• Chirac à Jérusalem : La honte israelienne ! (2/3).
    Vidéo envoyée par El-Francawi

    Le 22 Octobre 1996, le président Jacques Chirac inaugure son premier voyage officiel en Palestine et Palestine occupée en se rendant à Jérusalem Est (versant Arabe de la capitale). Très vite la visite tourne à l'empoignade générale entre les forces de sécurité israeliennes d'un côté et la délégation française de l'autre(sans épargner les journalistes français et les palestiniens se montrant "trop curieux"). Des forces de sécurité israeliennes qui, vraisemblablement avaient recu l'ordre d'empêcher coûte que coûte le président français d'approcher de trop près la population palestinienne. Une manoeuvre politique qui se soldera non seulement par une multitude d'autres incidents diplomatiques sur le terrain mais surtout par l'avantage politique qu'en retirera le président français en bravant l'offense faite à son honneur et à ce qu'il représente à savoir la France. Partie 1 : http://www.dailymotion.com/video/x30jq5_chirac-a-jerusalem-la-honte-israeli_news Partie 3 : http://www.dailymotion.com/video/x30lrm_chirac-a-jerusalem-la-honte-israeli_news


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    Arrivé mardi à Louxor en touriste, Nicolas Sarkozy devait revêtir son costume de président pour la dernière journée de son séjour égyptien, dimanche 30 décembre, au Caire, où il devait rencontrer son homologue, Hosni Moubarak, ainsi que des "personnalités égyptiennes", dont l'identité n'a pas été précisée par l'Elysée.

    En attendant de dresser le bilan politique de ces rencontres, la presse égyptienne a suivi la tendance générale des médias, décrivant les tenues décontractées de M. Sarkozy, le programme de ses sorties, tout en rapportant, non sans fierté, chaque exclamation d'émerveillement du président français devant les paysages et monuments égyptiens.

    Il n'est pas certain cependant que cet enthousiasme affiché pour les charmes de leur pays suffise à séduire les Egyptiens, à la fois suspicieux et inquiets à l'égard d'une nouvelle "politique arabe" de <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName w:st="on" ProductID="la France.">la France.</st1:PersonName>

    Dans ce pays où l'empathie avec les peuples palestinien et irakien est capable de faire sortir dans les rues des milliers de manifestants, la presse ne s'est pas privée de fustiger régulièrement les positions du président français pour ses déclarations d'amitié envers les Etats-Unis ou Israël.

     

    http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-3212,36-994439@51-993169,0.html


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    C'est une véritable régression dans la manière de concevoir la laïcité que Nicolas Sarkozy vient de nous proposer dans son discours de Rome, sous prétexte de nous en offrir une version positive et moderne. Cela tient à ce que sa réflexion implique à la fois un contresens théorique, une ignorance historique et un parti pris idéologique difficilement acceptables. Le contresens, d'abord. La laïcité, telle que <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName w:st="on" ProductID="la France">la France</st1:PersonName> la revendique depuis <st1:PersonName w:st="on" ProductID="la D←claration">la Déclaration</st1:PersonName> des droits de l'homme et du citoyen, ne se définit pas positivement par une ouverture de principe aux croyances religieuses. Elle consiste bien plutôt dans un retrait ou une abstention qui fait devoir à <st1:PersonName w:st="on" ProductID="la R←publique">la République</st1:PersonName> de ne pas porter atteinte à la liberté de conscience et de culte et, par conséquent, de n'en reconnaître ou de n'en soutenir aucun en particulier. Elle garantit ainsi, à l'encontre du prosélytisme religieux, la liberté absolue d'être sans religion.

    Si la laïcité a un sens positif, ce n'est pas celui que lui prête notre président. Elle a pour fonction non de libérer les croyances, c'est-à-dire de les favoriser, mais de libérer des croyances instituées que les différentes églises ont toujours, peu ou prou, voulu imposer. Appuyée sur la raison, elle doit former l'esprit critique et le libre jugement de chacun, de façon à ce qu'il prenne ses distances avec tous les contenus de pensée religieux qui prétendent se soustraire au débat rationnel et fonder leur légitimité sur une source transcendante échappant à l'intelligence profane. Cette démarche n'interdit en rien que l'on retrouve et donc que l'on accepte les croyances religieuses, mais contrôlées par la raison humaine : des croyances qui ne s'opposent pas à ses acquis scientifiques et moraux, et débarrassées alors des emportements irrationnels qui les ont trop souvent caractérisées.

    C'est ici que la prise de position de M. Sarkozy révèle une ignorance étonnante, si elle n'est pas feinte. L'identité progressiste de <st1:PersonName w:st="on" ProductID="la France">la France</st1:PersonName> républicaine ne s'est pas construite avec l'héritage chrétien officiel mais, pour l'essentiel, contre lui. Laissons de côté le grave passif de l'Eglise catholique dans son rapport aux sciences : au nom d'une Révélation dogmatisée, elle s'est régulièrement opposée aux grandes théories scientifiques, comme celles de Galilée ou de Darwin, pour autant qu'elles mettaient en cause sa vision du monde et de l'homme.

     

    http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0,36-993888,0.html


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    « Il faudra compléter la loi de 1905 »  : HONTE à RAFFARIN !

     

    LE FIGARO. En quoi la laïcité vue par François Bayrou vous heurte-t-elle?

    Jean-Pierre RAFFARIN. J'y vois une déclinaison d'un vieux concept, exclusif des religions. Cette vision historique doit être modernisée. Notre paysage religieux n'est plus celui du temps des «cultes révolutionnaires» de Robespierre. Aujourd'hui, nous avons besoin de la laïcité partagée pour régler les relations entre religions et politique, mais aussi pour servir de grammaire entre les différentes religions, pour leur permettre de se parler dans l'espace public.

    <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName w:st="on" ProductID="la France">La France</st1:PersonName> doit-elle renoncer à son exception républicaine ?
    Non, mais nous devons l'adapter. Défendre la spécificité française en reprochant à Nicolas Sarkozy ses références aux racines chrétiennes de <st1:PersonName w:st="on" ProductID="la France">la France</st1:PersonName>, comme le fait François Bayrou, c'est nier la réalité. En cette période de Noël, que voit-on ? Des Français qui, partout, célèbrent une fête religieuse, familiale et sociale. Au débat passéiste entre «la morale laïque» et «la religion civile», telle que la définissait Rousseau, je préfère le concept d'«éthique antérieure» de Paul Ricœur, car les religions sont, en amont, des sources pour les normes de la morale publique. C'est d'ailleurs la raison pour laquelle je suis favorable à l'enseignement de l'histoire des religions à l'école.

    Êtes-vous partisan d'une révision de la loi de 1905 ?
    Il faudra sans doute la compléter, notamment en matière de santé publique, mais je ne pense pas utile de remettre en cause ses fondements. La société française ne peut accepter qu'une religion tente de lui imposer un projet politique. Face au prosélytisme, à des provocations particulières, comme le port de signes religieux ostentatoires à l'école, il a fallu réagir. C'est pourquoi j'ai fait voter la loi interdisant le port du voile dans les établissements scolaires, et aussi pourquoi je suis favorable à des procédures transparentes en matière de construction d'écoles religieuses. Ce serait un moyen efficace de lutter contre des pratiques clandestines. Avec Nicolas Sarkozy, nous avons eu d'utiles débats aussi bien sur la question du voile que sur celle de l'organisation du culte musulman en France ; cela a été le début d'une vraie proximité en contribuant à notre réflexion sur la nécessité de sortir la laïcité du carcan historique dans lequel elle était enfermée. Je partage tout à fait sa conception d'une laïcité «positive» représentant la diversité des religions en France.

    Est-ce le rôle du politique de se mêler de questions spirituelles ?
    Bien sûr. On ne peut pas limiter le politique à un rôle de technicien. Il ne s'agit pas de penser à la place des citoyens, mais pour garantir leur liberté, il faut avoir la conscience de la profondeur de la question du sens. On ne peut donc pas l'exclure du débat public. Je pense que l'apostasie n'est pas une force de progrès dans nos sociétés.

     

    http://www.lefigaro.fr/politique/2007/12/27/01002-20071227ARTFIG00400-raffarin-il-faudra-completer-la-loi-de-.php 

     

    [Merci à Nicole]


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    La solidarité se heurtant à l'extension continue des «droits à», il devient nécessaire de revisiter le principe de fraternité. Celui-ci était pensé afin de fonder moralement la vie sociale en se passant des préceptes religieux dans le contexte anthropologique de l'individualisme des Lumières.

    La laïcité française ne se résume pas à l'absence de concordat, à la (relative) séparation de l'Eglise, des Eglises, et de l'Etat. Si les pères fondateurs ont voulu réduire les droits et l'influence (dans l'école en particulier) de l'Eglise catholique, c'est avec l'espoir que <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName w:st="on" ProductID="la R←publique">la République</st1:PersonName> remplace celle-ci dans le rôle d'éducatrice comme dans celui d'énoncer, d'enseigner, de représenter les valeurs communes. Cet aspect positif de la laïcité est au moins aussi important que la lutte anti-cléricale et inséparable de celle-ci : comment tenir en lisière l'institution catholique si l'on n'est pas capable de fonder moralement la vie sociale en se passant des préceptes religieux ?
    Pour ce faire le principe de fraternité, paraissait tout indiqué, puisque c'était le troisième mot de la devise du régime nouveau. Il était aussi riche de promesses : après deux mots résumant les droits des citoyens, il indiquait les obligations qu'ils avaient les uns envers les autres. La trilogie associait ainsi droits et obligations, droit et morale. Pareillement équipée, <st1:PersonName w:st="on" ProductID="la R←publique">la République</st1:PersonName> française paraissait dépasser et démentir la critique que Marx avait faite de la déclaration des droits de l'homme : charte de l'égoïsme, où le seul élément de morale sociale était l'interdiction de nuire à autrui.

     

    http://www.marianne2.fr/Suite-francaise-3-Fraternite,-Solidarite,-Fraternite_a82447.html 

     

    [Merci à Nicole]


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    Cela aurait dû être une année témoin. L'année 2007 fut au Pakistan celle du soixantième anniversaire de sa fondation, sur les ruines sanglantes de la partition de l'Empire britannique des Indes. Ce fut plutôt une année accusatrice, un terrible réquisitoire, une interminable séquence où s'égrenèrent jusqu'à la caricature les preuves de la faillite de cet Etat conçu, rêvé, pour être le refuge des musulmans de l'ancien Raj britannique tragiquement démembré l'été 1947. Triste commémoration, sur fond d'insurrection islamiste dans les tribus pachtounes, de rébellion séparatiste dans la province du Baloutchistan, de manoeuvres d'un général-président résolu à s'accrocher au pouvoir, d'état d'urgence visant à réprimer un mouvement libéral. Et de vague sans précédent d'attentats-suicides dont Benazir Bhutto, égérie ambiguë d'un camp démocrate divisé, est la victime la plus récente.

    Pointer Al-Qaida et ses complots planétaires ne suffit pas à prendre toute la mesure du gâchis pakistanais. Cette sinistre année 2007 est la manifestation d'une crise autochtone profonde, multiforme, nourrie par les jeux dangereux de l'Etat, l'armée et l'élite, sous l'oeil complice d'un Occident - Amérique en tête - aveuglé par les calculs à courte vue de la realpolitik.

    L'islamisme radical ne tombe pas du ciel au Pakistan. Il fleurit depuis des décennies sur un terreau idéologique qui a été ensemencé par l'Etat lui-même. La dérive était-elle fatale, le piège était-il inéluctable dès lors que cet Etat se définissait dès le départ comme musulman ? Les pères fondateurs du Pakistan, Ali Jinnah en tête, étaient pourtant plutôt laïques. Mais ses héritiers n'ont pas tardé à jouer de la corde islamique dans l'espoir de conjurer l'usure du pouvoir. A partir du moment où la référence à l'islam était le seul facteur d'unité dans un pays fracturé en ethnies rivales - Pendjabis, Sindis, Baloutches, Pachtounes, Mohajirs (réfugiés d'Inde) -, ils n'ont pas hésité à l'instrumentaliser pour recharger leur légitimité défaillante.

     

    http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-3232,36-994431,0.html


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    Le premier ministre, François Fillon, préconise la remise en cause de la référence à la durée légale du travail, fixée à 35 heures depuis la loi Aubry. Dans une lettre adressée le 26 décembre aux dirigeants syndicaux et patronaux, il souhaite que la définition du temps de travail soit intégrée dans la négociation interprofessionnelle sur la représentativité qui doit s'ouvrir le 24 janvier. Il fixe au 31 mars 2008 le délai pour qu'elle aboutisse avant que le gouvernement s'en saisisse.

    Après le déblocage des heures supplémentaires dans la loi sur le travail, l'emploi et le pouvoir d'achat (TEPA), puis l'annonce du rachat de jours de RTT, le gouvernement veut faire sauter un nouveau verrou. Il reprend à son compte la proposition de Laurence Parisot, la présidente du Medef, qui envisageait que la durée du travail puisse être négociée par les branches ou dans les entreprises après la signature d'accords majoritaires.

    "La juxtaposition de normes législatives, réglementaires ou conventionnelles a limité les possibilités de négocier sur la durée du travail au plus près des réalités vécues par les entreprises et les salariés", explique M. Fillon, qui propose de "parvenir à un droit plus lisible et plus adaptable". Et le premier ministre de soulever une série de questions concernant "le domaine réservé à la loi (qui) pourrait être recentré sur la définition des règles nécessaires à la protection et à la sécurité des salariés". Dans la foulée, il interroge les partenaires sociaux à propos des "conditions de validité d'un accord d'entreprise pour qu'il puisse librement déterminer les règles applicables : seuil de déclenchement des heures supplémentaires, taux de majoration..."

     

    http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-3224,36-994201,0.html


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    Le système français d'enseignement supérieur et de recherche est difficile à appréhender : beaucoup d'universités, une grande variété d'écoles (ingénieurs, commerce, sciences politiques), des organismes publics de recherche et des agences de financement. Comment s'y retrouver alors que l'on entend tant d'avis contradictoires sur le rôle du CNRS ou sur l'intérêt respectif des universités et des grandes écoles, avis marqués plus souvent par l'idéologie que par une compréhension de nos atouts et de nos faiblesses ?

    Il est bien connu que cette complexité vient d'une histoire dans laquelle l'ajout de nouvelles structures a toujours été préféré aux réformes de fond. La création du Centre national de la recherche scientifique (CNRS), à l'aube de la seconde guerre mondiale, partait du constat d'une université imperméable aux avancées des sciences contemporaines ; la microbiologie, la physique quantique, étaient absentes des cours des années 1950. Le premier CNRS ignora largement l'université, créant souvent ses laboratoires et même ses campus propres.

    En 1965, Pierre Jacquinot, qui dirigeait l'organisme, comprit la nécessité d'attirer de jeunes étudiants dans ses laboratoires et le bénéfice que tirerait la modernisation de l'enseignement d'un partenariat avec le CNRS. Cette mixité est aujourd'hui la règle pour presque tous les laboratoires dits "du CNRS", qui comportent en fait un peu plus d'enseignants-chercheurs que de chercheurs du CNRS. C'est bien l'intrication entre ce dernier et l'université qui a fait que la recherche française "tient la route" dans certains domaines.

     

    http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-3232,36-994226,0.html


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    Vous n'avez jamais changé sur ce point, votre œuvre entière semble être un acte de résistance... <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName w:st="on" ProductID="la Litt←rature">la Littérature</st1:PersonName> à l'estomac et le refus du Goncourt... N'est-ce pas ce mouvement individualiste qui fait paraître, à certains, l'écrivain arrogant ?

     

    - C'est possible. Cela tient peut-être aussi au goût effréné que trahit notre époque pour l'état de disponibilité et de communication instantanée. On demande aujourd'hui à l'homme d'État d'être constamment en prise, en état de dialogue familier et immédiat avec les citoyens. On le demande aussi à l'écrivain avec son public, alors que son travail essentiel est d'écrire des livres - de qualité si possible - et non de « causer dans le poste », de parader sur les estrades télévisuelles, ou de discuter de ses livres avec les bambins des classes élémentaires. Cela n'a pas grand sens, ni grande portée, et on a le droit de s'en abstenir.

     

    (Extrait tiré de l'entretien de Julien Gracq avec Jean-Paul Dekiss.)

     

    SITE sur Julien GRACQ :  http://www.jose-corti.fr/auteursfrancais/presentation-gracq.html


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    Bonnes Fêtes à tous !

     

     


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    « Le franc coup de gueule d'un général » Arnaud de <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName w:st="on" ProductID="La Grange">La Grange</st1:PersonName>

    <st1:PersonName w:st="on" ProductID="La Grange"></st1:PersonName>Une lettre d'un ton vif et rebelle a été envoyée au chef d'état-major de l'armée de terre. Elle reflète un certain malaise de l'armée de terre.

    La missive ne manque pas de panache, et elle fait en ce moment le tour des armées. La lettre envoyée par le général Jean-Marie Faugère au chef d'état-major de l'armée de terre (Cemat) est un petit bijou de littérature militaire, aussi vif qu'inhabituel. Joliment troussé, et tranchant avec la langue de bois en service dans le haut commandement. L'actuel commandant de la région terre Nord-Est et des forces françaises en Allemagne oppose une fin de non-recevoir à une demande de contribution de ses troupes. L'objet de l'ire étoilée est plutôt anodin.

     

    http://www.lefigaro.fr/actualites/2007/12/19/01001-20071219ARTFIG00017-le-franc-coup-de-gueule-dun-general.php


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