les passants. La tension est palpable. «Circulez, y'a rien a voir...», grogne l'un d'eux.

    Les drapeaux bleus du parti de Saad Hariri, leader sunnite de la majorité parlementaire trahissent pourtant l'affiliation politique de cette société de gardiennage, implantée au cœur de Ras al-Nabah, un quartier mixte de Beyrouth, théâtre de récents accrochages entre chiites et sunnites. «On est sur nos gardes. On a renforcé nos effectifs. En cas d'attaque du clan opposé, on ne restera pas les bras croisés...», finit par reconnaître Saad Mansour, un des chefs de Secure Plus, au détour de la cage d'escalier. En février, ce sont ses chebab (ses «jeunes»), dit-il, qui ont bataillé contre des partisans du Amal et du Hezbollah, partis chiites de l'opposition. Jusqu'ici, les différends intercommunautaires se limitaient à des accrochages verbaux. Mais dans un Liban sans président, les coups de feu tirés des deux côtés illustrent un problème profond qui ravive aujourd'hui le spectre de la guerre civile : celui du réarmement des milices et de la multiplication des sociétés de sécurité privées qui servent de paravents à certains partis politiques.

    <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p>

    http://www.lefigaro.fr/international/2008/04/09/01003-20080409ARTFIG00004-au-liban-les-clans-chiites-et-sunnites-se-rearment.php

     


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