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    Traité européen: Pour un référendum
    Non au déni de démocratie!

     

    Samedi 2 février, de 14h30 à 18h30

     

    APPEL DU CNR

     

    Halle Carpentier

    81 boulevard Massena

    Paris 13° - M° Porte d'Ivry

     

    http://www.nousvoulonsunreferendum.eu/index.php


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    La laïcité à la française vit-elle ses dernières heures ? "La société a changé", nous dit Michèle Alliot-Marie. La loi de 1905 est censée suivre. Elle nous annonce une modification, non pas de sa lettre, mais de son esprit, par circulaire ou par décret. Encouragé par de tels propos, le recteur de la mosquée de Paris, Dalil Boubakeur, demande carrément un "moratoire".

    Personne ne peut prétendre être surpris. Nicolas Sarkozy l'avait promis, et même écrit en 2004 dans <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName w:st="on" ProductID="La République">La République</st1:PersonName>, les religions et l'espérance : un livre de combat contre une conception stricte et ambitieuse de la laïcité à la française, qualifiée de "sectaire". Il envisageait même de modifier l'article 2 - selon lequel "l'Etat ne reconnaît, ne salarie ni ne subventionne aucun culte" - pour financer des lieux de culte sur fonds publics. Sentant que cela ne passerait pas, il s'est vite rabattu sur une solution plus discrète : décloisonner les associations de type 1905 et de type 1901 pour pouvoir financer le religieux via le culturel. Une suggestion du président de <st1:PersonName w:st="on" ProductID="la Fédération">la Fédération</st1:PersonName> protestante, retenue par la commission Machelon mise en place par Nicolas Sarkozy, et que Michèle Alliot-Marie promet d'appliquer en pleine remontée des intégrismes.

    Officiellement, il s'agit d'aider l'islam à rattraper son retard. L'argument séduit même à gauche. Les mêmes n'accepteraient jamais que l'on touche à la laïcité pour financer le culte chrétien ou juif, mais si c'est pour l'islam... Mais de quel retard nous parle-t-on ? Si les fidèles sont nombreux et manquent d'un lieu de culte, ne peuvent-ils pas se cotiser ? Bien sûr que si, et c'est ce qu'ils font. D'après les chiffres du bureau des cultes du ministère de l'intérieur, le retard est pratiquement rattrapé. L'islam des caves n'est plus qu'un fantasme. Sur les 30 caves recensées par les services de renseignements, la plupart ont été remplacées par des salles de prières officielles, passées de 1 555 à 2 000 entre 2001 et 2006. Soit presque autant que le nombre de lieux de culte évangéliques, en pleine explosion avec 1 800 lieux recensés. Alors que 3 % des Français sont musulmans et 2 % protestants, il s'ouvre chaque année en moyenne 34 lieux évangéliques et 16 mosquées.

     

    http://www.lemonde.fr/archives/article/2008/01/31/une-laicite-de-chanoine-par-caroline-fourest_1005856_0.html


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    « L'enfer pour tous » par Catherine MILLET

     

    L'exposition que <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName w:st="on" ProductID="la Bibliothèque">la Bibliothèque</st1:PersonName> nationale de France consacre à l'Enfer, Eros au secret (jusqu'au 2 mars) est remarquable à plus d'un titre. On y découvre des trésors, manuscrits, éditions rares et gravures, des plus anciens aux plus modernes, le long d'un parcours à la fois didactique et ludique ; on y apprend l'histoire-même de cet Enfer, création relativement récente du puritain 19e siècle, supprimé dans l'après-68, puis rétabli non en tant que zone interdite mais catégorie nécessaire, témoignant de la transformation du regard porté sur ces œuvres, et accessible aux chercheurs ; enfin, que <st1:PersonName w:st="on" ProductID="la BnF">la BnF</st1:PersonName> consacre une exposition à cet Enfer est un fait qui marque symboliquement l'évolution profonde des mentalités dans notre société. Hélas, un reste de pusillaminité altère quelque peu cet acte. On a cru bon d'interdire l'exposition aux moins de seize ans. Interdiction qui n'a pas de sens. Quel adolescent de quinze ans n'a pas déjà eu accès, via Internet ou même de banals magazines, à des représentations explicites de l'acte sexuel ? De plus, au regard de la loi, seule existe l'interdiction aux moins de dix-huit ans, ce qui signifie que n'importe quel grincheux pourrait porter plainte contre <st1:PersonName w:st="on" ProductID="la BnF">la BnF</st1:PersonName> sous prétexte que son rejeton de dix-sept ans et demi s'y serait égaré. Que <st1:PersonName w:st="on" ProductID="la BnF">la BnF</st1:PersonName> prenne le soin d'avertir son public, soit, mais fallait-il en passer par cette interdiction absurde ? La justification annexe, avancée par les commissaires de l'exposition dans le petit journal de <st1:PersonName w:st="on" ProductID="la BnF">la BnF</st1:PersonName>, à savoir que l'interdiction attisera la curiosité du public qui, de ce fait, viendra en plus grand nombre, nous paraît du pur jésuitisme?! Pour notre part, nous pensons qu'un simple avertissement à l'entrée de l'exposition (comme on en voit un dans l'exposition Courbet au Grand Palais, à l'entrée de la salle où est accroché l'Origine du monde) suffisait.

     

    http://www.artpress.com/index.php?v=Xedit


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    Les Leçons de l'UMP-RPR ! A Méditer !

     

    Aux municipales de 2001 (« Le Journal du Dimanche », 27/1), l'entreprenant trader Jérôme Kerviel « était inscrit en dernière place sur la liste UMP (ou, plutôt RPR, l'UMP n'a été créé qu'un peu plus tard) du maire de sa bonne ville de Pont-l'Abbé (Finistère), la capitale du pays bigouden ». Et le slogan de cette liste était « Gérer autrement ».

     

    "Le CANARD ENCHAINE"

     

    [MERCI à Michel]


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    Le moral des ménages français a reculé pour le cinquième mois consécutif. L'indicateur qui le mesure a perdu quatre points, passant à - 34, en données corrigées des variations saisonnières, selon l'enquête mensuelle publiée mardi 29 janvier par l'Institut national de la statistique et des études économiques (Insee). Il s'agit du niveau le plus bas depuis janvier 1987 et le début des enquêtes sur le moral des Français.

    L'ensemble des soldes (différences entre les pourcentages de réponses positives et négatives) utilisés pour calculer l'indicateur résumé sont en baisse pour janvier, la chute la plus notable concernant les "perspectives d'évolution du niveau de vie en France", qui perd douze points (- 32 à - 44). "L'évolution passée du niveau de vie en France" et "l'évolution passée de la situation financière des ménages" reculent également de deux points chacun, tandis que les Français se disent à nouveau plus pessimistes sur leur "situation financière future" (baisse de 3 points), précise l'étude.

     

    http://www.lemonde.fr/economie/article/2008/01/29/le-moral-des-menages-francais-au-plus-bas-depuis-1987_1004832_3234.html#ens_id=1004841


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  • <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /> 

    « L'indécision irlandaise met en danger le minitraité »

     

    Seuls 26 % des Irlandais déclarent vouloir voter «oui» au traité de Lisbonne sur les institutions européennes. Les indécis sont en revanche très majoritaires.

     

    Le sort du traité de Lisbonne sur les institutions européennes dépend maintenant du choix des quelque trois millions d'électeurs irlandais. <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName ProductID="La République" w:st="on">La République</st1:PersonName> d'Irlande est en effet le seul pays européen dont la constitution l'oblige à passer par un référendum avant de pouvoir ratifier le fameux minitraité. Or une immense majorité des Irlandais les deux tiers selon un sondage paru ce week-end dans le quotidien Irish Times se disent encore indécis. Avec cette proportion d'électeurs hésitants, la faible avance du oui sur le non (26 % contre 10 %) pourrait bien basculer d'ici le jour du scrutin.

    En 2005, les sondages sur l'ancien projet de constitution européenne donnaient une bien plus large avance au oui, avec 46 % des intentions de vote. Après le non de <st1:PersonName ProductID="la France" w:st="on">la France</st1:PersonName> et celui des Pays-Bas, le référendum prévu en Irlande avait été annulé.

    Cette fois, les Irlandais sont les seuls à voter, et la pression monte, car le référendum doit absolument avoir lieu avant la fin de l'année 2008. Or le débat sur le traité de Lisbonne n'a pas réellement commencé en Irlande, et la date du vote n'a pas encore été donnée par le gouvernement du premier ministre Bertie Ahern.

    Le mauvais souvenir de 2001 est encore dans tous les esprits : les électeurs irlandais avaient alors rejeté le traité de Nice, avant d'être appelé à un nouveau référendum sur le même sujet deux ans plus tard. La question de la neutralité de l'Irlande avait été au passage précisée. Et les Irlandais ont finalement accepté le traité...

     

    http://www.lefigaro.fr/international/2008/01/29/01003-20080129ARTFIG00004-l-indecision-irlandaisemet-en-danger-le-minitraite.php

    <o:p> </o:p>[Merci à Nicole]

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    LETTRES A <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName w:st="on" ProductID="LA GENERATION DE">LA GENERATION DE</st1:PersonName> <st1:PersonName w:st="on" ProductID="LA LIBERTE">LA LIBERTE</st1:PersonName>

    <st1:PersonName w:st="on" ProductID="LA LIBERTE"></st1:PersonName> 

    <st1:PersonName w:st="on" ProductID="LA LIBERTE"></st1:PersonName>XVII  - Les poulets sacrés de la démocratie

     

    (...) Dans les démocraties décérébrées sous la meule de leurs idéalités angéliques, il est difficile de rappeler que la raison véritable est une instance iconoclaste, parce que les nations chrétiennes se trouvent affligées de naissance d'une perversion qui leur fait arborer un masque de rédemptrices de l'humanité.(...)

    Ecoutez les patriciens défendre à l'école des gloussements de leurs poulets  sacrés la prééminence de leurs droits. (...) En 1995 , M. Jacques Chirac a promis au corps électoral de lui fournir des volatiles bien nourris et bien gras. (...) En 2007, les mêmes volatiles ont chanté à nouveau : et à nouveau la stupéfaction, l'incrédulité ou la fureur ont souligné que le nouveau magicien romain n'avait pas tenu ses serments.

    On sait, depuis l'origine de l'empire romain, que les masses conduisent au césarisme et les "élites" aux chefferies locales. Le césarisme larvé qu'on appelle bling-bling n'est qu'une forme atténuée de l'impérialisme. Il allie le clinquant d'un trône illusoire à l'impéritie notabiliaire. (...)

     

    Lire la suite :

    http://pagesperso-orange.fr/aline.dedieguez/tstmagic/1024/tstmagic/europolitique/generation17.htm

     


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    Dans son article "Laïcité" du Dictionnaire de pédagogie et d'instruction primaire (1880-1887), Ferdinand Buisson écrivait que l'essence de l'Etat laïque consistait en ce qu'il était "neutre entre tous les cultes, indépendant de tous les clergés, dégagé de toute conception théologique". De là procédait l'exigence de neutralité de l'enseignant laïque, lequel, dans l'exercice de ses fonctions, ne devait prendre parti, ajoutait Buisson, "ni pour ni contre aucun culte, aucune Eglise, aucune doctrine religieuse". Cette exigence ne s'imposait pas seulement à l'enseignant, mais à tous les représentants de l'Etat (et a fortiori au premier d'entre eux) dans la sphère publique.

    Le discours de Latran et le concept de "laïcité positive" avancé par Nicolas Sarkozy ne s'opposent-ils pas directement à cette exigence fondamentale de neutralité ? "Dégagé de toute conception théologique" ? Nicolas Sarkozy y célèbre la vertu théologale d'espérance en son acception religieuse, à laquelle il confère une plus grande valeur qu'aux espérances séculières, de même que la comparaison entre l'instituteur et le prêtre tourne à la faveur du second. "Neutre entre tous les cultes" ? En manifestant ostensiblement sa foi catholique dans un discours public, tout en saluant la récente loi (dite "loi sur le voile") interdisant les signes ostensibles à l'école publique, dont l'approbation aurait montré "l'attachement des Français à la laïcité", soit le président souffre d'un sérieux problème de logique, soit il suggère qu'une manifestation ostensible d'appartenance religieuse dans le cadre de fonctions publiques n'est pas incompatible avec la laïcité lorsqu'il s'agit du catholicisme (du président, du moins), tandis qu'elle est inacceptable pour l'islam (des lycéennes). On sait que Nicolas Sarkozy n'était guère favorable à cette loi.

     

    http://www.lemonde.fr/opinions/article/2008/01/28/l-abandon-de-la-neutralite-laique-par-jean-claude-monod_1004552_3232.html


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    « Les limites de <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName w:st="on" ProductID="la Realpolitik">la Realpolitik</st1:PersonName> » par ALAIN JUPPE

     

    Je comprends bien que <st1:PersonName w:st="on" ProductID="la France">la France</st1:PersonName> veuille se réconcilier avec le Rwanda. Le réalisme politique le commande. C'est l'intérêt de notre pays.

    Mais de là à tomber dans les amalgames de la repentance ou les compromissions de la "realpolitik", il y a un fossé.

    On nous dit qu'au Rwanda, <st1:PersonName w:st="on" ProductID="la France">la France</st1:PersonName> aurait commis une "faute politique".

    C'est trop ou trop peu. De quelle faute s'agit-il? Il faut l'expliquer!

    Aurions-nous, par exemple, pris systématiquement le parti d'un camp contre l'autre, des Hutus contre les Tutsis?

    C'est une contre-vérité.

    Pendant la période où j'ai conduit la diplomatie française (d'avril 1993 à mai 1995), nous avons fait tous les efforts possibles pour aider à la réconciliation des Rwandais. Ces efforts ont abouti aux accords d'Arusha II signés le 4 août 1993, qui ont enclenché un processus de transition vers l'union de toutes les parties (hélas! avorté après l'assassinat des Présidents rwandais et burundais en avril 1994).

    En son temps, le Président du FPR (Front Patriotique Rwandais), M. Kagamé, avait officiellment adressé ses remerciements à <st1:PersonName w:st="on" ProductID="la France">la France</st1:PersonName> pour la contribution qu'elle avait apportée à la conclusion de ces accords.

     

    http://www.al1jup.com/


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    Intervention prononcée lors du colloque RES PUBLICA du 17 octobre 2007.

     

    Je disais que les crises étaient basées sur l'appât du gain : Je trouve que la crise des subprimes frise l'escroquerie.

    Qu'est-ce, en effet, qu'une subprime ? Un agent, généralement une banque, prête de l'argent sur trente ou quarante ans à un malheureux client inconscient des risques qu'il prend. On lui garantit les taux pendant deux ans, après quoi les taux du marché s'appliquent. Il n'a aucune idée des variations des taux du marché et s'imagine qu'ils ont tendance à baisser alors qu'on est dans une ambiance d'augmentation des taux. Il souscrit et, comme il s'est endetté au maximum de ses possibilités, il ne pourra pas payer si les taux augmentent. Le prêteur cherche alors un gogo suffisamment stupide pour reprendre ce produit trop risqué. Aucune chance de le trouver sur les marchés ! L'agent s'adresse alors à un mathématicien, généralement français, qui va bâtir un produit dit « structuré »... dans lequel une chatte ne retrouverait pas ses petits. Après cette astucieuse construction, on demande à une agence de rating de donner une notation à ce produit. Ladite agence emploie des jeunes gens très sympathiques, parfois même intelligents, mais qui, souvent, ne comprennent rien au « produit structuré » qu'on leur offre (je caricature à peine). Ceux-ci notent d'un triple A ou double A qui va permettre de vendre le produit. On peut le refiler directement au consommateur de base, qui ne comprend pas grand-chose, mais la chose la plus étonnante, c'est qu'on le vend aussi à des institutions comme AXA, par exemple. Nous avons chez nous des gens qui les achètent, peu, j'espère ! D'abord parce qu'ils sont payés pour ça, à la commission (il faut donc qu'ils fassent des affaires). Ensuite ils se fient aux avis des sociétés de rating (« rating AAA, rating AA... c'est excellent, je prends ! »). Ils sont jeunes, ça leur passera. Mais quand ça leur passera, ils feront autre chose et d'autres jeunes gens les remplaceront et feront les mêmes erreurs.

    C'est comme ça que le système fonctionne. Au départ on a une opération légale mais à la limite de l'honnêteté. On répartit ensuite les risques sur tout le marché. On évite donc le risque systémique, ce n'est pas l'émetteur qui fera faillite, mais le malheureux qui se situe au bout de la chaîne. C'est alors que, tout à coup, quelqu'un découvre qu'il y a quelque chose d'anormal, que les subprimes, ça ne marche pas. Alors le marché s'affole : C'est le côté irrationnel et moutonnier du marché. Une grande crise se déclenche. Paradoxalement, alors qu'on avait trop d'argent (si on a pu faire du subprime, c'est parce qu'il y avait un excès d'argent sur le marché), on se retrouve dans une crise de liquidités. Les banques paniquent et freinent le crédit et, à cause d'un excès de liquidité, on arrive à une crise de liquidité. Chose admirable !

     

    http://www.fondation-res-publica.org/Transparence-et-responsabilite_a255.html


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    Le JDN Economie a étudié les budgets de personnel des grands ministères pour déterminer quels étaient les agents dont on pouvait penser qu'ils avaient gagné ou perdu du pouvoir d'achat. Premier budget de personnel, l'Education nationale avec 29,6 milliards d'euros consacrés à la paie de 1,13 millions d'agents dont 85% occupés au seul enseignement scolaire, c'est-à-dire avant le bac. Entre 2002 et 2005, le salaire moyen distribué aux agents de ce ministère a baissé de 1,9% quand l'inflation augmentait de 6,54% sur la même période. Les fonctionnaires de l'Education nationale auraient donc considérablement perdu du pouvoir d'achat (-4,6 points). Mais ce ne sont pas eux les plus mal lotis. Les agents du ministère des Affaires étrangères, beaucoup moins nombreux (9.141 emplois en 2005), ont perdu 5,47% de rémunération moyenne sur la même période, soit 12 points de perte de pouvoir d'achat.

    Les ministères de l'Economie (+4,81% soit -1,7 de pouvoir d'achat), de l'Intérieur (+5,52% soit -1 de pouvoir d'achat) et de <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName w:st="on" ProductID="la Défense">la Défense</st1:PersonName> (+6,47%, soit -0,1 de pouvoir d'achat) ont vu, pour leur part, leur budget de personnel par agent augmenter moins vite que l'inflation. En revanche ceux de l'Agriculture (+6,83% soit +0,3 de pouvoir d'achat), de <st1:PersonName w:st="on" ProductID="la Justice">la Justice</st1:PersonName> (+9,47%, soit +2,9 de pouvoir d'achat), mais surtout de <st1:PersonName w:st="on" ProductID="la Culture">la Culture</st1:PersonName> (+12,5%, soit +6 de pouvoir d'achat) auraient selon notre mode de calcul profiter d'une hausse de leur pouvoir d'achat.

     

    http://www.journaldunet.com/economie/magazine/enquete/pouvoir-achat-fonctionnaires/3-pouvoir-achat-ministere.shtml


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  • Anne Roumanoff : Sarkozy bling bling Carla Bruni
    Vidéo envoyée par INFOCOM-Net

    Anne Roumanoff chez Drucker - Vivement Dimanche - 6 janvier 2008. Vraiment très drôle !


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