• Communiqué des CLUBS « Penser <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName ProductID="la France" w:st="on">la France</st1:PersonName> »

    <st1:PersonName ProductID="La Fin" w:st="on">La Fin</st1:PersonName> de l' « Esprit public » en France !

    Jean-Paul Bolufer, directeur de cabinet de la ministre du Logement Christine Boutin est contraint à la démission suite aux révélations sur son mini-loyer.

    Informé des pratiques courantes sur PARIS, M. BOLUFER n'a jamais estimé choquante sa situation et s'offusque même du scandale provoqué et de la sanction dont il est frappé : « Je ne suis pas le seul » s'apprête-t-il à dire.

    Quand les élites administratives côtoient les élites financières et du show-biz où le luxe et l'argent commandent tout, alors - Oui ! - l'Esprit public républicain est en danger.

     

    Loin d'être anecdotique, cet épisode - car ce « petit homme » est de bonne foi - agit comme un révélateur de notre époque. Basse époque.

     

    Il est temps de voter SAINT JUST ou ROBESPIERRE !

     

    Alors, vraiment - Oui ! - le Cirque n'a que trop duré.

     


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  • <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p> 

    [Merci à Nicole]


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    Pour être plus présentables aux municipales, Laurent Fabius et Henri Emmanuelli ont décidé de garder la ligne.

    Pourfendeurs attitrés du Traité constitutionnel européen, qu'ils avaient contribué à rejeter en 2005, les deux figures tutélaires de l'aile gauche du Parti socialiste (PS) ont rendu les armes. Sur la liste des militants du Comité national pour un référendum (CNR), les deux noms manquent cruellement à l'appel.

     


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    D'un côté de la bibliothèque du palais pontifical, un pape âgé (80 ans), homme d'étude et de prière, timide et réservé, hanté par l'" apostasie" de l'Europe, son abandon de la foi et de ses valeurs chrétiennes. Un pape allemand qui aime citer son compatriote Goethe (1749-1832) : "L'Europe est née en pèlerinage et sa langue est le christianisme." Une Europe qui, par la "dictature du relativisme", risque demain d'être "mise en congé de l'Histoire". De l'autre, un jeune président (52 ans) d'une République laïque, se disant de culture catholique mais ne fréquentant pas régulièrement les églises, capable de citer de vieux poètes chrétiens, Péguy et Claudel, au panthéon des gloires de <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName ProductID="la France" w:st="on">la France</st1:PersonName>, de faire sauter les tabous d'une laïcité "qui n'est pas l'adversaire des religions", d'écrire un livre sur <st1:PersonName ProductID="La R←publique" w:st="on">La République</st1:PersonName>, les Religions, l'Espérance (Le Cerf, 2003), d'assister aux obsèques de Frère Roger de Taizé, de l'Abbé Pierre, du cardinal Jean-Marie Lustiger.

     

    http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0,36-991387,0.html


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    Les Ghurkas sont aux aguets : si les véhicules civils ne se rangent pas sur le bas-côté, il n'est pas rare qu'après des coups de klaxon, ils aient recours à des tirs de semonce. Dans la tourelle du véhicule blindé, deux soldats du 1st Battalion of Ghurkas Rifles pointent le canon de leur mitrailleuse vers les maisons et les visages indifférents. Ils sont attentifs au moindre signe d'anormalité. Le danger, dans le Sud afghan, ce sont surtout les "engins électroniques improvisés" (IED) qui explosent au passage d'un convoi.

    Pour les troupes de <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName ProductID="la Force" w:st="on">la Force</st1:PersonName> internationale d'assistance à la sécurité (ISAF), bras armé de l'Organisation du traité de l'Atlantique nord (OTAN), cette menace permanente est imprévisible. Certains n'hésitent pas à la comparer à la roulette russe. Pour la prévenir, les hommes de l'Armée nationale afghane ont sur eux un avantage culturel : parfois, un vêtement, un comportement inhabituel, une soudaine tension sur un marché, les alertent sur la présenced' "insurgés".

    Dans cette guerre asymétrique que livre la première alliance militaire du monde contre une dizaine de milliers de talibans, les combats frontaux sont l'exception, les IED et les attaques-suicides représentent la moitié des victimes des forces afghanes et internationales. Les victoires sont souvent éphémères, aucun des deux camps ne disposant d'effectifs suffisants pour tenir durablement le terrain conquis. Pour ce type de combats, les talibans ont l'avantage de l'expérience, et la maîtrise du temps. Ils jouent l'enlisement, comme ils l'ont fait avec les Britanniques au XIXe siècle, puis avec les Soviétiques dans les années 1980. "Les insurgés n'ont pas besoin de vaincre, résume un conseiller politique militaire, il leur suffit de ne pas perdre."

     

    http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0,36-991899,0.html


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  • <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName w:st="on" ProductID="La Russie"> </st1:PersonName>

    <st1:PersonName w:st="on" ProductID="La Russie">La Russie</st1:PersonName> a annoncé lundi qu'elle avait commencé à livrer du combustible nucléaire pour la centrale atomique iranienne de Bouchehr.

     

    Dans la partie de poker planétaire qui se joue autour du programme nucléaire iranien, Moscou semble avoir cédé sa carte maîtresse. <st1:PersonName w:st="on" ProductID="La Russie">La Russie</st1:PersonName> a annoncé hier qu'elle avait livré, dimanche, un premier lot de combustible d'uranium à l'Iran pour sa centrale atomique de Bouchehr, toujours en chantier. Celle-ci pourrait désormais produire ses premiers kilowatts dès l'automne 2008. C'est une surprise, car le fournisseur russe avait fait du report de la livraison des barres d'uranium 235 à son client iranien son meilleur moyen de pression. De hauts diplomates russes avaient assuré à leurs homologues américains et européens que les problèmes techniques et financiers invoqués n'étaient que des prétextes. Et que <st1:PersonName w:st="on" ProductID="La Russie">la Russie</st1:PersonName> ne livrerait pas le «carburant» du premier réacteur civil iranien tant que <st1:PersonName w:st="on" ProductID="la République">la République</st1:PersonName> islamique ne se plierait pas aux exigences internationales.

    Pour justifier la fourniture, le ministère russe des Affaires étrangères a affirmé que la livraison privait l'Iran de raisons d'enrichir lui-même son uranium. «L'Iran nous a donné de nouvelles assurances écrites que le combustible serait exclusivement utilisé pour la centrale de Bouchehr», a indiqué Moscou. Une position conciliante, adoptée en concertation avec Washington comme l'a indiqué <st1:PersonName w:st="on" ProductID="la Maison-Blanche">la Maison-Blanche</st1:PersonName>, mais accueillie par une douche froide : un responsable iranien a affirmé hier que Téhéran continuerait à enrichir son propre uranium, malgré la fourniture du combustible russe.

     

    http://www.lefigaro.fr/international/2007/12/18/01003-20071218ARTFIG00224-moscou-fournit-son-aideau-nucleaire-iranien.php


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    Appelons-le monsieur A. Visage glabre, cheveux courts, le pantalon maintenu bien haut par un ceinturon, la sacoche à la main : jusqu'à la démarche chaloupée, il possède tous les signes extérieurs de l'apparatchik chinois. Il est membre du Parti et il occupe une fonction officielle au sein du gouvernement de Kachgar (Kashi en chinois), la principale ville des confins occidentaux du Xinjiang. M. A (il refuse que son identité soit divulguée) est un Ouïgour qui n'a pas que des amis chez lui. Dès son entrée dans la tchaïkhana (salon de thé) de la vieille ville où on lui a donné rendez-vous, son apparition jette un froid parmi les habitués.

    Et pour cause, il fait partie des rares Ouïgours résolus à aider le gouvernement de Pékin dans son entreprise de sinisation du Xinjiang, et notamment du sud-ouest de la province, autrefois une région clé de <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName w:st="on" ProductID="la Route">la Route</st1:PersonName> de la soie et aujourd'hui tenue pour un bastion du sentiment antichinois. C'est là, dans ce Far West chinois, que vivent les trois quarts des 8,5 millions d'Ouïgours. Musulmans et turcophones, ils représentent 90 % de la population de cette contrée engourdie dans son sous-développement. Pékin s'est mis en tête de la désenclaver, à l'image du reste du Xinjiang, région autonome où les Chinois hans sont devenus majoritaires - leur proportion est passée de 7 % en 1949 à près de 50 % aujourd'hui dans l'ensemble du Xinjiang.

     

    http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0,36-991066,0.html


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    Les conditions d'une nouvelle crise politique sont réunies au Kirghizstan, avant même la publication des résultats officiels des élections législatives du 16 décembre. Le parti Ak-Jol du président Kourmanbek Bakiev, au pouvoir depuis la "révolution des tulipes" de mars 2005, a remporté la totalité des 90 sièges, alors qu'il a réuni un peu moins de 49 % des suffrages.  La Cour suprême devait se prononcer, mardi 18 décembre, sur la validité de la loi électorale extrêmement contraignante qui a permis cette curieuse répartition. Adoptée par référendum le 21 octobre sur proposition du président, celle-ci stipule qu'un parti doit obtenir, pour entrer au Parlement, plus de 5 % des voix au niveau national, ainsi que 0,5 % dans chacune des sept régions du pays et les deux principales villes. "Pour contrer l'opposition, le pouvoir avait deux objectifs stratégiques en instaurant cette loi très dure au niveau régional, explique un observateur étranger à Bichkek. D'une part, il redoutait que les partis ethniques ouzbeks obtiennent beaucoup de voix dans le sud du pays et entrent au Parlement. De la même façon, les formations d'opposition sont très fortes au nord, mais pas au sud." Le parti d'opposition Ata-Meken, arrivé en deuxième position avec moins de 9 % des suffrages, est la seule autre formation à dépasser le minimum requis de 5 % des inscrits ; mais dans trois des neuf régions du pays, il n'obtient pas les 13 500 voix nécessaires pour entrer au Parlement.

    http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0,36-991000,0.html

     


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    Quand la dernière mine de charbon française a fermé à Creutzwald (Moselle), le 23 avril 2004, on a cru que c'était l'ultime symbole de l'ère de la houille qui disparaissait. Mais sa véritable mort sera scellée le 31 décembre, quand Charbonnages de France (CDF) aura mis la clé sous la porte, soixante et un ans après sa création en 1946. Ses quelques centaines de salariés partiront à la retraite ou dans d'autres structures, derniers représentants d'une entreprise publique qui en comptait 358 000 au lendemain de la seconde guerre mondiale. Le décret de liquidation de CDF doit être publié prochainement au Journal officiel. "Le charbon français n'a jamais été rentable", rappelle Daniel Cadoux, son PDG pour quelques jours encore. Dès le milieu des années 1960, les bassins houillers ont commencé à fermer les uns après les autres. <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName w:st="on" ProductID="La France">La France</st1:PersonName> a fortement réduit sa consommation et importé à meilleur prix le peu dont elle avait besoin. Ce long et coûteux déclin, l'Etat l'a réglé rubis sur l'ongle comme une dette - et un hommage - à ses mineurs, qui avaient contribué à l'essor économique de <st1:PersonName w:st="on" ProductID="la France.">la France.</st1:PersonName> "On a su gérer la fin des mines avec le souci de l'avenir des personnels et de la requalification des territoires", estime M. Cadoux. Le pacte charbonnier décidé en <st1:metricconverter w:st="on" ProductID="1994 a">1994 a</st1:metricconverter> garanti aux 15 000 salariés restants la poursuite de leur carrière dans le groupe jusqu'à une mesure d'âge, et les recapitalisations successives ont coûté plusieurs dizaines de milliards d'euros pour aider un secteur à mourir sans trop de casse sociale.

     

    http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0,36-991050,0.html


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    C'est sans précédent. Les trente plus grandes entreprises allemandes sont maintenant en majorité détenues par des investisseurs étrangers, selon une étude publiée lundi 17 décembre par le quotidien Handelsblatt. Depuis 2005, la part du capital des entreprises allemandes entrant dans la composition du DAX, l'indice de <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName w:st="on" ProductID="la Bourse">la Bourse</st1:PersonName> de Francfort, aux mains d'étrangers est passée de 43,8 % à 52,6 %. Il y a cinq ans, un tiers du capital se trouvait entre des mains étrangères, un dixième il y a dix ans. Aujourd'hui, ces capitaux non allemands ne sont minoritaires que dans des cas très particuliers : des ex-entreprises publiques, comme <st1:PersonName w:st="on" ProductID="la Deutsche Post">la Deutsche Post</st1:PersonName> ou la compagnie aérienne Lufthansa, ou comme le constructeur automobile Volkswagen, repris par Porsche.

    Ainsi, <st1:PersonName w:st="on" ProductID="la Deutsche Börse">la Deutsche Börse</st1:PersonName>, l'opérateur de <st1:PersonName w:st="on" ProductID="la Bourse">la Bourse</st1:PersonName> de Francfort, est détenue à 84 % par des investisseurs étrangers, l'équipementier sportif Adidas à 79 % et le laboratoire Bayer à 78 %. "Cette tendance confirme la très forte attractivité des entreprises allemandes à l'international", estime Günther Schall, expert auprès du BDI, <st1:PersonName w:st="on" ProductID="la Fédération">la Fédération</st1:PersonName> des industriels allemands.

    Ces chiffres montrent surtout que le modèle du capitalisme rhénan, ou "Deutschland AG", a vécu. Instauré après guerre, ce système de participations croisées a permis le développement d'une industrie puissante, financée par les grandes banques et sociétés d'assurances. Un verrouillage qui rendait impossible les prises de contrôle de l'étranger.

     

    http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0,36-991043,0.html


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    « L'Elysée ou la théorie du spectacle permanent »

     

    A travers cette rubrique nouvelle, nous tenterons de décrypter régulièrement le vrai du faux dans toutes les nouvelles émanant de l'Elysée. Il s'agira de vider la fable de son contenu « people » pour livrer à votre pensée le fait politique pur. Le plus souvent, le vide ...

     

    Vous avez manqué les précédents épisodes ?

    Acte 1 — « Nicolas et Cécilia : Une télénovella »

    Acte 2 — « Cécilia ou les aventures de Martine à Tripoli »

    Acte 3 — « Cécilia rejoint son amant »

    Acte 4 — «  Les aventures de Rachida »

    Acte 5 — «  RamaYade, une star est née »

    Acte 6 — «  Nicolas avoue sa passion pour Carla »<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" />...

    Acte ? — « Le retour de Cécilia »

     

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    LETTRES A <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName ProductID="LA GENERATION DE" w:st="on">LA GENERATION DE</st1:PersonName> <st1:PersonName ProductID="LA LIBERTE" w:st="on">LA LIBERTE</st1:PersonName>

    <st1:PersonName ProductID="LA LIBERTE" w:st="on"></st1:PersonName> 

    <st1:PersonName ProductID="LA LIBERTE" w:st="on"></st1:PersonName>« Le faux est-il la santé, la passion de la vérité est-elle une maladie ? »

     

    Apprenez que Jean-François Kahn persévère et signe : M. Nicolas Sarkozy, dit-il, serait fou à lier, mais "on ne peut pas le dire".

    De telles allégations devront vous instruire du contraste qui oppose la brillance journalistique au sérieux de la pensée politique. Mais seule une réflexion philosophique, donc anthropologique sur les relations que l'humanité entretient avec son histoire sera en mesure de vous armer d'une vraie science de la folie.

    Qu'est-ce que la démence ? Depuis Philippe Pinel (1745-1826), le souci constant des spécialistes de cette pathologie fut de définir clairement un dérangement cérébral aux symptômes aussi multiples que divers et déconcertants. Mais le génie de Pinel est allé si loin qu'il a pressenti la " normalité " d'une maladie dont la connaissance scientifique exige une réflexion philosophique sur l'encéphale de l'espèce simiohumaine . Deux de ses ouvrages, Nosographie philosophique et Traité médico-philosophique de l'aliénation mentale éclairent sa thérapie de l'identification secrète du médecin au malade.

    La médecine d'aujourd'hui s'accorde à diagnostiquer une infirmité qui, non seulement rend le sujet incapable de formuler une argumentation raisonnée, donc d'élaborer un discours suivi et cohérent, mais également de séparer distinctement le monde réel des assauts de son imagination . Bien souvent le fou est sujet à des hallucinations qui lui font prendre un objet pour un autre et qui le plongent dans un chaos mental sans remède. C'est ainsi que le dément qui a coupé la tête d'une infirmière à l'hôpital de Pau , il y a deux ans, croyait sincèrement couper la tête d'un dangereux serpent. Mais à quel moment la confusion entre le réel et le rêve devient-elle une maladie ? Que deviendrait la science historique si cette pathologie universelle s'exprimait au profit de la " folie douce " des songes religieux qui bercent l'humanité ? Quand Benoît XVI décide d'accorder un raccourcissement de leur séjour au Purgatoire à des milliers de fidèles qui se rendront à Lourdes entre le 8 décembre 2007 et le 8 décembre 2008, s'adresse-t-il à une humanité en bonne santé mentale ou démente ?

     

    http://pagesperso-orange.fr/aline.dedieguez/tstmagic/1024/tstmagic/europolitique/generation12<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" />

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