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    Retrouvez tous ces articles sur le site web des Clubs « Penser la France »

    - « Nicolas Sarkozy : Le Proconsul de l'Empire » le 14 juillet 2007

    - « Le Sarkozysme : Triomphe du Marché ou les anti-Lumières » le 15 septembre 2007

    - « L'OTAN ... Au vent mauvais ! » le 17 novembre 2007

    - « Union Méditerranéenne : Diplomatie de la puissance ou ruse du capitalisme » le 19 janvier 2008.

    http://www.penser-la-france.asso.fr/le_sarkophage.html

     

     


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  • <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p> 

    http://www.printempsdespoetes.com/


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    Un malentendu historique originel pèse sur l'actuelle politique économique de la zone euro. <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName w:st="on" ProductID="La France">La France</st1:PersonName> a cru s'approprier avec l'euro la puissance du mark allemand, mais, en fait, c'est l'Allemagne - en l'occurrence Helmut Kohl et le président de <st1:PersonName w:st="on" ProductID="la Bundesbank">la Bundesbank</st1:PersonName> de 1988 à 1991, Karl Otto Pöhl - qui a imposé ses conditions à <st1:PersonName w:st="on" ProductID="La France">la France</st1:PersonName> : indépendance de <st1:PersonName w:st="on" ProductID="la Banque">la Banque</st1:PersonName> centrale, critères de convergence astreignants, prolongés par le pacte de stabilité conclu à Amsterdam en 1997.

     

    http://www.chevenement.fr/L-euro,-un-malentendu-a-lever_a570.html?PHPSESSID=06ee8a7f11205dbda633a75a9881ef96


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    Au sujet de l'utilisation controversée l'été dernier d'un répulsif malodorant contre les SDF, Rama Yade a affirmé qu'"il faut tout tenter dans une ville ". "Il faut essayer des choses. Un maire ne fait pas ce qu'il veut, il répond aux préoccupations des gens", a-t-elle justifié.

     

    Martin Hirsch considère "dégradant d'utiliser ce type de produit contre des personnes". Valentin Teixeira dénonce la "banalisation" de cette mesure et se dit "scandalisé par les déclarations inappropriées et fâcheuses" de Rama Yade.

     

    [Merci à Nicole]


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    Dmitri MEDVEDEV successeur de POUTINE !

    Site Officiel du Parti « Russie Unie »

    http://www.er.ru/

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    PETITION NATIONALE CONTRE la rétention de sûreté !

    Le 6 févier 2008, le texte du projet de loi a été adopté à l'Assemblée Nationale. Le 7 février, il a été adopté par le Sénat. Le Conseil Constitutionnel a été saisi par des députés et des sénateurs, à cette occasion des associations ont déposées des observations sur le texte.

     

    http://www.contrelaretentiondesurete.fr/

    <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p>

    [Merci à David]


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    CULTURETHON GEANT !

    <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p>

    Le 29 février 2008 - 15h00

    <o:p> </o:p>

    Place du Palais Royal

     

    L'Etat a décidé de réduire le budget qu'il consacre à la culture. Les acteurs culturels commencent l'année 2008 dans la plus complète incertitude concernant leurs financements. Les plus touchées par ce désengagement de l'Etat sont les associations artistiques et culturelles, compagnies, salles de spectacles, lieux d'accompagnement des pratiques amateurs... qui constituent le vivier de la création et de l'innovation, et sont par leur proximité les premières interlocutrices des populations.

    Les baisses annoncées touchent au financement de la création et de la diffusion. Mais plus encore, à l'heure où l'éducation artistique et le droit à la culture pour tous sont affirmés comme prioritaires par le Président de <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName ProductID="la République" w:st="on">la République</st1:PersonName>, ce sont les aides aux actions culturelles en zone rurale, dans les quartiers, les écoles, les hôpitaux, les prisons... qui sont largement diminuées, voire annulées.

     

    http://29fevrier.over-blog.com/

     


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    Les organisations et personnalités signataires rappellent solennellement que, selon l'article 1er de <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName ProductID="la Constitution" w:st="on">la Constitution</st1:PersonName>, <st1:PersonName ProductID="la France" w:st="on">la France</st1:PersonName> est une République indivisible, laïque, démocratique et sociale. Ces quatre termes indissociables définissent des principes qui s'imposent à tous, au premier rang desquels le Président de <st1:PersonName ProductID="la République. Or" w:st="on">la République. Or</st1:PersonName>, les déclarations récentes de Monsieur Sarkozy, mêlant ses convictions personnelles et sa fonction présidentielle, portent atteinte à la laïcité de <st1:PersonName ProductID="la République." w:st="on">la République.</st1:PersonName>

    <st1:PersonName ProductID="la République." w:st="on"></st1:PersonName> 

    <st1:PersonName ProductID="la République." w:st="on"></st1:PersonName>http://www.appel-laique.org/index.php?option=com_frontpage&Itemid=1 

     

    [Merci à Hélène]


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    L'Empire a tranché, le KOSOVO sera indépendant. Comprenez-bien ! Indépendant de <?xml:namespace prefix = st1 /><st1:PersonName w:st="on" productid="la Serbie">la Serbie</st1:PersonName> mais soumis à l'Empire !

    Nous venons ainsi d'assister à un véritable Anschluss où la force comme le droit ont été convoqués pour soumettre la réalité.

    Cette injustifiable annexion se mesure plus encore par l'affirmation unilatérale de toute interdiction d'indépendance au sein même de l'Empire : Flandre, République de Chypre du Nord, République des Serbes de Bosnie...

    En 1938, un sale Empire avait annexé l'Autriche. Souvenons-nous !

    « Le 13 mars 1938, l'Allemagne annonça officiellement l'annexion de <st1:PersonName w:st="on" productid="la République Autrichienne"><st1:PersonName w:st="on" productid="la République">la République</st1:PersonName> Autrichienne</st1:PersonName> en en faisant une province du Reich allemand. Le 10 avril, un référendum truqué fut organisé pour avaliser cette annexion : 99% de la population approuva.

    Et <st1:PersonName w:st="on" productid="la France">la France</st1:PersonName> accepta l'annexion de l'Autriche ». Déjà !

    Kosovo 2008, L'Autriche en 1938.

    L'Histoire se répète. Elle bégaye, jamais trop comme avant.

    Pourtant ! Triste signe des temps.

    Jean-luc Pujo
    Président des clubs "Penser la France"
     

     


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    « D'un cul vrai et de quelques vrais faux-culs » par Jacques Henric

     

    Quel foin dans la presse pour la vue d'un cul ! Que de protestations indignées ! «L'insulte faite à Marie», titre Libération (oh, pardon pour le lapsus : «à Beauvoir», devais-je écrire, le cul n'étant pas celui de <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName ProductID="la Vierge" w:st="on">la Vierge</st1:PersonName>, mais rien de plus que celui d'une femme, d'un écrivain, Simone de Beauvoir, dont le Nouvel Observateur a commis l'infamie de publier la photo en «une». «Scandale, mercantilisme, grossièreté, lâcheté, bêtise, machisme, obscénité, perversion, prostitution ...», on a tout entendu. Les chiennes de garde ont foncé à la curée. Même l'intransigeant Daniel Schneidermann dans Libération a vu rouge : figurez-vous qu'on a traficoté le document en estompant le rouleau de papier-cul et en sortant du cadre la cuvette des W.C.! Pure pratique stalinienne, non? De quoi s'agit-il en vérité? D'une photo pornographique? évidemment non. Simone de Beauvoir faisait tout simplement sa toilette, nue, dans une salle de bain d'un appartement de Chicago. La porte étant ouverte, le photographe Art Shay, ami de son amant américain, la voit «se pomponner devant le lavabo» et prend un cliché. S'indigne-t-elle?? Fonce-t-elle vers l'ignoble paparazzi pour l'obliger à détruire la photo? Nenni. Elle se contente de lui lancer en souriant : «Vilain garçon». Objections des belles âmes : avec ce choix de couverture, le Nouvel Obs a voulu vendre du papier. Serait-il donc le seul hebdo à avoir une telle mercantile préoccupation ? Seconde objection de la ligue des vertueux: Simone de Beauvoir n'était pas là pour autoriser la publication de la photo, il y a atteinte à la vie privée. Incontestable. Mais quand la même Simone, dans ses Mémoires, dans ses lettres rendues publiques, racontait de long en large ses amours et celles de Sartre avec leurs très jeunes maîtresses, ou elle avec son amant américain, cela sans leur aval, voire à leur corps défendant, pas d'atteinte à la vie privée? Et toutes les biographies, des vivants ou des grands morts, et en l'occurrence celle, excellente, de Danièle Sallenave, Castor de guerre, pas des atteintes à la vie privée ? Faut-il, dès lors, penser que l'indignation morale viendrait du fait qu'on peut tout raconter avec des mots, mais que s'agissant d'une image... ? Ce serait là la preuve que le toujours très puritain parti iconoclaste qui a sévi au cours des siècles est aujourd'hui plus puissant que jamais. Un dernier mot à l'attention des admirateurs et admiratrices de Simone de Beauvoir qui s'épuisent à nous convaincre que leur héroïne n'était pas cette intellectuelle froide, insensible, raisonneuse, mais une femme, une vraie femme, une belle femme, avec un corps, un vrai corps de chair, sensuel, sexy..., eh bien, de quoi se plaignent-ils ?, est-ce qu'avec cette photo on n'en apprend pas mille fois plus sur ce corps qu'avec tous les besogneux discours ?

     

    http://www.artpress.com/index.php

     

     


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    « Nous sommes dans une phase d'étonnement » observe Mme Parisot !

     

    OUI, en effet, une phase d'étonnement face à autant de familiarité et de vulgarité !


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    "Les Français ont un problème. Ils croyaient avoir un superprésident, un hyperdirigeant capable de les sortir de la dépression et de la décadence, et voilà qu'ils ont écopé d'un président comme ils en ont déjà connu beaucoup d'autres : à savoir malade, limité, qu'il faut dorloter et protéger tout en s'organisant pour que <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName ProductID="la France" w:st="on">la France</st1:PersonName> tourne et que le gouvernement et les institutions fassent leur devoir. La situation n'a rien d'inédit : Pompidou et Mitterrand étaient déjà des présidents malades et diminués. Le premier est même mort avant la fin de son mandat. Quant à Chirac, il fut un obstacle paralysant pendant une bonne partie de sa présidence. La maladie dont souffre Sarkozy n'a pas la gravité du cancer de la prostate de Mitterrand, mais elle touche un organe vital s'il en est : l'ego. Celui du président est d'évidence atteint d'une hypertrophie probablement incurable.Plus on s'approche du 9 mars 2008, date du premier tour des élections municipales, plus la nervosité des candidats du parti présidentiel augmente et plus on redoute les interventions de Sarkozy, susceptibles de faire perdre des voix à l'UMP. Le parti du chef de l'Etat est divisé à cause de tensions qu'il a lui-même créées. Le traitement qu'il a infligé en public aux uns et aux autres, y compris à certains de ses collaborateurs les plus proches, est digne du comportement d'un monarque bilieux et capricieux avec ses laquais. Même son actuelle impopularité est extravagante : elle ne s'explique pas par un train de réformes puisque ces dernières sont encore largement inappliquées. Elle s'explique uniquement par son comportement public.Le trône qu'occupe Nicolas Sarkozy a été imaginé par de Gaulle pour lui permettre d'être le troisième larron d'un monde bipolaire. Le président français voulait être un fier contrepoids occidental dans l'affrontement entre Washington et Moscou. Or Sarkozy, arrière-petit-fils libéral et proaméricain de De Gaulle (après le petit-fils, Chirac, et le fils, Pompidou), s'est installé sur le trône élyséen porté par son ambition personnelle et sa conception égotique de la présidence : il a par le fait encore accru les pouvoirs de la présidence. Et, une fois parvenu à ses fins, il s'est consacré à lui-même, comme un ado narcissique obnubilé par ses sentiments et ses plaisirs. Certes, le pouvoir peut en apporter beaucoup, mais la prudence conseille de ne pas trop en faire étalage. Sarkozy le téméraire fait tout le contraire et se vautre dans l'exhibitionnisme.

    C'est sur trois points précis qu'est venu se briser le personnage : l'économie, qui n'a pas enregistré la moindre amélioration depuis son arrivée ; son idéologie plus néocons, voire “théocons”, que gaulliste – en témoignent des prises de position sur la laïcité contraires à la culture de <st1:PersonName ProductID="la République" w:st="on">la République</st1:PersonName> ; et sa vie privée, étalée dans les médias. En monarque thaumaturge qui par une simple imposition des mains devait augmenter le pouvoir d'achat, il a échoué au point de prononcer la formule maudite qui rompt les sortilèges : “Qu'est-ce que vous attendez de moi ? Que je vide des caisses qui sont déjà vides ?” En monarque philosophe, il a manifesté les plus fortes réserves vis-à-vis des traditions républicaines, en exprimant avec désinvolture son affinité intellectuelle avec le pape. Il n'a pleinement triomphé que dans le rôle de sultan, seigneur en son sérail, paré des atours qui passionnent un certain public – et manifestement aussi ses pairs. Le voilà fasciné par son propre pouvoir de séduction, son goût exquis et sa désinvolture. Mais ce triomphe-là a le don de déprimer beaucoup de Français car il rabaisse <st1:PersonName ProductID="la République" w:st="on">la République</st1:PersonName> au niveau de la principauté de Monaco. »

     

    [Merci à Nicole]

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